Salut les lecteurs !
Bon, il est vrai que je mets de plus en plus de temps à écrire en ce moment mais… j'ai quelques problèmes.
J'ai un autre ordinateur chez moi avec enregistré dedans des débuts de chapitres (des chapitres presque finis parfois…) mais cet ordinateur à quelques problèmes… il ne veut pas se démarrer. Le problème est que je ne sais pas comment me sortir de ce problème…(faut que je me penche dessus…)
Tout cela pour dire que ceux qui apprécient « Albus Dumbledore, tome 1 » n'auront pas de chapitres avant pas mal de temps… le temps que je trouve une solution.
Ah, oui, j'ai changé de pseudo, je n'aimais pas celui d'avant (drago Malefoy) et je viens de m'apercevir qu'on pouvait le changer à volonté, donc, va pour celui-ci, mais c'est pas encore ça…
REPONSES AUX REVIEWS :
Kritari : Je continu de penser que le verbe 'adorer' n'est pas approprié… mais si tu aimes tant alors, mets toi à genou sur le sol et prosterne toi devant mon texte ! Non, je plaisante, évidemment… bon, et bien merci et à bientôt ! J'espère que ce chapitre sera autant aimé que les précédents !
Ellie351 : Si Harry va rencontrer les personnes avec qui Tristan est allé dans la montagne ? Peut-être… bon, je sais que cela ne t'aide pas vraiment mais je ne peux pas te dire grand-chose… ça gâcherai le suspens. Incorporer Adalbert dans l'histoire est je pense déjà assez… je vais essayer, pour ce chapitre de me concentrer sur notre cher professeur de Potion et de défense… ils ne faut pas les oublier !
Résumé : La famille Potter n'est pas morte. Du moins, pour l'instant... Harry part s'entraîner dans les Montagnes pour rencontre cet étrange "peuple des Aigles" avec un homme ressemblant à Tom Jedusor pour pouvoir 'tuer' Voldemort. Veut-il encore se venger?
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Chapitre 9 : « Les Centaures de la Forêt Interdite»
Severus et Jack cherchait maintenant depuis une semaine Harry. Et il n'avait rien trouvé. Rien ; pas la moindre trace, pas le moindre indice. Harry s'était volatilisé et ce, pas dans la forêt interdite. Du moins, pas dans ce côté de la forêt.
Bon sang, mais cela ne sert à rien ! S'exclama rageusement le professeur de défense, les nerfs à vifs.
Le maître de potion le regarda en haussant un sourcil et retourna à son activité sans ajouter mot. Voir Severus ne pas réagir à ses propos rendait encore plus furibond Jack. Merlin, qu'il en avait assez de cette forêt, de ce paysage morne et de cet énervant collègue ! D'habitude il n'était pas gêné par le caractère de son confrère mais avec son état n'importe quel détail le rendait encore plus de mauvaise humeur.
Le professeur n'était que rarement dans cet état mais avec les circonstances… il se faisait du souci. Beaucoup trop de souci. Normalement, pensa Jack hargneusement, ce serait plutôt à lui de se comporter ainsi…
Il décida de se calmer un peu. Cela ne servait à rien de s'énerver. Il se demandait juste ou ce trouvait Harry en ce moment, s'il était en vie, s'il allait bien, s'il n'était pas blesser. Blessé, c'était très probable… Il soupira.
Tous les professeurs avaient remarqué que le garçon n'était pas dans son état normal. Ce qui d'ailleurs était justifié. Il venait de perdre les personnes les plus chères à son cœur et la seule personne qui aurait pu encore l'aider était tombée dans le coma…
A Poudlard, les professeur avaient respecté le deuil du garçon, ne le dérangeant que très rarement ; mais le garçon avait-il vraiment fait son deuil ? Non, c'était maintenant une certitude. Et personnes n'avait su l'aider, le réconforter dans son malheur. Certains avaient pourtant essayé, vainement.
Personne ne le comprenait, personne ne pouvait l'aider. Même Dumbledore était resté impuissant face à l'attitude du jeune sorcier ; c'était dire.
