Salut tout le monde! C'est encore moi, anda!

Disclaimer: Rien ne m'appartient, sauf les personnages inventés ou bien les nouveaux surnoms des personnages. Tout le reste est à la grande J.K.R., même pas Harry ou Drago! Snif!

Réponse aux reviews!

Kaorulabelle: Et bien! J'espère que tu vas tjrs aimer ce chapitre! Donne m'en des nouvelles! Et Merci!

Vif d'or: Je vais essayer de faire un chapitre un peu plus calme mais pas trop! Eh oui! Je suis allé voir nos amis les Français et les Italiens aussi! TOi aussi tu viens de Québec!! Alors ça c'est bien! VIVE LE QUÉBEC!! Merci beaucoup pour ta review!

Eowyn Malefoy: C'est pas grave, je comprends bien pour Internet! Ça bogue quand même souvent c'est petit trésor là! héhé! J'espère bien que tu vas aimer les autres chapitres! Juste pour toi, ça va s'annoncer assez "coupant" comme cours... Bon j'en dit pas plus sinon il n'y aura plus de "punch"!! Merci vraiment pour ta review! Ça me fait toujours plaisir d'en avoir de toi! bisou!

Petit Rappel au cas où quelqu'un aurait oublier.

Stephan ou Steph: Drago Demphes ou Demph: Harry

&conscience de Drago& Conscience d'Harry Les pensées sont écrites normalement

Quelques fois je vais les appeler par leur vrai nom, mais de plus en plus vous allez les lire par leur nouveaux surnoms.

Chapitre 10 Faut s'accrocher

Il y avait une grande colline pleine de verdure, avec un cerisier en fleur tout au haut, des fleurs des champs recouvrant la prairie au bas de la pente pleines d'animaux sauvages et une rivière cristalline longeait le bas de la colline. Les paillons, le abeilles et autres insectes volant butinait les fleur avec une grâce que l'on ne pouvait que voir dans la nature. Il y avait un vent frais qui venait caresser le visage rêveur et tranquille d'un garçon aux cheveux noirs. Ses yeux d'un vert étincelant montraient toute la quiétude que lui procurait l'endroit. Il était adossé à l'arbre tout en étant assis, un brin d'herbe qu'il mordillait tranquillement dans la bouche.

Puis il sentit une présence tout près de lui. Il n'essaya même pas de savoir qui c'était, d'ailleurs il le savait déjà. Le jeune homme le laissa s'asseoir près de lui, et il ne sursauta même pas lorsqu'une tête vint se poser sur ses cuisses. Il ne se contenta que de caresser les cheveux de la personne de sa main gauche, tout en prenant la main doucement de la personne avec l'autre. Il baissa ses yeux sur le visage de la personne et rencontra un sourire tendre, des yeux bleu-gris coquins et une bouche avec un petit sourire en coin. Et ce beau visage entouré d'une chevelure blonde tirant sur le blanc argenté. Un visage d'ange quoi.

Le brun se pencha doucement vers ces lèvres tentatrices. Et lorsqu'il allait les frôler, tout le décor changea. Il se revit le jour d'avant, dans un ruelle, toujours face à ce visage. Puis la scène où il se voyait donner le coup du manche du couteau derrière la tête de l'auror. Et je le vis tomber. Puis la scène dans la rue quand un homme l'avait empoigné durement pour lui enlevé sa capuche. Et Drago qui venait le délivrer en donnant un coup de poignard dans le bras. Et moi qui en donne un dans la cuisse d'un autre. Et je le vis tomber.

Je vis Cédric tomber sur le sol du cimetière, les yeux ouverts par le peur, en même temps de voir Sirius tomber de l'autre côté du voile, sans que je n'ai pu lui dire adieu.

Mon père qui tombait après avoir essayé de nous sauvés moi et ma mère. Ma mère qui tombait en ayant offert sa vie pour moi.

Puis le visage sadique de Voldemort, qui murmura tout doucement, mais durement: "Par ta faute"

&&&& Pov HP

Dans une drôle de maison, dans un cartier des plus lugubres du monde des sorciers, à 4:08 du matin, un jeune homme se réveilla en sursaut, le visage en sueur mélangé avec les larmes salées qui commençaient à tomber de ses yeux. Il commença à sangloter doucement, sans le vouloir. Il ne pouvait plus s'en empêcher. Des larmes de rage et d'impuissance coulaient à flots sur ses yeux meurtris par la courte nuit passée.

Ils étaient tous tombés... Tous blessés ou morts "par ma faute", se disait-il.

