Salutations les plus distinguées à tout les lecteur (trices) ou autres éléments toujours non identifiés. Je suis heureuse de constater que certaines de nos expressions vous aient fait rire. Que voulez-vous, notre langue est une vraie musique qui est parfois chantée trop vite. Pour une petite explication du titre? Pogner : prendre Débarque : chute Snow : en québécois, cela veut dire planche à neige. Je vous laisse le loisir de saisir le lien profond avec ce chapitre. Blodauwen Cheisnepriour, xxxxxxxx

Les RAR de May-Luna

Paprika Star() : Oui, il l'est réveille...de façon très délicate lol. Pour Sabrina/Drago...hich pour l'instant, non, Sabrina est un peu jeune, elle à 9- 10 ans dans la fiction, mais peut-être dans un futur lointain. Merci pour la review et bonne lecture.

Phobia Floral : Merci, c'est gentil. Il est a le nouveau chapitre....finalement. Bonne lecture.

Snape Girl1 : Oui, Blo me donne de plus en plus de difficulté à comprendre, lol. C'est elle la référence en matière d'expression typiquement québécoise. Rodolphus cinglé ? Ben non, voyons quelle idée ! Bon ok...peut- être quelque boulon en moins. Moi aussi j'ai aimé le petit message pas trop subtile à Rogue....hein ? Oh ! Je deviens vaniteuse...c'est moi qui l'est écrit, lol. Bon allez je te laisse au nouveau chapitre, Merci pour la review.

Lome() : Rationner ?!? Pauvre toi, je survivrais pas. Lol, t'es chanceuse hein ? Dans ce chapitre les explications venait avec les expressions. Je suis contente de voir que tu suis toujours, à la prochaine Lome et Bonne lecture.

Dreyd : Lol, Vaincue ?!? Ben non, voyons, ça va et ça reviens, y'a des chapitres où on est pire que d'autre...je sais pas encore pour quoi d'ailleurs Oo. Pour la fic dans ton patois local pourquoi pas, si on comprend pas on posera des questions, c'est dans ce temps là que c'est le plus drôle. Nous on se forces des fois pour sortir de vieille expression. Comme le truc il a apprit à rire dans une pharmacie de chapeau...ben c'est vieux. C'est la grand-mère d'un ami qui dit ça. Les américains...que dire ?!?! À part qu'ont va en reparler, lol. Est-ce que Severus va rentrer vivant ? Euh...bonne question...J'en parles avec Blo et je te reviens là- dessus. Bye Bye et merci pour la review.

Sevina Roguette : Salut Sevina, ben oui il est malade, maguaner...c'est l'enfer...un vrai calvaire.lol. Mais y'a pas a s'inquiéter Mel veille encore sur son « état » dans ce chap. Quand tu comprends pas demande...C'est ce que je fais avec Blo, moi aussi, lol. Il attaque avec Mel...Je sais pas, j'ai plusieurs image des Severus, soit le gêner : un peu trop conscient de sa personne qui attends qu'on fasse le premier pas, soit le rigide ( comme dans les 2 héritier ) : C'est pas de la gêne, mais il cache tout jusqu'à être sur qu'il se fera pas descendre une gifle, lol. Ou finalement le dégourdi-fonceur : Lui il fonce et il est sur de lui. Moi je penche toujours plus vers les deux derniers. Dans Calvaire Blanc c'est le deux encore et à la fin du dernier chapitre le troisième...parce qu'il était saoul, lol. Pour Drago, ça serait chouette vrai, mais c'est contre mes principes puisque Sabrina n'a que 9-10 ans, lol. Voilà, ouf, on est repartie sur les longues réponses lol. Bon je te laisse là, bonne lecture.

Merci beaucoup aussi à Galatée et Kaorulabelle pour vos review, c'était très gentils.

Voilà, on vous laisse au nouveau chapitre, la veille de Noël et ses aventures....Bonne lecture.

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Chapitre 5 : Pogner une débarque en snow 101

« Vous êtes prêts ? On va manger ? » questionna Weasley en se frottant l'estomac.

« Oui, oui Ron, on va manger » répondit Hermione exaspérée alors que Harry levait les yeux au ciel dans le dos de son meilleur ami.

En prenant la direction des escaliers, le trio de Gryffondors rencontra leur directrice de maison ainsi que Lupin.

« Bonjour tout monde » salua le loup-garou. « Bien dormi ? »

« Oui, à part Ron qui n'a pas cesser de gémir de la nuit » lança Potter en s'engageant dans les escaliers. « Il devait rêver d'un buffet imaginaire » ajouta-t-il rapidement en voyant la belle couleur cramoisie qu'avait prit son ami.

« Je n'avais jamais cru avant de te voir manger Weasley que quelqu'un pourrait faire de la compétition à Crabbe et Goyle dans un concours de goinfres » se moqua une voix traînante derrière eux.

