Toi mon étoile
Une fic de Grifounette mettant en scène des personnages de JK Rowling
Rewiews : Merci beaucoup pour tous les rewiewers et rewieweuses
Chapitre 8 Découvertes à Gringotts
Deux secondes…une seconde…et Hop, le crochet qui me tire le nombril, je ferme les yeux.
Je déteste les portoloins.
Je sens peu après la terre ferme sous mes pieds. J'ouvre les yeux pour voir…
La Banque Gringotts bien sur ! Qu'est ce que tu croyais Sirius ? Que ton filleul s'était planté ?
Ca y est j'ai réussi, ça mérite bien un cookie ça !
Je respire un grand coup, et souris. La vraie vie commence pour moi maintenant.
Je respire enfin la vraie liberté.
Je suis libre ! Waouhhhhhhhhhh ! I'm the king of the world !
J'aperçois la porte d'entrée de Gringotts, tandis ce qu'une bouffée de bonheur envahit tout mon être.
Je suis en ce moment même littéralement en train de dévorer mon troisième cookie !
Je souris en pensant que si je persiste à manger des cookies à chaque fois que je suis euphorique à présent, je vais devoir m'inscrire au « club des boulimiques euphoriques ».
Je m'avance à petits pas vers la grande porte, tout en jetant un coup d'œil aux passants du Chemin de Traverse. Une jeune femme me jette des regards inquiets tout en serrant son fils contre elle. Elle semble effrayée par les hommes à capuche. C'est compréhensible. Il y a très peu d'enfants dans l'allée. Les passants ont quasiment tous leurs mains dans leurs poches, où se trouve leur baguette sans aucun doute.
Je soupire tristement. Les « Temps sombres » sont revenus.
Je grimpe les marches de Gringotts et pénètre dans la Banque. Il n'y a pas grand monde. Les gens semblent éviter de sortir, et ainsi de limiter leurs déplacements. Je ne serais pas étonner d'apprendre que les ventes par correspondance ont triplées, ces derniers temps.
Je m'avance vers un comptoir et demande au gobelin des informations sur mon coffre. Il me regarde attentivement bien dans les yeux, c'est leur façon de vérifier l'identité d'une personne. Il ne me pose aucune question et je lui en suis reconnaissant.
Mon coffre est très ancien et contient l'argent des Griffondor et des Potter. A vrai dire je n'en suis pas vraiment étonné. Kalyr me confirme que je suis bien le descendant de Godric Griffondor. Encore un « détail » qu'a omis de me préciser ce cher Dumbledore !
J'apprends d'ailleurs que ce dernier a placé un sort sur ma clé afin de savoir quand elle est utilisée. Je demande plus de détails sur ce sort, et Kalyr me dit que Dumbledore peut savoir quand et combien d'argent je retire. Il m'espionne jusqu'à la banque ce salaud !
Je demande à Kalyr d'appliquer la loi de protection des clients et de leur confidentialité, que je peux soustraire étant donné que j'ai plus de quinze ans. Kalyr retire alors le sort qui repose sur ma clé.
Nous partons alors tous les deux vers mon coffre. Je pénètre à l'intérieur. Alors que je me baissais pour mettre de l'or dans ma bourse, Kalyr me tapote l'épaule en secouant la tête de gauche à droite, et me conduit vers une porte en acier au fond du coffre. Il me demande ensuite de placer ma main sur l'emblème des Griffondor. La porte s'illumine, et l'on peut percevoir une centaine de cliquetis.
C'est plutôt bon signe, cela veut dire que je suis bien un Potter.
La porte s'ouvre. Nous rentrons tous les deux à l'intérieur. Mon cœur manque un bond. Des tonnes d'étagères de livres se succèdent dans cette pièce, des armes les plus diverses sillonnent les murs, des coffres remplis de bijoux s'amassent, ainsi que des objets que je ne connais pas, entreposés sur une large table en marbre.
Je m'approche de cette table, la parcourant du regard sans pour autant toucher à quoi que ce soit.
Mon regard se pose sur une lettre écrite à mon intention en lettres dorées. Kalyr m'empresse de l'ouvrir.
Hésitant, je défais l'enveloppe avec précaution, comme si elle allait s'effriter entre mes doigts.
La voici :
Cher héritier,
Nous sommes au courant de tes projets concernant cette guerre et ta position face à L'Ordre du Phoenix, et nous t'approuvons.
Cette lettre a été rédigée en prenant compte des évènements derniers.
Nous sommes profondément attristés pour toi, et nous souhaitons te souhaiter bonne chance et t'accorder notre aide pour que tu puisses mener à bien ton combat.