Jack sortit de ses sombres pensées pour aller se changer les idées. Il en avait bien besoin. Il partit du campement pour trouver un endroit avec de la lumière. Ils n'avaient pas trouvé de clairière les jours précédents pour s'installer, ils s'étaient donc mis près d'un grand arbre à l'écorce noir dont il n'aurait pu dire le nom. Il n'avait de toute façon aucune importance…
Il marcha pendant plus d'une heure, ne se rendant pas compte du temps, plongé dans ses pensées. Il ne savait pas ou mèneraient ces recherches et essayait de ne pas y penser.
Il arriva devant un petit ruisseau et regarda l'eau pendant quelques instants. Pauvre garçon… orphelin si jeune…
Lui-même n'avait jamais eu de famille et savait donc un peu se que pouvait ressentir le garçon. Mais seulement un peu. Lui n'avait jamais connu sa famille alors que lui…
Il n'avait jamais eu de famille tout court ; enfin, il avait eu son vieux grand-père qui s'était occupé de lui mais sinon… il n'avait pas non plus de femme, pas d'enfants. Il avait recherché pendant un temps une personne avec qui il aurait pu fonder une famille, mais ce temps là était révolu.
Il frappa rageusement du pied un petit caillou qui échoua dans le petit ruisseau ; sa colère ne s'était pas encore complètement dissipée. Ce n'était pas son genre de ce soucier autant d'un élève mais là ce n'était pas n'importe quel cas. Il appréciait grandement le garçon, ne pouvant d'ailleurs cacher sa sympathie à son égard. Il ne savait pas tellement pourquoi… en fait si il savait. Le garçon l'avait touché, cachant sa tristesse devant ses amis, voulant rester fort malgré son malheur, malgré sa peine. Cela lui avait rappelé bien des choses… pas forcément bonne.
Il secoua la tête pour chasser de vieux souvenirs qui menaçaient de faire surface. Il ne fallait pas qu'il se décourage. Il retrouvait le jeune sorcier même si cela lui prenait plus de temps que prévu, il le retrouverait.
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Severus recherchait des herbes pour ses potions, certaines très rares et ne se trouvant que dans des endroits bien précis. Il faisait sa cueillette sans se soucier du fait que son partenaire était partit du campement et que cela faisait plus d'une heure maintenant. Il savait bien qu'il finirait par revenir.
Une semaine maintenant ; cela faisait une semaine qu'il cherchait dans la forêt. Il fallait e faire une raison : le garçon n'avait jamais mis les pieds ici.
Le maître des potions réfléchissait activement derrière sa air impassible tout en cueillant ses fleurs et herbes qu'il faisait sécher. Il réfléchissait aux possibilités qu'avait Potter en s'évadant.
Il sautait de la tour d'astronomie, ne laissant aucune trace derrière lui, ne prenant aucun bagage à part sa baguette. Et cela faisait une semaine qu'il le recherchait. S'il était encore en vie à l'heure qu'il est cela relèverait du miracle.
Severus était déjà venu dans la forêt il y a longtemps et s'en rappelait assez pour savoir que l'on ne pouvait survivre dans la forêt sans emporter de vivres. La forêt était beaucoup de chose mais pas du tout accueillante. On ne trouvait pas de plantes comestibles si ce n'est les racines (et encore, cela dépendait de quel arbre) et les sources d'eau étaient rares et très espacées les une des autres dans la forêt. Il fallait être fou pour s'engouffrer dans la forêt sans rien d'autre qu'une baguette. Il plutôt, pensa amèrement Severus, il faut s'appeler Potter.
Son collègue revient dans le campement quelques minutes plus tard et ils décidèrent par quelques mots de déplacer le campement pendant qu'il y avait un peu de lumière traversant la cime des arbres.
Anderson lui fit part de la découverte d'un ruisseau près d'ici et ils partirent prendre un peu d'eau avant de partir.
Ils marchèrent pendant quelques heures, faisant attention à ce qu'ils aillent toujours dans la bonne direction.