&&&&Pov Drago

Je me réveilla à cause d'un bruit. J'avais entendu quelque chose, j'en était sûr. Je me frotta les yeux un peu en forçant mon cerveau à analyser ce qui se passait. Peu à peu, je me rappela où nous étions puis j'entendis enfin ce qu'y m'avait réveillé. Puis ça se répéta, encore et encore. J'entendais maintenant parfaitement quelqu'un pleurer. Je me tourna doucement vers le bruit et reconnu la silhouette masculine à côté de moi, toute renfrognée. Je l'avais reconnu malgré le fait que le garçon avait enfermé ses jambes entre ses bras et mit sa tête sur ses genoux.

Je ne savais pas trop quoi faire. J'avais deux choix à ma portée: soit je consolait du mieux que peut le faire un Malfoy l'autre garçon, soit j'allais continuer à faire semblant de dormir jusqu'à ce que l'autre se calme de lui même. Je n'avais jamais été bien bon pour consoler les autres. Personne ne m'avait jamais consoler sauf peut-être ma mère. Et je n'avais jamais consoler un Serpentard. Dans cette maison, c'est chacun pour soi. Sauf quand c'était dans les cas extrême comme au Quidditch ou un autre truc dans le genre.

Mais voir Demph pleurer comme ça ne me laissait pas indifférent. Pas après ce qu'il s'était passé hier, dans la ruelle, dans la noir pendant que l'auror arrivait. On avait été si proche, même si ça n'avait été que quelques secondes. Mais bon, faut pas se faire des illusions non plus. C'était que les hormones qui faisaient leurs effets. Et bon c'était bizarre aussi d'avoir pu parler à Potter, maintenant Demphes, sans se sauter dessus et ce pendant deux jours. C'était un record. Le plus drôle dans tout ça c'était que dans le train du retour, le jour où la plupart des Gryffondors nous avaient lancé une multitude de sort, je n'avais pas été touché. Vous devez vous demandez comment. Et bien en fait, c'était que j'avais eu le temps de pousser Pansy devant moi. Et j'en avais profité pour lui lancé un petit sort dans son dos pour me défouler un peu. Bah quoi? On est Serpentard ou on l,est pas. Après je suis aller dans notre cabine et j'ai attendu que le train s'arrête. Lorsque je suis sorti, j'ai prit le temps d'aller voir les tronche des autres. Mon dieu qu'ils sont stupides! Et ce petit côté limaces leur donnait vraiment l'air d'être des imbéciles, quoiqu'ils l'étaient toujours.

Mais bon, je m'égare un peu là. Je retourne mon regard vers Demph et m'assit tranquillement sur le lit, gardant un drap sur le bas de mon corps, cachant le seul vêtement que j'avais, un boxer. Je suis pas le seul, car l'autre est dans la même situation que moi, quoiqu'il ne doit pas l'avoir remarqué. Je sais pas trop quoi faire et en plus le brun ne m'a pas remarqué non plus.. Je comprend pas, d'habitude tout le monde me remarque. Mais bon, ce gars là est aveugle, alors je dépose ma main sur son épaule et il se rend enfin compte de ma présence. Il tourne son regard vers moi et de nouveau je me rend compte que ses yeux ont perdus leur petite étincelle qui les rendait si magiques. Maintenant, il n'y a que du trouble, et autre chose que je ne suis pas capable d'identifier. Je sais pas si c'est causé par les larmes ou par autre chose, mais ça me fait mal au fond de moi. Après qu'il m'ait regardé un court moment, il semble enfin comprendre ce qu'il se passe et murmure, les larmes coulant toujours sur ses joues meurtries:

- Excuse moi.. Je..

- Non ça va, t'inquiètes pas pour moi. C'est plutôt moi qui devrait m'inquiéter là...

Je lui avais répondu comme ça, ça l'avait sorti tout seul. D'habitude j'aurais sorti une remarque cinglante mais ça devait être à cause de la fatigue que j'avais répondu cette petite phrase sans but. Maudit sois tu Morphée de ne pas m'avoir laisser dormir.

- Je sais pas... sais plus trop... bégaya-t-il entre deux sanglots.

- Viens là...murmurais-je en le tirant doucement vers moi.

Il vint se caler dans mes bras comme si j'étais une bouée de secours. Je sais même pas d'ailleurs pourquoi je lui ai dit ça. La fatigue change le comportement des gens, j'en suis sûr maintenant. Je resserre tout de même mes bras autour de sa taille et lui frotte doucement le dos.Ça doit être des gestes instinctifs car je ne contrôle rien, mais j'aime tout de même la sensation de son corps contre le mien. Mais Qu'est ce Que je Dit là!?! Fatigue, hormones et tout le reste, je n'ai qu'une chose à vous dire : TAISEZ-VOUS!

