Annonce :

Coucou me voilà de retour de disneyland ! Et en pleine forme alors ce chapitre -ci n'est pas encore classé dans M mais le suivant oui alors n'oublieez pas pour la prochaine fois d'aller dans la section M pour lire ma fic ! Il y a encore une scene explicite donc les enfants n'aller pas lire ce chapitre ! voilà bisous et reponses au revieuws:

Kareja: Coucou! Et bien que te dire à part merci pour tes précieux conseils ! j'aprecie ta revieuw car elle me complimente et à la fois tu me fais des reamarques positives pour que je puisse m'ameliorer par la suite ! seulement voilà ma fic est ecrite d'avance jusqu'au bout et je ne peux la modifier MAIS je dis bien mais je prends tes conseils en compte car je compte peut-etre ecrire une suite à mon histoire donc comme cela je pourrais m'améliorer voila gros kiss à toi et encore merci pour ta charmante revieuw!

Ginny Weasley: Hey Hey ! Merci de complimenter mon imagination avec ta gentille revieuws lol gros kiss

17. Les Filles 1- Les garçons 0.

Bon très bien, maintenant que les 2 groupes sont formés, vous allez vous mettre en ligne de telle façon à ce que chacun de vous ai quelqu'un en face de lui dit Angel Diggle.

Tous les élèves s'exécutèrent. Ron avait Hermione en face de lui, Harry avait Parvati, Drago, Pansy, etc.

Une fois les ordres exécutés. Angel dit :

Vous aller vous jeter un sort pas impardonnable bien sûr ! Un sort qui permet de désarmer son adversaire ou de la propulser quelque part… Allez-y !

Les élèves le firent. Des jets de lumières partirent dans tous les coins. Hermione essaya de lancer un sort qui puisse désarmer Ron mais lorsqu'elle l'avait dit rien ne se passa et sa baguette se retrouva à quelques mètres de là. Drago réussit à projeter Pansy contre une armoire et Harry utilisa le sortilège d'attraction de telle manière que Parvati se retrouva à ses pieds.

Une fois cela terminer, Monsieur Diggle passa auprès de chaque élève. Lorsqu'il vit le résultat il proclama :

Voilà, je vous l'avais bien dit les garçons sont plus fort que les filles. Donc mesdemoiselles vous réfléchirez deux fois avant de vous en prendre à des garçons.

Les garçons abordaient des sourires de victoires. Les filles quand à elle étaient très perturbées. Aucunes d'entre elles n'avaient réussit à désarmé un des garçons.

Lorsqu'ils sortirent de classe, Ron, plein de fierté, dit à Hermione :

Tu as vu comme je t'ai désarmé ! C'est moi le plus fort à présent ! j'estime que je me suis bien rattrapé par rapport à l'année passée.

Hermione ne répondit rien, elle se contenta de baisser la tête, anxieuse. Harry qui s'en rendit compte lui demanda :

Quelque chose ne vas pas Hermione ?

Vous ne trouvez pas ça bizarre qu'aucune d'entre nous n'a su vous contrer !

Le professeur l'a bien dit : « Les garçons sont plus fort que les filles » Dit Ron.

Oh je suis sûr que il n'y a pas que cela ! Réfléchit un peu avant de dire des bêtises Ronald Weasley !

Et qu'est ce que tu suggères alors princesse ?

De l'amertume perçait dans sa voix. Parce que c'était l'une des seules fois ou Ron pouvait être fier de lui parce qu'il avait réussit quelque chose ( A part gagné la coupe de Quidditch l'année dernière), Hermione était encore une fois là pour le ramener sur Terre.

Hermione qui avait bien compris la signification de cette question, ne préférant pas ce disputer avec lui maintenant qu'elle l'avait et qu'elle y tenait à son Ronald Chéri. Décida de répondre :

Tu as raison, j'admet que tu as fait beaucoup de progrès ces temps-ci !

Ron lui sourit et lui donna un baiser sur le front, juste avant de rentrer en cours de potion.

Lorsqu'ils durent aller prendre leur repas de midi dans la grande salle, Ils remarquèrent que le professeur de défenses contre les forces du mal était assit à l'opposé de Rogue et Malfoy. De toute évidence l'hostilité entre eux était bien présente.

Un mois et demi passa, la neige recouvrait le parc de Poudlard. On était en Décembre, Noël approchait. Les filles étaient toujours battues au cours de défenses contre les forces du mal, Eléonore était toujours autant heureuse avec son Serverus Rogue, et Harry se demanda ce que notre très cher Voldemort pouvait bien mijoté en ce moment. Sa cicatrice ne lui avait plus fait mal depuis un moment et plus de rêves cauchemardesques ce qui inquiétait Hermione mais Ron lui avait dit que c'était mieux ainsi.

