Je viens de me rappeler qu'en dehors du Shaman Fight, Hao et son groupe ne vivent pas dans un hôtel mais dans une ancienne... base militaire n.nU Dans le manga en tous cas, et je m'en fous de l'anime, na.
Donc, voilà, dès que je peux j'édite le chapitre précédent; en attendant, on fait comme si, et Hao dort dans la vieille base en ruines komem, lol.
Aussi, dans le chapitre précédent Opacho était à la base avec tous les gens de Hao, mais maintenant elle est chez Yoh et Cie parce que le tome 24 m'a trop fait marrer.
Mares: EN AVANT POUR LE LEMOOOOON!
Non.
Ma': ... non?
Nopee.
Ma' /fond en larmes et se pend au cou de son auteuse en geignant et suppliant/
Hao /réfléchit 2,37 secondes et rejoint Mares/
Yoh: -.-
Hao: n---n
M'en fous toutes façons, ce chapitre est fini et vous pouvez m'embiiper tant que vous voulez, je le changerai pas, na. :P
Mares /pleure encore plus fort/
Corenn: Pas encore de lemon. Noon pas mordre T.T
Ten-shi: Du lemon, pas encore j'ai dit. (Je suis cernée par les yaoifans déchaînés T.T) Le HoroRen, j'adore, mais j'adore aussi ma Drago-chan et elle déteste le HxR; donc on verra. Et sinon j'ai des plans pour Horo :P
Fisou: En fait, quand tu as posté cette review j'avais pas encore la moindre idée de comment Pirika avait bien pu savoir XD Vous ne le saurez pas encore dans ce chap', mais l'histoire de Pirika est presque totalement préparée dans ma chtite tête. Et Opacho y est liée, ouaip XD Sinon, merci pour les idées, mais pour le RackistxLyserg... continue de courir /death glare/ et vite si tu tiens à la vie /re-death glare/ (Quant aux activités des jumeaux... j'ai plus rien à dire là, en fait -.-)
Kataomoi: Merci n-n Anna saura. Je la déteste aussi, mais elle saura. Et le TamaoxAnna est considéré très sérieusement :D
Drago: -.- je m'y attendais. Ok, on verra pour le HoroxRen... rah, je savais qu'il y aurait des problèmes XD
Seddy: Encore? O.o
Warnings: yaoi lemon NAN! MARES, PASSE-MOI CE CLAVIER! Grhmfblemubmwrhemwlre... Bon, yaoi, twincest, shojô-ai, Horo plus ou moins intelligent et compréhensif, mignontude copyright Opacho, chocolat chaud... et... ouais, d'une certaine façon, yaoi lime, si vous voulez... -.-
Mares & Hao: Wééé! n---n
Yoh & Tsunami /soupirs/
oxoxoxoxoxoxoxo
Pirika tenta de retenir sa respiration et un immense sourire, mais le deuxième réussit à se glisser sur ses lèvres tandis qu'elle écoutait les pas légers dans le couloir. Yoh descendit précautionneusement les escaliers, et Pirika écarta ses draps en silencieuse hâte, filant à sa fenêtre pour voir le brun sortir du bâtiment; lorsqu'il se retourna pour fermer la porte, elle put voir qu'il souriait largement.
Il allait rejoindre son frère, décida catégoriquement Pirika. C'était sûr et certain.
Elle jeta un coup d'oeil à la forme immobile d'Anna étendue dans son fûton; l'itako semblant parfaitement endormie, Pirika enfila en silence un yukata par-dessus sa légère chemise de nuit, ouvrit lentement la porte de la chambre et descendit à son tour les escaliers.
Lorsqu'elle entra dans la cuisine, Tamao se retourna brutalement vers elle, les yeux écarquillés, et sur le visage une expression de bête traquée rattrapée par les chiens. Puis elle reconnut Pirika et lâcha un bref soupir de soulagement. Pirika lui sourit et s'assit à la table.
Tamao revint à la surveillance du lait, et un silence confortable s'installa tandis que les trois filles attendaient que le lait soit chaud sans souffler mot. Pirika déposa quelques cuillères de cacao en poudre dans chaque tasse, et se mit ensuite à tapoter distraitement la boîte de cacao avec le bout de ses ongles, et Tamao suivit automatiquement le tempo en tapotant le comptoir.
