Annonce : Salut à tous ! Certaines parties de ce chapitres –ci risque d'être très choquante pour certaines personnes, je leurs conseille alors de passer leurs chemins ! Je préfère le mettre comme avertissement car certaines personnes risque de me traiter d'obsédée ! Ce n'est pas de ma faute si mon amant Ronald qui vient me voir tous les soirs, me donne des idées coquines à l'écriture :) :) lol ! Non sérieux, j'arrête de déconner et vous met en garde une dernière fois ! Je vous aurai prévenu. Bonne lecture à tous :)

Mais avant réponse au revieuws:

Virg05: Merci por ton immense soutient t'es adorable grso bisous je t'odre miss

Sarah Malfoy : Merci pour tes deux gentilles reviews super adorable bisous bisous moi aussi je t'aime lol

Mel 1212: Coucou merci pour tes 2 revieuws super encourageante bisous

Bon arrêtons les blas-blas et voici le chapitre !

24. Petits moments de la vie

- Oh regarde comme c'est mignon !

- Oh et celui-la ! Tu crois que ça ira avec la couleur des yeux de la petite ?

- Oui c'est trop beau !

Ron claqua du pied pour la trentième fois. Ces filles vraiment impossible, elles étaient toutes les deux là a glousser pour choisir un cadeau pour Lucie. Elles n'avaient toujours pas fait leurs choix hésitant entre un nounours rose pâle et un pyjama bleu marine avec un canar dessus. Hermione se retourna vers les deux garçons d'un air sévère.

- Vous n'avez qu'à aller au magasin de Quidditch ! On se retrouve au Chaudron baveur Lança Hermine qui se retourna vivement à ses occupations avec Ginny.

Harry et Ron furent soulagé et sortirent vivement du magasin qui sentait trop les parfums de bébé.

- Ouf, ce que ça fait du bien de respirer ! dit Ron.

- C'est vrai on se serait cru chez Trelanwey !

- Viens Harry on va voir les nouveaux balais qui sont sortis !

Les deux garçons rentrèrent dans le magasin. Ils admirèrent le tout nouveau balai sorti « Le Tonnerre ».

- Si j'avais assez d'argent je me l'achèterais immédiatement dit Ron.

Harry regardait le balai avec envie, c'est vari que lui avait assez d'agent pour se payer tous les balais qu'il avait envie. Mais bon il ne voulait pas faire de peine à Ron et préféra diriger son regard vers les nouveau ustensile à balai. Il appuya sur une sorte de poudre qui lui couvra le visage en un instant de substances blanches. Ron se retourna et se mit à rire en voyant le visage d'Harry.

- AHAHAHAH ON DIRAIT UN FANTOME !

Harry pris sa baguette et nettoya très vite son visage parsemé de poudre.

- Mais qu'est ce que c'est ? demanda Harry

- C'est une poudre spéciale pour les poils des balais. Ca rend ses poils plus lisses et plus soyeux. Votre Balais prend de la vitesse, vous en voulez ? Répondit le vendeur qui c'était approchez d'eux, voyant Ron en train de rire.

- En tout cas moi j'en prends, voilà sept noises ! déclara Ron.

Il fouilla dans ses poches et ressortit le compte juste qu'il déposa dans les mains du vendeur. Ron se retourna vers Harry et dit

-Et toi tu en prends ?

Harry un peu méfiant suite à ce qui venait de lui arriver dit :

- Non merci !

Et ils sortirent du magasin en rigolant.

- C'était à mon tour à me moquer de toi. Dit Ron.

Ils entrèrent dans le chaudron baveur. Naturellement, les filles n'étaient toujours pas arriver. Ils s'installèrent quand même à une table de 4 personnes. Ils commandèrent une bière au beurre. Et ils entamèrent une discussion assez intéressante sur les filles :

- Alors Ron, ma meilleure amie et toi vous vous êtes décidé à vous reproduire ?

- Je ne rigole pas Harry, depuis que la fille de Rogue est née, Hermione est devenue complètement gaga. Elle n'arrête pas de me parler de bébé. Alors tu comprend ça me fait peur. Je ne suis pas prêt à avoir des enfants maintenant. Ce qui fait que je la surveille de plus près chaque fois que …..