Un dimanche matin, Ils étaient tous dans la salle commune, Hermione écrivait une longue lettre au ministère, Ron jouait aux échecs avec Ginny. Harry observa par la fenêtre le parc de Poudlard enneigé, il se retourna et demanda à Ron :

Qu'est ce que tu fait pour Noël cette année ?

Maman m'a envoyé une lettre en me disant que le mieux, je revienne à la maison.

Ginny intervint dans la conversation :

Maman vous a invités toi et Hermione a passé les vacances avec nous !

Ginny comme pour rassurer Hermione ajouta :

Tes parents sont aux courants et il y aura toujours un membre de l'Ordre présent !

Ron qui avait gagné la partie, s'étira comme un gros chat et dit :

Je suis content que toi et Hermione vous veniez. Ainsi chaque couple aura sa chambre !

Ginny répliqua à son frère :

Je doute fort que maman soit réjouie par l'idée qu'Hermione et toi puisse dormir dans le même lit !

Elle n'est pas au courant pour nous quatre ? demanda Harry.

Non. Et vaut mieux ne rien dire sinon on aura droit l'interminable réplique du style

« Vousêtestropjeunepoursortirensemble ».

Tous trois éclatèrent de rire. Sauf Hermione continua à écrire sa lettre comme-ci de rien n'était.

Le soir venu, il ne restait plus qu'Hermione et Ron dans la grande salle. Elle écrivait toujours sa lettre.

Ron s'approcha délicatement de la jeune fille et entoura son cou avec ses grand bras et lui chuchota au creux de l'oreille :

Qu'est ce qui ne va pas ma belle ?

Elle se retourna dans un sursaut et dit la voix embrumée :

Moi rien, pourquoi ?

Ron n'était pas si dupe que ça, il insista :

Parce que depuis quelques temps, tu ne ris plus, tu passes ton temps à écrire des lettres…

C'est à ce moment qu'Hermione éclata à sanglots dans les bras de Ron

Quoi qu'est ce qui se passe ? demanda Ron paniqué.

C'est… C'est… C'est… Au ministère, L'assemblée générale. Ils ont refusés mon projet de loi pour la S.A.L.E, ils ont dit que j'étais complètement folle, que je ne devais plus les harceler pour rien, que c'était définitif, ils ne veulent plus entendre parler de moi !

Hermione pleurait très fort, Ron essaya de la consoler comme il pouvait, il lui demanda :

Comment est-ce possible c'est eux qui t'ont sollicités !

Oui mais c'est l'assemblée générale qui a le dernier mot et devine qui en fait partie ?

Je ne sais pas

Dolores Ombrage, elle a su se souvenir du coup des centaures de l'année passée.

A présent Hermione n'était plus triste mais en colère. Elle dit :

Cette bonne femme est horrible ! Comment peut-elle nous faire subir ça ?

Elle jeta son parchemin sur la table avec toute sa force.

Ron qui voulait la calmer, la pris dans ses bras et dit :

Aller ce n'est rien Hermione, elle a gagné une bataille mais pas la guerre. Tu vas te battre pour que ce soit accepté et je serais derrière toi et Harry et Ginny aussi.

Elle releva, les yeux, sans le quitter du regard, elle déposa, un petit baiser sur ses lèvres.

Merci.

Ron qui à cet instant se sentit content de lui, lui rendit son baiser, un peu plus approfondi.

Il commença a chercher sa langue. Hermione se laissant faire docilement, Ron en profita pour passer sa main en dessous de sa jupe,glissa le long de sa cuisse et commença à caresser de deux doigts le tissu de sa culotte. La réaction physique de Ron fut bien sûr évidente.

C'est alors qu'Hermione repoussa sa main et se dégagea de son étreinte.

Mais enfin qu'est ce qui te prend ? Hermione, Je croyais que tu aimais bien ça ?

Oui mais pas comme ça et pas maintenant. Dit Hermione.

Ron qui commençait à s'énerver dit :

Ah bon et quand est-ce le bon moment alors mademoiselle je sais tout. Vu que tu as toujours le don de tout prévoir à l'avance et que de toute façon je crois que les autres garçon on raison : tu es une coincée !

Oh ! Comment oses-tu dire des choses pareilles ? Tu as bien la mémoire courte ! Et au royaume des fées qu'est ce que j'ai fait à ton avis ? Franchement, Ron tu n'en n'as jamais assez, ce qu'il te faudrait ce serait une fille bien roulée genre et d'un niveau intellectuelle complètement nulle genre Fleur De lacour, Celle-là, elle t'aurait bien plue ! Mais heureusement, qu'elle a vu que tu n'étais qu'un pervers !

Hermione tremblait en disant ces paroles. Ron quand à lui, le bout de ses oreilles devenaient écarlates ce qui était un signe d'alerte.

