Titre : Nuit à deux.

Auteur : Uranie ( moi, quoi !)

Rating : R

Disclaimer : Je n'utilise pas les personnages d'Harry Potter à des fins commerciales, promis !

Résumé : Ginny a une discussion avec Parvati et Lavande, ce qui va l'amener à passer une sacrée nuit avec Draco.

En ce qui concerne les couples, ça va être tout ceux que j'aime. Vous aurez donc droit à un Ginny / Draco ( je trouve qu'ils iraient bien ensemble !), et un peu à un Harry/ Hermione. Ca vous convient ?

Pour ce qui est de l'année où ça se passe, on va dire que c'est la sixième année de Ginny, et donc la septième des autres, vu qu'ils sont plus âgés.

Reviews : si j'en ai assez, j'écrirais un autre chapitre , alors, n'hésitez pas !

Enfin, pour finir, avant de commencer, sachez que c'est ma première fic sur Harry Potter ( en fait, j'écris des fics sur Smallville), donc soyez indulgents avec moi ! (^_^)

~*~*~*

Ginny sortait de son cour de potion. Elle respirait enfin. Le professeur Rogue avait le don de lui coller une trouille incroyable. Il persécutait tous les griffondors, et ses cours étaient tout simplement insupportables.

Ginny rentra immédiatement dans la salle commune des griffondors. Elle aperçu Son frère , en train de faire une partie d'échecs avec Néville, et, dans un coin, Harry et Hermione, en train de s'embrasser fiévreusement. Ils étaient ensemble depuis l'année dernière et s'aimaient vraiment beaucoup. Au début, quand elle avait appris les sentiments d' Hermione pour Harry, Ginny s'était sentie trahie, mais, finalement, c'était mieux comme ça. Harry avait son béguin de petite fille, mais en fait, il remplissait le mieux le rôle de grand frère. Et puis, il allait bien avec Hermione.

Ginny se dirigea donc vers une table, au fond de la salle commune, et où se trouvaient Parvati Patil et Lavande Brown. Elles semblaient engagées dans une discussion passionnante.

Alors, les filles, de quoi vous parlez ? demanda Ginny en s'asseyant.

Oh, et bien, on échangeait juste des impressions, répondit Lavande avec un petit sourire gêné.

Ah oui, des impressions ? Et des impressions sur quoi ?

Bon, d'accord, capitula Parvati. On parlait de nos premières expériences.

Vos premières expériences ?

Au début, Ginny sembla ne pas comprendre. Mais, après avoir brièvement réfléchi, elle comprit, et acquiesça avec un mouvement de tête.

Toi, tu ne l'as jamais fait, n'est _ce pas ? demanda Lavande.

Heu, non, admit Ginny en rougissant.

Ca se voit, reprit Lavande.

Ginny rougit encore plus. En fait, elle était en train de virer au rouge pivoine.

A mon avis, intervint Parvati, c'est même ce qui te manque.

Qu'est _ce que tu veux dire ? demande Ginny.

Et, alors qu'elle s'éloignait avec Lavande, Parvati lui répondit :

Je veux juste te dire que ça te ferais du bien !

Ginny était un peu troublée par ces paroles quand une voix la tira de ses réflexions.

Qu'est_ ce qui te ferais du bien ? demande Ron, qui s'était approché de sa petite s?ur.

Oh , rien, répondit Ginny.

Sur ce, elle prit ses affaires et alla dans son dortoir.

~*~*~*

Il était minuit dans le dortoir des filles ( et ailleurs aussi, au passage !), et pourtant, Virginia Weasley ne dormait toujours pas.

La discussion qu'elle avait eu avec les filles, cet après _midi, lui revenait en mémoire. Alors, comme ça, elle devait se faire dépuceler, juste parce qu'après, elle se sentirait bien ? C'était complètement dingue et cinglé , cette histoire. Mais, après tout, ça ne regardait personne ce qu'elle faisait ou pas avec son corps. D'accord, elle n'avait jamais été avec un garçon, du moins, pas aussi loin. Mais, ça n'influait pas sur sa vie, quand même !