Il s'interrompit un instant, le visage rougissant, il pris une gorgée de bière au beurre et continua :

- Enfin tu vois ce que je veux dire, et bien je veille à ce qu'elle boive sa potion. Sinon tu n'imagines même pas comme ma mère serait en colère si elle apprenait que Hermione est enceinte. Elle ne sait même pas que nous sommes ensemble.

Harry bu une gorgée en esquissant d'un sourire imaginant la tête de madame Weasley hurlant sur Ron.

- Bah ça ferait un rouquin de plus et comme ça je serais parrain dit Harry.

Ron lui lança un regard noir. Harry se reprit très vite :

- Mais ne t'inquiètes pas je doute que Hermione ne prenne pas sa potion et fasse exprès de tomber enceinte. Dit Harry rassurant à moitié Ron.

Les filles arrivèrent à ce moment-là. Les bras chargés de sac de différents magasins de vêtements.

- On a trouvé plein de beaux petits vêtements pour la petite ! S'exclama Ginny en essayant de se débarrasser de ses sacs.

- Je crois que elle aura un habit pour chaque jour de la semaine avec tout ce que l'on a acheté ! Dit Hermione.

- Tu ne crois pas que une simple peluche aurait suffit, c'est un peu excessif tous ces achats, tu ne trouves pas ? Demanda Ron.

- Non et je compte bien faire la même chose avec nos futures enfants !

Ron se retourna vers Harry et dit tout doucement pour ne pas que les filles ne l'entendent :

- Tu vois, elle devient complètement gaga !

Harry ne pu s'empêcher de laisser transparaître un sourire sur son visage. Ils burent une dernière bierre-au-beurre et retournèrent vers le château !

Le ciel était sombre et dégagé, la chaleur de la journée était encore présente, le vent soufflait légèrement, bref ce fût une belle nuit éclairée par les étoiles. Près du lac, dans un coin du parc de Poudlard, deux jeunes amoureux se donnaient l'un à l'autre à des caresses les plus intimes ….

- Hum Mione ….

La langue d'Hermione, descendit le long du cou de son petit ami. Ron fut alors parcouru d'un frisson. Elle était assise à califourchon sur lui. Lui ne pouvait s'empêcher de toucher sa poitrine avec l'aide de ses grandes mains. La bouche d'Hermione vint se reposer sur celle de Ron. Cela n'empêcha pas celle-ci de défaire les boutons de la chemise de Ron. Ainsi que ceux de son pantalon. La bosse qui paraissait du caleçon de Ron, laissa transparaître un sourire en coin sur le visage d'Hermione. Elle décida de glisser sa bouche le long du torse de son amant. Elle pris alors doucement le sexe de Ron entre sa main et puis commença à déposer des baisers un peu sensuelle sur celui-ci. Ron sentit alors une vague de chaleur l'envahir. Il ne pu s'empêcher de gémir tout doucement. Il pensa que sa bien-aimée s'améliorait de jour en jour. Elle commença à lécher. Elle sentit le désir monté en elle rien que a la vue de son amant qui commençait a se tordre de plaisir. Elle redressa brusquement la tête, il fit mine de déception, il l'attrapa par les cheveux et l'embrassa avec passion. Il défit d'une traite le chemisier de celle qu'il aimait. Hermione sentait bien que ce petit jeu n'allait pas durer longtemps. Elle se releva, Il la regarda d'un air incrédule, elle fit glisser sa culotte à terre, et se rassit sur lui tout en étant pénétré par le sexe gonflé de désir de Ron. Hermione commença alors ce mouvement de vas et viens. Il agrippa les fesses juvéniles de sa partenaire, pour l'aider à accentuer les mouvements frénétiques de celle-ci. Il colla sa bouche contre la poitrine pour étouffer ses propres gémissements qui se transformait en sons de plus en plus rauques. La chaleur des deux corps, la chaleur de l'été tout jouait en leur faveur. Et dans un dernier mouvement de bassin, Ron poussa un cri de satisfaction accompagnée de celui d'Hermione. Elle retrouve lentement ses esprits, et retrouvant sa pudeur, elle prit ses vêtements et se rhabilla a la vitesse éclair. Ron pas gêner le moins du monde restais la à la contempler. Il se décida à remettre ses habits. Il s'approcha d'elle avec cet air de séducteur qu'il avait lorsqu'il avait envie d'elle. Il serra ses bras autour d'elle, elle était dos à celui-ci. Elle ne pu s'empêcher de sourire.

- Dis donc je commence à avoir des doutes sur ta fidélité. Chuchota-t-il.

