Salut! C'est encore moi! Anda!
Premoèrement, comme vous l'avez vu, lorsque ce ne sera pas Drago qui parlera lors du chapitre, je vais le marquer dans le titre du chapitre. Sinon, je vais le laisser comme d'habitude.
Je vais tout d'abord remercier les reviweurs, ou plutôt revieweuses! Un gros merci!
Hannange : Je vais écrire un chapitre par semaine donc je crois que ça va aller assez vite! J'espère que tu vas continuer à lire ma fic! Merci pour la review! bisou
Alexiel.v : Tu peux pas savoir comment ça me rend heureuse que tu aimes ma fic! Je prend vraiment à cœur ce que les gens disent pour ma fic alors si tu aimes, ça me touche! J'espère que tu vas aimer ce chapitre! Merci! Xxx
Yumi : Désolé, mais Draco je vais m'en charger personnellement pour le consoler lol! Pour Lucius, et bien son heure viendra un jour je te le promet! Et j pour la mère de Draco, j'aime bien la faire un peu différente des autres. Merci beacoup!! XxX
Laika la louve : Je vais continuer sur cette voie là je pense! Je suis contente que tu aimes! Merci! BEC
Et bien je vais tout de suite mettre la suite! Mais j'espère que ffn.net va marcher puisque je ne reçois plus les reviews, j'ai dû aller les chercher sur le site. Si cela vous le fait aussi, j'aimerais bien le savoir, parce que j'aimerais pas que se soit mon ordinateur qui bogue. Sinon je perd tout mes chapitres!
Citation! (comique)
Bon et bien comme le dirais Charles Patenaude dans Galaxie près de chez vous (émission de télévision québecoise ^^) : « La nuit... la nuit porte de garage! »
**********Chapitre 3*********
N'oubli pas, chambre 17
Je suis allongé sur mon lit, un livre accoté sur mes genoux. On est l'après midi d,une de ces chaudes journées de début juillet et je ne m'en plaint pas. Il n'y a qu'une douce petite brise qui entre à l'intérieur de ma chambre par la fenêtre.
Cela fait bien deux semaines que je suis arrivé chez ma « famille » et malgré la menace de Rémus et Maugrey, il restent toujours aussi exécrables. Bon! C'est vrai que maintenant je peux manger un peu plus que l'été passé. Et je n'ai plus beaucoup de travaux à faire, si ce n'est que du ménage de ma chambre et du lavage de vaisselle. Au moins, je n'ai plus à faire le ménage de la maison au complet, laver le plancher, désherber le jardin et j'en passe.
Et comble de toute attente, ils me permettent de garder mes affaires du monde magique. Autant qu'ils ne les voient pas et que tout reste dans ma chambre. C'est déjà mieux que rien.
Mais lorsque je dis qu'ils sont toujours aussi exécrables, c'est parce que soit ils m'ignorent complètement, ce qui ne me dérange qu'un tout petit peu, ou bien soit ils me lancent des paroles ou des regards blessants.
Je sais que cela peut paraître minime comme situation, mais j'aimerais juste être avec quelqu'un qui me comprenne. Juste pour pouvoir parler ou tout simplement pour savoir qu'il y a quelqu'un qui sera toujours prêt pour m'entendre. Et la seule personne qui aurait pu le faire est morte... Je m'ennui tellement de Sirius. Je sens comme un énorme vide dans ma vie. Comme avant que je ne le connaisse. Mais il ne faut pas que je pense à cela, pas maintenant.
Comme je le disais, ce n'est certainement pas les Dursleys qui se donneraient la peine de m'écouter. D'ailleurs, depuis qu'ils savent que Sirius est m.. n'est plus là, je n'ai plus aucun atout dans mon sac pour leur faire peur. De plus, je n'ai pas encore eu vraiment de nouvelles du monde des sorciers, si ce n'est que des lettres de Rémus et Tonks. Ron m'en a envoyé une pour me dire qu'il essaierait le plus vite possible de m'emmener chez lui. Mais tout cela dépend de Dumbledore. Et ça peut prendre bien du temps, je le sais.
En attendant je fais ce que je peux pour passer le temps. La plupart de mes devoirs sont fait et j'essai d'apprendre les sorts que l'on a pas étudier les dernières années. C'est fou comme on passe par dessus plusieurs sujets intéressants! Comme en SACM, nous n'avons pas vu les licornes, les dragons, les sinistros, les phénix et plusieurs autres dont je ne connais absolument rien. Là, je ne parle en aucun cas du court de défense contre les forces du mal.
Mes réflexions sur ces « supers » anciens cours sont coupées un hibou qui entre par la fenêtre, se posant juste à côté de moi après avoir fait un très joli looping. Je me demande bien qui m'envoi une lettre. Je viens de recevoir la lettre habituelle de Rémus et je serais plus qu'étonner si Dumbledore se serait enfin décider à m'éloigner des Dursleys. Je prend la lettre de l'hibou inconnu et lui ouvre la porte de la cage d'Hedwige, le laissant libre de faire ce qu'il veut.
