Transplaner ne fut pas la meilleure idée qu'il eut de sa vie. Le processus en tant que tel avait évidemment très bien fonctionné – Rogue avait nombre d'expériences de transplanage lorsqu'il ne sentait pas très bien – mais c'était la partie où il devait se mouvoir qui lui faisait faux bond présentement. Immédiatement après son transplanage dans la forêt interdite, Black n'étant pas là pour le soutenir, il s'effondra au sol, laissant sortir une série de jurons qui aurait même fait rougir Lucius Malfoy. Rogue ne s'arrêta pas avant de hurler à nouveau de douleur, puis se tut rapidement, réalisant que ce n'était pas vraiment le moment d'attirer l'attention sur lui. Il regarda autour de lui, mais n'aperçut rien. Rien du tout : rien de dangereux, rien de vivant, et certainement rien qui ressemblait à Sirius Black. Où diable est-il passé ?
Rogue grogna de colère, mais même ce geste sembla demander beaucoup d'énergie. Il réussit à s'asseoir, grimaçant à cause de ses côtes brisées, et jeta un coup d'œil à la forêt autour de lui. C'était assez coloré pour un endroit qui était supposé être sombre... Joli, pensa-t-il stupidement. Ça ressemble presque à une pensine aux couleurs de l'arc-en-ciel... Soudainement, avant même de se rendre compte qu'il y était, il était allongé sur le dos, admirant le peu de ciel qu'il pouvait apercevoir à travers les arbres. Les arbres également bougeaient, dansant comme dans une mini-tornade tempérée, se laissant lentement balancer. Bizarre, pensa-t-il. Je n'ai jamais vu ça avant.
"Rogue ?" appela une voix qui lui semblait distante. Il réalisa vaguement que ce nom était crié depuis quelques temps déjà. J'espère qu'ils ont trouvé la personne qu'ils cherchent... Il n'avait jamais réalisé comment le sol de la forêt était confortable. Dommage qu'il y ait quelque chose qui l'agaçait sous son dos. Autrement, il aurait très bien pu s'endormir. "Severus !" Rogue se retourna en direction de la voix, furieux de cette interruption. Mais attends un peu.. Il prit une grande respiration et sa tête cessa de tourner. Qu'est-ce que je suis en train de faire ? Reviens à la réalité Severus ! Il entendait des pas s'approcher, puis, soudainement, Sirius Black était debout en face de lui.
"Mais qu'est-ce que tu fais ?" lui demanda Black confus. Rogue soupira, trop en colère pour songer à mentir.
"Ma jambe est brisée," répliqua-t-il.
"Pourquoi tu ne l'as pas mentionné avant espèce d'idiot !?" lui demanda Black. Rogue le fixa furieusement. "Oh, laisse tomber. Ferula."
Essayant d'oublier le fait que Black lui avait mis une attelle, quelque chose qu'il n'était pas capable de faire lui-même dans le moment, car il se sentait trop étourdit, il commenta sarcastiquement, "Je n'avais pas réalisé que tu étais médicomage Black."
"Je ne le suis pas. Tu viens, en fait, de me tester aux limites de mes habiletés à ce sujet, alors n'espère pas de miracles. Bon, maintenant, qu'est-ce qui ne va pas non plus ?" s'informa-t-il.
"Des côtes cassées, un crâne fêlé, et un peu trop de sortilèges Endoloris." Ça ne servait à rien de lui mentir. Il se sentait affreusement mal, mais regarda suspicieusement Black alors qu'il faisait apparaître un brancard. "Je ne me coucherai pas là-dessus. Je peux marcher."
Black lui fit face. "Ne sois pas stupide Rogue. Je suis certain que tu es capable de marcher, mais tu vas faire énormément de bruit et nous allons trop ralentir le pas. Tu sais aussi bien que moi qu'ils vont nous poursuivre dès qu'ils auront remarqué ton absence."