- Et pourquoi cela ?

- Parce que tu t'améliores de jour en jour, et je me demande si tu t'entraînes avec un autre beau mâle ?

Elle éclata de rire et lui déposa une légère claque sur la joue.

- Et ce que vous seriez jaloux de mes performances monsieur Weasley ?lui répliqua-t-elle

Il souleva un sourcil.

- Moi jaloux ? Je ne l'ai jamais été !

Elle sourit à nouveau, lui rendit son sourire, les yeux pétillants tout deux de malice, il déposa un baiser sur ses lèvres. Il mit sa main sur son doux visage et lui dit :

- Qu'est ce que je ferais sans toi ? Je ne pourrais pas supporter à l'idée de te perdre. Je t'aime tant.

Elle l'interrompit en mettant un doigt sur ses lèvres.

- Ne pense pas à ça, moi aussi je t'aime plus que tout et il ne m'arrivera rien je te le promet.

Il lui prit la main dans la sienne et ils rentrèrent tout doucement au château en amoureux comblés.

« Examen de Potion juin :

Sujet des cinquièmes années:

Décrivez la composition d'une potion de force puis fabriquez là à l'aide….. »

- OOOOOOOOOuuuuuiiiiiinnnnnnnnnnn

Le cri perçant du bébé, le fit cassé le bout de sa plume. Le professeur Rogue enfermé maintenant depuis plus de deux heures dans son bureau dans le calme le plus reposant qui soit, fut malheureusement interrompu, par les pleures de Lucie. Il se retourna et cria à travers la porte fermée à double tour :

- ELEONORE !

Personne ne répondit,

-Peut-être que elle ne m'entend pas avec cette gosse qui ne fait que brailler pensa-t-il.

Il essaya de se concentrer sur son parchemin, pris une nouvelle plume mais les cris de sa fille furent de plus en plus élevés. Et aparement Eléonore n'étais pas la vu que Lucie pleurait de plus belle.

- Bientôt, elle va réussir à casser les vitres, elle fera concurrence avec la grosse dame. Pensa-t-il.

Il décida donc d'aller lui-même régler cette affaire de bébé. Il se traversa la pièce à grande enjambée, ouvrit la porte, en effet Eléonore était absente. Il se retourna sur sa fille qui était dans le berceau et lui dit :

- Tu ne sais pas te taire deux minutes non ?

Mais l'enfant se mit à braire de plus belle. Serverus regarda sa fille avec désespoir. Il ne savait vraiment pas s'y prendre pour la faire taire. Il espérait que la maman arriverait très vite. Et ce ne fut pas le cas. Alors il décida de s'approcher lentement du berceau. C'est alors qu'il pris le temps de l'observer 5 minutes. Ce petit être qui portait des cheveux noirs ébènes comme lui et les yeux de sa maman, lui sembla soudain attendrissant. Ses petites joues rosies, ses petites mains, ses petits pieds, Serverus se rendit compte que cet enfant était ce qu'il avait fait de mieux. Dés fois quand Eléonore n'était pas là, il se surprenait à l'observer endormie. Oui, il l'aimait depuis sa naissance mais n'osait pas se l'avouer. Il avait très peur que un jour, il ne puisse la voir grandir. Avec cette guerre…. Il ferma les yeux pour ne pas y penser. Il prit alors le bébé dans ses bras et la serra très fort contre lui. Ses pleures diminuèrent d'intensité. Desserrant son étreinte par peur de l'étouffer, il commença à la bercer en lui chuchotant des petits « chut » ou bien « C'est fini mon ange tout va bien se passer » des mots simples d'amour qu'un père peut dire à sa fille. Elle finit par s'endormir.

- Eh bien on dirait que tu t'y attaches !

Une voix féminine derrière lui résonna. Il retourna :

- Où étais-tu ? Ca fait plus de 20 minutes que ta fille pleure !

- Ce n'est plus le cas maintenant, et puis tu as su t'y faire, je crois que tu seras un excellent papa!

Un peu frustrée de cette remarque, il déposa délicatement la petite Lucie dans son berceau. Et repartit dans son bureau. Eléonore décidé a ne pas lâcher prise le suivit et rentra dans son bureau et referma la porte.

- Tu ne peux pas continuer à fuir ainsi ton avenir dit-elle

- Quel avenir ? J'ai bientôt 45 ans tu ne crois pas que j'ai déjà mon avenir tracé !