Dans cette salle tu trouveras des livres extrêmement rares voire pour certains, uniques.
Tu y trouveras des formules d'ancienne magie et des rituels très puissants.
Tu auras comme tu le sais déjà, besoin de l'aide d'une personne assez puissante et disposant de beaucoup de connaissances, ainsi ce serait mieux que cela soit une sang-pure, pour certaines parties de ton apprentissage, notamment celui d'animagus.
Nous te faisons pleinement confiance pour le choix de cette personne.
Des armes magiques se trouvent ici. Tu n'auras besoin d'aucun manuel d'utilisation, car un simple contact effectué sur une des armes, te donne accès à toutes les techniques de combat propres à cette arme, ainsi que tout ce qu'il y a à savoir sur ses propriétés magiques.
Nous te conseillons d'étudier minutieusement chaque bijou. Tu devrais faire un tri parmi eux.
Pour cela, tu dois toucher chaque bijou et garder ceux qui brillent à ton contact, dégagent de le chaleur ou de la magie, et tu verras que certains s'échapperont de tes mains pour aller se poser sur une partie de ton corps. Ces bijoux-là disparaîtront tout en laissant un tatouage sur une partie du corps. Ce sont des bijoux à protection permanente.
En effet, si tu es dépouillé des anneaux et autres colliers que tu portent à tes doigts et à ton cou, tu auras quand même de la protection, et les sorts de torture te seront moins forts et causeront moins de dégâts pour ta santé.
Il y a des potions tout au fond de ces malles. Bois-les toutes quand tu le pourras. Elles te protègeront contre le Véritérasum par exemple, contre tous les poisons, te permettront de voir la nuit, de détecter les capes et les sortilèges d'invisibilité, ou encore de détecter les personnes sous Polynectar.
Elles ont un effet permanent car elles vont s'adapter à ton code génétique.
A présent, nous tenons à t'offrir une maison, construite magiquement selon tes propres critères.
Cette maison tu l'as compris, est ta maison idéale, telle que tu l'as imaginé.
Elle dispose de tous les sorts de protection possibles, elle est indétectable. Aucun hibou ne peut y accéder sauf ta chouette Hedwige. Tu y trouveras du confort, un abri, ton refuge. Nous n'avons pas besoin de te laisser un guide, chaque couloir, chaque pièce, vient de ton imagination.
Tu n'auras pas à déplacer tout le contenu de cette salle jusqu'à ta demeure, tous les objets qui la peuplent viendront se positionner d'eux-mêmes aux endroits appropriés. Les armes dans la salle de combat, les potions dans le laboratoire de potions, cela va de soit !
Nous t'avons laissé quelques cadeaux et une surprise là-bas, qui te plairont sûrement et faciliteront pour un d'entre eux, ton projet temporel.
Kalyr semble avoir également un présent pour toi.
Ne culpabilise pas pour tes parents, pour Cédric et Sirius. Tout ira bien, nous avons entièrement confiance en toi.
Sois fort jeune héritier.
Nous sommes tous fiers de toi.
Je t'aime Harry, mon bébé, mon fils, ta mère et moi sommes fiers de toi et t'aimons très fort, ne l'oublie jamais. Laisse la force de notre amour te guider et t'aider dans ta lourde tache.
Prends mon épée Harry. Elle te revient à présent, Fumseck te la renvoie, je te la lègue.
A bientôt Harry James Potter Evans
La famille Griffondor-Potter
Je suis vraiment très ému par ces derniers mots, car pour une fois c'est ma propre famille qui me dit qu'elle est fière de moi. Je sers la lettre contre mon cœur et la range dans une de mes poches.
Devant moi se trouve une réplique miniaturisée de ma maison, avec un mot m'indiquant qu'il me suffit de la toucher, pour que je sois téléporté jusqu'à elle.
J'entends un hum hum venant de derrière mon épaule. Je me retourne alors pour voir Kalyr me tendre une magnifique bourse.
Devant mon air curieux, Kalyr me dit que cette bourse est ma carte de crédit moldue.
Elle reconnaît mon identité, et je n'ai qu'à dire la somme souhaitée pour qu'elle apparaisse dans ma bourse.
Je le remercie chaleureusement pour son charmant accueil et pour sa coopération.
En effet, Dumbledore n'a plus aucun accès sur mes dépenses de Gringotts.
Il me dit que c'est tout à fait normal. Dans un commun accord, il sort de la pièce tout en verrouillant la porte, et moi j'avance ma main vers la maison miniature.
