Youpi ! J'ai enfin réussi à faire un chap plus vite ! (Sort le champagne). Faut dire aussi que à ce niveau là je suis lente comme un escargot, et je vous parle pas pour taper le texte, une vraie grand-mère ! O.O

Mais pour le dire franchement, j'ai hâte que Zorro vieillisse un peu, ça sera plus chouette à écrire...

R.A.R.

Tashigi : hum... une amourette ? (Aelorian sifflote comme si de rien n'était)... Ah merde, c'est vrai que j'ai mis 'Romance' dans le genre... (Grosse goutte) Bon en tout cas, pour ce qui est de la 'discussion', ça vient ! (Je parie que si j'avais encore traîné de ce côté, on m'aurait fait la peau... lol). Et ne prends pas froid, je veux la suite de tes fics moi !

Lois : je savais pas que je traînais autant... Que j'étais lente oui mais bon... (Se bouge le cul pour les beaux yeux de ses lectrices et s'écroule devant l'ordi...) lolll

Euh c'est mieux là ? (yeux suppliants)

Nyarla : c'est qu'en relisant, je trouve aussi que mon hosto est fort moderne, mais c'est parce que je l'ai décrit presque exactement comme celui où j'avai été il y a des années. Les chaises, la salle des urgences,... tout est pareil. Sûrement parce que c'est mon souvenir le plus éloigné d'un hôpital et que cela m'avait frappée, car c'était ma mère qui se trouvait aux urgences, donc je n'avais pas pensé à la modernité sur le coup, pardon. Pour Khira Li, je pense que tu vas deviner dans ce chap son lien avec Mihawk. Le nom de Khira Li est un clin d'œil à mon groupe préféré, Rammstein, car c'est le prénom de la fille d'un des guitaristes et je le trouvais très beau. Pareil pour Till, c'est le prénom du chanteur. C'est ma manière de leur rendre hommage, en groupie que je suis

Disclaimer : tout à Oda et je suis payée qu'en reviews et c'est amplement suffisant !

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Chapitre 5

« Zorro, il me semble que c'est ton tour... »

Face à elle, il ne pu s'empêcher de se rappeler ce rêve dont aucun détail ne s'était effacé de sa mémoire. Et comme dans ce rêve, il se sentit petit comparé à elle. Khira Li avait l'air de plus un rien plus concentrée, moins joueuse.

Si un serpent été miraculeusement apparu à ce moment, Zorro n'en aurait pas été surpris, car le regard perçant et mystérieux de la jeune femme qui lui faisait face lui rappelait les yeux d'un reptile fier et puissant. Cela n'était pas très marquant quand on la regardait plus distraitement, mais une fois face à elle alors qu'elle vous fixait, on ne pouvait ne pas le remarquer.

Après le salut imposé, leur affrontement pu enfin commencer.

La force de son adversaire dépassait de beaucoup ce que Zorro avait imaginé. Il savait qu'elle était forte mais pas à ce point-là. Elle y allait plus franchement avec lui, car elle savait que Zorro était fort. Elle voulait le tester, voir où se situaient ses derniers retranchements. Et d'un côté, elle voulait le provoquer. Voir qui était vraiment ce Zorro Roronoa dont sa filleule lui avait parlé plus qu'elle ne le faisait d'habitude quand il s'agissait d'un garçon.

Alors elle ne se contentait pas que de rester sur la défensive jusqu'aux attaques qui serviraient à mettre l'élève au tapis une fois ses faiblesses découvertes. Elle se battait réellement, mais jamais avec plus d'un dixième de sa force. Elle ne voulait pas perdre la raison comme dans ces combats où l'on se livre corps et âme, elle ne voulait pas blesser le petit Zorro.

Lui n'arrivait pas à la toucher mais se débrouillait royalement. Entre parades et attaques, il ne se laissait pas le temps de souffler. Il ne se retenait pas, laissant ses coups pleuvoir rageusement.

Au fur et à mesures que les minutes passaient, Zorro était de plus en plus touché et même si ce n'était pas à des endroits vitaux, ce qui aurait alors marqué sa défaite, il avait tout de même mal. Et il commençait sérieusement à fatiguer.