Severus était plongé encore une fois dans ses pensées et avaient un peu relâchée l'attention, réfléchissant là où ils iraient si Potter se ne trouvait pas là où il se dirigeait. 'Nous n'allons pas indéfiniment le chercher dans la même direction, songea t-il, il n'a pas pu aller si loin en si peu de temps peut-être qu'il…
Un dur craquement se fit entendre près d'eux. Ils sortirent instinctivement leurs baguettes et se mirent dos à dos, regardant les alentours avec attention. Mais même avec leurs baguettes allumées tout n'était que ténèbres à moins de 5 mètres, ce qui ne leur facilitait pas la tâche.
Quelque chose de votre côté, Severus ? Murmura le plus doucement possible Jack.
Non, répondit Severus, et c'est ça qui me fait le plus peur.
Il continuèrent de regarder les alentours en tournant un peu sur eux même, toujours dos à dos, les sens aux aguets.
Un autre craquement se fit entendre, presque inaudible mais pas imperceptible quand cela fait une semaine que vous marchez dans la forêt.
Quelque chose est…
Taisez-vous ! siffla Severus. Il y avait quelqu'un dans les environ, il en était certain. Et d'après le peu de bruit qu'il entendait, cela venait de plusieurs côtés. Il y en avait donc, pas déduction, plusieurs.
Il y eut un autre bruit derrière lui et son coéquipier sursauta de surprise et sous la pression. Severus se retourna le plus vite qu'il put, prêt à jeter un sort à la créature qu'il découvrirait. Mais il ne jeta pas de sort.
Les centaures.
Ils étaient encerclés de tous côtés et n'avaient aucune issue ; Anderson le regarda, il avait dans son regard de l'interrogation. Une façon de lui demander si les centaures s'entenderait bien avec eux. 'De toute les créatures étant dans cette forêt, pensa Severus, je ne pense pas qu'il y en ait une seul qui soit gentille… même les licornes peuvent être agressives si on s'en prend à leur petits…'
Que faites-vous là, sorciers ? demanda d'un ton tranchant Bane, un centaure au pelage blond. Vous n'avez pas le droit d'être dans notre forêt.
La forêt est à tout le monde, centaure, répliqua sur le même ton Severus.
Bane le regarda en fronçant les sourcils, il n'avait pas l'air d'apprécier la réponse du professeur de potion.
Les sorciers n'ont pas le droit de venir sur le territoire des centaures, sorcier, continua le centaure, et surtout les sorciers venant de l'établissement hors de la forêt.
Nous ne faisons que traverser la forêt, dit Anderson, devançant Severus, nous recherchons quelqu'un.
Severus maudit en pensée ce sot professeur de défense, maintenant les centaures savaient qu'ils cherchaient Potter ! Et s'ils savaient où il se trouvait alors ils ne leur diraient jamais maintenant…
Peu importe la cause de votre voyage, sorciers, rétorqua l'hybride, vous n'avez aucun droit de fouler la terre de notre territoire.
Et bien dans ce cas nous n'avons cas partir et nous ne vous embêterons plus, continua Jack en relevant fièrement la tête, pas impressionné pour deux noises et faisant fit du pied de son collègue qui s'écrasait sur le sien. Severus, lui, aurait bien voulu assommer son collègue pour son manque de délicatesse en matière de répartie ; il n'avait plus aucune chance de s'en sortir maintenant, peu importe ce qu'il dirait pour sauver la mise. Il regarda aux alentours pour voir une sortie, mais évidemment il n'y en avait pas. Il y avait une bonne dizaine de centaures les encerclant, certains tapant du pied d'impatience et devant la naïveté du professeur de défense.
Je ne crois pas, sorciers, dit le centaure en s'approchant doucement des deux professeur, vous avez osé venir dans notre territoire et maintenant vous allez en payer le prix. Nous n'acceptons pas les gens de votre espèce sur nos terres et ferons tout pour que plus aucun sorcier n'ose venir nous déranger.