Je la touche enfin, ferme les yeux en reconnaissant les effets d'un portoloin, puis je suis aspiré par le nombril avec un crochet.
Lorsque je réouvre mes yeux, c'est pour découvrir une allée merveilleusement bien fleurie, tout bonnement magnifique qui conduit comme je le sais, vers une première porte en acier.
Je m'approche avec une grande émotion.
Je suis si heureux Sirius, j'ai cru que je ne le serais plus jamais.
J'ai même eu peur vois-tu de n'être même plus capable de faire un Patronus, tant ma peine était énorme.
Je m'approche toujours de cette porte. Le lion qui la surplombe ouvre ses yeux, me regarde, rugit, et la porte s'ouvre devant mes yeux ébahis. C'est exactement comme cela que je l'avais imaginé.
Le lion qui vérifie l'identité de l'individu devant lui, et qui juge les personnes dignes de pénétrer dans l'antre, selon que je souhaite ou non les recevoir. Il est doté de sorts de défense si les personnes souhaitant rentrer sont malveillantes, ou me sont pleinement indésirables. Dumbledore par exemple, vraiment par exemple !
C'est magnifique !
Tout en repensant à chaque détail de mes rêves concernant cette maison, j'arrive enfin devant la porte d'entrée de mon chez-moi. En levant un peu la tête vers la droite, je peux distinguer les buts d'un terrain de quidditch situé un peu vers l'arrière de la maison.
Vers la gauche, il y a une réplique parfaite de la fontaine du Ministère de la Magie, et je sais que si je vais tout au fond de ma propriété, je verrais une grande piscine-jaccuzi cachée derrière mon immense bâtisse.
C'est avec ses pensées heureuses que le serpent entourant la poignée de la porte d'entrée, me dit « Bonjour Maître Potter, en fourchelangue ». La porte s'ouvre alors. Je n'ai même pas le temps de faire deux pas en avant, que quelque chose me fonce dessus.
Je prends peur, mais me rassure en entendant la voix si familière de quelqu'un que je connais trop bien !
« Monsieur Harry Potter, monsieur ! Dobby est très content d'être au service du bon Monsieur Harry Potter. Dobby ne voulait plus servir à Poudlard pour le méchant Albus Dumbledore qui a fait du mal au bon Monsieur Harry Potter ! Il a caché des choses à Harry Potter ! Mais maintenant le bon Dobby va s'occuper de Harry Potter, si Monsieur Harry Potter le veut bien, je ne voudrais pas déranger Harry Potter ! Dobby est un bon elfe de maison ! »
Eh bien ça pour une surprise c'est une bonne surprise, et oui c'est bien Dobby la fameuse surprise de mes aïeux !
Je souris en constatant que Dobby porte une robe rouge et or, avec les armoiries de Griffondor cousues en son centre, et aussi qu'il a débité toutes ses paroles presque sans respirer !
Je souris tout en rassurant Dobby sur le fait que j'accepte qu'il s'occupe de moi !
Il a l'air heureux et ça me fait vraiment plaisir qu'il sourît, et étant très émotif Dobby se jette en pleurant dans les bras, et en pestant contre « l'immonde elfe de maison Kreattur qui a fait du mal au bon Sirius Black et à Monsieur Harry Potter ! » Ne m'attendant pas à cela, je tapote maladroitement le dos du pauvre Dobby, tout en lui affirmant que maintenant qu'il est là, Harry Potter allait aller mieux !
Il me prend alors la main et m'emmène dans le grand salon, où il me conduit vers la grande table.
Je le suis avec peine, car Dobby sautille comme un enfant de cinq ans devant un arbre de Noël !
Sur la table se trouvent les fameux cadeaux évoqués par mes ancêtres.
L'épée de Griffondor trône majestueusement sur la table, un œuf assez gros est posé à côté.
Je prends cet œuf et le place près de mon oreille pour tenter de percevoir un quelconque bruit.
En réponse l'œuf se casse vers son sommet, et une petite tête hésitante se risque à sortir, bientôt suivie de tout le corps. Je défaits les morceaux de coquille qui l'empêche de sortir entièrement, et le bébé phoenix sort de son œuf.
Dobby me sort de mon ravissement en me priant de nommer la petite phoenix. Et oui c'est une jolie demoiselle qui se love dans mon cou. Je la regarde alors et lui demande si le nom de Liliane lui convient. J'ai pensé à ma mère à ce moment-là, j'espère qu'elle aimera, cela me ravirais beaucoup qu'elle accepte ce nom.