Les autres élèves, eux, étaient sidérés. Ce qui se passait sous leurs yeux, ils l'avaient prévu, mais cela restait très impressionnant. Depuis ce soir et la promesse secrète de Kuina et Zorro, tous avaient remarqué un changement chez le petit escrimeur.

Après sept minutes de combat acharné, Zorro, épuisé, lança sa dernière attaque. Une attaque où il avait mis toute sa rage et son désespoir liés au sort de son amie. Il avait besoin de soulager son cœur de ces douleurs et les avait mises dans cette attaque.

Le visage de Khira Li prit une expression à mi-chemin entre l'étonnement, la joie et une infime peur.

Et, chose incroyable qui en fit sursauter plus d'un, Zorro réussit à toucher la jeune fille au bras alors qu'elle s'était contentée de rester sur la défensive, non de contrer en tentant une contre-attaque.

Après le coup, elle sembla reprendre ses esprits et, une lueur agressive bien visible dans les yeux, lança à Zorro une puissante et incroyablement rapide attaque qui le toucha le long du torse. L'impact fit valser le pauvre enfant contre le mur dans un bruit sourd.

Zorro fit mine de se relever, plié sous la douleur, mais s'écroula face contre tatami.

La jeune fille sembla reprendre ses esprits et, se rendant compte de ce qui venait de se passer, elle eu un mystérieux sourire puis se précipita vers Zorro, inquiète. Quelques élèves s'étaient eux aussi précipités, bientôt rejoints par tous, et les encerclaient.

Elle s'agenouilla et retourna Zorro sur le dos comme s'il ne pesait rien. Le jeune garçon était dans les vapes et reprenait tant bien que mal sa respiration.

Khira Li s'en voulait, elle avait perdu son sang froid et lui avait porté une véritable attaque. Sa faiblesse à elle, que son sensei attribuait à sa jeunesse et son tempérament, était de se laisser emporter par un instinct de survie décuplé par la rage du combat. Dans ces moments-là, elle pouvait être dangereuse. La preuve : elle venait de blesser son élève, et elle s'en voulait terriblement. A ce moment, elle ne pu s'empêcher de penser à son meilleur ami, Andreas, en voie de devenir le meilleur escrimeur au monde...

L a jeune fille reprit ses esprits, malgré tout amusée par le fait que ce petit bout d'homme ait réussi à réveiller cet aspect de sa combativité et à la toucher à l'épaule. Elle le prit dans ses bras avec la délicatesse d'une mère et demanda à Ken et Hiroshi de s'occuper des élèves un moment, sans pour autant sortir de la salle ou se lancer dans un exercice épuisant. Ces deux-là, ils commençaient à avoir l'habitude...

Comme ces mêmes garçons lui avaient fait visiter le dojo hier soir, elle n'eut aucun mal à trouver l'infirmerie alors que Zorro protestait faiblement, visiblement gêné d'être ainsi porté. Il répétait inlassablement que non il n'avait pas mal et que oui ils pouvaient tout de suite reprendre le cours.

« Ne sois pas idiot, il ne manquerait plus que je te laisse continuer à suivre le cours sans que tu aies pris au moins un peu de repos. Je ne veux pas d'un autre enfant dans le coma. »

Elle avait exagéré bien sûr en employant le mot 'coma', mais cela eu pour effet de clouer le bec au petit haricot. Voyant qu'il était maintenant affligé, perdu dans ses pensées liées à l'énonciation de ce mot, Khira Li eut un sourire peiné, prenant conscience qu'elle aurait dû se taire. Voir quelqu'un triste lui rappelait trop de mauvais souvenirs...

Elle le posa doucement sur le lit, beaucoup plus dur que les bras de la jeune fille. Même s'il essayait de chasser ces pensées, Zorro avait apprécié malgré lui d'être ainsi serré. Cela lui rappelait la douceur de sa mère, il y a longtemps.

Alors qu'il essayait de se rappeler plus précisément de son visage, de plus en plus flou, et des moments tendres qu'il avait passés avec elle, Khira Li cherchait dans les armoires, un peu perdue. Une larme vint chatouiller la joue du petit garçon.