Les centaures se rapprochaient dangereusement, faisant tout de même attention aux baguettes magiques des deux sorciers, connaissant leur pouvoir beaucoup plus grand par apport à leurs arcs et flèches.
Ne résistez pas, sorciers, dit un centaure de la bande, cela ira beaucoup plus vite si vous vous laissez faire…
Vous êtes content Anderson… Siffla hargneusement Severus, grâce à votre petit discours ils veulent nous tuer ou peut-être pire…
Ce n'est pas la peine de tout me remettre sur le dos ! répliqua son collègue, c'est juste que…
Il ne finit pas sa phrase, un centaure les ayant attaqués. Severus envoya des stupéfixes à tire de bras et essaya d'échapper aux sabots qui s'abattaient sur lui, ne voyant plus Anderson.
Il envoyait des sortilèges de toutes sortes pour échapper aux créatures mi-homme, mi-animal et essayait de voir combien ils étaient. Mais il était impossible de donner un chiffre exact, des centaures arrivant de tout côté pour les attraper.
Un centaure au pelage noir et de forte carrure l'attaqua en ruant, essayant de lui donner un coup, il réussit à le contrer le coup de justesse avec un sortilège qui se répercuta sur le sabot du centaure qui continua de l'attaquer avec d'autres. Il réussit à se battre pendant encore quelques instants mais il voyait bien qu'il ne tiendrait pas longtemps face au nombre de centaure face à lui. Alors qu'il échappait à un coup d'un centaure il ressenti une grande douleur au niveau du ventre. Puis un autre au niveau de la tête… Il se sentit tituber et vu au loin Anderson au sol, inconscient. Il tomba peu à peu mais ne sentit pas le choc du sol, il était déjà inconscient.
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Ils marchaient depuis l'aurore maintenant, sans avoir fait de pauses n'y avoir parler. Ils avaient quitté tôt le matin Adalbert qui avait eu l'air un peu abattu à leur départ, ce qui était normal, il ne voyait presque personne dans les montagnes.
Harry regarda le paysage et le trouva beau, bien qu'un peu triste. Il n'avait pas bien compris Adalbert dans son résonnement mais il savait que l'homme n'était pas mauvais. Il était juste un peu trop seul ; la solitude devait le peser de jour en jour. Ce gardien… gardien des montagnes.
Nous n'allons pas faire de pause pour déjeuner, même si nous avons bien avancé ce matin nous ne devons pas perdre de temps.
Harry sentit perdre le peu d'entrain qu'il avait. Une pause lui aurait fait le plus grand bien, mais, puisqu'il fallait continuer…
Ils mangèrent par petites bouchées tout en marchant, tout deux dans leur pensées. Harry n'avait pas envie de briser ce silence, il avait tant à penser.
Il aurait bien voulu continuer l'entraînement, mais dans les montagnes… Tristan lui avait dit que monter un tel col était déjà un entraînement mais cela n'avait aucunement atteint Harry ; Il préférait de loin essayer de faire de sa magie que de monter ces monts inaccessibles…
Quand nous serons tout en haut, dit Tristan en s'arrêtant un peu, haletant, nous continuerons l'entraînement comme nous l'avions laissé. Bien que nous utiliserons d'autres méthodes dont je te parlerai plus tard…
Evidemment, pensa rageusement Harry, plus tard… je me demande quand ce ne sera pas plus tard…
Il marchèrent pendant encore une heure puis décidèrent d'un commun accord de s'arrêter. Il était trop fatigué pour continuer. Harry avait vu un léger changement dans le décor –bien qu'il y ai surtout que des rochers et des pierres, il n'y avait plus du tout de végétation. Plus d'herbe, plus d'insecte, plus de trace vie. Et pourtant il restait une plante, constante, une plante aux pétales jaune clair virant vers le blanc. Il n'avait pas remarqué ces fleurs avant mais maintenant qu'il ne restait plus qu'elle…
Il aurait pu se risquer à poser la question à Tristan, mais il s'abstint. Il ne répondait de toute façon jamais à aucune question…
Le soir, ils se couchèrent à la belle étoile ; il n'y avait aucun autre endroit pour dormir.