— Prêt.
Tamao cligna des yeux, émergeant brutalement de son début de rêverie, et hocha la tête en coupant le gaz. Pirika rapprocha les trois tasses et Tamao versa le lait fumant par-dessus le cacao; elle alla déposer le poêlon dans un évier, Pirika lui tendit sa tasse, et elles burent dans un silence satisfait.
Puis Opacho déposa sa tasse et regarda les deux plus grandes d'un air très sérieux.
— Hao-sama aime vraiment beaucoup, beaucoup son otôto, décréta-t-elle en croisant les bras.
— C'est chouette, parce que Yoh est complètement dingue de lui aussi, répondit Pirika dans sa tasse.
— Je reviens sur ce que j'ai dit au début, murmura Tamao sans lever les yeux de sa tasse non plus, les joues un peu rouges. C'est très bien pour Yoh-sama, Hao-sama le rend très heureux et je ne pense qu'il lui fera du mal.
— Jamais! répliqua Opacho d'un ton farouche, ses grands yeux ronds étincelants. Hao-sama jamais, jamais, jamais jamais jamais —
— D'accord, on a compris, l'interrompit Pirika.
— Opacho se tut et reprit sa tasse en souriant jusqu'aux oreilles, et Pirika se sentit fondre et se leva brusquement pour lui ébouriffer les cheveux.
oxo
Yoh atteignit l'amas de bâtiments plus ou moins en ruines et plongés dans les ténèbres, où son frère avait décidé d'installer son quartier général. Il n'y était venu qu'une seule fois, mais il avait fait bien attention à mémoriser le chemin, et il atteignit la vieille base sans se perdre trop souvent. Une fois devant la porte, il inspira à fond, pria pour que les "sujets" de son grand frère soient tous profondément endormis et ne l'attaquent pas, et entra.
Il n'y voyait rien. Il soupira et se résolut à plisser les yeux en attendant qu'ils s'habituent à l'obscurité, après quoi il avança lentement vers la direction générale du couloir. Il fit traîner une main sur le mur et compta les portes; arrivé à la troisième, il tâtonna jusqu'à ce qu'il trouve la serrure, et le petit éclat dans le bois juste à côté. C'était bien cette porte. Yoh baissa lentement la poignée, inspira à fond, ouvrit la porte et fit un pas à l'intérieur.
Hao lui sauta presque dessus, lui arrachant un petit cri de surprise, et l'embrassa sans plus de cérémonie, alors que Yoh tentait de récupérer de sa surprise. L'aîné le lâcha quand même au bout d'un moment, le souffle court et les yeux brillants dans le noir.
— Tu m'as fait peur, Nii-san, souffla finalement Yoh, une main sur son coeur qui battait toujours comme un fou.
— Et toi, tu m'as manqué, rétorqua Hao à voix basse. Pourquoi tu n'es pas venu cet après-midi?
— Anna m'a fait toute une scène la dernière fois, et aujourd'hui elle ne m'a pas lâché des yeux pendant plus de trois secondes, s'excusa Yoh. J'ai préféré ne pas prendre de risques.
Hao fronça les sourcils et croisa les bras.
— Mais je suis venu dès qu'elle s'est endormie! ajouta précipitamment Yoh.
Hao le regarda encore un long moment d'un air boudeur, puis il sourit soudain largement et plaqua son petit frère par terre sans avertissement.
— Tu dois te faire pardonner, annonça-t-il en souriant encore plus.
— Vos désirs sont des ordres, Votre Majesté, ronronna Yoh en glissant ses bras autour du cou de son jumeau.
oxo
— C'est quoi ce boucan?
Pirika se figea, la main dans les cheveux d'Opacho, n'ayant pas besoin de se retourner pour voir l'expression sur le visage du propriétaire de cette voix qu'elle reconnaîtrait entre toutes. Elle entendit Tamao se lever précipitamment, sa cuillère cliqueter contre le bord de sa tasse, sa chaise racler le sol et ses mains frapper la table dans sa hâte maladroite.
— H-HoroHoro-sama...!
— Yoh est parti? demanda-t-il tranquillement.
