ALors, avant la suite, merci aux reviewer!
Merci à...
serpentis-draco: Ils sont partis! Mais, vont-ils finir, par s'entendre? that is the question... onarluca/artémis: Contente que ça t'ai plu! voici la suite! Aqualine d'Aquarius: sisi! faut boire de la soupe! ça fait grandir! mdrr inouko: bravo pour le reccord de la review! mdr merci beaucoup!Non, rassure toi, Vernon ne le drogue pas! QUadn aux travaux, non, car, même si ils sont
protégés, les Dursley ont peur de Harry, et de son parain, dont ils ignorent tout,
et aussi de l'ordre du phénix...
Et, non, pas encore, mais pourquoi pas... non, pas pour celle ci, sinon, j'aurai pas le temps de tout mettre avant mes vacances... je pense que ça couperai pile à l'épilogue, ce qui n'irai pas du tout pour vous!
Chapitre 3 : Aveux.
Déjà trois semaines étaient passées depuis l'arrivé de Draco chez Harry, et les deux avaient appris à s'entraider, à se comprendre, mais toujours pas à devenir amis. Il y avait bien plus d'un monde entre eux deux. Harry, lui refusait de devenir réellement ami avec celui qui avait tant traité ses amis… Encore, s'il n'avait s'agit que de lui. Mais, jamais il ne pourrais pardonné les fourberie que le Serpentards leur avait fait subir leur 6° année… De plus, il ne comprenait pas pourquoi le Serpentard lui en voulait tant.
Harry ! Draco ! Qu'est-ce que vous faîte devant la télé !
On regarde ce truc pourrit parce qu'il pleut et qu'on veut pas sortir…
Répondit Draco, littéralement hypnotisé par la télévision, chose qu'il disait pourit, mais dont il raffolait… Hé ! C'était la première fois qu'il regardait les feux de l'amour quand même !
Draco se prit une baffe phénoménal et en tomba de sa chaise…
Et bien vous n'avez qu'à monter. Les gens de votre espèce ne devraient pas être autorisé à regarder NOS émissions !
Draco voulut répondre mais la haine qui possédait l'oncle Vernon l'en dissuada.
Allez, viens.
Dit tranquillement Harry en traînant Draco par le bras jusqu'en haut. Ce fut une fois dans leur chambre que Draco craqua :
Lâche moi ! C'est bon je sais marcher ! Tu te laisses faire toi ? Hein, tu te laisses faire ? Je te croyais Gryffondor !
'Tain Malfoy, t'as oublié se qu'à dit Dumbledor, ils sont protégé ! Tout se qu'on va gagner, c'est une visite du ministère, et j'ai pas envi que tout le ministère sache que tu es chez moi !
Malfoy tournait rond… Un sale temps qu'il faisait pour ce moi de juillet. S'il faisait beau, ils auraient au moins put sortir se détendre un peu. Bientôt, l'adolescent reprit :
Mais j'en ai ras le bol de ce trou perdu où on reste confiné dans une chambre ! Qu'est-ce que j'ai fait pour mériter de me retrouver avec ce chouchou de Potter !
Harry réagit au quart de tour :
Tu crois peut-être que ça me plait de rester avec toi ?
Ca ne te dérangeait pas quand je t'ai sorti de ton cauchemard…
Harry ne répondit rien…
Ha ! J'ai cloué le bec à Mister Potter ! T'inquiète fillette, je dirais rien !
Mais c'est pas vrai ! On avait dit qu'on restait correct pendant les vacances pour pas s'entre tuer et pas aggraver la situation ! Dit moi pourquoi tu m'en veux autant merde ! J't'ai jamais rien fait ! C'est toi qui as commencé à agresser mes amis dès le premier jour !
Malfoy baissa la tête, ses points fermés tremblaient…
Tu peux pas savoir se que tu m'as fait Potter… Tu peux pas se que c'est de voir son père perdre le contrôle de lui même jusqu'au point de tuer son propre fils. Tu peux pas savoir se que c'est de voir un père perdre toute sa tête juste quand on disait « Potter ». Tu peux pas savoir…
En effet Malfoy, je ne peux pas savoir… Et tout ça parce que le maître de ton salaud de père a tué le mien quand j'avais un an.
Malfoy se jeta sur Harry, l'agrippa et le plaqua au mur.
Mon-père-n'est-pas-un-salaud ! Compris ?
Malfoy pleurait presque. Harry murmura :
Mon dieu Malfoy… Qu'est-ce qu'il t'a fait pour que tu essayes de te convaincre de quelque chose, chose que toi même tu trouves fausse…
Malfoy tremblait. Une larme coula sur sa joue. Puis il lâcha Harry et s'assit sur son lit en se prenant la tête dans les mains… Harry s'assit à ses côtés.
Ecoutes, Malfoy, on est pas amis, je le sais bien, mais jamais tu pourrais parler de ça aux brutes qui te servent de substitut en tant que tel…
Malfoy renifla pour empêcher les larmes de couler.