Les sanglots commencèrent à diminuer pour enfin arrêter. Mais les larmes coulaient toujours, quoique avec moins d'intensité. Je me demande toujours qu'est ce qui l'avait mit dans cet état. Bon c'est pas que ça m'intéresse plus que ça, mais bon tout de même, je veux savoir pourquoi il pleurait autant pour m'avoir réveiller. Faut qu'il ait une bonne raison! Alors je lui pose:

- Dit moi... pourquoi tu pleures?

Bon, ok, c'était pas tellement agressif comme question mais c'est pas de ma faute s'il fait pitié quand il est comme ça. Qui frapperait sur quelqu'un qui est déjà au sol sauf un parfait salaud? En tout cas pas moi, j'ai plus de classe que ça. Après un long moment d'attente, il me répondit enfin, avec un tremblement d'insécurité dans la voix:

- Ça t'intéresserait pas...

- Écoute Po...Demph's, si je te l'ai demandé, c'est que ça m'intéresse non?

- T'as raison... Mais bon je sais pas trop comment dire ça... Je...

Puis il continua à me raconter son rêve, et tout ça en restant dans mes bras et en parlant tout bas dans mon oreille. Ça me chatouille et en plus j'ai pleins de frissons qui me passe dans la colonne, alors que je crève de chaleur. Vers la fin, je commence enfin à comprendre pourquoi il était comme ça. Il me parla de son sentiment de culpabilité, qu'il avait peur que les autres personnes de son entourage meurt à cause de lui. Il me dit même qu'il avait peur pour moi. Et d'une certaine manière ça me toucha. Puis sans savoir trop pourquoi, je lui dit comme ça, le coupant dans son explication:

- Écoute, si je peux te faire remarquer, tu as aussi fait tomber une personne: Voldemort. Et pour celui là tu devrais te sentir fier. Ce n'est pas de ta faute si tes parents son morts, c'est de la sienne. Et ce n'est pas non plus de ta faute si ton parrain est tomber de l'autre côté, c'est de la sienne. C'est toujours et ce sera toujours de sa faute lorsque quelqu'un va mourir, surtout si c'est lui ou un de ses serviteurs qui va l'avoir tué. Et pour moi, tu n'as pas à t'en faire. Après tout, je savais dans quoi je m'embarquais et puis je suis un grand garçon. Je veux me venger de mon père et de l'autre face de serpent, et je sais qu'avec toi je vais pouvoir! Et puis moi aussi j'ai peur pour toi, on a toujours peur pour les gens à qui on tient beaucoup. Je me suis promis que je te ferais retrouver le sourire et que j'allais te protéger. Alors Ne te sens pas coupable pour quelque chose que tu n'as pas fait.

C'était un message subtile ou du moins j'espérais qu'il l'était assez. Je voulais juste lui dire qu'il comptait beaucoup pour moi, sans non plus lui dire directement. Les bras du brun avaient laissé mon cou pour que ses mains se déposent sur mes épaules et il avait relevé la tête pour me regarder avec des yeux surpris et moi je n'avais pas lâché sa taille. Plus aucune larmes ne coulaient sur ses joues. D'ailleurs, en parlant d'être surpris, ce que j'avais dit m'avait surpris moi même. Je ne savais pas que j'étais capable de dire des choses comme ça. La fatigue a ses bienfaits après tout. Elle nous fait dire les choses que l'on n'oserait jamais dire.

Après m'avoir regardé un long moment, un faible sourire vint se poser sur ses lèvres et il souffla un "Merci" qui me fit chaud au cœur. Je lui répondis avec le plus beau sourire, avec une certaine trace de fatigue dans ma voix, que je puisse faire : " Mais y'a pas de quoi. C'est tout a fait normal."

Il me regarda un moment en penchant la tête et murmura: " Tu as l'air mort de fatigue."

- Je te mentirais si je te disais que non.

- Et bien on a qu'a dormir alors. Il n'est que 4:30, dit il en regardant ma montre.

- Ouais c'est un bonne idée.

Nous nous recouchons doucement, le visage de Demph face au mien. Il ferma les yeux et bougea un peu pour se mettre plus confortable, en entourant ses bras autour de mon corps. Je ne me posa même pas de questions puisque je savais qu'il avait besoin de réconfort. Alors, en tant qu'ami, je devais lui en donner n'est ce pas? Ma main qui étais sous lui se retrouva dans son dos et l'autre tenait sa taille. Une de ses jambes se retrouva entre les miennes et il mit son visage dans mon cou. J'avais comme une petite boule, ou des petits papillons dans mon ventre. C'était bizarre mais j'étais bien alors je ne dit rien.