Après que je me sois assit le plus confortablement possible, j'ouvre la lettre et lu les mots, quelques peu troublants.
Je sais comment tu te sens. Je l'ai vu. Je sais que tu veux en parler, je suis pareil sur ce point. Viens sur le chemin de traverse demain soir à 9 heure, au Chaudron Baveur. Chambre #17. Emmène tout ce dont tu as besoin pour le reste de l'été. Fais moi confiance, même si je sais que c'est difficile avec un parfait inconnu . En fait, je peux te dire que l'on se connaît, et aussi que l'on ne se connaît pas...
Fais attention à toi. Mais ne le dis à personne où tu vas demain. Pour le transport, je vais m'en occuper. Tu n'as qu'à être demain matin au déjeuner et à la première occasion, propose à ton oncle de te transporter.
N'oubli pas, chambre 17.
C'est tout? Pas de signature ou un petit indice sur la personne en question? Bon j'ai tout de même quelques indices, mais qui me font tourner en rond... « on se connaît, et aussi que l'on ne se connaît pas. » Ça ne me mène à rien tout ça! Devrais-je y aller? D'une certaine manière, je n'ai rien à y perdre. Et ce n'est certainement pas Voldemort qui m'envoierais cette lettre. D'habitude il est beaucoup plus direct et ne prendrait pas cette peine pour me tuer. Il viendrait me chercher ou enverrait quelqu'un me tuer. Et c'est bizarre, mais j'ai confiance en cette personne.
Et c'est sur cette pensée que je me suis dit que j'allais y aller. Il ne me reste plus qu'à faire mes bagages.
*
Comme promis, je descend dans la cuisine pour le déjeuner, vers 10 heure. C'est alors que je vois mon oncle, d'une bonne humeur rare, en tenant triomphalement une lettre en main. Ma tante et mon cousin sont eux aussi un peu prit au dépourvu. Ils ne savaient pas pourquoi l'humeur de mon oncle était aussi rayonnante. Mais nous saisirent vite poruquoi.
-Aujoudhui, commença mon oncle, je dois me rendre en ville pour une rencontre importante avec un des plus grands constructeurs de Londres. Il serait, m'a-t-il dit dans cette lettre, très intéressé par notre marchandise de qualité. Pour plus de cinq milles francs! Notre entreprise va reprendre des forces!
C'est alors que je compris! L'inconnu de ma lettre avait tout manigancer d'avance! Il est futé, je dois l'avouer. Je prit la parole.
Oncle Vermon, est ce que tu pourrais m'emmener en passant en ville pour que je puisse rejoindre mes amis? Je resterais chez eux le reste de l'été. Je ne serais plus dans vos jambes et vous pourrez cette superbe nouvelle tranquille.
Bien sûr, dit mon oncle, toujours dans son monde. Va chercher tes affaires, nous partons sur le champs. Je vais aller me chercher un nouvel habit cet après midi!
Quelques minutes plus tard, nous sommes tous les deux dans la voiture, sur le chemin de Londres. Enfin je m'en vais! Mais je me demande toujours qui est à la tête de cette échappatoire. Qui que je ne connais pas voudrait bien m'écouter et m'éloigner des Dursleys?
Où veux-tu que je te dépose? Demanda mon oncle après le bulletin de nouvelles.
Je lui dit l'emplacement du petit pub à l'allure macabre, où je me fit déposer une heure plus tard après un trajet sans paroles. Puisqu'il n'est que midi, je demande à Tom de me placer mes affaires en sureter, disant que j'avais un rendez-vous et que je ne prendrait donc pas de chambre. Il me dit qu'il savait déjà où les placer et que je n'aurais. qu'à lui demander pour les ravoir.
Je me dirige alors sur le chemin de traverse, prenant bien soin de camoufler ma cicatrice avec mes cheveux devenu plus domptable et long, et à mettre des verres de contact fraîchement acheter au début de l'été. Lorsque j'étais parti faire des course avec ma tante, nous étions passer par une optométriste. J'en avais acheter plusieurs paires pour la prochaines année, ayant prit le soin de changer de l'argent sorcier en moldu. Maintenant, j'étais plus difficile à reconnaître.
*
Une ombre au travers d'une fenêtre, regardait un jeune homme au cheveux noirs déambuler dans la rue principale du chemin de traverse. De la fenêtre de la chambre 17.
*****fin du chapitre***
Et oui c'est encore court mais je vais m'améliorer avec le temps promis.
J'espère que vous avez aimé. La suite la semaine prochaine! Une petite review svp ^^!