La phoenix pousse de longs trémolos joyeux. Une lumière rouge et or défile entre nous, et Liliane me dit que ce nom lui plait beaucoup et qu'elle est ravie de m'avoir comme maître.
Je lui demande alors comment se fait t'il que je parle la langue des Phoenix, et Liliane me répond que c'est parce que j'en possède un.
Elle s'envole alors dans la pièce et me dit qu'elle va rejoindre son perchoir dans ma chambre.
Je suis content et fier de posséder un phoenix qui s'appelle Liliane.
Je regarde ce qu'il reste sur la table. Une boite ronde avec des trous. J'avance prudemment mes mains craignant une attaque, mais me relaxe en pensant à ceux qui l'ont mise ici, et au fait qu'ils ne me veulent aucun mal.
J'ouvre la boite, pour voir en sortir un petit serpent tout mignon, qui se faufile en sifflant tout autour de mon bras. Je décide de lui parler en premier en lui demandant s'il a un nom. Il me répond que non.
Je réfléchis quelques instants et lui propose le nom de Derek.
J'entends alors des « ççççççça me convient comme nom, mercccccccci »
Je décide de lui faire la conversation : « Quelle taille auras-tu lorsque tu seras adulte ? »
Il me réponds : « Environ trente mètres » Rien que ça je pense ! Amon avis, Derek appartient à la même race que le serpent de Voldemort, Nagini. C'est intéressant.
Derek me fait faut bond et part inspecter les lieux.
Sur la table, il reste une lettre posée sur une autre petite boîte. Je prends la lettre, l'ouvre et la lit à voix haute pour que Dobby l'entende. Je n'ai aucun secret pour lui.
Cher héritier,
Tu as été très intelligent d'ouvrir cette lettre avant la petite boîte !
De toute façon si tu ne l'avais pas fait, la boîte ne se serait pas ouverte !
Ayant eu vent de ton projet d'acquérir plus de temps, nous avons décidé de t'aider dans ta tache.
Tu ne le sais pas mais la garde du « Département des Mystères » a été triplée depuis les évènements de juin dernier. Par conséquent, il te sera extrêmement difficile d'y pénétrer afin d'y substituer la sphère inter – temporelle de Merlin.
Ainsi dans ce carton, tu trouveras un portoloin qui t'emmènera directement devant la sphère.
Ne prends ce portoloin qu'entre 19h07 et 19h10. Les rondes se succèdent dans les différentes salles.
Afin que tu sois parfaitement synchronisé avec les rondes du ministère, tu trouveras une montre de notre création dans le paquet.
Bonne chance et bon courage
La famille Griffondor-Potter
J'ouvre la boîte et prends la montre avec précaution qui repose près du portoloin en forme de cookie !
Délicate attention !
Je la place à mon poignet, il est 18h48. Le cadran est magnifique : un petit vif d'or fait le rôle des secondes, qui s'affichent au milieu du vif d'or, deux éclairs de feu, de taille différente sont respectivement les heures et les minutes, le nom Harry Potter est gravé sur le fond du cadran, et le bracelet est orné de runes rouge et or, avec quelques émeraudes qui y sont incrustées.
Magnifique ! Dobby pousse des exclamations à sa vue.
Je pourrais passer des heures à la regarder mais le temps presse.
Il est maintenant 18h59. Je me prépare. Dobby est parti me chercher des cookies et un verre de lait.
Je les mange en silence. Une fois fini, je prends ma baguette dans une main et lévite le portoloin hors de la boîte. Je le laisse en l'air et attends patiemment les 19h07.J'en profite pour rabattre ma cagoule sur ma tête, au cas où ça déraperais. Je suis prêt.
19h06mn54s … 19h06mn55s … 19h06mn56s … 19h06mn57s … 19h06mn58s … 19h06mn59s et
19h07mn00s je touche le portoloin toujours en lévitation, et il s'en suit la désagréable sensation du crochet qui vous accroche le nombril.
Je touche la terre ferme mais trébuche sur le sol dans un grand fracas. Merde. Merde. C'est pas vrai je ne suis qu'un maladroit.
Sirius les gardes vont revenir, il faut que je me dépêche.
Je me relève vite et cours chercher la sphère qui repose sur son socle. Je la mets dans une de mes grandes poches, lorsque j'entends un « arrêtez » provenant du fond du couloir.
Paniquant, je prends ma baguette et murmure un « portus » pour le retour, sous les cris d'alerte de l'Auror qui appelle les autres, et j'ai juste le temps de me baisser pour éviter un « expelliarmus » avant que le portoloin ne me ramène à bon port.
