RAR
Fénice
On avance, on avance…
ravie pour les clins d'œil – et ça marche dans les deux sens !
Positif ? oui, on y parle de la mer…enfin, Remus a saisi cet aspect là d'Isolfe… un très bon point pour lui… Maintenant, le spectacle de la mer versus l'autocentrage ? je suis pas bien certaine… je pense plutôt que c'est une contemplation assez égoïste, qui permet justement de s'abstraire du reste. Même si bien sûr on peut se livrer à ce genre d'exercice à deux !
Fée Fléa(u)
Fang introduit dans la scène une animalité qui répond de manière sous-jacente (c'est peut-être pour cela que je l'ai mis sous la table…) à celle du loup de Remus, animalité officielle contre celle qui est (doit ? ) rester dissimulée. Et c'est elle qui défait le pseudo-ésotérisme de Sybille – authenticité, innocence contre artifice et manipulation.
Fang est aussi un lien entre Isolfe et Remus (les deux l'aiment bien ) entre chien et loup en quelque sorte, un rôle d'intermédiaire repris par Hagrid, le distributeur de lettres.
…
Le gris et le vert du paysage - pour laisser la vedette au bleu de la lettre.
La couleur est un goût que je cultive… mais c'est plus difficile dans Azkaban - Azkaban ou la disparition de la couleur ?
Enfin, j'ai beaucoup de plaisir à mettre des chiens en ligne… sans doute que les coups enthousiastes dans les mollets me manquent…
Enfin (bis) Pour être franche avec toi, ça me gêne un peu que tu assignes des yeux bovins à Sybille, parce que j'aime bien les vaches pour en avoir côtoyé d'assez près. Et leurs yeux justement, et leurs meuglements tristes et doux.
Tandis que lentes et meuglant les vaches abandonnent…
Bon, j'arrête avec mon bestiaire personnel…
Quant à faire durer, sache que j'ai écrit récemment la scène du Ben Nevis et que partie pour 500 mots, je me suis retrouvée (par un prompt renfort…) avec 4000 !
Alixe
Recentrage sur l'essentiel.D'autres moments d'intimité (amicale, amicale….) à venir.
Et enfin dimanche dernier premier bain de mer de la saison, ne rigolez pas : Guézanne se baigne dans la zone météo de Casquets .. c'est frisquet (je sais, la rime est facile… et ce n'était pas si froid que cela, 20 en surface, 18 en dessous)
Aujourd'hui, une grande entrée, une scène un peu trop fleur bleue ? … mais écrite depuis longtemps.
Bonne lecture !
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Journal d'Isolfe, le 21 avril
J'ai fait ma réapparition officielle, ce matin, au petit déjeuner. J'ai beaucoup été regardée, pendant les quelques premières secondes, et ensuite tout est redevenu comme avant, puisqu'ils avaient constaté que j'étais restée la même.
Qui se doute que j'ai encore un peu peur de me déplacer seule dans les couloirs ? Malgré le debriefing que Henri avait organisé, anonymement, pour moi, avec un des meilleurs spécialistes du MK. J'avais eu la tentation de demander ce service à Remus, mais il aurait fallu que je lui parle de mon nouveau patronus, et … je ne me sentais pas … prête, oui voilà, prête à lui dévoiler cette part de moi.
Là bas au MK, ils savaient pour Charles, c'était plus facile.
Journal d'Isolfe, le 22 avril
Remus m'a proposé une rapide promenade, après déjeuner, l'air était doux et gris.
Il a eu peu tourné autour du pot, comme à son habitude, et puis m'a demandé si j'étais toujours partante pour l'ascension du Ben Nevis. Je lui ai répondu oui, nous avons fixé la date du samedi 6 mai, après avoir vérifié que nous n'étions d'astreinte ni l'un, ni l'autre. Ensuite, nous avons médit de Filch, qui tient le registre des corvées professorales avec un soin méticuleux et sadique. Et de son fichu chat.
Puis nous sommes rentrés, et ce n'est que quelques mètres avant notre coutumière porte latérale qu'il m' a dit :
« Isolfe, j'ai appris, par Albus, que votre patronus avait changé, et … et bien, cela semble avoir été dur pour vous… même si maintenant, vous avez l'air d'aller bien… »
Je savais où il voulait en venir, j'aurais dû mettre mes mains sur sa bouche pour l'empêcher d'aller plus loin. Mes mains ou mes lèvres.
Mais je l'ai laissé parler, et une fois sa question posée, j'ai fait non en secouant lentement ma tête et comme il insistait, je lui ai dit « Je vous en prie » et comme il insistait encore, je lui ai répondu, le plus doucement possible, mais j'ai senti que ma voix s'échappait et se durcissait :
« J'ai mes secrets, comme vous avez les vôtres. »
Il est parti à grands pas, j'ai crié, mais trop faiblement pour qu'il m'entende – Pardonne-moi.
Journal de Remus, le 26 avril
Albus m'a rapidement fait passer le peu de nouvelles que Gn1-2 a réussi à lui transmettre.
L'enquête interne piétine, au point qu'il est probable qu'elle s'enlise bientôt. De son côté, Gn1-2 n'a pas réussi à trouver qui pouvait bien être à l'origine de la fameuse fuite.
Sirius a donné un nom à son gardien, il semble que ce soit ce dernier qui lui ait demandé, j'y vois là quelque chose de très beau, une sorte de brevet d'humanité. Et ce que je trouve finalement très encourageant est le nom même que Sirius lui a trouvé : Baskerville.
