Donc voici la suite! Merci à...
onarluca/artémis:
Merci beaucoup, et voici la suite
serpentis-draco: Vont-ils s'en tiré? aie, bonne question!
tchaye: oui, tu va voir, la sadiquecité, c'est mon fort! mdrrr voici la suite!
inouko: mdr! C'est une fin sadique, et encore, si peu! Mais qui te dit que le psycopate vient seulement d'arriver maintenant? Et oui, Harry aurait dut s'en rappeler, ca va lui couter cher... Mais si tu veux etre rassuré, le flambeau te reste entre les doigts!

Chapitre 5 : Assassina et folie.

Pendant que Voldemort parlait avec harry, Malfoy père avançait vers son fils…

Alors Draco, je ne te manque pas trop ?

Pas du tout. Seul mon frère me manque…

Ton frère n'était pas digne d'être un Malfoy ! Un Malfoy va à Serpentard, un Malfoy est injuste avec les moldus ou sang-de-bourbe ! Un Malfoy ne pactise pas avec un Potter ! Tu sais se qu'il a fait à ton propre père Draco, tu le sais se qu'il m'a fait ! Il n'hésiterait pas à me tuer ! TU ES UN MALFOY QUE DIABLE ! Vas-y, tue moi ! Tu voulais tant me tuer avant que Voldemort n'arrive ! Tue moi fils ! Tue moi et tu deviendras exactement le monstre que je suis devenu !

JE NE SUIS PAS TOI !

Tu suis ma vie à la trace ! A la trace te dis-je !

TAIS TOI !

Draco sorti sa baguette :

Encore un mot et je te tu !

Draco était hors de lui. La haine qui émanait de lui était aussi palpable que la tension au coeur d'une famille. Il haletait… La rancoeur qu'il éprouvait pour son père l'envahissait tel une mauvaise herbe… Tout son corps tremblait, mais sa main restait ferme… La sueur dégoulinait de ses cheveux impeccables et une lueur folle sembla prendre possession de lui… Il ferma les yeux et essaya de reprendre son soufle. Son père en profita pour lui lancer un expéliarmus… La Baguette de Draco s'envola, et tomba à côté de Harry qui s'écroulait de douleur… Draco, lui, fut projeté contre un pilier où il se cogna la tête et s'ouvrit d'une plait saillante et douloureuse… Il ne hurla pas et se contenta d'essayer de savoir comment survivre face à son père. La suite des événements fut très rapide…

Licius fonçait sur Draco. Draco paniquait. Assi au sol, il posa sa main droite au sol et il rencontra une barre de fer… Alors que son père se jetait littéralement sur lui, Draco leva la barre en hurlant… Il croyait frapper son père avec une grande barre de fer. Ce qu'il ne savait pas, c'est qu'il s'agissait d'une barre vraiment très courte, un bâton même, et cassé au bout de façon à faire une pointe au bout… La suite, vous l'imaginez très bien. Licius percuta de plein fouet se pieux qui s'enfonça dans son abdomen, et ressorti de l'autre côté. Il mourut sur le coup, tombant sur le côté sous les yeux horrifiés de Draco qui était incapable de bouger…

Quel imbécile ! Non mais ça alors ! Quel stupide idée de vouloir aller faire du quidditch sans prévenir personne ! Hurla le professeur Rogue en se précipitant dans l'office de tourisme, talonné par Maugrey qui marmonnait :

Comportement irréfléchis ! Vigilance constante qu'on lui avait dit !

Mais quel abruti ! S'esclaffa un Lupin très en colère et surtout extrêmement inquiet pour le fieule de son meilleur ami.

Harry, Draco, quand grandirez vous donc…

S'interrogea Dumbledor en fermant la petite compagnie. Voldemort cessa aussitôt le doloris sur Harry qui essaya de ramper sur le côté, aveuglé par la douleur de sa cicatrice et la douleur de ses côtes brisées par la puissance du doloris. Apparemment le mage noir hésitait entre combattre le directeur de Poudlard et firent… Il choisit la deuxième option et tous disparurent, la barrière anti transplanage avec. Dumbledor et Lupin se précipitèrent sur Harry tandis que Maugrey et Rogue courraient vers Draco…

Harry avait deux côtes cassées. Dumbledor les lui soigna et fit apparaître un lit de fortune ou il ordonna à Harry de s'y reposer en buvant une potion du sommeil.

Les deux autres trouvèrent un jeune homme blond défigurait par l'horreur d'avoir assassiné, même en état de légitime défense, son propre père. Le sang lui dégoulinait sur les joues tandis que sa blessure lançait sans qu'il n'y prête la moindre attention. Choqué, Draco ne sembla pas s'apercevoir de la présence des deux hommes. Il fut ramené chez les Dursley, ainsi que Harry.