« Zorro, essaie d'enlever ton t-shirt le temps que je trouve cette satanée pommade. Mais ne te force pas si tu as mal. »

Zorro s'exécuta après s'être ressaisi. Une bouffée d'orgueil l'empêcha de gémir sous la douleur ou de suivre le conseil de la jeune fille.

Il s'amusa ensuite à la regarder chercher un peu partout, murmurant des jurons inaudibles. Cela ne collait pas vraiment avec l'image qu'il avait d'elle mais, après tout, elle restait une adolescente comme une autre, avec les changements d'humeur en conséquence.

Ayant trouvé ce qu'elle cherchait, elle ne pu réprimer une petite exclamation victorieuse et s'assit sur le bord du lit, un petit pot en terre cuite à la main.

Elle jeta un coup d'œil au torse du petit garçon. Le coup avait laissé une large et longue trace rouge qui partait de la clavicule droite au flanc gauche. Par endroits, la peau avait été abîmée, parfois arrachée sous la violence de l'impact et saignait. Tout ça avec un simple sabre en bambou...

Le t-shirt avait lui aussi prit un sacré coup, il était déchiré par endroits ou sur le point de l'être. Zorro, lui, espérait qu'elle n'avait pas remarqué la larme qu'il s'était empressé d'essuyer quand elle fixait les dégâts.

Elle se releva pour aller chercher une bouteille de désinfectant et de l'ouate, puis revint s'asseoir près de Zorro. Versant le liquide, elle avertit Zorro.

« Attention, ça risque de piquer... »

Zorro fit la grimace, et pas seulement parce que cela faisait plus que piquer.

Après avoir attendu que la peau sèche, jeté l'ouate usagée et rangé le désinfectant, Khira Li ouvrit le petit pot qui contenait une sorte de crème tirant entre le blanc et le jaune pâle. Elle en prit une bonne quantité et entreprit de masser la blessure.

Malgré toute la douceur et la lenteur de la jeune fille, Zorro dû se mordre la lèvre pour ne pas pousser des 'aie' à tout bout de champ ou parfois presque hurler.

Une fois son supplice achevé, elle insista pour lui mettre un bandage, ce que Zorro n'appréciait pas vraiment. Un bandage, ça gratte, ça tient pas en place et surtout, c'est vachement visible. En tout cas c'est ce qu'il répétait. La remplaçante en avait marre de ses jérémiades.

« Tu préfères peut-être devoir supporter le frottement de la blessure et de ton vêtement ? Et avec un t-shirt pareil, on ne voit rien. Quand bien même on verrait quelque chose, tout le monde sait que je t'ai blessé. Et ce n'est en rien un signe de faiblesse, au contraire. Alors cesse de te comporter comme un enfant de cinq ans. »

Elle avait lu dans ses pensées et Zorro ne sût rien répondre. Il détourna la tête pour qu'elle ne voie pas ses yeux embués. Et ce n'était pas à cause de la douleur ou des réprimandes. Non, c'était sa faiblesse. Sa défaite cuisante en était la preuve, il avait prit une sacrée raclée, même s'il savait quelque part qu'il s'était admirablement débrouillé.

Mais il y avait aussi Kuina. Il se reprochait de n'avoir rien pu faire pour lui éviter cet accident. Il n'y était pour rien, mais il s'en voulait énormément. Et si jamais elle ne se réveillait pas ?

Zorro n'y tint plus et éclata en sanglots. Il pleurait, hurlait, frappait contre le mur pour mieux crier sous la douleur. Pourquoi avait-il fallut que ça lui arrive à elle ? Pourquoi pas à lui ?

Il entendit un petit bruit apaisant, une sorte de doux 'chuuut' alors que Khira Li l'attirait doucement contre elle pour le serrer contre son cœur. Zorro s'agrippa à elle avec force.

''C'est encore un petit enfant, on a tendance à l'oublier'' pensa-t-elle.

