Chapitre 4 Révélations inattendues

Le trio rencontra les Rohirrims et ils leur donnèrent deux chevaux. Puis, ils partirent et le trio alla où les Rohirrims avaient anéantis les orcques qu'ils pourchassaient.

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Gimli chercha dans la pile de carcasses brûlées et trouva l'une des ceintures des hobbits. Ils étaient morts. Aragorn était furieux et énormément déçu. Legolas marmonna de l'Elfique pour la mort des hobbits. Ensuite, il entendit la voix de Doloriel dans son esprit qui disait :

« - N'aillez crainte mes amis, Merry et Pippin ne sont pas loin, continuez à les chercher. N'aillez crainte mes amis …

- J'en doute fort Doloriel …, » lui répondit Legolas triste.

- Legolas, je crains que Doloriel est tord, dit Aragorn.

- Vous l'avez entendu ? demanda Legolas, surpris.

- Oui…J'ai cru l'entendre…

Soudain, Aragorn regarda le sol et vit les traces des hobbits. Ils les suivirent et se rendirent jusque devant la forêt de Fangorn. Une lueur d'espoir apparu sur leur visage. Les hobbits seraient peut-être en vie. Le trio continua de suivre leurs traces dans la vieille forêt.

Soudain, Doloriel leurs dit subitement : «Attention, Prenez garde !» Legolas, entendant ces mots, redoubla d'attention. Il sentit le magicien blanc derrière eux. Ils l'attaquèrent par surprise, mais cela n'eut aucun résultat. Par la suite, le magicien blanc les rassura que les hobbits étaient en sécurité. Puis, ils purent enfin voir le visage de Saroumane, mais ce n'était pas lui, mais Gandalf… Il est devenu Gandalf le Blanc.

Ils sortirent de la forêt de Fangorn et Gandalf appela son cheval blanc, c'était le «Seigneur de tous les chevaux». Ensuite, ils se mirent en route vers Edoras à vive allure.

Tout à coup, Legolas vit un faucon bleu-gris passer à quelques mètres au dessus d'eux. Il dit :

- Ce faucon me semble bien étrange, il n'est pas normal…

- Je crois que c'est Bryzdelle, on dit qu'elle prend souvent l'aspect d'un faucon pour voyager et pour tromper ces ennemis qu'elle cherche à prendre par surprise, répondit Aragorn en regardant l'oiseau. Mais cela m'étonnerait qu'une personne puisse se transformer en faucon…

- Qu'est ce que qui peut bien l'amener dans cette région, si c'est bien elle ? demanda Legolas en voyant le faucon disparaître dans les nuages.

- Nul ne s'est quel sont ses buts, ni de quel côté elle est…, répondit Aragorn.

Enfin, ils arrivèrent à Edoras et allèrent vers la porte du château d'or, où on leurs demandèrent de se désarmés. Ils entrèrent, Gandalf s'approcha du roi qui avait l'esprit conquit par Saroumane et le libéra de l'envoûtement. Puis le roi retrouva ses esprits et alla à la tombe de son fils, avec Gandalf. Ensuite, ils revinrent avec 2 enfants dont le village avait été rasé par l'ennemi. Eowyn les nourrit et prit soin d'eux sous la présence du roi, Gandalf, Aragorn, Legolas, Gimli et une autre personne inconnu sans importance qui était à l'autre bout de la salle. Legolas regarda dans sa direction, cette personne avait une cape bleu et dont le visage était cacher. Elle lui semblait familière et il pensa à Bryzdelle. Il était sûr que c'était elle. Donc, il se dirigea vers elle avec colère. Puis, Aragorn l'interpella :

- Legolas, vous semblez tourmenter, je me trompe ?

- Ce n'est rien, Aragorn, ne vous en faites pas, répondit Legolas, rapidement.

Il se retourna, mais elle n'était plus là, puis il entendit derrière lui :

- C'est moi que vous cherchez, peut-être ?

Cette voix était celle d'une femme. Puis, Legolas se retourna, c'était bien Bryzdelle mais ne put voir encore son visage et il dit :

- Qui êtes vous exactement ?

- Vous le savez très bien …Legolas…

- Comment savez-vous mon nom ? demanda Legolas surpris et irriter.

- Je sais bien des choses, bien plus que vous ne le croyez…

Bryzdelle se tourna et fit quelques pas, mais Legolas la retint par le bras. Elle lâcha un petit cri de douleur et dit d'une voix douce et familière :

- Legolas, je vous en pris, lâcher moi ! Ce n'est que moi…

Legolas reconnu cette délicate voix, prit par la curiosité, il enleva le capuchon de cette femme. Legolas fut foudroyé par la surprise, c'était Doloriel.