Ginny décida de se lever et de sortir prendre l'air. Ca la calmerai un peu ! Elle enfila donc son uniforme aux couleurs de griffondor, puis sortit du dortoir sans bruit pour ne pas réveiller les autres. En passant dans les couloirs, elle pria pour ne pas croiser Rusard, qui ne se gênerait pas pour lui coller une retenue.

Elle arriva finalement au lac sans encombres. C'était son endroit préféré à Poudlard. C'était calme, et il n'y avait presque jamais personne. Enfin , presque jamais !

Ginny entendit des bruits de pas derrière elle. Elle se retourna brusquement, et pu ainsi s'apercevoir que son compagnon nocturne n'était autre que Malfoy. Il ne s'agissait donc pas d'un danger. Quoique ?

Il s'avança près d'elle avec son petit sourire narquois et sûr de lui.

Alors, alors, weasel, t'es tombée du nid ? Tu retrouve plus ton chemin. Fais attention, tu pourrais te faire dévorer.

Il avait susurré cette dernière phrase à son oreille en s'approchant très doucement d'elle. Et elle trouvait ça très excitant. Minute ! Malfoy, excitant ! Ah, non. Respire, Ginny, respire et calme_ toi. Ce n'est que cet idiot de Malfoy qui veut encore se moquer de toi.

Tu sais, si j'avais su que tu passais tes nuits dehors, je serais passé te rendre visite plus tôt, dit_ il sur un ton qui se voulait séducteur.

Ecoutes, malfoy, d'abord, je ne passe pas toutes mes nuits dehors, ensuite, si je suis ici, c'est certainement pas pour être en ta compagnie, alors dégage !

Hey, on se calme. Et puis d'abord, que je sache, ce lac est à tout le monde.

Un silence s'installa. Ils étaient toujours là , tous les deux, sur le bord du lac. Au bout d'un moment, Malfoy questionna la petite rouquine :

Sérieusement, qu'est_ ce que tu fais là ?

Sérieusement, qu'est_ ce que ça peut te faire. C'est pas tes affaires.

Si. Au cas où tu ne serais pas au courant, je suis préfet.

« Merde ! » pensa Ginny. C'est vrai, elle ne s'en rappelait plus. Malfoy, cet irresponsable stupide et arrogant, était le préfet de serpentard.

Hello ! fit Malfoy. Je te signale que tu dois me répondre.

Bon ça va. J'avais juste besoin de prendre un peu l'air, alors je suis sortie. Content ?

Oui très, répondit _il avec son petit air satisfait qui n'annonçait rien de bon. Tu viens de me donner un prétexte pour enlever des points à griffondor.

Ginny se mordit la lèvre inférieure. « Merde, décidément ! ». Ce qui fit sourire Malfoy. Il s'approcha d'elle et, sans qu'elle ait le temps de réagir, il pressa ses lèvres contre les siennes et se mit à sucer la lèvre inférieure de la jeune griffondor. Ginny, complètement décontenancée, eu quand même le reflex de le repousser. Il souriait.

Non mais, qu'est _ce qui te prends ? Ca va pas la tête ! s'exclama Ginny.

Quoi, en te voyant mordiller ta lèvre, j'ai eu l'envie d'essayer à mon tour. C'est pas un crime. D'ailleurs, j'ai bien envie de recommencer, ajouta_ t_ il sur un ton suave.

Si tu crois que je vais te laisser faire, alors là tu te trompes !

Oh mais, non seulement je le crois, mais j'en suis sûr en plus. T'as adoré ça , je le sais. Et t'as qu'une envie, c'est que je recommence !

Joignant le geste à la parole, Malfoy se rapprocha dangereusement de Ginny. Est _ce qu'elle avait envie que Malfoy l'embrasse ? Franchement, elle n'en savait rien !