Alors comme ça pour toi je ne suis qu'un pervers. Et bien tu sais ce qu'il te dit le pervers ! Adieu !

Il partit rouge de colère en direction du dortoir des garçons en claquant la porte. Laissant Hermione bouche bée. Elle se remit à pleurer et à courir en direction du parc de Poudlard.

Pour finir, elle fit demi-tour, et se retrouva dans les sous-sols, elle marchait sans prendre le temps de voir ou elle se dirigeait. Elle se retrouva donc dans un des couloirs du château, ou elle n'était jamais venue, elle cessa de pleurer. Elle marchait dans le couloir sombre mais assez éclairée par les torches. Au plafond pendaient des toiles d'araignées. Elle observa alors les portraits sur sa gauche. Un des tableau attira son attention, en effet, un jeune homme musclé, au long cheveux bruns, des yeux marrons, habillé avec une chemise déchirée, assit sur une chaise lisait un livre paisiblement. Elle s'en rapprocha pour l'observer de plus près. C'était le seul à ne pas dormir, mais il ne disait rien du fait qu'il se sentait observer. Il continuait à lire.

Il ne dort jamais ! dit une voix féminine derrière Hermione qui la fit sursauter.

C'était Eléonore. Elle était la assisse en indien contre le mur. Elle avait ses cheveux défaits, ses yeux rouges comme si elle venait de pleurer, une cigarette à la main.

Excuse moi de t'avoir fait peur Hermione Granger, je ne voulais pas te déranger. C'est vrai qu'il est très beau à regarder.

Ce n'est rien mademoiselle Graham. Dit elle confuse.

Eléonore tira sur sa cigarette tout en recrachant sa fumée elle demanda à Hermione :

Tu veux tirer ?

Hermione fit signe que non de la tête.

Tu as raison c'est mauvais pour la santé ! Dailleurs je vais l'éteindre.

Elle écrasa sa cigarette et continua la conversation :

Viens t'asseoir à côté de moi, d'ici on le voit mieux.

Hermione s'exécuta et demanda une fois assisse au professeur :

Vous avez l'air de bien connaître ce tableau mademoiselle, je ne l'avais jamais vu avant.

En effet, avant ce tableau était à Durmstang, puis lors de ma cinquième année, il l'on enlevé et je ne l'ai plus revu sauf quand je suis revenue ici.

Pourquoi l'avaient-ils enlevé ?

Parce qu'ils disaient que à Durmstang, qu'il était inutile ! En effet si tu l'observes toute une journée, tu remarqueras que il ne fait rien d'autre à part lire son livre. Mais moi je sais qu'il fait tout autre chose.

Hermione la regarda d'un air interrogateur.

Oui, si tu l'observes d'un peu plus près, à certains moments tu remarqueras que le titre de son livre change. Et c'est souvent une expression qui console les gens. A Durmstang, chaque fois que je n'étais pas bien je venais le voir. Et ça me rassurait.

Hermione pensa que cette Eléonore était vraiment quelqu'un de bien. Elle se retourna sur Hermione et lui demanda :

Au fait Hermione lorsque tu empruntes mon journal peux-tu le remettre à sa place d'origine ?

Hermione commença à devenir rouge de honte et commença à bégayer :

Made…mademoise…lle, je m'ex… excuse je ne voulais pas vous…

Eléonore lui coupa la parole :

Ne t'inquiètes pas, c'est de ma faute je n'aurais pas du le laisser traîner en vue des regards de curieux élèves.

Vraiment je m'excuse insista Hermione

Eléonore continua la conversation comme-ci elle ne l'avait pas entendue.

Et puis vaut mieux que ce soit toi qui le lises plutôt que mon frère, Angel ou encore Serverus !

Hermione ne savait plus ou se mettre « décidément quelle drôle de soirée » pensa-t-elle.

En parlant de Serverus, tu n'a pas su lire, mais je tien à te dire qu'il est extrêmement jaloux, il croit que Angel me tourne autour. Mais toi Hermione qu'est ce qui ne vas pas ?

Hermione repensa à Ron et les larmes se mirent à couler toutes seules. Sans savoir pourquoi, Elle prit une grande inspiration et expliqua tout à son professeur depuis le début ; Le jour ou il l'avait sauvé du troll, c'est nombreuse crise de jalousie envers Krum, le jour ou ils étaient embrassés ect…Elle conclut par :

Mais je l'aime vraiment !

Sèche tes larmes jeune fille ça va aller.

Eléonore lui tendit un mouchoir.

Merci !

Eléonore regarda sa montre et dit :

Je crois qu'il est temps de renter.

Elles se levèrent et lorsqu' Hermione passa devant le tableau, elle le remarqua le titre du livre :

« Quoi que ce soit, ça passera ! ».