- Quoi ?...Vous ?...Mais …. Pourquoi ? bafouilla Legolas.

- Premièrement, pourriez vous me lâchez, Legolas, demanda Doloriel qui grimaçait de douleur.

Il la lâcha et elle s'asseye en tenant son bras qu'il avait fini par lâcher.

- Je suis désoler je vous est prit pour quelqu'un d'autre… Que faites-vous ici, Doloriel. Votre père à changer d'avis ? demanda Legolas.

- Non, je suis venu de moi-même et je sais que vous avez besoin de moi…

- Alors venez vous joindre à nous, dit Legolas en la prenant par le bras pour la faire venir.

Doloriel émit un gémissement et dit :

- Legolas, j'ai une blessure à ce bras, pourriez-vous cesser de le prendre ? demanda-t-elle en y ajoutant un petit rire moqueur.

- Désoler Doloriel ! Qu'est-ce qui vous êtes arrivé au juste ? demanda Legolas en la lâchant.

- Haa… Ce n'est pas important, ce n'est qu'un petit incident…

- Cela semble inquiétant, car je ne vous ai pas pris si fortement. Pourrais-je y jeter un coup d'œil ? Simplement pour être sûr que ce n'est pas grave…

- Non…Non…Ce ne sera pas nécessaire. Ça ne me fait presque plus mal …

- Bien sûr que non, voyons, laisser-moi voir, dit Legolas en lui touchant le bras et cela la fit grimacer.

Il releva sa manche délicatement, jusqu'à la blessure et il dit :

- Ouchh…C'est vraiment important comme blessure.

Cette blessure semblait profonde et récente. Il lui demanda :

- Comment cela vous êtes arrivé ?

- Ce n'est que le frôlement d'une flèche, d'un arché de Lothlorien, lorsque je suis aller voir Galadriel. Mais ils ne savaient pas que c'était moi, alors ils ont tirés pour ne pas prendre de chance.

- Ha ! D'accord… mais…… Attendez ! s'interrompit Legolas en voyant quelque chose de brillant sortit de la blessure.

- Aille ! gémit Doloriel, puis figea en voyant dans la main de Legolas un petit morceau argenté, dont Legolas venait de sortir de sa plaie.

- Mais c'est… un instant…

Legolas sortit une de ses lames d'argents et plaça le morceau dans une fissure de sa lame. Le morceau coïncidait parfait avec la lame. Legolas surprit et confus dit en se levant doucement :

- Non ! C'est impossible, non ! Ne me dites pas que c'était vous ?… Vous êtes … Bryzdelle …La Prêtresse du vent…

Doloriel fixa le sol avec les yeux de la honte. Puis, elle se leva et partit vers la porte, remettant son capuchon. Legolas, figé, n'osa le croire. Il vit Doloriel à quelques pas de la sortit, elle se retourna, il vit une larme sur son visage à moitié couvert et elle sortit.

Quelques secondes plus tard, un faucon entra par une fenêtre. Il alla se posa sur l'épaule de Legolas. Celui-ci l'a regarda dans les yeux et il entendit la voix de Doloriel dans sa tête : « Je suis désolée !». C'était bel et bien Bryzdelle.

Ensuite, le faucon s'envola, puis Legolas le retint par une patte.

- Attendez un peu !

L'oiseau se débattit, mordant Legolas au doigt et il le relâcha. Legolas, fâché, reprit le faucon par l'aile. Soudain, il se transforma en Doloriel au travers d'un petit nuage de poussières argentées. Elle tomba au sol et Legolas lâcha prise avant qu'elle n'atteigne le sol.

- Vous n'êtes vraiment pas délicat avec les oiseaux, Legolas, à ce que je vois ! dit Doloriel qui avait mal au même bras que sa blessure et où Legolas l'avait prit en plein vol. Puis s'asseye au sol, tenant son bras.

- Comment voulez-vous que je sache comment retenir un oiseau en plein vol !

- Je ne suis pas un simple oiseau, Legolas ! Le vent c'est ma vie, cet oiseau en est le reflet. Puisque je suis une Élémentaliste, protectrice de la nature et du bien, au cas ou vous l'auriez oublier ! ... Vous ne pouvez comprendre…

Ils étaient tous les 2 remplit de colère l'un contre l'autre et ils évitaient de ce regarder. Doloriel se leva en s'appuyant à une poutre, tenant toujours son bras.