"Très bien" répliqua Rogue. Cet abruti avait raison, et le professeur savait très bien que le transplanage pouvait se détecter avec la magie noire. Ils allaient avoir besoin de toutes les longueurs d'avance qu'ils pouvaient obtenir. C'était pour cette seule et unique raison qu'il accepta de se faire transporter sur le brancard.
Lorsqu'il y fut monté, le brancard se souleva doucement du sol, et suivit Black à travers la forêt. Ils voyagèrent en silence. Rogue regardait l'autre sorcier, incertain dans cette forêt, mais Black semblait savoir parfaitement où il s'en allait. Ce n'est pas difficile de savoir pourquoi, pensa-t-il irrité. Évidemment qu'il connaît le chemin. Il a probablement été ici des millions de fois avec Lupin et ses autres amis. Il devait cependant admettre que l'expérience de Black était très utile en ce moment. Rogue n'avait jamais aperçut le moindre signe d'un sentier, ce qui voulait dire qu'ils se tenaient loin d'un endroit où les Mangemorts pourraient les approcher. La plupart des Mangemorts avaient, après tout, étudiés à Poudlard, et, au contraire de Black (mais tout comme Rogue), ils avaient un soucieux respect de l'étrange collection de créatures et de bêtes qu'abritait la forêt, et voulaient rester le plus loin possibles d'elles. Rogue espérait que ce serait assez pour les maintenir sur le sentier s'ils venaient.
Black avança rapidement dans la forêt, avec une confiance que Rogue enviait alors qu'il devait rester étendu sur le dos. De temps en temps, quelques créatures criaient au loin, mais aucune d'entre-elles n'approchaient. Black ne semblait pas s'en préoccuper. Rogue s'efforça à chasser les bêtes de son esprit. Il était, après tout, un sorcier d'expérience, et connaissait plus d'une formule pour combattre des créatures hostiles. Ce n'est seulement que si tu es capable de le faire présentement, lui rappela la petite voix arrogante. Tu es extrêmement faible en ce moment.
Ferme-la !
Rogue savait toutefois que la voix avait raison. Il n'était pas aussi faible qu'il l'avait été plus tôt, mais transplaner lui avait pris toutes les réserves d'énergie qu'il lui restait. Il savait qu'un sorcier exténué et chambranlant serait porté à produire des résultats disons très incertains. Sans mentionner que la douleur est la façon la plus facile de perdre ta concentration. Maudit Voldemort. Je ne me suis jamais senti aussi mal dans toute ma vie. Une pensée vint alors frapper son esprit.
"Pourquoi Dumbledore t'a envoyé, toi ?" demanda-t-il. "Et comment as-t-il su où j'étais ?"
"Ce n'est pas Dumbledore qui m'a envoyé."
"Quoi ?" Rogue releva la tête et le regarda incrédule. Puis, il y repensa, et tout commença à faire du sens. "Attends une minute. Tu étais chez les Weasley. Je pensais avoir reconnu la signature de ces barrières. C'était les tiennes."
"Les miennes et celle de Remus, oui," répliqua Black en le regardant par-dessus son épaule. "Tu es bon. Nous pensions avoir camoufler notre signature assez bien."
"C'était très bien fait," admit Rogue à contrecœur, essayant de deviner si Black venait oui ou non de le complimenter. Repoussant cette pensée, il continua. "Tu es donc la personne que Dumbledore a envoyé pour aller chercher Potter. Pourquoi tu ne t'en aies pas tenu là, chez les Weasley ?" Il devait le savoir, même s'il se sentait un peu mal à l'aise. "Pourquoi es-tu venu me chercher ?"
Black demeura silencieux un long moment, puis il lui répondit finalement, ses yeux fixant la forêt. "Tu as risqué ta vie pour sauver celle d'Harry," dit-il doucement. "Je ne pouvais pas te laisser mourir."
"Même après le passé que nous avons eu ? renchérit Rogue.
"Je ne t'aime peut-être pas Rogue, mais ça ne veut pas dire que je pense que tu mérites de mourir dans les mains de Voldemort," répondit Black avec franchise.