Mais Malfoy n'attendit pas qu'elle ait finit sa mise au point avec elle _même. Il pressa à nouveau ses lèvres contre les siennes. Les lèvres de Draco glissaient à présent sur celles de Ginny. Ils se caressaient du bout du nez, et ce n'était pas si désagréable que ce que Ginny avait pensé. Au bout d'un moment, ce fut la langue de Draco qui vint caresser les lèvres de Ginny. En fait, c'était vraiment très agréable ! Draco pressa un peu sa demande en essayant de faire glisser sa langue entre les lèvres de Ginny. La griffondor n'était pas très sure d'elle, mais elle se laissa quand même faire. Draco en profita. Leurs langues étaient donc maintenant en contact, et c'était électrique.

Le serpentard pensa alors que c'était la première fois qu'un simple baiser lui faisait un tel effet. D'habitude, il avait toujours plus avec les filles, alors, il n'accordait plus beaucoup d'importance à un simple baiser. Mais là, avec la jeune Weasley, il n'était plus sûr de rien. Elle pourrait très bien rompre le baiser à tout moment, et ne jamais laisser tout ça se reproduire. Alors il valait mieux en profiter maintenant.

Draco décida de passer à la vitesse supérieure. Alors qu'il avait posé ses mains sur les hanches de Ginny, il les repositionna. Il descendit sa main droite sur les fesses de Ginny et les caressa. Sa main gauche vint doucement toucher son cou, du bout des doigts. Il entendit alors Ginny gémir.

Puis, tout d'un coup, elle le repoussa. Il était dans l'incompréhension la plus totale. Pourquoi le repoussait_ elle ? Elle avait pourtant aimé !

Ginny n'en pouvait plus. Malfoy avait joué avec ses sens, et elle avait adoré. Alors quoi ? Et bien, elle savait très bien qu'il avait cette réputation de Dom Juan, rien n'était sérieux avec lui. Pas que ça la dérange, elle n'était pas e train de tomber amoureuse de lui. C'était juste qu'elle savait qu'il avait l'habitude d'avoir plus avec les filles, et elle n'était pas sure d'avoir envie de lui donner ce « plus ».

En même temps qu'elle résonnait, elle repensa aux paroles de Parvati et de Lavande. Elle réfléchit à toute allure : après tout, elle devrait bien passer ce cap un jour ou l'autre, non, alors, autant le faire avec quelqu'un qui avait déjà un peu(ou plutôt , pas mal) d'expérience. Et Malfoy était là, devant elle. Une occasion à saisir quoi !

Draco regardait Ginny . Elle avait l'air de réfléchir à quelque chose, mais impossible de savoir quoi. Il se décida à parler, mais elle fut plus rapide, et lui coupa la parole, avant même qu'il eu pu commencer un mot.

Si on allait dans ta chambre de préfet, plutôt que de rester ici.

Draco en eu le souffle coupé. D'abord, parce qu'en temps normal, c'est lui proposait aux filles de le suivre, et pas l'inverse. Ensuite, parce qu'il ne pensait vraiment pas que Ginny était le genre de fille à foncer bille en tête de cette manière.

Mais, commença _t _il piteusement, .

Quoi ? Tu veux ou non ?

Oui.

Après tout, ça ne le gênait pas du tout. Il avait juste des scrupules à l'idée d'abuser de la griffondor. Allez savoir pourquoi ? C'était bien la première fois que ça lui arrivait.

Mais , t'es sure de toi ?

Ginny respira profondément.

Oui, dit _elle avec assurance.

Draco sourit intérieurement. Cette petite griffondor avait du caractère et était assez déstabilisante.

D'accord, alors suis_ moi.

Ils se dirigèrent donc vers le château, et plus particulièrement vers la chambre de préfet de Draco. Quand ils arrivèrent au tableau qui gardait l'entrée, Draco donna le mot de passe :

Uranie. ( ben quoi, c'est pas un rôle important que je me donne ! lol)

Draco laissa passer Ginny et entra à sa suite.

Ginny remarqua tout de suite à quel point la pièce était belle et spacieuse. Décorée aux couleurs de serpentard, bien sûr.

Elle se retourna et vit Malfoy s'avancer devant elle.

Heu, Malfoy, il y a une petite chose que je t'ai pas dit.