Elle lui murmura à l'oreille :

« Tu sais Zorro, un escrimeur est un être humain comme les autres. Et ce qui fait la force d'un être humain, mais qui est aussi sa plus grande faiblesse, ce sont ses sentiments. Ne te laisse pas submerger trop souvent par eux, mais ne les emprisonne pas dans un coin de ta tête... »

Zorro renifla et murmura quelque chose. La jeune fille ne comprit pas et rapprocha sa tête du petit visage tremblotant pour qu'il puisse lui glisser à l'oreille :

« Je... je ne veux p...pas qu'elle meure. On s'est promis... Je v...veux pas... »

Khira Li saisit le menton du petit garçon pour lui redresser la tête. Zorro ne pu s'empêcher de penser qu'avec le sourire qu'elle avait là, maintenant, elle était incroyablement belle.

''Maman...''

Elle lui dit d'un air complice :

« Est-ce que tu le lui as déjà dit ? »

Non, non il ne le lui avait jamais dit, non...

«N... non. »

Elle haussa les sourcils d'un air faussement fâché.

« Alors si tu veux un bon conseil, dis-le lui. Car il se pourrait que tu regrettes un jour de ne pas le lui avoir dit, personne ne sait de quoi l'avenir est fait. »

Zorro essaya d'arrêter de pleurer, mais il reprit de plus belle. Alors qu'elle le berçait dans ses bras pour le réconforter et essayer de calmer ses sanglots, la jeune fille lui glissa :

« Si tu veux, je viendrais avec toi. Je dois aussi voir Kuina. Après tout, je suis sa marraine, elle me manque à moi aussi... »

Il fit un timide oui de la tête et continua à se libérer de toutes ses larmes qu'il avait si douloureusement tenté de retenir depuis ce jour.

°0°0°0°

Zorro, docile, avait passé la journée à se reposer alors que Khira Li retournait à son cours.

Elle lui avait promis qu'ils iraient tous deux voir Kuina le soir même, après le repas du soir. Elle tint promesse et Zorro en profita pour saluer chaleureusement son maître. Il ne quittait pas le chevet de sa fille et fût surpris mais ravi de voir la jeune fille aux cheveux de flamme.

Il leur apprit que l'état de Kuina restait stable, un peu comme si elle dormait profondément.

Khira Li proposa au maître de se rendre au dojo ce soir, car il manquait à ses élèves. Elle le rassura en ajoutant qu'ils veilleraient sur la petite fille en attendant son retour, et qu'il n'avait pas à se dépêcher. Il accepta. Les deux adultes discutèrent un peu à l'écart avant que le maître ne parte. Zorro ne tenta pas d'essayer d'entendre leur conversation.

Alors que tous deux fixaient la petite fille, Zorro brisa le silence.

« Dites, vous m'avez dit que vous êtes la marraine de Kuina, pourtant vous n'avez que trois ans d'écart avec elle... »

Elle sourit.

« C'est exact, je ne suis sa marraine que depuis quelques années. Une histoire de famille... »

« Ah. »

Et le silence reprit.

Après quelques minutes, la jeune escrimeuse se dirigea vers la porte.

« Je crois que tu as quelque chose à lui dire, non ? Je ne voudrais pas te déranger. »

Zorro ne répondit rien. Il avait très mal et ce fût un supplice de se rapprocher de la petite fille.

On dit que les gens dans le coma peuvent entendre ce qu'on leur dit, mais Zorro ne savait pas exactement si il voulait qu'elle entende ou pas.

Il fixait le mince masque posé sur sa bouche qui s'embuait à chaque respiration. Sa poitrine se levait et s'abaissait lentement, régulièrement. Tout à fait comme si elle dormait.

Zorro hésita un moment puis saisit doucement la main de son amie.

« Kuina... Réveille-toi, je t'en prie... »

Son souhait, même prononcé à voix haute et suppliante, n'eut pas d'effet.

Epuisé, il posa sa tête sur le lit, la positionnant de manière à pouvoir voir le visage de la petite fille. Il ferma les yeux, soupira et ne bougea pas pendant une bonne minute.

Puis il se redressa et se rapprocha encore un peu d'elle.