L'honnête réponse déstabilisa le Mangemort. Cherchant une réponse, il décida finalement de se réfugier dans le sarcasme pour dissimuler son inconfort. "Tu penses maintenant que nous sommes quittes pour ce tour que tu m'as joué, je suppose ? Tu te sens mieux maintenant que tu m'as sauvé la vie parce que tu penses que ça peut effacer le fait que tu aies essayé de me tuer une fois, n'est-ce pas ?"
À ses mots, Black s'arrêta et le fixa. Son visage était de glace, mais Rogue avait l'impression qu'il luttait pour calmer son tempérament. Bien. Je te dois de la colère et de l'anxiété pour au moins une vie entière, pensa-t-il irrité. J'espère que tu as des remords à propos de ce petit tour. Conard. La mâchoire de l'autre homme travaillait furieusement, et Rogue souhaita qu'il puisse juste ravaler sa colère et continuer à avancer avant qu'ils ne se fassent repérer. Finalement, Black parla.
"Si tu n'avais pas encore compris que c'était stupide, que ce tour adolescent n'avait pour but rien d'autre que de t'effrayer, tu es moins intelligent et mature que je le pensais," répondit-il. " Et non, ce n'est pas la raison pour laquelle je t'ai sauvé. Je l'ai fait parce que je respecte ce que tu as fait dans la guerre contre Voldemort. Tu as sacrifié énormément de choses, et je respecte ça aussi. Et je te dois d'avoir sauver la vie d'Harry et de m'avoir averti de votre arrivée."
Ce n'était certainement pas la réponse furieuse à laquelle Rogue s'attendait, et il fut tellement pris par surprise, qu'il ne répondit rien. Il le regarda fixement. Black fit de même. Leurs yeux se rencontrèrent, pour une fois, sans arrogance. Il n'y avait aucune trace du garçon trop sûr de lui de Poudlard dans son visage, seulement un homme que Rogue ne reconnaissait plus du tout. Ils se regardèrent un long moment en silence.
"Je ne t'aimerai probablement jamais Rogue," admit Sirius Black. "Mais je te respecte, toi et tes habiletés." Sans prévenir, il lui tendit sa main droite.
"Dumbledore nous a déjà demandés de faire une trêve, mais nous savons tous les deux que ni l'un ni l'autre n'étaient sincère. Il avait toutefois raison. Nous sommes dans le même camp. Je propose que nous refassions cette trêve maintenant."
Rogue ouvrit la bouche pour dire non, mais s'arrêta. C'était une réaction instinctive de le désapprouver, réaction née des années de haine mutuelle. Il avait, lui-même, changé de manière très significative depuis sa scolarité à Poudlard. Était-il possible de croire que Black avait également changé ? Et même si ce n'était pas le cas, qu'est-ce que ça pouvait bien faire ? Il a raison, s'admit finalement Rogue. Nous sommes dans le même camp. Dumbledore nous l'avait dit mais je n'écoutais pas vraiment. Il lança un regard vers son sauveteur, et se sentit ironiquement amusé. Au moins je n'étais pas le seul à le faire. Il tendit sa main droite vers Sirius Black, en se relevant un peu.
"Trêve," commença Rogue.
Black souria très légèrement. "Trêve."
Leur poignée de main fut un peu plus longue que celle qu'ils s'étaient donnés quelques mois plus tôt dans l'infirmerie, et cette fois, Rogue fut certain qu'il n'allait pas se retrouver avec un cas lourd de furoncles s'il touchait sa main. Quelques minutes plus tard, Black avançait encore une fois, et Rogue sentit son brancard prendre de la vitesse alors qu'il suivait Black. Ils continuèrent en silence, mais cette fois, ce silence n'était pas aussi inconfortable qu'il l'avait été plus tôt. Soupirant silencieusement, Rogue fixa le ciel et commença à se demander quel genre d'étudiants il allait avoir à Serpentard cette année. C'était une vieille habitude qu'il ne s'était jamais permis d'oublier avant aujourd'hui. Probablement parce je ne pensais pas vivre pour les voir, admit-il intérieurement.