« La ferme Malefoy »

« Toi Weasley, c'est ce que tu devrais faire. Surtout quand tu manges. » répliqua le Serpentard avec un sourire goguenard.

« Messieurs » les gronda McGonagall. « Ça va comme ça. Il est beaucoup trop tôt pour tout ça et n'oubliez pas où nous sommes... »

Le professeur McGonagll stoppa lorsqu'elle vit que plus personne devant elle n'avançait.

« Potter ? Qu'est-ce que vous faite ? » demanda-t-elle en s'étirant le cou. « Avancez... Oh doux Merlin ! »

McGonagall s'arrêta net lorsqu'elle vit... Rogue abrié jusqu'au coup d'une couverture de laine rose et jaune nanane avec pantoufles assorties.

« Cette couleur n'est pas vraiment dans sa palette » remarqua Malefoy en se faufilant au travers du groupe pour rejoindre la cuisine.

« Vous croyez qu'on devrait le réveiller ? » demanda Lupin en regardant McGonagall.

« Je n'ai pas la tête à l'entendre nous torpiller littéralement avec des sarcasmes pour l'avoir vu dans un tel état. Je n'ai vraiment pas la tête à cela... » répliqua l'enseignante d'un ton un peu trop abrupte en s'éloignant vers la cuisine dans le sillage de Malefoy.

« Qu'est-ce qu'elle a ? » demanda un Weasley quelque peu décontenancé.

Potter haussa les épaules, en voulant dire qu'il n'en savait strictement rien

« Non, mais vraiment ! Même sans augures, Trewlaney aurait comprit ! Vous êtes vraiment lents à la détente » foudroya Granger en filant à son tour vers le déjeuner.

« C'est ça, Madame veut faire son intéressante, comme si elle savait quelque chose. » bougonna Weasley en la suivant.

« Alors... alors... » murmura Lupin en considérant le maître des potions d'un œil critique.

« Vous pouvez le tirer en bas du divan, si vous le voulez Remus » proposa Potter avant de s'éclipser en vitesse du salon.

Hors de question de le faire par lui-même et offrir davantage de raisons à Rogue de le couvrir d'insultes dont il a le secret pour le simple fait qu'il a été témoin d'une scène cocasse ayant pour acteur principal nul autre que lui-même.

Après quelques secondes infiniment longues autour du succulent déjeuner gracieusement préparé par Mélanie, la tablée faussement occupée à manger entendit ce à quoi elle s'attendait réellement :

« Qui vous a donné le droit de vous introduire ici alors que je dormais ? Sombre imbécile de loup-garou de compagnie dressé pour embêter !!! »

« Hum, hum, je crois que le Sortilège a fait effet » commenta Rodolphus en mordant un morceau de toast.

« Ou, il ne parle plus du tout du nez, vous avez remarqué ? » plaisanta Hugo en trempant son croissant dans le sirop d'érable.

« Oui, exit la grippe d'homme, re-bonjour le foutu caractère » renchérit Marie-Hélène, l'épouse de Philippe.

« Comme si c'était possible de pas l'entendre ! Il hurle comme un perdu dans la maison alors que moi je n'ai pas le droit » bougonna Jérémie.

« Jérémie, on ne dit pas ça : il hurle comme un perdu » le reprit Marie- Hélène. « On dit... »

« Hurler comme un professeur de potions » suggéra Granger pour lui venir en aide.

« De Poudlard » ajouta Hugo. « Ils ne sont pas tous ainsi, une chance, sinon je crois que j'aurais fait mes études en métamorphose. Quoi que... » murmura-t-il en jetant un oeil en direction de McGonagall.

La porte battante s'ouvrit tout doucement sur Lupin qui se faufila vers une place autour de la table.

« Il est sur pied » annonça-t-il avec un sourire. « C'est le moins qu'on puisse dire » marmonna-t-il pour lui-même.

Pour une deuxième fois consécutive, la porte de la cuisine s'ouvrit, mais cette fois-ci avec grande énergie; à l'image de l'entrée subite du maître dans ses cachots...

Sauf que pour une fois, la réaction de l'assemblée ne fût guère ce qu'elle avait toujours été en cas semblable. La famille Dumbledore ne se gêna nullement pour pouffer royalement de rire en sa présence. Les Poudlardiens se risquèrent même à user de témérité en laissant apparaître des sourires à leurs lèvres.

« Bien dormi, Severus ? » se renseigna Rodolphus, qui était passé au prénom de celui-ci la veille.

« Bien entendu, monsieur » souffla-t-il, désespéré, en s'assoyant.