Pirika fit volte-face et regarda, stupéfaite, le visage calme et détendu de son grand frère, qui lui sourit et prit une gorgée de chocolat. Elle se rendrait compte plus tard que c'était sa tasse qu'il était en train de vider, mais pour l'instant elle était trop choquée pour le remarquer.
— Que... émit-elle.
Horo s'assit sur la chaise de sa soeur et remua pensivement sa cuillère dans sa tasse, Tamao se retournant automatiquement vers la cuisinière pour refaire chauffer du lait.
— Yoh voit quelqu'un, ne? lâcha Horo.
Pirika hocha silencieusement la tête, ses yeux toujours écarquillés de surprise fixés sur son grand frère.
— Et tu sais qui c'est, ajouta-t-il en lui balança un regard noir qui la sortit brutalement de sa transe. Moi pas encore, et je n'ai pas l'intention de le filer pour le savoir; je lui fais confiance.
Pirika cilla, s'appuya machinalement sur la table et haussa un sourcil.
— Mais ça me dérangerait pas que tu me dises c'est qui, ajouta Horo en lui envoyant son meilleur grand sourire de sale hypocrite.
Pirika sweatdroppa, avec un éclat de rire à la vue de la grimace "attendrissante" de son frère.
— Naan, t'as qu'à trouver tout seul, refusa-t-elle en secouant la tête, riant toujours.
Horo croisa les bras sur sa poitrine d'un air boudeur et regarda ses pieds, qu'il avait réussi à poser sur la table sans que sa soeur ne s'en rende compte. Pirika s'assit complètement sur la table, croisa ses doigts et les passa autour de ses genoux pour les soutenir, dans cette position en équilibre dangereux qui donnait toujours envie à Horo de la pousser un peu dans le dos et l'envoyer s'écraser sur le sol.
Tamao déposa une nouvelle tasse sur la table et Opacho se hissa à son tour sur la pauvre table qui allait craquer sous tout ce poids c'était pas possible. La petite Africaine brandit une cuillère et l'enfonça avec résolution dans la boîte de cacao en poudre, réussissant à en mettre une dose suffisante dans chaque tasse sans en répandre autant sur la table.
Pauvre, pauvre table, d'ailleurs, parce que la gamine renversa quand même pas mal de poudre.
HoroHoro cligna alors des yeux, comme s'il venait juste de remarquer la présence de la petite.
— Au fait, elle, elle est là pourquoi?
— Opacho discute de Yoh-sama avec amies! répondit l'enfant d'un ton décidé.
Horo haussa un sourcil.
— Ah bon.
— Oui!
— J'te crois.
Opacho se rassit (sur la table...) et croisa bras et jambes d'un air tout fier, tenant encore la cuillère dans une main et envoyant voler dans la pièce le cacao qu'elle contenait encore. Tamao posa une main sur ses yeux en pensant à tout ce qu'elle devrait nettoyer avant qu'Anna ne se lève.
oxo
Matilda se redressa en soupirant, jetant un coup d'oeil accablé à la forme tremblante de Mari recroquevillée sur son lit. Elle admit que Hao-sama devait faire quelques efforts pour d'étouffer un peu le bruit, mais on entendait quand même tout dans la chambre d'à côté, qui se trouvait être celle de la Hana-gumi. Et Mari étant la plus dingue de Hao-sama des trois, ce n'était pas très agréable pour elle. Matilda fit la grimace et s'arracha à contrecoeur à ses couvertures bien chaudes pour rejoindre son équipière sanglotante.
Elle regarda par-dessus son épaule en direction du troisième lit, celui de Kanna, qui n'avait pas bougé depuis que Matilda était entrée dans la chambre pour se coucher. L'adulte semblait donc toujours profondément endormie, les halètements de Hao-sama et son compagnon dans la chambre d'à côté ne la dérangeant apparemment pas du tout. Matilda fit la moue et retourna à Mari.
La jeune fille serrait Chuck contre elle et tirait presque méthodiquement sur ses cheveux, pas assez fort pour les arracher mais suffisamment pour tirer la tête de la poupée en arrière. Matilda savait que c'était une des techniques de sa coéquipière pour se détacher du reste du monde, car elle devait se concentrer pour tirer juste assez fort sans arracher les précieux cheveux de son Chuck adoré. Elle marmonnait aussi quelque chose de bizarre, probablement une de ses phrases difficiles à prononcer qui demandaient autant de concentration.