Harry frissonnait dans sa couverture, trouvant le froid trop dur à supporter, même en été. Il ne pouvait faire de feu et il était déjà à une bonne altitude… Il cherchait le sommeil mais en vin. La respiration à coté de lui était régulière et il en conclu que le sorcier s'était déjà endormi.
Il se blottit dans sa couverture et essaya de se concentrer sur le silence. ; peut-être qu'ainsi il trouverait le sommeil.
Alors qu'il allait passer dans le monde des rêves, il entendit un bruit près de lui. Il mit à genou, la baguette levée devant lui, en alerte.
Lumos…
Il regarda aux alentours mais ne trouva que du vide. Il se mit debout, toujours baguette levée, et marcha dans les environs pour regarder s'il n'y avait pas quelque chose. Il ne trouva que la rocaille qui commençait à lui être familière avec le temps.
Il soupira et alla se recoucher, pensant que tout ceci n'était que le fruit de son imagination. Il ne mit pas longtemps à plonger dans le sommeil.
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Severus avait l'impression que des enclumes s'abattaient sur sa tête tout en la lui transperçant. Il essaya d'oublier un peu la douleur et d'ouvrir les yeux. Où était-il ?... il y avait bien trop de lumière… qui avait mit sa lampe à pétrole au maximum ?...
Il essaya de rouvrir les yeux un peu plus doucement et de s'habituer à la lumière. Sa manœuvre marcha avec succès. Mais il y avait juste un problème… il n'était pas dans sa chambre. Autours de lui il y avait des arbres et un immense roc en forme de voûte. Et des cheveux aux torses humains…
Severus se souvint et la première chose qu'il fit fut de pester contre cet imbécile d'Anderson. Grâce à lui il était prisonnier des centaures et il ne sentait plus sa tête… ou plutôt la sentait trop.
Il regarda où se trouvait l'autre sorcier et le vit, accroché contre un jeune arbre, regardant autours de lui en essayant d'enlever ses liens.
Severus leva les yeux au ciel devant tant de sottise, son collègue ne connaissait visiblement pas la gravité de la situation. Il est encore heureux qu'ils soient encore en vie.
Il regarda à quoi il était attaché : un arbre un peu plus large que celui d'Anderson. Et les liens avaient l'air d'être fait par des experts en la matière, il n'y avait pas moyen de les défaire. Il aurait fallu un couteau…
Anderson parut se rendre compte qu'il n'était pas seul à être réveillé et regarda Severus en ouvrant des yeux ronds auquel Severus répondit par un air exaspéré.
Severus… chuchota Anderson, vous êtes sur que tout va bien ?
J'ai l'impression que ma tête s'est fait écraser par un troupeau d'hippogriffe… ce qui n'est pas loin de la vérité, répondit ironiquement le professeur de potion.
Le professeur Anderson détourna les yeux et Severus se demanda, avec le peu de lucidité qu'il avait, ce qui pouvait bien faire détourner les yeux du professeur ainsi. Il n'était pas du genre à se faire marcher sur les pieds, ni à reconnaître ses fautes en ayant l'air désolé.
Sa réflexion fut interrompue par son mal de crâne devenant encore plus fort. Il sentait le sang pulser à ses oreilles et un poids énorme contre on front.
Il plissa les yeux pour voir le professeur Anderson, tout était flou, d'après ce qu'il voyait, son collègue avait l'air affolé.
Sa tête dodelinait de droite à gauche, cherchant un juste milieu. Le sol bougeait bizarrement… l'homme fit tout pour garder les yeux ouvert mais la douleur lui fit changer d'avis.
Il ne voyait plus rien, il sentait que tout bougeait autours de lui… sa tête lui faisait mal…
Il retomba dans l'inconscience.
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… Fin du chapitre…
J'espère que celui-ci vous aura plus… je prend de plus en plus de temps pour écrire mes fics, généralement, les chapitres n'en sont que meilleurs.
A bientôt,
P.