Anda xxxxx
Premoèrement, comme vous l'avez vu, lorsque ce ne sera pas Drago qui parlera lors du chapitre, je vais le marquer dans le titre du chapitre. Sinon, je vais le laisser comme d'habitude.
Je vais tout d'abord remercier les reviweurs, ou plutôt revieweuses! Un gros merci!
Hannange : Je vais écrire un chapitre par semaine donc je crois que ça va aller assez vite! J'espère que tu vas continuer à lire ma fic! Merci pour la review! bisou
Alexiel.v : Tu peux pas savoir comment ça me rend heureuse que tu aimes ma fic! Je prend vraiment à cœur ce que les gens disent pour ma fic alors si tu aimes, ça me touche! J'espère que tu vas aimer ce chapitre! Merci! Xxx
Yumi : Désolé, mais Draco je vais m'en charger personnellement pour le consoler lol! Pour Lucius, et bien son heure viendra un jour je te le promet! Et j pour la mère de Draco, j'aime bien la faire un peu différente des autres. Merci beacoup!! XxX
Laika la louve : Je vais continuer sur cette voie là je pense! Je suis contente que tu aimes! Merci! BEC
Et bien je vais tout de suite mettre la suite! Mais j'espère que ffn.net va marcher puisque je ne reçois plus les reviews, j'ai dû aller les chercher sur le site. Si cela vous le fait aussi, j'aimerais bien le savoir, parce que j'aimerais pas que se soit mon ordinateur qui bogue. Sinon je perd tout mes chapitres!
Citation! (comique)
Bon et bien comme le dirais Charles Patenaude dans Galaxie près de chez vous (émission de télévision québecoise ^^) : « La nuit... la nuit porte de garage! »
**********Chapitre 3*********
N'oubli pas, chambre 17
Je suis allongé sur mon lit, un livre accoté sur mes genoux. On est l'après midi d,une de ces chaudes journées de début juillet et je ne m'en plaint pas. Il n'y a qu'une douce petite brise qui entre à l'intérieur de ma chambre par la fenêtre.
Cela fait bien deux semaines que je suis arrivé chez ma « famille » et malgré la menace de Rémus et Maugrey, il restent toujours aussi exécrables. Bon! C'est vrai que maintenant je peux manger un peu plus que l'été passé. Et je n'ai plus beaucoup de travaux à faire, si ce n'est que du ménage de ma chambre et du lavage de vaisselle. Au moins, je n'ai plus à faire le ménage de la maison au complet, laver le plancher, désherber le jardin et j'en passe.
Et comble de toute attente, ils me permettent de garder mes affaires du monde magique. Autant qu'ils ne les voient pas et que tout reste dans ma chambre. C'est déjà mieux que rien.
Mais lorsque je dis qu'ils sont toujours aussi exécrables, c'est parce que soit ils m'ignorent complètement, ce qui ne me dérange qu'un tout petit peu, ou bien soit ils me lancent des paroles ou des regards blessants.
Je sais que cela peut paraître minime comme situation, mais j'aimerais juste être avec quelqu'un qui me comprenne. Juste pour pouvoir parler ou tout simplement pour savoir qu'il y a quelqu'un qui sera toujours prêt pour m'entendre. Et la seule personne qui aurait pu le faire est morte... Je m'ennui tellement de Sirius. Je sens comme un énorme vide dans ma vie. Comme avant que je ne le connaisse. Mais il ne faut pas que je pense à cela, pas maintenant.
Comme je le disais, ce n'est certainement pas les Dursleys qui se donneraient la peine de m'écouter. D'ailleurs, depuis qu'ils savent que Sirius est m.. n'est plus là, je n'ai plus aucun atout dans mon sac pour leur faire peur. De plus, je n'ai pas encore eu vraiment de nouvelles du monde des sorciers, si ce n'est que des lettres de Rémus et Tonks. Ron m'en a envoyé une pour me dire qu'il essaierait le plus vite possible de m'emmener chez lui. Mais tout cela dépend de Dumbledore. Et ça peut prendre bien du temps, je le sais.
En attendant je fais ce que je peux pour passer le temps. La plupart de mes devoirs sont fait et j'essai d'apprendre les sorts que l'on a pas étudier les dernières années. C'est fou comme on passe par dessus plusieurs sujets intéressants! Comme en SACM, nous n'avons pas vu les licornes, les dragons, les sinistros, les phénix et plusieurs autres dont je ne connais absolument rien. Là, je ne parle en aucun cas du court de défense contre les forces du mal.
Mes réflexions sur ces « supers » anciens cours sont coupées un hibou qui entre par la fenêtre, se posant juste à côté de moi après avoir fait un très joli looping. Je me demande bien qui m'envoi une lettre. Je viens de recevoir la lettre habituelle de Rémus et je serais plus qu'étonner si Dumbledore se serait enfin décider à m'éloigner des Dursleys. Je prend la lettre de l'hibou inconnu et lui ouvre la porte de la cage d'Hedwige, le laissant libre de faire ce qu'il veut.