Mais ça n'avait pas trop l'air de marcher, car bien qu'elle n'ait visiblement pas remarqué que son équipière était agenouillée à côté de son lit, Mari continuait de pleurer.
Matilda soupira à nouveau et effleura le bras de Mari. La schizophrène se tourna brutalement vers elle, ses yeux verts grands ouverts et dégoulinant de larmes, l'air hagard et les doigts soudain crispés sur la chevelure de sa poupée.
— Mari essaye de ne plus rien entendre, marmonna-t-elle en ramenant le regard sur Chuck. Matilda n'est pas gentille de venir déconcentrer Mari.
— Mais Matilda en a marre d'entendre Mari pleurer, alors soit Mari trouve une technique plus efficace, soit Mari va pleurer ailleurs, lâcha Matilda, suivant machinalement la façon de parler de sa compagne.
La rouquine mit une main sur ses yeux en gémissant lorsque la schizophrène fondit brutalement en larmes en serrant sa poupée contre elle et sanglotant que Matilda était terriblement méchante.
— Désolée, Mari, désolée...
Mari lui asséna un coup de Chuck sur la tête d'un air furieux, avant de fourrer de nouveau son visage dans les cheveux de la poupée en pleurant encore plus. Matilda laissa tomber son front sur le lit de son équipière sanglotante en se demandant ce qu'elle foutait ici, puis elle se redressa, s'assit à côté de Mari et la prit dans ses bras. La blonde se raidit et lui donna un vague coup de Chuck sur le bras, avant de se laisser aller et de fourrer son visage trempé de larmes dans le cou de Matilda. Celle-ci fit la grimace mais serra un peu plus fort sa coéquipière contre elle.
Au bout d'un moment, elle réalisa que Mari s'était endormie, et essaya de la recoucher sans la réveiller. Essaya.
De un, Mari étant cramponnée à Matilda d'une façon évoquant étrangement un koala, elle était tout simplement impossible à décrocher, et encore plus à allonger. De deux, dès que la rouquine fit mine de bouger, Mari ouvrit un de ses yeux verts — qui brillaient tellement dans le noir que c'était pas normal et ça faisait peur — , et lui tapa Chuck sur la tête.
— Pas bouger, grogna-t-elle.
Matilda soupira et s'adossa tant bien mal aux quatre ou cinq oreillers de provenances diverses que Mari avait piqués dans les autres chambres et réunis sur son lit, la schizophrène toujours accrochée à elle. Ça allait être joyeux...
Lorsqu'au bout d'une dizaine de minutes Mari eut à nouveau l'air profondément endormie, Matilda n'essaya même plus de retourner à son propre lit. Parce que premièrement, que la blonde fasse semblant de dormir ou qu'elle se réveille au moindre mouvement, de toutes façons elle allait probablement de nouveau lui taper sur la tête; et deuxièmement, elle était toute chaude et cette position n'était pas si inconfortable que Matilda ne l'avait tout d'abord cru, finalement.
Par contre, ça allait vraiment être joyeux au matin. Matilda voyait déjà le sourire narquois et le regard perçant de Kanna, leur envoyant sa fumée à la figure avant d'appeler les autres et réclamer un appareil photo. Mais bon. Matilda décida qu'en fait, elle s'en foutait, et appuya sa joue aux cheveux de Mari en souriant.
oxoxoxoxoxoxoxoxoxo
— Hao.
Pirika s'étrangla avec son chocolat, Opacho interrompit son dessin dans la poudre brune sur la table, et Tamao lâcha quelque chose de métallique dans l'évier. Le regard de Horo fit le tour des trois filles d'un air intéressé et avala une gorgée de chocolat.
— J'suis sûr que c'est Hao qu'il est allé voir, répéta-t-il avec assurance.
Pirika reposa sa tasse sur la table avec une concentration intense, ses mains tremblantes crispées autour du récipient.
— Ouais, murmura-t-elle.
Horo dévisagea à nouveau les trois filles l'une après l'autre, et éclata soudain de rire, sa main filant aussitôt se plaquer sur sa bouche pour l'étouffer. Pirika croisa les bras, un peu vexée.