On expliqua à l'oncle et à la tante de Harry tout se qu'il s'était passé, tout en précisant que cela était impossible dans leur maison, leur expliquant que les deux adolescents avaient besoin de repos…

Plusieurs jours passèrent et Draco ne bougeait pas de son lit. Une forte odeur de crasse émanait de son lit si bien que Harry était obligé de diffuser de la bombe pour toilette autour du lit de son camarade. Le serpentard ne se levait que pour aller aux toilettes. Il mangeait dans son lit et encore, parce que Harry l'obligeait à manger. Seul, retourné contre son mur, la couverture relevée jusqu'à son menton, plongé dans ses sombres pensées, il lui arrivait de soudain crier :

Je suis comme lui ! Je ne veux pas ! JE NE VEUX PAS !

Harry commençait vraiment à désespérer de le voir ainsi, recroquevillé dans la position du fœtus. Il finit par contacter Dumbledor, qui lui dit qu'il ne pouvait absolument pas venir pour l'instant : Voldemort, croyant que Harry était à Poudlard, s'était attaqué à l'école. A croire que le sort s'acharné contre eux…

Alors Harry fit la seule chose qui lui semblait possible pour tirer son compagnon de ses pensées sombres… Il lui jeta un seau d'eau en pleine figure :

Ra ! Mais t'es fou ! Bon sang ! Je suis trempé !

Draco sauta de son lit. Harry sourit :

Tien, tu a enfin réussit à parler…

Draco tourna son regard vers Harry et Harry comprit alors que l'espèce d'amitié qu'il y avait eut entre eux deux. Son visage déformé par la haine tiquait sans arrêt comme si Draco menait un combat intérieur entre deux partit opposées en lui. Plus il se renfermait, plus la folie le guettait…

Aller, écoute moi… Ca sert à rien de t'apitoyer sur ton sort… Tu m'as dit en gros l'autre jour que tu détestais ton pè…

Tais toi ! TAIS TOI !

Hurla Draco en se prenant la tête entre les mains, comme si quelqu'un criait dans sa tête.

Je… Ne… vais… pas le TUER !

Il semblait vouloir se convaincre de quelque chose… Il se mit à gémir et pleurer. Harry, terrifié, c'était adossé au mur près de sa porte. Il n'osait pas le laisser seul, mais aurais très fortement souhaité être autre par, même sous un doloris de Voldemort.

Draco tomba à genoux, toujours les mains sur la tête :

Je ne suis qu'une seule personne ! Je ne vais pas le tuer ! Je ne vais pas le tuer !

Il sanglotait, conscient qu'il ne cessait de répéter inlassablement cette phrase.

Puis Harry prit Une décision et dit d'une voix plus ou moins détachée…

Ecoute Draco, ça va te faire du bien de sortir un peu…

Draco se laissa faire, secouant la tête et continuant de répéter sa phrase comme si elle lui sauvait la vie, conscient qu'il passait pour un fou…

Harry emmena le pauvre adolescent à la balançoire cassée par Dudley… Il essayait de lui parler d'autres choses, du quidditch, des cours de certains professeurs. Il essayait de le faire rire, imitant Dudley en cochon. Draco se contentait de hocher la tête, se balançant d'avant en arrière sur une barrière et murmurant à voix basse :

Je ne suis pas comme lui, je ne vais pas le tuer.

Puis Harry finit par abandonner. Il ramena Draco chez lui, lui sécha son lit d'un coup de baguette, le lava d'un sort qu'ils avaient appris l'année précédente et lui donna sa soupe.

Puis il alla se coucher et eut bien du mal à s'endormir.

Draco, lui, restait étendu sur le dos, les bras croisés derrière son oreiller. Un sourire diabolique se dessinait sur son visage avant de retomber en masque de terreur, puis le sourire réapparaissait. Il semblait en contradiction constante, jusqu'au moment où, tard dans la nuit, le sourire diabolique resta sur son visage… Il se redressa, une lueur de folie dans les yeux. Il dut retenir un rire sinistre et saisit sa baguette…

Il recommença à murmurer, sauf que le refrain avait changé :

Je vais le tuer, je vais le tuer, je suis exactement comme lui, je veux être comme il l'aurait voulut…. Je vais le tuer, je vais le tuer…

Il pointa le dos de Harry de sa baguette. Il le regarda, endormit d'un sommeil léger, un sourire sadique aux lèvres. Sa main tressaillie, il hésita. Harry se retourna, il était prêt de se réveiller, alors Draco attendit… Puis Harry ouvrit brutalement les yeux :

Mais, Draco, qu'est-ce que tu f…


Nan! me tuez pas! la suite... heuuu, quand j'aurai envi! mdrrr