Hermione sourit, elle avait retrouvé un espoir de récupérer son Ron.

Lorsqu'elle revint au dortoir, elle fut pressée de rentrer pour raconter à Ginny l'Histoire du jeune Homme mystérieux du tableau. Mais celle-ci n'y était pas. Tan pis, elle se dévêtit et se coucha.

A quelques mètres de là, deux pantalons traînaient sur le sol, une jeune fille était allongé dans un somptueux lit. A moitié nue, son amant vêtu d'un simple boxer lui caressait ses seins, tout en l'embrassant.

Puis il passa sa main sous le string de la fille. Un de ses doigts, caressa doucement la boule de chair qui donnait tant de plaisir à celle-ci.

La jeune fille dit :

Mum, monsieur Potter, je vois que vous avez pris de l'assurance depuis la dernière fois.

Harry s'arrêta quelques instants pour la contempler et lui répondit :

Vous ne croyez tout de même pas que j'allais rester au stade des petits bisous.

Ginny le regarda d'un air féroce et lui dit :

Surtout ne t'arrêtes pas !

Et il reprit ses activités de plus belle jusqu'à ce qu'elle jouisse de satisfaction.

Une fois terminé, ils se rhabillèrent. Ginny dit à Harry :

Ce que tu m'as fait subir ce soir, je le ferais une fois que l'on sera arrivés chez moi. Pendant les vacances de Noël.

Harry sourit, il pensa que décidément c'était une vraie coquine ! Mais il l'aimait profondément.

Le Lendemain Hermione raconta toute l'histoire à Ginny, elle lui avait conseiller de se faire excuser, c'est ce qu'Hermione fit mais Ron ne voulait rien entendre.

Pendant plus d'une semaine, Ron et Hermione ne se parlait plus. Un soir dans le dortoir des filles, Hermione et Ginny était couché dans leur lit lorsqu'elles entendirent une voix forte dire « Ca ne peu plus durer ainsi ! ». Elles se levèrent toute les deux et s'installèrent au milieu de la bande de fille de la classe d'Hermione qui s'était rassemblé sur le lit de Parvati. Ginny leur demanda :

Qu'est ce qu'il y les filles ?

Il se passe que on commence en avoir sérieusement marre du cours de défenses contre les forces du mal ! on se fait humilier à chaque fois !

Hermione intervint dans la conversation :

Je crois que j'ai découvert pourquoi ! En fait qu'il aurait tout simplement jeté un sortilège dans la classe. Et comme je crois savoir lequel, ce serait un repousse fille, cela empêche aux filles d'utiliser sa baguette. on pourrait le faire ôter.

Toutes les filles poussèrent des hurlements de joies. Parvati dit alors :

Ecouter j'ai un plan. Demain, Ginny a cours avant nous, ce sera elle qui' l'ôtera.

Puis nous une fois en classe nous pourrons attaquer pour une fois les garçons.

Les filles approuvèrent cette idée.

Le lendemain comme prévu Ginny réussit à ôter le sortilège.

Lorsqu'ils rentrèrent en classe, à la grande surprise des garçons toutes les filles avaient réussit à les désarmer.

Le professeur Angel Diggle n'en revenait pas :

Comment avez-vous fait ça ?

Hermione répondit sur un air prétentieux :

C'est simple ,les filles sont plus fortes que les garçons.

Les filles éclatèrent de rires, les garçons eux n'en revenaient pas. Quand le cours fut terminé, Ron rejoignit Hermione et sans poser de question l'embrassa à pleine bouche, Hermione le regarda bizarrement sans qu'elle pu dire quoi que ce soit, il se mit à genoux devant elle

Ma Hermione tu es merveilleuse, comment j'ai fait pour ne pas m'en rendre compte, est-ce que tu acceptes mes excuses ?

Elle se jeta dans ses bras et lui dit :

Bien sûr gros bêta !

Et ils s'embrassèrent.

Harry était Heureux de les voir à nouveaux ensemble.

Le Dimanche, Ron, Hermione, Ginny et Harry firent leurs valises. Ils étaient euphoriques, ils allaient tous passer les vacances de Noël au Terrier.

Harry dit à l'oreille de Ginny :

N'oublie pas ce que tu m'as promis.

T'inquiète dés que nous serons arrivés !

Et ils prirent le magicobus en direction d u Terrier.

Voilà, bien oui il est plus long que d'habitude mais bon c n'est pas plus mal. Enfin soit j'espère que cela vous à plus. Dans le prochain chapitre, Harry et ses amis vont devoir prendre une grande décision ! Il s'intitulera comme vous vous doutez « les vacances de Noël », il sera publier vendredi 13 mai jour de mes 20 ans eh oui! et n'oublier pas d'aller voir dans la section M. Sur ce bisous à tous!