Il se sentait bizarrement libre. Il sentait que ça vie était, enfin, la sienne. Elle lui appartenait. C'était vraiment étrange, mais également très libérateur. Il savait, intellectuellement, que Voldemort allait évidemment faire de lui une cible, mais il pouvait l'accepter. Il pouvait accepter d'être pourchassé par des Mangemorts partout où il irait, parce qu'il savait que la défaite de Voldemort viendrait. Il pouvait maintenant agir en toute liberté contre le Seigneur des Ténèbres ; il n'avait plus à se glisser dans l'ombre ou à vivre un mensonge. Il était enfin libre.
"Hé, regarde, c'est un loup-garou," commenta soudainement Black, le faisant soudain sortir de sa rêverie.
"Quoi ? Où ?" Rogue attrapa rapidement sa baguette. Alors qu'il était prêt, il sut ce qu'il se passait. Black croulait de rire.
"Black, espèce de con !" Il regarda autour de lui dans l'espoir de trouver quelque chose à lui lancer, mais ne trouva rien d'autre que sa baguette. Il aurait maintenant donné n'importe quoi pour étriper l'autre sorcier. Black se retourna finalement vers lui, ses yeux brillant d'amusement, mais essayant quand même de contrôler sa joie.
"Tu as définitivement besoin d'un sens de l'humour Severus," souria-t-il.
"Salaud," siffla Rogue, mais il aperçut le sourire sur le visage de son accompagnateur, et soupira. "Très bien, tu m'as eu. Es-tu satisfait ?"
"Pas jusqu'à ce que tu apprennes à prendre une blague," renchérit Black en recommençant à avancer.
"Jamais," grogna-t-il.
"Ne me mets pas au défi Rogue !"
"Conard."
Ils avancèrent en silence pendant environ une bonne dizaine de minutes, et Rogue estima qu'ils devaient être maintenant au moins à moitié chemin de l'école. Il regarda à nouveau le ciel, essayant de deviner l'heure, mais c'était difficile. J'espère que nous allons arriver avant ou après la Cérémonie de la répartition. Je n'ai pas vraiment envie d'atterrir au milieu d'une bande de première année indisciplinés en route vers le château.
"Rogue ?" La voix de Black interrompit son train de pensée.
"Hmm ?," grogna-t-il.
"Pourquoi as-tu fait ça ?"
Le sérieux de sa voix fit soupirer Rogue. Il n'y avait qu'une seule possible question que Black demandait, et il était probablement la seule personne assez stupide pour le lui demander. Personne d'autre n'avait jamais osé. "Pourquoi ai-je trahi Voldemort tu veux dire ?"
"Oui."
Il pensait qu'il pourrait refuser de répondre, mais ça ne semblait pas être le cas. L'homme lui avait sauvé la vie après tout, et une autre confrontation ne leur serait pas très utile. Ça ne ferait que les ralentir, et dans le fond, Rogue était capable de survivre à cette question. Ce n'était pas comme s'il ne se l'était pas posée des millions de fois auparavant. Étonnamment, Black ne le provoquait pas dans l'attente d'une réponse. Il continua à avancer, attendant seulement que Rogue soit prêt à parler. Rogue soupira malgré lui.
"Je suis devenu fatigué de prétendre que j'aimais ça," répondit-il doucement. "J'ai réalisé que je n'appréciais pas de regarder les gens souffrir. Le pouvoir n'était pas si attrayant que ça dans cette optique."
"Tu n'avais jamais vraiment semblé être de ce genre," approuva Black après un moment.
"Quoi ?" Rogue fixa son dos, confus.
Black haussa les épaules. "Tu étais un abruti, c'est sur, mais tu n'avais jamais été, je ne sais pas... assez cruel, assez sombre. Tu semblais trop te forcer."
"Je vais le prendre dans l'esprit avec lequel c'était voulu," répliqua Rogue, incapable de trouver autre chose à dire.