« Tant mieux » acquiesça le vieil homme. « Car nous venons d'apprendre par Minerva que Remus et elle semblent avoir les premiers symptômes de votre maladie si heureusement guérie. » continua-t-il les yeux pétillants de malice « Comme vous connaissez maintenant très bien la situation dans laquelle ils se trouvent, vous ne voyez certainement pas de problèmes à accompagner vous-même les enfants à une sortie ? Avec l'aide de mon fils Hugo, il va de soi. Vous ne serez pas livrer seul à nouveau aux tourments de notre hiver. » conclut-il.

« Et en quoi consiste-t-elle cette "sortie", monsieur ? » demanda le maître des potions, de plus en plus désespérer.

« J'y viens, j'y viens » l'assura Dumbledore avec un sourire cordial. « Vous voyez, les grands plaisirs de notre contrée ne peuvent être mis de côté, lorsqu'on jouit d'une bonne santé » expliqua-t-il, sérieusement. « Ce qui est maintenant votre cas. » ajouta-t-il en le regardant par-dessus ses lunettes rectangulaires. « Que diriez-vous de faire oxygéner votre cerveau au grand air, sur le mont Shiwawa, en glissant ? » demanda-t-il finalement.

Rogue s'étouffa dans son verre, puis l'air ahuri et aussi très irrité, il demanda de sa voix doucereuse.

« Glisser ? Je suis désolé monsieur, mais je crains de ne pas très bien comprendre ce que vous attendez de moi. »

« Oh, vous allez tout saisir lorsque vous aurez les cheveux dans le vent, assied sur une tripe » murmura Dumbledore avant de prendre une gorgé de thé.

Voyant Rogue froncé les sourcils, Hugo, qui n'avait pas hérité de la finesse de son père, jugea bon de clarifier.

« Vous venez vous geler le derrière en notre charmante compagnie, pendant que ce dit derrière dévale la pente posée sur une tripe »

Tout le monde esquissa un sourire pendant que Severus ouvrait la bouche pour argumenter que finalement il était peut-être encore quelque peu dans un état second. Malheureusement pour lui, Rodolphus lui coupa la parole.

« Je suis sur que vous allez adorer ça » lui dit-il en lui pressant l'épaule.

Quelques heures plus tard sur le mont Shiwawa...

« Je vous assure que je n'en ai pas la moindre envie, Hugo. Le traîneau et les tripes, c'est pour les chiens » vociférait un Rogue, les pieds plantés dans la neige en prenant grand soin d'être à l'écart de ceux qu'il injuriait à voix basse de « jeunes imbéciles aussi fous... » Le reste se perdait dans les cris de joies des glisseurs, heureusement.

« Casseux de partys de service » marmonna le fils Dumbledore avant de se lancer dans la côte, tête la première sur un pneu.

« Et il est parti!!! » hurla Jérémie en écho au bas de l'immense butte de neige.

« En espérant qu'il se rompe le cou en percutant un arbre » gronda le maître des potions.

« Grand-père aimerait plutôt vous rompre le caractère d'après ce que j'ai compris » lui répondit la petite Sabrina qui venait de terminer la grande ascension de la colline avec son traîneau.

Rogue croisa les bras, se dressa de toute sa hauteur et lui lança un regard mauvais en plissant les yeux. Tactique qu'il utilisait pour terroriser les premières années et qui avait un grand succès.

« Ouhhh » fit la jeune fille en roulant les yeux, faisant semblant d'être terrifiée.

Rogue ajouta un grognement guttural et Sabrina éclata de rire.

« Vous êtes drôle, professeur » commenta-t-elle légèrement comme on le ferait dans un salon de thé.

« Petit inconsciente, impolie, teigne... » pensa Rogue en serrant les dents. « Tu devrais t'asseoir sur ta ridicule tripe et descendre avant que je te fasse descendre moi-même espèce de petite peste insolente » ajouta-t-il de plus en plus amère.

« Hé!!! La poulette! Regarde où que ton Drago c'est foutu!! » lui hurla son oncle Hugo d'en bas.

« Hein quoi??? » demanda-t-elle en se tournant, l'air soudain paniqué. « Oh non, va l'aider » cria-t-elle l'air compatissant. « Je sais que tu as fait par exprès mon oncle!!!!!!!!! »

Le jeune Malfoy était descendu sur une soucoupe en métal qui avait été sournoisement cirée et ensorcelée par l'apprenti maître des potions.

Résultat, Draco-le-très-fier c'était retrouvé dans son élan, à survoler la neige et avait atterri dans un arbre.

« La fouine bondissante à bondit de nouveau » railla Weasley mort de rire.

« La ferme Weasley » siffla l'héritier Malefoy en resserrant sa prise sur la branche.

« Lâche la branche Drago » lui dit simplement Hugo, l'air de rien.

« Lâcher la branche ?!? Vous êtes malade, je vais me tuer à cette hauteur. »

« Pissoux » se moqua Hugo « Lâche la foutue branche »

« Il n'est pas pissoux » gronda Sabrina qui venait d'arriver à leur hauteur. « Attends, je vais t'aider, Drago » lui dit-elle.