— Y a rien de drôle, protesta-t-elle.
— Si, c'est vous que ça met le plus mal à l'aise! s'esclaffa son frère.
Tamao déposa le poêlon propre dans l'évier et s'essuya les mains avec un soin méticuleux, avant de pendre l'essuie de vaisselle à un crochet et se retourner vers la table.
— HoroHoro-sama, commença-t-elle à voix basse.
Les trois autres tournèrent aussitôt le regard sur elle, mais elle garda les yeux sur le mur en face d'elle et ne rougit pas; Pirika remarqua qu'elle était très calme, presque sereine.
— Puis-je en déduire que le fait que l'un de vos meilleurs amis ait une relation avec un autre garçon, son propre frère jumeau et votre ennemi qui plus est, ne vous dérange pas?
Horo cligna des yeux plusieurs fois de suite, comme si l'information procédait vers son cerveau.
— Tiens, c'est vrai, lâcha-t-il enfin. Ça ne me dérange pas du tout. C'est bizaaarre O.o
Opacho se frappa le front en marmonnant "baka-Aïnou", et Tamao rit doucement tandis que la gamine entamait avec Horo une engueulade digne de Ren. Pirika regarda juste la scène en haussant les sourcils, de nouveau partie dans ses pensées.
oxo
— Yoh...
L'interpellé grogna et enfonça son visage dans le cou de son grand frère.
— Yoo-ooh...
— Veux dormiiir...
— Tu peux, mais Anna va te trucider quand tu rentreras demain matin, acquiesça tranquillement Hao en refermant les yeux.
Il sourit largement en sentant Yoh sursauter et se redresser brusquement, un juron qui fit exploser Hao de rire lui montant automatiquement à la bouche.
— T'es sadique, Nii-san, marmonna Yoh en partant à la pêche dans le tas de vêtements qui traînaient par terre.
— Merci.
— Tiens, c'est pas à moi ça.
Hao cligna des yeux en se ramassant sur la figure un bout de tissu non identifié, qui, après inspection, se révéla être ses boxers.
— Comment t'as fait la différence avec les tiens dans le noir? demanda-t-il, vaguement intrigué.
— Tu ne veux vraiment pas savoir, ricana Yoh.
Hao roula sur lui-même dans son lit pour aller lui taper sur la tête.
— Mon petit frère est un hentaï!
— C'est toi qui te fais des idées!
Après ça, Hao ayant recouru à sa méthode de claquage de bec favorite — c'est-à-dire un baiser langoureux par surprise — , Yoh se tut, et retourna à ses vêtements sans trop ronchonner.
Puis il alla ouvrir la porte, et Hao regarda son petit frère debout dans l'encadrement de la porte, frêle silhouette sombre sur le mur clair du couloir. Il soupira et se roula en boule dans ses draps.
— Bye, Nii-san, murmura Yoh.
La porte se referma.
— ... J't'adore, Otôto.
oxoxoxoxoxoxoxoxoxoxoxo
n.n M'a donné du mal, mais je l'ai fait et je l'aime bien. Héhé.
Aza /fouille dans mes manga à la recherche de Matilda et Mari/ C'est qui ça déjà? O.o
Mares: La schizo à la poupée et la sorcière n-n è sont mignonnes comme tout!
Aza: -.-U Pourquoi ça ne m'étonne pas que tu dises ça...
Tuguduguduguduuuum. Quelqu'un avait pensé au MattyxMari?
Aloooreuh... je n'avance toujours pas dans l'histoire T.T je vais essayer de m'y mettre dans le prochain chap', juré.
Tsunami: Ouaip, parce que pour l'instant tout ce qu'il y a de nouveau c'est que Opacho est chez la bande à Yoh, Horo et Tamao savent aussi pour les jumeaux, et Mari et Matilda sont ensemble... beurk, au passage T.T
n---n Mais Mari et Matilda elles seront probablement pas importantes, donc ça change rien... meuh /va pleurer/
Tsun': Pfff.
Et ouais, ici aussi les jumeaux portent des boxers. T'es contagieuse, Fisou -.-
Par contre je dirai pas comment Yoh a fait la différence entre les deux n----n