Depuis que je suis tout petit, je sais que mon père est fou… Le jour où Voldemort a disparut, mon père a dit que s'était ta faute, il m'y a conditionné… Depuis que je suis tout petit, il me rentre en tête qu'être mangemort est la meilleur chose au monde, que le rester en secret est super dur, et qu'on peut donc en être fier. Il me disait que Voldemort était un mec bien qui menait une guerre sainte. Tous les jours, il me répétait que toi Potter, tu était le diable, celui qui avait tuer cet homme si bien. Dès que quelqu'un prononçait ton nom, il le tapait. C'est là que j'ai sut qu'il était fou, mais j'ai quand même continué à le croire sur Voldemort. Quand je suis arrivé à Poudlard, j'étais dérouté. Tout le monde craignait mon héro : Voldemort. C'est… C'est comme si mon père m'avait toujours raconté que la couleur rouge était verte. Et là, tout le monde me dit Que le rouge est rouge et que le vert est vert ? Tu suis ? Comme si on m'avait dit que les professeurs étaient de l'argenterie (nda : celui qui trouve de quel livre est tiré l'ID, il est fort !). Et que quand tu rentres en cours, tu vois que se sont des gens normaux… Je me sentais mal, si différent des autres. Je me sentais minable d'avoir cru mon père. J'avais l'impression d'être plus bas que terre… j'était furieux contre moi même car je savais que j'était dingue d'avoir cru qu'un mec qui en tuait d'autre pouvait être bon… Mais il n'était pas question de ridiculiser mon père et moi même. Alors même si j'ai souvent voulut l'étrangler, ce père fou qui m'avait caché la vérité, je l'ai toujours défendu, lui et ses idées… Mais tu vois, toi, par contre, tu étais la preuve vivante de ma débilité. Pas une seule fois ou je t'ai vu, je n'ai cessé de me trouver ridicule, toujours plus ridicule que la fois d'avant. Alors j'ai commencé à obéir à mon père sous condition… Je voulais protéger mon frère de mon père. Je lui obéissais s'il laissait mon frère tranquille. Dorimen n'a pas était aussi conditionné que moi. Je lui ai tout apprit la vérité. Peut-être n'aurais-je pas du… Puis les années ont passées. Mon père était de plus en plus fou et me taper, moi et mon petit frère… Je pouvais me dire se que je voulait, n'empêche que mon père, c'était mon père, et la façon qu'il avait employé pour me conditionner m'empêchait encore parfois de distinguer ses idées et les miennes. J'avais d'être lui, mais en plus jeune. Je me dégoûtais, et j'ai toujours reporté ce dégoût sur toi… Seul mon frère me poussait au fond de moi à obéir… Puis vient le début de cet été… Mon père a tué notre Hypogriffe car il lui rappelait Hagrid, et donc toi. Mon frère n'a pas supporté de voir son ami se faire tuer. Il l'a traité de tous les noms. Il l'a traité de lâche, d'ordure… Tout se que je n'ai jamais eut le courage de lui dire… Je suis sur qu'il aurait était à Gryffondor…
Sa voix se brisa en un sanglot. Harry avait peur de connaître la suite, mais il dit :
Je ne savais pas que tu avais un frère, mais, pourquoi… Pourquoi aurait était ?...
Mon… Mon salaud de père à prit un bâton et a commencé à le battre… J'ai voulut l'arrêter, mais il à mit une protection autour de lui, et m'a ligoté, en m'obligeant à regarder en me répétant « tu vois que j'aurais dut m'occuper de lui comme toi ? Tu vois, tu vois ? Observe ta bêtise et apprend ! ». Jusque là, il voulait juste le battre. Il le tapé, mais là n'est pas le pire… Après une dizaine de coup de bâton, mon frère s'est relevé et a craché d'une voix cassé « J'espère franchement que je serais envoyé à Gryffondor, je pourrais être avec Harry Potter, lui, au moins, il est juste et courageux, c'est pas un traître et un lâche de bas niveau »… J'ai hurlé pour essayer de couvrir ses paroles, mais il était trop prêt de mon père pour qu'il ne l'entende pas… Alors il a recommencé à le taper, taper, taper sans arrêt, c'était horrible. Je pleurais. Je voulais l'aider, j'ai rien pu faire… Puis mon père m'a libéré tranquillement et… et… et…
Sa voix était remplit de haine, déformé par la souffrance que lui faisait revivre se souvenir.
Et il m'a prit le corps brisé de mon frère dans les bras, et s'en est allé. Mon frère était encore en vie à cet instant. Faible, amoché de partout, il m'a murmuré dans un dernier soufle « Promet moi de ne pas devenir mangemort grand frère. Je vais rejoindre James et Lily. Je suis sur qu'il m'accueillerons, car ils ont vu ceci… Draco, ne m'oubli pas…» Et il a commencé à avoir vraiment du mal à respirer. Sa bouche s'ouvrait et se fermait comme s'il conversait avec des démons qu'on ne pouvait voir… Ses yeux se sont fermés, et avec une lenteur extrême, sa tête a basculé en arrière alors qu'il expirait, dans mes propres bras…
Draco pleurait à chaude larme maintenant, et Harry le prit dans ses bras en le berçant…
Je suis désolé Draco. Vraiment désolé. Pour toi. Pour ton frère. Si j'avais su plus tôt, j'aurais pu t'aider peut-être à quelque chose…
Il pleuvait toujours dehors, mais le soleil apparaissait alors que Harry venait de prononcer pour la première fois le prénom de son pire ennemi…
Alors? Réaction? Pas de pleur j'espère? (ma cousine à pleurer! lol)
ALors, un ti truc... vous faîtes pas d'illusion...
J'en dirai pas plus! mdr!
Review pleaseeeeee