« Non, ça va, je vais me débrouiller. Je trouverai bien un moyen de descendre » répondit-il orgueilleusement.

Le maître des potions, malgré l'air détaché qu'il arborait au sommet de la colline, commençait à s'inquiéter pour son élève.

« Je devrais peut-être aller l'aider » pensa-t-il. « Ses Gryffondors, serait capable de le laisser en haut de cet arbre indéfiniment. »

« Tu n'as qu'à te laisser tomber Malfoy, la neige va amortir ta chute » le renseigna Granger de sa voix d'élève assidue.

« Tu es certaine de ça, Granger ? » demanda-t-il septique.

Hermione regarda Hugo pour confirmer ses dires. Celui-ci fit une moue qui voulait clairement dire : À cette hauteur, il n'y a rien de moins sur. La jeune fille regarda en suite les deux autres membres de son trio, qui eux haussèrent les épaules avec un sourire qui voulait clairement dire : Qu'est- ce que ça peut faire si ce n'est pas vrai. C'est Malefoy.

« Mwi...Non, non je n'en suis pas certaine » se reprit Granger incapable de mentir dans uns situation pareille. «Pas à cette hauteur. » ajouta-t-elle alors que Potter et Weasley lui lançait des regards furieux.

C'est à ce moment que le maître des potions décida qu'il était temps d'intervenir. Lâchant un soupir à fendre l'âme, le nez en l'air de manière supérieur, il se mit en mouvement...

Grossière erreur...

Le maître des potions ne fit que quelque pas avant que son pied ne se prenne dans une traîne sauvage que Hugo avait laissé traîner.

« Haaaaaaaaaaaaaaaaaa!!! »

Les Gryffondor et les Dumbledore se retournèrent rapidement pour voir ce qui en était. Malefoy, malheureusement pour lui, avait une branche de sapin qui lui barrait la vue. Et quelle vue !!! Le terrible maître des potions dévalait la pente à grande vitesse, debout sur une traîne sauvage. Il essayait tant bien que mal de dégager son pied qui s'était pris dans les cordages, ce qui donnait l'impression qu'il dansait la Java.

« Je vais me tuer » pensa-t-il en secouant son pied tout en tentant de garder son équilibre.

« Il a du style » commenta Hugo d'un ton badin.

« On aurait peut-être du lui fournir une planche à neige avoir su que c'était debout qu'il voulait descendre » acquiesça Jeremy.

« Il se dirige vers la même butte que Malefoy » murmura Granger, l'air horrifié en portant une main à sa bouche.

« Vous croyez qu'il va aller aussi haut ? » demanda Potter qui s'imaginait déjà le maître des potions pendu par les bras du haut d'un immense conifère.

« De qui parlez-vous ? » demanda Malefoy qui se glissait tranquillement vers le tronc pour descendre.

« Rogue » répondirent-ils tous en coeur.

« Oh Merlin » souffla Drago en imaginant déjà l'après coup.

Le maître des potions voyait la butte, ou le « jump » comme avait dit le cadet des Dumbledore, arriver à grande vitesse.

« Merlin aidez-moi » pria-t-il en fermant les yeux.

« Oh » lancèrent les spectateurs tous en cœur alors que Rogue prenait son envol.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!! »

Severus Rogue volait littéralement.

« Superman !!! » lança Hugo en riant. « Ou Batman c'est au choix » ajouta- t-il en suivant le professeur des yeux.

« Attention » les alerta Potter en voyant la traîne sauvage, qui avait enfin quitter le pied de Rogue, se diriger vers eux.

Tout le monde s'écarta de sa trajectoire, perdant ainsi le maître des potions de vue.

Rogue qui avait entendu Potter crier ouvrit les yeux, apeuré pour voir... Des branches, des épines....Des arbres dans toute leur splendeur. C'est avec un dernier cri d'horreur qu'il atteignit sa destination...

La même branche que Malefoy.

« Bonjour monsieur » souffla le Serpentard qui commençait à manquer de force.

« Monsieur Malefoy » répondit celui-ci avec le plus d'aplomb qu'il pouvait rassembler.

« Vous allez bien professeur ? » demanda Draco.

« Oh très bien Monsieur Malefoy. Je viens de descendre une côte debout sur un engin infernale. J'ai atterri dans un arbre où se trouvait déjà un de mes élèves et tout ça devant des Gryffondor. » répondit-il. « Mais tout va bien Monsieur Malefoy, le paysage est splendide ! C'est une journée glorieuse pour les Serpentards !!! » ajouta-t-il sarcastique.

« Désolé, monsieur » souffla Drago en baissant la tête.

Le maître des potions soupira.