Ouffff. Une fois arrivé je m'assis sur la chaise la plus proche. Dobby prend le portoloin usagé et le fait disparaître. Moi je reprends calmement mon souffle et décide de mettre la sphère en action.
C'est simple pas besoin de formule, il suffit de donner une limite à la sphère pour qu'elle mette les lieux en pause temporelle.
Au ministère c'était simple, il n'y avait que le socle qui était en pause temporelle.
Je prends la sphère dans mes mains. Elle a cessé de briller puisqu'elle n'est plus en activité.
Je l'emmène au point le plus haut de la maison, à savoir le grenier.
Une fois arrivé là-haut, tout est comme je l'avais imaginé : un autre socle est posé sur une table haute.
Je dépose la sphère dessus, place mes mains autour, et lui demande de placer toute ma propriété en pause temporelle.
Ensuite la sphère, obéissant à mes instructions, se met à émettre une forte lumière aveuglante qui m'oblige à fermer les yeux. Puis elle se dissipe.
Je regarde ma montre, elle s'est arrêtée. Quelques instants plus tard elle se remet en route.
Je souris en songeant au fait que mes ancêtres ont pensé que j'aimerais tout de même me situer.
Je les en remercie.
Bon à présent je vais aller dormir. Demain, comme beaucoup d'autres jours je me lèverai pour aller m'occuper du reste de la lettre : les bijoux, les potions et les livres.
En attendant au dodo.
Sans doute que demain Hedwige m'apportera la Gazette qui relatera le vol de la sphère.
Harry Potter, un voleur …. Heureusement que j'avais rabattu ma cagoule ! Je n'aurais pas aimé poser pour des photos des registres D'Azkaban !
J'arrive dans ma chambre qui est très chaleureuse, aux tons très doux oscillants entre la couleur or et le vert émeraude.
Un grand lit à baldaquin aux draps argentés est placé au milieu de la grande chambre. Une porte nous amène vers des toilettes luxueuses, une autre vers la salle de bain qui dispose d'une baignoire immense comme celle de la salle de bain des Préfets de Poudlard, et la dernière conduit vers un grand salon avec une cheminée, où la plupart de mes livres y sont entreposés dans des bibliothèques en bois de chêne, et classés par genre.
Mais ce n'est pas cela qui m'intéresse en cet instant, moi je veux dormir !
Je retourne dans ma chambre, trouvant Liliane endormi dans un perchoir semblable à celui de Fumseck mais en plus beau et plus spacieux. Dobby lui a apporté de la nourriture et de l'eau.
Je retire mes vêtements, me jette un sort de nettoyage, c'est plus rapide que de prendre une douche, et prends des sous-vêtements et un pyjama en soie qui était déjà là.
Je le regarde bien et constate qu'il est comme je l'avais rêvé ! Merci beaucoup la famille !
J'attrape une potion Sans Rêves, gentiment préparée par Dobby, Derek vient se faufiler sur le haut de mon lit après m'avoir ssssssiffloter dans les oreilles. Je me faufile sous les draps et avale ma potion.
Tout en fermant mes paupières je repense au fait que des personnes inattendues m'ont proposé leur aide, et je me sens réellement bien. Pour la première fois de ma vie, j'ai pu mettre à bout un projet, sans que l'on m'en empêche.
Et c'est ainsi que la famille Griffondor-Potter vît leur descendant s'endormir entouré d'êtres dévoués que sont les phoenix, les serpents protecteurs et Dobby l'elfe de maison entièrement dévoué à Harry Potter. Ils se sentirent heureux pour lui.
Quand à Sirius il ne pu s'empêcher de briser ce silence solennel en déclarant d'une voix un peu gâteuse : « Oh qu'il est mignon le petit Cornedrue à son parrain adoré quand il dort ! N'est-ce-pas Lily que James a bien travaillé ?» Ce a quoi Lily Potter-Evans rétorqua qu'elle y était pour beaucoup, et qu'il était tard, donc on rentre au royaume D'Eden.
Et comme on ne contredit pas Lily Potter, tout le monde le sait, la « petite famille » laissa le Survivant dormir d'un sommeil réparateur en chuchotant que Voldemort allait devoir faire gaffe à ses fesses s'il veut survivre !
Voila voila, le chapitre 8 est terminé. Pour les votes, c'est Rémus Lupin qui l'emporte pour l'instant.
Mais il n'est pas trop tard. N'oubliez pas c'est :
A : Pour Mumus
B : Pour Narcissa Black
C : Pour Narcissa Black qui vient accompagnée de son fils Drago
A ciao bonne fin de journée !
Votre Griffounette