- Cet enfant, tu ne peux pas la nier plus longtemps, tu l'aimes !

Il retroussa la lèvre comme il avait l'habitude de faire lorsque, il commençait à sentir la colère monter en lui. La jeune femme commença à avoir les larmes aux yeux.

- Notre fille a besoin de toi !

Il se leva alors d'un bond et dit :

- Notre fille ? Ta fille, moi je n'avais rien demander à personne, j'étais seul et bien tranquille, et voilà que toi tu débarques avec tes grands airs de séductrice, qui d'ailleurs me rende fou de désir à chaque fois que je te vois, et puis voilà que paf tu me fait un gosse dans le dos ! Tu ne me préviens même pas ! C'est toi qui as tenu à venir à Poudlard pour tes stages, c'est toi qui as insisté pour être logé dans mes appartements. Tu ne crois pas que tout ce qui arrive est entièrement de ta faute ? Maintenant que tu as cet enfant, garde le pour toi, je n'ai pas besoin d'une sale môme, qui braille à tout heure de la journée !

Il avait dit ces paroles avec tant de violences, des larmes coulaient à présent sur les joues de miss Malfoy. Elle ne prit pas le temps de répondre. Elle s'en alla en claquant la porte. Rogue assez abattue n'en revenait pas de ce qu'il venait de lui dire, il préféra s'asseoir et se concentra sur son bout de parchemin. Mais au bout de 30 minutes, il n'y avait rien inscrit. Il préféra retourner dans la chambre et retrouver Eléonore qui devait avoir sûrement inonder l'oreiller à présent.Mais lorsqu'il entra, rien la pièce était vide, plus de berceau, les vêtements de la jeune femme avaient disparus, plus rien, juste une lettre avec son écriture

« Mon cher Serverus ;

Puisque tu ne veux plus de moi, ni de NOTRE fille, et j'insiste sur le notre car elle le sera toujours, j'ai décidé donc de te laisser tranquille comme tu l'as toujours désiré, je ne préfère pas te dire ou je vais, j'élèverais notre rayon de soleil toute seule puisque tel est mon destin. Je tenais à te dire que je t'aime très fort et je penserais beaucoup à toi ! Ce sera toujours toi ! ET aussi quand je parlerais de son père à notre fille, ne t'en fait pas je lui dirais que tu as toujours été la mais que tu as choisit de vivre autrement… enfin bref elle ne saura pas tout bien évidement ! Mais sache que quoi qu'il arrive, tu occuperas toujours la même place dans mon cœur !

Adieu , JE T'AIME.

Eléonore Malfoy, assistante de Potion.

Ps : Surtout ne cherche pas à me revoir au cas tu aurais des remords ! »

Il lut ces mots, son teint changea de couleur, il ne pu s'empêcher de verser une larme. Il sortit des cachots et se dirigea vers le bureau du directeur.

Harry tenta d'attraper ses lunettes, il était sous la douche mais il entendit, un bruit. Il avait demandé plusieurs fois qui étaient là mais personne ne lui répondait. Comme cela devenait inquiétant. La vapeur qui s'échappait ainsi que sa mauvaise vue empêchait Harry de voir quoi que ce soit. Il pris quand même le réflexe de prendre sa baguette. Il vit alors apparaître, une silhouette féminine qui reconnu grâce à sa chevelure rousse. La cadette des Weasley était là devant lui complètement nue. Elle admira son corps, recouvert d'eau. Elle passa ses deux mains autour de son cou, il lui sourit et l'embrassa. Elle lui dit tendrement :

- Harry fais –moi l'amour ce soir !