Après que je me sois assit le plus confortablement possible, j'ouvre la lettre et lu les mots, quelques peu troublants.
Je sais comment tu te sens. Je l'ai vu. Je sais que tu veux en parler, je suis pareil sur ce point. Viens sur le chemin de traverse demain soir à 9 heure, au Chaudron Baveur. Chambre #17. Emmène tout ce dont tu as besoin pour le reste de l'été. Fais moi confiance, même si je sais que c'est difficile avec un parfait inconnu . En fait, je peux te dire que l'on se connaît, et aussi que l'on ne se connaît pas...
Fais attention à toi. Mais ne le dis à personne où tu vas demain. Pour le transport, je vais m'en occuper. Tu n'as qu'à être demain matin au déjeuner et à la première occasion, propose à ton oncle de te transporter.
N'oubli pas, chambre 17.
C'est tout? Pas de signature ou un petit indice sur la personne en question? Bon j'ai tout de même quelques indices, mais qui me font tourner en rond... « on se connaît, et aussi que l'on ne se connaît pas. » Ça ne me mène à rien tout ça! Devrais-je y aller? D'une certaine manière, je n'ai rien à y perdre. Et ce n'est certainement pas Voldemort qui m'envoierais cette lettre. D'habitude il est beaucoup plus direct et ne prendrait pas cette peine pour me tuer. Il viendrait me chercher ou enverrait quelqu'un me tuer. Et c'est bizarre, mais j'ai confiance en cette personne.
Et c'est sur cette pensée que je me suis dit que j'allais y aller. Il ne me reste plus qu'à faire mes bagages.
*
Comme promis, je descend dans la cuisine pour le déjeuner, vers 10 heure. C'est alors que je vois mon oncle, d'une bonne humeur rare, en tenant triomphalement une lettre en main. Ma tante et mon cousin sont eux aussi un peu prit au dépourvu. Ils ne savaient pas pourquoi l'humeur de mon oncle était aussi rayonnante. Mais nous saisirent vite poruquoi.
-Aujoudhui, commença mon oncle, je dois me rendre en ville pour une rencontre importante avec un des plus grands constructeurs de Londres. Il serait, m'a-t-il dit dans cette lettre, très intéressé par notre marchandise de qualité. Pour plus de cinq milles francs! Notre entreprise va reprendre des forces!
C'est alors que je compris! L'inconnu de ma lettre avait tout manigancer d'avance! Il est futé, je dois l'avouer. Je prit la parole.
Oncle Vermon, est ce que tu pourrais m'emmener en passant en ville pour que je puisse rejoindre mes amis? Je resterais chez eux le reste de l'été. Je ne serais plus dans vos jambes et vous pourrez cette superbe nouvelle tranquille.
Bien sûr, dit mon oncle, toujours dans son monde. Va chercher tes affaires, nous partons sur le champs. Je vais aller me chercher un nouvel habit cet après midi!
Quelques minutes plus tard, nous sommes tous les deux dans la voiture, sur le chemin de Londres. Enfin je m'en vais! Mais je me demande toujours qui est à la tête de cette échappatoire. Qui que je ne connais pas voudrait bien m'écouter et m'éloigner des Dursleys?
Où veux-tu que je te dépose? Demanda mon oncle après le bulletin de nouvelles.
Je lui dit l'emplacement du petit pub à l'allure macabre, où je me fit déposer une heure plus tard après un trajet sans paroles. Puisqu'il n'est que midi, je demande à Tom de me placer mes affaires en sureter, disant que j'avais un rendez-vous et que je ne prendrait donc pas de chambre. Il me dit qu'il savait déjà où les placer et que je n'aurais. qu'à lui demander pour les ravoir.
Je me dirige alors sur le chemin de traverse, prenant bien soin de camoufler ma cicatrice avec mes cheveux devenu plus domptable et long, et à mettre des verres de contact fraîchement acheter au début de l'été. Lorsque j'étais parti faire des course avec ma tante, nous étions passer par une optométriste. J'en avais acheter plusieurs paires pour la prochaines année, ayant prit le soin de changer de l'argent sorcier en moldu. Maintenant, j'étais plus difficile à reconnaître.
*
Une ombre au travers d'une fenêtre, regardait un jeune homme au cheveux noirs déambuler dans la rue principale du chemin de traverse. De la fenêtre de la chambre 17.
*****fin du chapitre***
Et oui c'est encore court mais je vais m'améliorer avec le temps promis.
J'espère que vous avez aimé. La suite la semaine prochaine! Une petite review svp ^^!
Anda xxxxx