« Qu'est-ce que c'était que se bruit ? » demanda Drago en relevant la tête subitement.

« Quel bru.....Haaaaaaaaaaa!!!! »

« Haaaaaaaaaa !!!!!! »

Paf

« Bah, au moins maintenant ils sont descendu » commenta Hugo en regardant les Serpentard étendu par terre, recouvert de "leur" branche.

Tant bien que mal, les vacanciers en sortie de plein air retournèrent à l'auberge. Soulignons, que l'hilarité générale était déclarée, enfin presque générale car la majeur partie du groupe se bidonnait sur le compte de deux Serpentard embarrassés par les événements précédents.

« Vous avez d'l'air attriqués comme des peureux de corneilles » se moqua ouvertement Hugo qui riait à grands déploiements.

« Rajoute en, espèce de taré » marmonna Rogue pour lui-même en lui lançant un regard noir de ceux qui tue, alors qu'ils arrivaient a destination.

Ce fut Germaine qui les accueillit. La dame sourit en voyant les joues rougeoyantes et les sourires de ses invités, mais son sourire se transforma vite en air inquiet lorsqu'elle avisa les deux Serpentard.

« Merlin ! Mais qu'est-ce qui vous est arrivé? » demanda-t-elle l'air concerné en s'approchant d'eux. « Hugo! Explique-moi pourquoi c'est deux là sont recouvert de gommes d'épinette et que des branches soient collées dessus! Vois-tu leur état ? On dirait qu'ils reviennent d'une bataille avec les Iroquois pendant le XV ième siècle! » déboula Germaine d'une traite, comme on dit, en se tournant vers son fils. « C'est encore un de tes coups, non? »

« Comme s'ils ne savaient pas se mettre dans la ch'noutte tout seul ! » s'exclama le jeune homme, puis voyant l'air plus que septique qu'arborait sa mère, il ajouta « D'accord, je suis responsable de Malefoy, oui, mais Rogue c'est débrouillé tout seul, je te le garantis, maman chérie » expliqua l'accusé entre la mauvaise humeur calculée et le sentiment de fierté à peine dissimulée.

« Et il a fait comment pour s'attriqué comme ça, hein? » questionna, maman chérie, que son garçon commençait déjà a faire fléchir.

« On se le demande toujours maman adorée, alors demande-le-lui ? » répondit- il avec un sourire enjôleur.

Tous se retournèrent vers Rogue, ayant effectivement oublié de lui demander le pourquoi du comment, il lui était pris la soudaine envie de dévaler la pente debout, sur un traîneau.

« J'ai voulu aider Malefoy parce que votre bande est si sérieusement atteinte de crétinisme que vous n'arriviez pas à le faire descendre. » siffla Rogue en croisant les bras.

« Et pourquoi ne pas être descendu à pied ? » demanda Jeremy en fronçant les sourcils.

Le maître des potions préféra ne pas répondre à cette question et s'éloigna à grands pas en ronchonnant. Il ouvrit la porte de la cuisine à la volée pour demander à l'autre de lui envoyer du thé...

Autre grossière erreur de sa part...

Melanie qui s'était dissimulée derrière la porte pour entendre le récit, sursauta et lâcha le poêlon en fonte qu'elle avait dans les mains. Il reçu majestueusement celle-ci sur le pied.

« Ahhhh!!! » lâcha le maître des potions en serrant les dents.

« Oh bouse de Caribou ! Je suis désolée professeur » souffla Melanie en s'approchant, alors que Rogue commençait a sauter sur un pied. « Profondément désolée! »

« Ne me toucher pas » siffla Rogue en prenant son pied entre ses mains.

« Mais...c'est peut-être casser, professeur. Laissez-moi vous aider » insista Melanie en s'approchant de nouveau.

« NON, vous restez loin de moi » grogna-t-il en lui lançant un regard mauvais.

« Venez-vous asseoir professeur, je vais arranger ça » dit Germaine qui arrivait à la rescousse, alors que Mel reculait tranquillement, ses yeux s'embuant.

« Mélanie va chercher des couvertures pour installer le professeur Rogue dans le salon, allez, vas-y je te dis » lui ordonnait précipitamment sa mère. « Allez, fais vite! »

La jeune femme semblait tétanisé au point d'être littéralement surpassée par les évènements.

« Je vais, euh enfin.... ma chambre....bordel » marmonna-t-elle machinalement en s'enfuyant dans les escaliers.

« Marie-Hélène, rends toi utile alors, les couvertes sur le divan... »

« Je ne retournerai pas sur ce damné divan » rugit soudainement Rogue piqué au vif en repensant à la scène matinale.

« Vous, vous êtes supposé vous lamenter sur votre pied, alors taisez- vous » rétorqua Germaine d'un ton peu engageant.