Ils continuèrent en silence pendant une minute ou deux, puis, une question commença à ronger l'esprit de Rogue, et il commença à se demander s'il devait la lui poser. C'était quelque chose qu'il s'était toujours demandé et qu'il n'avait jamais été capable de comprendre, et puisqu'ils semblaient jouer au jeu des questions-réponses (impressionnant qu'est-ce qu'une promenade en solitaire dans la forêt interdite pouvait faire), il supposa qu'il pouvait au moins lui demander.
"C'est à mon tour," dit-il soudainement, et se mordit la langue presque aussitôt. Il n'avait pas voulu parler tout de suite !
"Pour ?"
Rogue leva les yeux en signe d'exaspération. Cela semblait évident ! "Pour poser une question."
"Et ?" provoqua Black. La méfiance se devinait dans sa voix. Bien.
Pourquoi aucun des trois ne l'avez jamais renié ?
Il crut voir les épaules de Black se crisper. Ce dernier lui demanda, "Remus ?"
"Oui."
"Parce que ce n'est pas de sa faute s'il est un loup-garou," lui répondit immédiatement Black." Et parce qu'il est un bon gars. Les gens l'ont toujours repoussé pour ce qu'il est sans jamais regarder qui il est. Ce n'est pas correct, et ce n'est pas juste pour lui. À chaque jour, excepté les jours de pleine lune, il est un gars intelligent et sympathique, mais ce qui lui arrive une fois par mois est suffisant pour que tout le monde le craigne, même les gens qui devraient comprendre son cas."
Rogue se demanda si la dernière partie lui était réservée, mais chassa rapidement cette idée de son esprit. "Il est dangereux."
"Seulement une fois par mois."
"Vous êtes devenus des animagi pour lui. Tous les trois," ajouta Rogue incrédule. "Vous auriez pu vous tuer en faisant cela. Qu'est-ce qui vous a poussé à essayer ça ?"
"L'amitié."
Rogue roula les yeux. "Rien n'est aussi simple."
"Ah non ?"
"Tout le mode agit avec des arrière-pensées," lui répondit Rogue.
"Alors quels étaient les tiens pour trahir Voldemort et devenir un espion ?" riposta Sirius.
"Je voulais m'en aller," Rogue balaya ses mots perçants de son esprit. "Je l'ai fait pour moi."
"Si tu ne voulais que t'en aller, tu aurais pu courir et t'enfuir," lui fit-il remarquer.
"Et mourir."
"Et devenir un espion était moins risqué, je suppose ? Tu ne peux pas me dire ça. Tu savais exactement ce que tu risquais, et tu as décidé de le faire quand même. Tu en as presque payé le prix ce soir." Black le regarda par-dessus son épaule à nouveau. "Où sont les arrière-pensées là-dedans ?"
Rogue le regarda du coin de l'oeil. Il répondit, "Je l'ai fait parce que c'était la bonne chose à faire."
"C'était exactement ce que j'étais en train de te dire. Il y a des choses qui sont aussi simples que ça," lui dit doucement Black. Rogue le regarda irrité. Pourquoi cet abruti devait avoir raison ? L'autre sorcier souria légèrement. "Tu aurais du être un Griffondor, Rogue."
"Pardon ?" dit-il bouche-bée, s'étouffant presque avec sa propre langue. Rogue sentit ses yeux sortir de sa tête. Il n'avait jamais été aussi insulté de sa vie ! Cela lui prit un bon moment avant de réussi à parler, et même à ce moment, sa voix était un grave murmure. "Je suis certain que tu voulais me faire un compliment, Black, mais si ça ne te dérange pas trop, je vais demeurer un Serpentard."
Nda : Bonjour tout le monde ! Hé oui un autre chapitre pour votre bon plaisir j'espère :) J'attends avec impatience vos commentaires ! Nous serons de retour avec Harry et sa bande au prochain chapitre ! À bientôt :) Et encore merci pour vos reviews ! Izabel –xx- :)