Après un petit instant, à peine quelques secondes mais qui me parut une éternité, celui dans mes bras murmura: "Merci Stephan"

Je souris un peu et lui répondis, toujours ne gardant les yeux fermés: " Appelle moi Steph" Il rit un peu puis je repris en disant: "Bonne nuit" Je lui donna un petit baiser sur le front puis je reposa ma tête sur la sienne.

Je ne me posais plus de questions sur ce que je faisais, car de toute manière je savais que c'était dû à cause de cette maudite fatigue qui me tiraillait l'esprit.

&En fait, tu sais très bien que tu n'es pas du tout fatigué et que le truc qui te tiraille l'esprit, ce n'est pas la fatigue mais le garçon qui dort présentement dans tes bras et ce que tu ressens pour lui.& Putain de conscience! En plus elle a toujours raison. Bon ok, c'est vrai que je ressens quelque chose pour Demph, mais ça veut rien dire. Ce n'est que de l'amitié et rien d'autre! Je ne fait que le consoler, rien de plus. Un Malfoy ne tombe pas dans les bras de n'importe qui. & Je vois, mais tu sais aussi bien que moi qu'Harry Potter n'est pas n'importe qui& Non mais ferme la! Je verrais tout ça plus tard ok?

Après cette petite discussion avec ma conscience qui s'était enfin fermé le clapet... & C'est ce que tu pense& J'ai dit: "LA FERME". Bon comme je disais, après m'être confortablement installé sur le lit, et replaçant plus confortablement la personne endormit dans mes bras, Morphée décida enfin à pointer son nez et à m'emporter dans le monde des rêves.

Aucun Pov

Le lendemain matin, après un bon déjeuner "aux bonnes heures" ,comme avait si bien dit Emyl, ce qui voulait dire sept heure, entouré de rire et de visage un peu étiré par la fatigue tout de même, les deux jeunes hommes prirent une bonne douche.( Nda: Je sais à quoi vous pensez, mais c'est chacun leurs tours bandes de pervers! héhé!) Puis Drago, alias Stephan, s'enferma discrètement dans la chambre à coucher, laissant ses deux amis dans la cuisine, et sur la chaise face au bureau. D'un tiroir, il sortit une plume avec un pot d'encre ainsi qu'un bout de parchemin. Il réfléchit un instant puis commença à écrire sa lettre. Elle s'adressait à sa mère.

Chère mère,

j'espère que vous vous portez bien et que mon absence plus longue que prévue ne vous rend point inquiète. Nous avons eu en quelques sortes des petits problèmes, mais nous sommes maintenant en sûreté. Je ne puis vous dire où exactement, mais je peux vous assurer que nous allons bien moi et "l'autre". Nous hébergeons chez un ami, et nous ne savons pas quand nous pourrons revenir puisqu'il nous a proposé un peu d'aide. Je vais vous réécrire dans quelques temps, et nous allons certainement revenir avant la fin des vacances. Si vous avez le moindre problèmes, contactez moi avec cette chouette, elle sait où je me trouve. Pour en savoir un peu plus, je suis sûr et certain que les journaux vont parler de nous. Mais ne vous inquiéter pas de ces bobards qui sont souvent mal racontés. Attendée que nous revenions et vous aurez plus de détails.

Votre fils Drago

Puis il envoya la lettre à sa mère en empruntant Hedwige, la chouette d'Harry, alias Demph. Il était sûr que ça ne le dérangerait pas mais il en parlerait tout de même au brun.

D'ailleurs, il ne savait plus trop quoi penser. Il ne pouvait pas dire qu'il ne se rappelait pas de la nuit dernière. En fait, il s'en rappelait tellement bien qu'il était sûr qu'il aurait recréer la scène avec tout les détails. Ce matin, il s'était fait réveillé tellement fort par les coups d'Emyl à la porte qu'il en était tombé sur le plancher. Alors il n'avait pas eu de moment de gêne avec Harry, du moins pas tout de suite. Lors du déjeuner, malgré les rires et tout, il sentait le regard pesant de Demph sur son cou, et même lui avait fixé le jeune homme sans vraiment le vouloir. Il ne savait tout simplement plus quoi penser. Mais il restait un Malfoy, malgré qu'il détestait ce nom. Il était habitué à être méprisant, pas que ça l'enchante mais ça faisait parti de lui.

Éloignant ses pensées troublantes et un peu dure à avalées, il se dirigea vers la porte et sortit de la pièce, rejoignant ses deux amis.

Bon et bien c'est fini! Si vous voulez la suite, il faut faire un échange: Review = prochain chapitre!

Alors chow et a tout le monde!!

Bisou! Anda!