Le maître des potions n'eût même pas l'idée de répliquer à la vieille femme. « Bien elle porte bien son prénom la Mme Dumbledore, elle Gère et elle Mène et qu'on se la ferme » commenta-t-il d'un ton hargneux pour lui- même.

« Il reste juste à le traîner au salon, tout est installé » annonça l'épouse de Philippe en revenant dans la cuisine. : « Oh, si vous croyez que je vais me laisser traîner » bougonna Severus.

« Je ne vous retiens pas de marcher, prenez seulement garde de ne pas trop grimacer en vous rendant là bas parce que les petits vont se moquer de vous encore plus que jusqu'ici, et ce n'est pas peu dire. » expliqua Germaine d'un ton sournois.

« Que j'en vois un seul sourire et au retour à Poudlard ils récoltent tous trois mois de récurage dans l'infirmerie et dans les cachots avec des brosses à dents moldues! » siffla le maître des potions.

Bizarrement, l'audience se dissipa tel un ban de poisson sentant l'ombre d'une barque sur la surface du lac.

Quelques heures plus tard après que tous se soient remis de leurs émotions, chacun vaquait à leurs occupations. Germaine et Melanie préparaient le souper. Hugo et les grumeaux préparait selon leur dire une surprise pour demain...un mauvais coup sûrement. Le trio de Gryffondor discutait dans leur chambre. Marie-Hélène, Minerva, Lupin et Rodolphus discutaient tranquillement au bord du feu. Philippe et Drago jouaient une partie d'échec en même temps que Philippe le renseignait sur les astuces de course de chiens. Tous semblait bien s'amuser...sauf notre maître des potions adulé, qui la jambes juchée sur une montagne de coussins (afin d'empêcher les orteils d'enflés, le temps que la potions fasse effet) boudait parce qu'il était condamné à rester dans l'air commune de la maisonnée. Il cherchait toujours un moyen de quitter la pièce ni vu ni connue, lorsque l'on sonna à la porte. Rodolphus se leva d'un bond et ce dirigea rapidement vers le hall d'entrée.

« Hé ! Hé ! » entendirent-ils quelques secondes après. « Presque juste à la l'heure pour le souper, comme d'habitude. »

La personne qui venait d'arriver eut un petit rire...un rire familier.

« Albus » murmura McGonagall avec un sourire en se levant.

« Vite rentre, qu'on ferme la porte, on n'chauffe pas le dehors » entendirent-ils ensuite Rodolphus dire.

« Ah, bonjour Minerva » lança le directeur de Poudlard, alors que son adjointe entrait dans le hall.

« Bonjour Albus » dit-elle en s'approchant.

« Alors comment se passe vos vacances ? » s'enquit Albus.

« Bien, bien » acquiesça-t-elle. « Enfin pour presque tout le monde » ajouta-t-elle.

« Monsieur Malefoy n'a pas encore tenté de faire une fugue toujours ? » demanda Albus avec un sourire.

« Non, non il s'adapte apparemment très bien » répondit-elle, alors que le jeune Serpentard se cachait la tête dans ses mains, rouge de honte. « À part peut-être l'épisode de l'arbre » ajouta-t-elle donnant des envies à Drago de se cacher sous la table.

« L'épisode de l'arbre ? » demanda Albus en fronçant les sourcils.

« Oui, je n'ai pas trop bien comprit » acquiesça McGonagall. « Il semblerait que lui et Severus se soient mit en tête de grimper à un arbre cette après-midi quand ils sont aller glisser... »

« Severus ? Glisser ? » questionna Dumbledore les yeux écarquillés.

« Oui, il a même épaté les jeunes en descendant debout sur une traîne sauvage » assura Rodolphus après s'être raclé la gorge. « Ils ont dit qu'il avait du style, alors... »

Albus réputé pour être étrange, mais pas dupe flaira immédiatement le mensonge.

« Ah, je vois. Je vais aller le voir pour le féliciter, alors » dit-il avec un sourire malicieux. « Où est-il ? »

« Au salon » répondit McGonagall en tournant les talons.

Albus entra dans le salon quelques secondes plus tard pour apercevoir le maître des potions, le pied dans l'air et l'air renfrogné du siècle. Il jeta un regard par-dessus ses lunettes à son frère. Un regard qui voulait clairement dire : menteur.

« Que vous est-il arrivé mon cher ami ? » s'enquit-il en s'approchant du professeur.