Comment pouvait-il résister à cette demande si désireuse. Il commença embrasser son cou et à mordiller le lobe de son oreille. Elle se serra contre lui encore plus fort. Ils s'embrassèrent sous la douche qui coulait toujours. Puis il fit descendre un de ses doigts le long de sa poitrine, puis de son ventre et enfin il atteignit le sexe de la rouquine. Il commença à caresser légèrement ses petites lèvres gonflées de désir. Mais Ginny dans un mouvement assez brusque pris sa main et lui montra l'endroit ou il lui donnerait du plaisir. Il se mit donc à l'œuvre la caressant. Puis pour sentir si celle-ci était prête à s'offrir a lui, il entra un de ses doigts dans cette cavité humide qui il avait toujours considéré comme étrange. Il fit un petit mouvement de vas et viens. Puis, elle l'interrompit, alors il décida de glisser le long de son corps, sa langue qui atterrit sur le sexe de sa partenaire. Il prit le temps de bien la faire languir, Ginny commençait à pousser des très saccadés. Il se releva et alors il la souleva du sol avec sa force du Quidditch. Elle enroula ses jambes autour de son bassin , elle était collée sur le carrelage froid mais cela n'avait aucune importance, l'eau chaude qui coulaient le long de ces deux corps en ébullition hormones n'arrangèrent pas les choses. Il la pénétra avec une telle puissance, qu'elle en poussa un petit cri de surprises. Elle sentait bien qu'il avait envie d'elle. Il commença alors ce rythme très primitif qui remonte a des milliers d'années. Harry n'en pouvait vraiment plus ce petit corps qui ondulait, cette fille qui criait de plaisir, il se libéra alors en elle, dans un dernier grognement. Elle le regarda un instant et il lui dit :

- Mon amour ce n'est pas que tu es lourde mais peux-tu desserrer des jambes, je n'ai plus de force dans mes bras !

- Oh pardon !

Elle desserra instantanément ses jambes et Harry la déposa en douceur sur le sol. Ils s'essuyèrent en silence, s'habillèrent, puis remontèrent vers la salle commune en s'embrassant. Ils se dirent bonne nuit et se séparèrent tous les deux vers leurs dortoirs respectifs. Harry mit alors son pyjama et se coucha et il regarda en direction du lit de Ron qui était là couché à moitié endormi.

- Bonne soirée ? questionna le rouquin

- Très bonne soirée !

Sur ce ils s'endormirent tous les deux, le sourire au coin de la lèvre.

Une semaine passa et les examens approchaient à grands pas, les quatre amis profitèrent de leur dernière sortie au Pré-au Lard. Ils étaient tranquillement assit à discuter des examens, sur la terrasse de la glacerie. Lorsque Hermione déclara en montrant du doigt :

- Ce ne serait pas Monsieur Diggle là-bas ?

Les trois autres se retournèrent. En effet Angel était là, il avait l'air un peu perdu, il passa devant eux et les salua. Il fit alors quelque pas puis fit demi-tour dans leur direction.

- Excusez-moi les enfants mais puis-je vous parlez un instant ?

- Bien sûr répondit Ron.

- Voilà j'aimerais vous montrez une découverte que j'ai faites la semaine dernière. J'aimerai que vous veniez avec moi.

Ils se regardèrent tous d'un air perplexe.

- Bien et ou se trouve « cette fameuse découverte » ironiquement Ginny.

Harry se retourna vers elle l'air sévère, c'était l'un de ses professeurs préférés mais sa petite amie ne pouvait s'empêcher de le critiquer.

- Mademoiselle Weasley se n'est pas vous que ça concerne, uniquement mes élèves de 6eme année, d'ailleurs le reste des élèves est déjà là-bas, et je risque fort de vous donner une retenue si vous ne m'accompagner pas … s'impatienta-t-il.

- Bon très bien nous vous suivons déclara Ron.

Hermione pas le moins rassuré du monde en disant au revoir à Ginny lui dit aux creux de son oreille :

- Suit nous sans te faire voir et si jamais ça tourne mal va chercher de l'aide au plus vite, j'ai un mauvais pressentiment.

Ron , Hermione et Harry se levèrent de table et suivèrent le professeur des défenses contre les forces du mal. Ils avaient quittés le village, mais derrière eux la rouquine ne les lâcha pas d'un pas tout en prenant le temps de ses cacher. Hermione dit alors à Ron :

- Cette histoire me semble trop bizarre.

- Moi non plus !

Ils s'enfoncèrent dans la noirceur de la forêt…..

Voilà l'avant dernier chapitre terminé ; Eh bien ce qui signifie que l'histoire touche à sa fin. Eh oui mais bon toute les bonnes choses ont une fin. Eh non je ne coupe pas au moment crucial ! Bon le dernier chapitre arrivera le plus vite possible, avec des nouvelles d'Eléonore et la petite Lucie, l'ordre du phénix, l'armée de Dumbeldore et notre ennemi le plus cher « Celui dont on ne pas prononcer le nom ». Ca en fait du monde pour le dernier chapitre je vous prévient ce sera triste et oui ! Bon je vous laisse à bientôt et sur ce bisous à tous !