Elle hésitait un peu , c'était très personnel, et Draco n'était pas vraiment réputé pour son tact.

En fait, tu sais , je suis toujours, comme qui dirait . vierge.

Malfoy s'approcha encore plus .

Alors, on va y aller tout doucement, lui murmura _t _il.

Puis, joignant le geste à la parole, il l'embrassa tout en douceur. Ses mains étaient sagement posées sur les hanches de Ginny. Elle noua ses bras autours de son cou, et caressa sa nuque, du bout de ses doigts. Draco se sentait bien. Elle était très douce et , en même temps, la façon dont sa langue glissait contre la sienne laissait entrevoir tout son piment. Oui, elle avait du tempérament, et il avait hâte d'y goûter.

Ginny était sur un petit nuage. C'est vrai que Draco était un expert, et en plus, il était doux. Elle sentit alors une des mains de son partenaire descendre sur ses fesses et la caresser. Elle trouvait ça vraiment excitant. Elle n'aurait jamais pensé qu'il puisse lui faire cet effet là.

D'un coup de main, Draco rapprocha le corps de Ginny du sien. Ils étaient maintenant pressés l'un contre l'autre, et Draco était rempli de contentement par le simple contact des seins de Ginny contre son torse.

La respiration de Ginny s'accélérait en même temps que les battements de son c?ur. Elle se sentait comme transportée. Elle respirait plus fort, ce qui n'échappait pas à Draco. Et ça lui faisait un effet dingue. Savoir qu'il réussissait à faire presqu gémir Ginny le rendait euphorique. Mais le « presque » le rendait dingue, il voulait plus de la griffondor. Il voulait la faire gémir vraiment, le plus fort possible.

Il s'avança donc vers son lit , Ginny toujours dans ses bras, et la fit s'allonger. Il la rejoignit ensuite en s'allongeant à son tour, à côté d'elle. Il se remit à l'embrasser puis , après un moment, il quitta ses lèvres, ce qui fit produire à Ginny un petit gémissement de frustration qui fut bientôt coupé quand les lèvres de Draco effleurèrent le cou de la jeune fille. Ginny passa sa main droite sous la chemise de Draco pour caresser son dos, pendant que sa main gauche se perdait dans ses beaux cheveux blonds.

Draco frémit au contact des doigts de Ginny sur sa peau. Il fit alors courir sa langue le long de son cou. Il remonta comme ça jusqu'au lobe de son oreille qu'il entreprit de sucer. Ginny avait l'air d'aimer, aux vues des sons très explicites qu'elle émettait. Draco décida alors de la torturer un peu ( pas vraiment, c'est juste une image !!). Il se mit à mordiller , doucement d'abord, puis un peu plus brusquement, le lobe de sa partenaire.

Ginny soupira de plaisir. Elle adorait ce qu'il lui faisait.

Draco libéra le lobe d'oreille qu'il retenait prisonnier, et retourna aux douces lèvres sucrées de la griffondor. Tout en plongeant dans un baiser passionné, il entreprit de déboutonner son chemisier, révélant alors ses seins, encore emprisonnés par un joli soutien _ gorge ivoire. Draco rompit le baiser et commença à lécher la peau, d'une couleur si délicieusement laiteuse, de Ginny. Il mordilla son nombril, ce qui la chatouilla un peu.

Ginny attrapa le col de la chemise de Draco et le tire vers elle. Elle voulait un autre baiser. Il le lui donna sans se faire prier. Et Ginny en profita pour déboutonner la chemise du serpentard. Alors qu'elle la faisait glisser langoureusement de ses épaules, Draco rompit le baiser pour la regarder dans les yeux. Il voyait de la défiance dans les yeux de la griffondor, et cela lui plaisait. A cet instant précis, Ginny savait exactement ce qu'elle voulait, et savait de quelle manière elle voulait l'obtenir.

Draco voyait cette lueur indescriptible dans les yeux de Ginny, et ça l'excitait de plus en plus.