« Ce qui m'est arrivé ? » siffla Rogue dangereusement. « JE ME SUIS FAIT ESTROPIER POUR LA QUINZIÈME FOIS DE CES SATANÉES VACANCES. D'ABORD, ELLE ME TÂCHE DE SAUCE. L'AUTRE ATTÉRI SUR MES GENOUX. JE ME SUIS FAIT ATTAQUÉ PAR UN OURS ET ME SUIS RETROUVER PARTERRE RECOUVERT DE COMPOTTE DE POMME. ON M'A CASSER LE NEZ EN SE SERVANT DE MOI COMME PISTE D'ATTÉRRISSAGE OU MATELAS C'EST AU CHOIX. ON A MIT DES AIGUILLE DE SAPIN DANS MON LIT. J'AI EUT LA GRIPPE. ON A MENACÉ DE M'EMPOISONNER. ON A RUSÉ POUR ME SOUALER ET ME FAIRE DORMIR SUR CE FICHU DIVAN HABRILLÉ D'UNE COUVERTURE ROSE ET JAUNE AVEC PANTOUFFLE ASSORTIES. J'AI RENCONTRER UN ÉCUREUIL DANS UN ARBRE APRÈS AVOIR TENTÉ D'AIDER MALEFOY PARCE QUE VOTRE NEVEUX TROUVAIT ÇA DRÔLE D'ENCHANTER SON VÉHICULE DE DÉCENTE ET POUR COMPLÈTER LE TOUT, VOTRE NIÈCE M'A CASSÉ LE PIED AVEC UN POÊLON PARCE QU'ELLE N'A PAS ENCORE TROUVÉ LE MOYEN ADÉQUOIS DE ME TUER !!! » énuméra Rogue qui était maintenant à bout de souffle, rouge et en colère.

« Je vois » dit doucement Albus en jetant un cou d'œil en direction de son frère.

« Vous avez oubliez de lui dire comment vous en étiez arriver à frencher l'arbre » ajouta Hugo qui venait d'arriver aux pieds des escaliers.

« Merci Hugo, je crois que ça va comme ça » dit Rodolphus.

« Le souper est prêt » murmura Mélanie dans l'embrasure de la porte avant de prendre la direction des escaliers d'un pas rapide.

« Bonjour Mel » s'exclama le directeur se tournant juste assez rapidement pour la voir disparaître en haut des escaliers.

« Bravo » commenta Philippe en jetant un regard mauvais au maître des potions.

« C'était très délicat de votre part. » ajouta Hugo en suivant son frère à la salle à manger. « Nous allons passer un magnifique réveillon de Noël »

Severus les regarda presque surprit, alors que tout le monde quittait le salon en lui jetant des regards, haineux, dédaigneux et autres...Ne laissant que lui et Albus derrière.

« Je vois que votre charme naturelle a encore fait des siennes » commenta le vieux directeur en se tournant de nouveau vers le maître des potions.

« Albus, je suis une victime dans tout ça » s'insurgea-t-il l'air offusqué. « Regardez ! Enfin les preuves sont là » ajouta-t-il en désignant son pied.

Le directeur le regarda avec un sourire en coin.

« Oui, oui, je vois » dit-il doucement. « Seulement vous n'avez pas encore comprit de quoi vous étiez la victime » ajouta-t-il avec un petit rire.

« D'un complot visant à mettre fin à mes jours » grogna Rogue en tentant de se lever, retenant une grimace de douleur.

« Un complot non » rétorqua Dumbledore. « Et même si s'en était un, il ne mettrais pas fin à vos jours, peut-être seulement les embellir » murmura-t- il.

« De quoi parlez-vous Albus ? » siffla le maître des potions qui réussi finalement à se lever.

« Oh, de rien, de rien mon jeune ami » répondit-il avec un sourire malicieux. « Est-ce que vous avez besoin d'aide pour vous rendre à la salle à manger ? »

« Certainement pas »

Plus tard dans la soirée toute la famille s'était rassemblé dans le salon avec leurs invités. Même Mélanie était redescendue...après bien sur que Hugo et Philippe l'aient traînée de force, mais tout de même. Ils passaient un bon moment actuellement. Même Severus devait l'admettre. Il n'avait jamais vu une vieille de Noël telle que celle-ci et voir les deux frères Dumbledore raconter des anecdotes était...drôle.

« Te souviens-tu au début quand j'ai acheté l'auberge ? Les chasseurs américains ? » demanda Rodolphus en riant.

« Oui » acquiesça Albus en hochant la tête, tout en riant.

Voyant les invités froncer les sourcils, Rodolphus entreprit de leur expliquer.

« Il est interdit de chasser sur les terres entourant l'auberge par que ce sont des terres privées. Malheureusement certains n'ont pas tenu compte de l'avertissement. » commença-t-il avec un sourire nostalgique. « Albus était ici pour la fin de semaine et nous nous promenions en forêt quand nous avons rencontré les chasseurs. Alors au lieu de les prendre de front nous avons décidé d'avoir un peu de plaisir à leurs dépends. » expliqua-t-il en jetant un regard en coin à son frère. « Bien sur je ne voulais pas qu'ils chassent sur mes terres, alors Albus a jeté un sort à leurs munitions et nous les avons suivit. »

Rodolphus éclata de rire et Albus prit la relève.