- Alors, si vous faites le bien, pourquoi avez-vous laissé mourir Boromir ? Puisque vous étiez à quelques mètres de lui ! dit Legolas, furieux, plaquant Doloriel dos à la poutre.

- Lâcher moi ! dit Doloriel en se débattant.

- Répondez ! dit Legolas en insistant de plus bel.

Doloriel se sortit de son emprise en le projetant avec son bras droit à 2 mètres d'elle. Puis, très rapidement, Doloriel sortit son épée de la main gauche malgré sa douleur et la mit à quelques centimètres de la gorge de Legolas. Ce dernier resta figé par la surprise mais aussi par son incroyable agilité. Doloriel souffrant du bras gauche et déterminer dit malgré tout :

- Ce n'était pas à moi d'essayer de le sauver… tel n'était pas ma tâche, mais celle d'Aragorn ! C'était le destin de Boromir de laisser sa vie pour celle des hobbits ! Vous saurez que cela ma fendu le cœur de ne pouvoir rien faire, malgré les paroles qu'il m'a dit à Fondcombe. Je l'aurais sauver sinon, mais si je l'aurais fait cela aurait apporter des conséquences très importantes sur l'avenir, que je ne nommerai pas !

Doloriel et Legolas devinrent soudain plus calme, maintenant que la vérité s'est dévoilée. Doloriel serra son épée et alla s'asseoir, toujours en ce tenant le bras. Legolas alla la rejoindre en face d'elle.

- Je suis désolé… Je me suis laisser emportez… ainsi que pour votre bras. Surtout que je ne l'ai pas épargné. Permettez moi de le panser ! demanda Legolas.

- D'accord si vous y tenez tant … dit Doloriel qui en était à bout de faire son indépendante.

Legolas alla chercher de l'eau et des bandes de tissus. Il retourna s'asseoir à côté de Doloriel et s'occupa de son bras. Il dit :

- Attention, je vais exercer une bonne pression !

Legolas serra fortement et vivement le bandage. Doloriel grimaça et poussa un bon gémissement de douleur.

- Désolé…

- Ce n'est rien, mais pour atténuer la douleur, il faudrait que j'aille à l'extérieur, en plein vent ! Vous m'accompagnez ? demanda Doloriel en se levant et en mettant son capuchon.

Legolas la suivit. Ils sortirent dans le parc royal.

- Haa… Forte heureusement le vent s'est levé !

Doloriel alla sur l'herbe, ferma les yeux, soudain le vent se mit à tournoyer autour d'elle comme une tornade gracieuse. Legolas, surpris, s'éloigna un peu d'elle. Doloriel leva les bras, faisant une croix, puis elle se transforma en un faucon bleu-gris. Elle s'envola et alla sur l'épaule de Legolas, souriant. Avec son bec, elle lui caressa la joue amicalement. Legolas rentra et alla vers Aragorn, toujours avec elle sur son épaule. Il était très surpris.

- Mais, c'est Bryzdelle ! …Legolas comment avez-vous fait !

Le faucon disparu en un petit nuage de poussières argentées, laissant place à la main de Doloriel qui était à côté de Legolas et elle enleva son capuchon. Aragorn fut stupéfait en la voyant.

- Mais … Doloriel ! C'est vous… Vous êtes La Prêtresse du vent ! dit Aragorn heureux de la voir.

- Oui, c'est bien moi la mystérieuse sorcière aux terribles pouvoirs ! répondit-t-elle en riant.

Aragorn lui aussi sourit et lui prit épaule comme signe de salutation. Gandalf se rendit compte de sa présence et la salua d'un large sourire, ainsi que tous les autres.

Quand tout le monde sortit pour aller au Gouffre de Helm, Doloriel dit à Legolas prêt de l'écurie :

- Legolas, je dois partir…

- Quoi, qu'est-ce que vous dites ? Vous devez nous accompagnez. Nous avons besoin de vous, ici !

- Je le sais, mais je ne peux rester dévoiler au grand jour ! Bryzdelle ne le peut !

-Mais Doloriel ! Elle, elle le peut !...

- Je ne peux pas, je suis désolée. Je veillerai sur vous tous, promis ! A bientôt !

- Attendez… Soyez prudente, dit Legolas en la prenant dans ses bras, pour ce réconforter lui-même.

Puis, elle partit sous la forme du faucon. Legolas la vit partir, attrister de ne peut-être plus la revoir avant un long moment.

Gandalf partit avant tout le monde. Puis les autres sortirent, le roi mena la marche suivit de ses capitaines et de Legolas, Gimli et Aragorn.

Fin du Chapitre 4 !