Ginny acheva d'enlever sa chemise à Draco, qui, lui , lui enleva son chemisier. Mais, ne voulant pas s'arrêter en si bon chemin, il en profita pour dégrafer son soutien_ gorge et le lui retirer, embrassant au passage la pointe de ses seins, qui commençaient à se durcir à cause de l'excitation. Ils s'embrassèrent encore, alors que leurs corps s'embrasaient, à cause de la pression de leurs peaux dénudées.

Draco se retira des lèvres de sa compagne et entreprit d'enlever sa jupe. Ce qu'il fit avec une certaine dextérité, Ginny dut bien le reconnaître. Elle était donc maintenant presque nue devant lui, n'ayant plus qu'une culotte. Draco la détailla, la trouvant vraiment belle. « Dommage de ne pas m'en être aperçu avant » se dit_ il en lui même.

Il recommença à embrasser Ginny, lui caressant la joue de la main droite. Pendant ce temps, de sa main gauche, il entreprit un voyage le long du ventre de la jeune fille, pour finir par arriver au niveau de l'élastique de sa petite culotte. Ginny soupira par anticipation. Elle était fébrile , à présent. Elle n'avait jamais été jusque là, mais pour l'instant, elle était loin d'être déçue.

Draco passa sa main sous le fin tissu et se mit à caresser doucement l'intimité de la jeune fille. Il jouait minutieusement avec son clitoris, faisant explorer à Ginny un univers de sensations jusqu'alors inconnu. Puis il glissa un doigt en elle, faisant grandir encore son extase. Et plus il lui donnait de plaisir, plus il voulait lui en donner encore et encore. Il glissa un deuxième doigt en elle pour lui faire encore plus de bien. Il la voulait maintenant, il la désirait d'une manière totalement irrationnelle. Il connaissait toutes les sensations et tous les plaisirs que pouvaient procurer ces emboîtements si fascinants de deux corps qui se découvrent. Et il voulait maintenant faire découvrir tout ça à Ginny, et qu'ils le partagent ensemble.

Mais pour l'instant, Ginny ondulait des anches au rythme de Draco. Et elle gémissait toujours plus fort. Draco voulait ça d'elle. Ses plaisirs quand il lui faisait du bien et qu'elle soupirait d'émerveillement.

Draco retira sa main et enleva le dernier bout de tissu qui l'empêchait de contempler pleinement et sans barrières le corps de Ginny. Cette dernière ne se sentait même pas timide, ou même pas mal à l'aise. Elle se sentait bien, et confiante aussi. Elle aida Draco à enlever son pantalon et son boxer.

Draco s'allongea alors sur le corps de Ginny. Il effleura encore une fois, du bout des lèvres, le cou et les lèvres de la jeune fois. Le bout de sa langue se hasarda dans le creux , à la base de sa gorge, pour en savourer toute la douceur. Ginny embrassait son front. Elle se sentait comme en transe. Draco, lui, la voulait. Maintenant.

Il la pénétra tout doucement , et respira avec tout autant de douceur, une fois en elle. Il voulait la conquérir mais tout en douceur. Il ne voulait surtout pas s'imposer à elle. A un souffle de lui, il la devinait, soupirant profondément. Eux qui avaient été jusqu'à présent presque des étrangers l'un pour l'autre, ils partageaient maintenant une intimité extrême et très particulière.

Les mains de Draco étaient sur les hanches de Ginny et savouraient chaque parcelle de cette peau si douce. Il la caressait si doucement que s'en était plus une torture qu'un plaisir. C'était si doux que c'était brut. Ginny , elle, avait croisé ses bras derrière la nuque de Draco. De ses doigts, elle explorait ce corps si mystérieux, son intime étranger. Ses yeux étaient à demi fermés. Tout n'était plus qu'ombres autours d'elle. Rien ne mentait entre eux . Toutes les apparences étaient tombées , les découvrant l'un à l'autre.

Leurs corps se mélangeaient à la perfection. Draco bougeait dans le corps de Ginny. Ils se perdaient, pour mieux se retrouver , avec cette lenteur délicate et extrême qui figeait le temps autour d'eux. Jusqu'à l'extase finale.