« Après prêt de deux heures de marches, l'occasion rêver à frapper pour nos chasseurs » commença-t-il. « À l'orée d'une clairière se trouvait un magnifique orignal. Alors un des hommes a tiré, mais son arme n'a fait qu'un petit nuage de fumé. Il paraissait plutôt perplexe. » expliqua-t-il en riant.

« L'orignal lui semblait pas trop savoir ce qui se passait, alors il a continué de brouter son lichen. » renchérit Rodolphus. « L'autre et bien il a saisi sa chance et tirer une autre fois.... »

« Rien. Un Pow et un beau nuage. » souffla Albus en riant. « Le pauvre semblait tout déboussolé et marmonnait. Je sais pas c'est quoi c'est la première fois que ça m'arrive. »

« Et l'orignal qui avait la patience d'un moine tibétain et, ma foi, l'intelligence d'une poutine, était toujours là à brouter, pensant probablement que chacune des détonations étaient un avion qui passait le mur du son... » plaisanta Rodolphus avant d'éclater de rire.

« Alors...Il a tirer.... un autre coup... » annonça Albus au prit avec un fou rire mémorable.

« Et ça a pas marcher encore une fois » lança Rodolphus en tapant sur sa cuisse tout en riant. « Sauf que là... le bonhomme c'est mis en colère en se mettant à jurer... Ce qui fit fuir le caribou... »

« Et nous fit pouffer de rire » conclut Albus en riant.

L'assemblé (excepté Rogue) éclata de rire avec les deux hommes.

Revenant peu à peu de leur fou de rire, les fêtards retournèrent peu à peu à des conversations individuelles ne faisant point appel à l'attention générale.

Sur le divan, trônant devant le poêle, régnait une totale cohue due à une conversation ayant pour essence quelque éternel racontar de bonnes femmes sur un autre.

Curieusement, enfin si nous pouvons dire, toute la gente féminine de l'auberge s'amusait follement aux dépends du dirigeant de la province, qui aurait soi dit en passant, passé de l'apparence d'une tête de micro feluette à celui de caniche au double menton et à bourlets nombreux. Enfin, c'est ce que racontaient les dames québécoises à Granger et McGonagall qui leur assuraient que leur ministre n'était guère mieux avec ses éternels habits rayés.

Sur le sofa à proximité, Philippe, Malfoy et Lupin avait engagé une passionnante discussion sur la race canine sous le nez d'un Rogue royalement ennuyé par tout ce babillage.

Dans un coin retiré, Hugo et les grumeaux semblaient concocter un plan digne du titre de la plus grande arnaque sous la surveillance discrète du grand, majestueux et imposant........ Rodolphus Dumbledore.

Rodolphus qui lui discutait avec son frère.

« Alors ? » demanda justement celui-ci en regardant le maître des potions « Tu abandonnes ? »

« Jamais » rétorqua Rodolphus en regardant Rogue à son tour. « Je te jure Albus que Severus va relaxer d'ici la fin des vacances ou je ne m'appelle pas Rodolphus. » dit-il à voix basse.

« Alors tu ferais bien de commencer tout de suite à chercher pour un prénom de rechange » commenta Albus en riant doucement.

« Rêve toujours, j'ai déjà un plan pendable en tête.... » murmura Rodolphus en croisant les doigts avec un sourire malicieux.

« Et il consiste en quoi ce plan ? » s'enquit Albus.

« Il débute par un laisser faire d'Hugo et des grumeaux. Je vais retenir l'autorité parentale avec des sorbets à l'érable. » l'informa Rodolphus d'un ton conspirateur.

« Hé bien, c'est à toi de rêver toujours jeune frère » dit le directeur de Poudlard qui voyait un bien meilleur plan, surtout que celui-ci était vouer à l'échec. « Vois-tu un inconvénient à ce que je t'appelle Popol ? » demanda-t-il, alors avec un petit rire.

« Vieux cinglé. » rétorqua Rodolphus avec un sourire, avant de prendre une gorgée de lait de poule agrémenter d'un peu de sirop d'érable.

« Je te retourne la pareille » répondit Albus sur le ton de la confidence en levant son verre comme s'il portait un toast.

En se tournant, le directeur de Poudlard surprit encore une fois le regard de son maître des potions parcourir le corps de sa filleul.

« Oui, il y a décidément un meilleur plan » commenta-t-il pour lui-même. « Mais est-ce que je suis le seul à le voir ? » se demanda-t-il. « Il faudra que j'aiguillonne quelqu'un sur la bonne voix dès demain » conclut-il les yeux pétillants diaboliquement.

À suivre....

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Voià ! Oulà, deux vieux Dumby pour le prix d'un. L'auberge va être un endroit...dangereux où être la journée de Noël....

Bye bye tout le monde et à la prochaine.

Blodauwen et May-Luna