« Tu me manques, Kuina. Je n'aurais jamais crû que je te le dirais un jour, mais... »

Il déposa un très léger et timide baiser sur son front.

« Tu comptes énormément pour moi. Te voir comme ça, sans pouvoir rien faire, me révolte. Pourquoi toi ? Je donnerais tout pour que tu te réveilles... »

Il reprit son calme, sentant les larmes revenir.

« Ne me laisse pas seul, je t'en prie, ne me fait pas ce coup-là. Réveille-toi, fous-moi une gifle en me traitant de nabot comme tu sais si bien le faire. Mais ne meurs pas je t'en prie, on s'est promis... Ne m'abandonne pas, ne me laisse pas seul, tu n'as pas le droit ! »

Et dans un sanglot, il hurla :

« Réveille-toi ! Réveille-toi ! »

Il sécha rapidement ses larmes, serrant toujours sa main. Il ne voulait pas qu'elle le voie dans cet état. Il voulait qu'elle sache qu'elle n'avait aucune raison de mourir, car lui, il l'attendait.

°0°0°0°

Un peu plus de huit mois passèrent. Khira Li se montrait un excellent professeur, très ouverte et vite aimée par tous ses élèves. Ils rendaient fréquemment visite à la petite Kuina, qui ne changeait pas. Durant un coma, la croissance stoppe, car le corps ne sait pas se régénérer correctement.

Zorro, lui, devenait de plus en plus fort et avait pris des centimètres. Il avait commencé à élaborer une technique de combat à trois sabres, et cela promettait.

L'accident avait eu lieu un vingt-trois novembre, et maintenant nous étions le jour de l'anniversaire de Kuina, le cinq août. Tous les élèves s'étaient rassemblés à son chevet pour lui souhaiter un joyeux anniversaire. Tous espéraient qu'elle se réveille prochainement.

Quand Zorro pu enfin être seul avec elle, il lui prit la main et lui raconta ce qui s'était passé de nouveau, comme à son habitude. La main qu'il tenait dans la sienne était devenue plus frêle au fur et à mesure des mois.

Il lui confia que sa nouvelle technique de combat promettait d'être efficace, qu'il devenait de plus en plus fort d'après Khira Li. D'ailleurs quelque chose avait titillé la curiosité de Zorro la concernant. Elle recevait et écrivait des lettres environ tous les mois, mais il n'avait pas réussi à savoir qui était le destinataire. Il ajouta aussi qu'elle lui manquait, qu'il voulait qu'elle se réveille. Vu qu'il lui répétait ça à chaque fois qu'il venait, c'est-à-dire assez souvent, elle aurait bien fini par l'entendre au moins une fois.

°0°0°0° (J'accélère un peu, sinon on va tous s'endormir...)

Un an plus tard, alors que Kuina fêtait ses quatorze ans, son état n'avait toujours pas changé et tous commençaient réellement à s'inquiéter.

Khira Li devenait de plus en plus exigeante mais toujours aussi douce, les élèves de plus en plus forts. Zorro ne se battait désormais presque plus qu'avec trois sabres et continuait à croire que Kuina se réveillerait un jour. Et en attendant, il s'entraînait sans relâche.

Le père de Kuina était visiblement fatigué, mais lui aussi espérait que sa fille se réveille un jour.

Le jour de l'anniversaire de Zorro approchait vite. Nous étions en effet le quinze octobre et dans un peu moins d'un mois il aurait déjà douze ans. A sa grande joie, il avait tout d'un enfant précoce, et avait pris une bonne dizaine de centimètres durant cette année écoulée.

Ce jour-là, il se rendit à l'hôpital rendre visite à Kuina. Ce jour, il ne l'oubliera jamais...

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Tadaaam... Je suppose que vous avez toute une idée de ce qui va se passer.

(Ou lala ça sent les 'la suite !' désespérés à plein nez...)

Et je sais, je sais, je dois me dépêcher de la poster cette satanée suite...

Alors ma petite Tashigi, t'es contente ? Y a eu une discussion (je sais pas de déclaration mais soyez patientes...) et l'écart entre Zorro et Kuina est rattrapé !