Baskerville ! Il a donc réussi à garder son sens de l'humour. Mais ce mot et l'allusion drolatique qu'il renferme a-t-il été puisé dans un corpus que Sirius possèderait toujours et dont il ne serait q'un brillant numéro parmi d'autres tout prêts à être donnés, ou alors ne constituerait-il pas un ultime trait d'esprit, résumant tout ce qu'il lui reste ?
Bien sûr, je ne me suis pas ouvert à Albus de ces interrogations que ce dernier aurait sans doute qualifié de ratiocinations… (1)
Mais a-t-il expliqué à Gn1-2 la signification de ce nom, a-t-il pris le risque de lui révéler qu'il était un animagus ? Serait-il d'ailleurs encore capable de se transformer ?
Ces autres questions, je les ai senties planer entre Albus et moi sans que ni l'un ni l'autre ne se résolve à les formuler…
Il pleut toujours.
Journal d'Isolfe, le 28 avril
Pluie interminable, depuis quelques jours, qui a noyé tout souvenir de printemps. Tout le monde soupire en se demandant à quand la fin du déluge. Il fait à nouveau un froid de canard dans les couloirs humides.
Seul Snape affiche un sourire satisfait. J'imagine qu'il a besoin de moisissures fraîches (sic) pour on ne sait trop quelle horrible concoction.
Je ne sais plus trop comment nous en sommes arrivés là avec Remus, toujours est-il que nous avons fait une sorte de pari, ou que nous nous sommes lancé une sorte de défi : quand la pluie s'arrêtera enfin, et quelque que soit l'heure (sauf bien sûr si nous sommes en cours), nous irons nous promener afin de respirer l'odeur de campagne mouillée, cette odeur de terre et de verdure retrouvées qui s'offrent à vous tout d'un coup en vous sautant au visage.
En fait je crois que c'était un moyen de renouer le fil après le pénible épisode du 22 avril et ma vilaine fin de non recevoir
La pluie nous a joué un tour, à malin malin et demi, elle a décidé de nous faire grâce dans la nuit de samedi à dimanche, à 4 heures matin. C'est lui qui s'en est aperçu, avait-il veillé toutes ses nuits de peur de manquer le moment ? ( Plus vraisemblablement avait-il mis en œuvre un sort d'alerte météo, un coladus très certainement, mais il avait quand même une chance sur deux de se planter ! ).
Il est venu me réveiller en frappant à ma porte, il était alors si proche de mon lit et de ma peau chaude et ensommeillée, le savait-il ? … Il était déjà prêt, je lui ai demandé quelques minutes, me suis habillée sans me doucher, j'avais envie de laisser sur ma peau l'intimité de ma demi-nuit.
Nous nous sommes faufilés dans notre couloir étroit, jusqu'à l'extérieur du château. L'herbe était encore trempée, le sol mou comme une éponge, chacun de nos pas déclenchait un bruit de gargouillement et de succion.
Je lui ai dit avoir l'impression de marcher sur un estran, tout juste libéré par la marée descendante. Il m'a dit que j'avais toujours de superbes analogies maritimes à lui proposer, il m'a raconté que la maison de son enfance, maintenant à lui, mais en piteux état, était située en Cornouailles, et qu'on y voyait la mer et que pourtant, il s'en rendait compte maintenant, il n'avait jamais eu l'impression d'habiter dans un environnement marin.
Il m' a semblé réfléchir pendant de longues minutes, peut-être pensait-il à ses parents décédés ? puis il a ajouté :
« Peut-être qu'en y retournant maintenant, je découvrirais enfin ce paysage. »
Nous avions ensuite marché en silence. Puis je m'étais mise à bailler, à plusieurs reprises. Remus me proposa alors de nous reposer sous le ciel éclairci, il arrangea vivement un coin sec, je m'allongeai, lui restant debout, gigantesque près de moi. Nous étions comme un exercice de géométrie encore irrésolu, une droite horizontale, une droite verticale.
Je fermai mes yeux et dès cet instant je dus lutter contre la tentation de les réouvrir sitôt et de vérifier s'il me regardait au pas. Et puis encore une autre tentation tout aussi avide et tenace, lui demander juste avant de m'endormir, parce que je savais que j'allais me faire envahir doucement par le sommeil :
« Remus, parle-moi de mes yeux fermés, dis –moi la peau de mes paupières rabattues sur mon regard vers toi. Est-elle transparente pour que je te voies encore, alors que j'ai déjà clos mes yeux ? »
Je m'endormis dans le fervent rayonnement de son désir, et puis autre chose qui faisait vibrer l'espace entre nous, qui partait de lui et hésitait devant moi, et moi ne sachant pas encore si je souhaitais accueillir cet élan, cet émo
Et alors que mes yeux étaient fermés, et que je ne lui offrais plus que mes paupières closes à regarder, j'acceptai enfin de voir, j'acceptai enfin la réalité du poids de ce dont il m'avait chargée ce soir de septembre. Ce poids sur moi qui me faisait maintenant sombrer dans le sommeil, comme un lest, dans ces lieux indistincts où je pouvais cesser de m'interroger sur cette responsabilité et ce pouvoir.
Puis je rêve que j'entends des paroles, à la fois indistinctes et précises, qui me recouvrent alors d'un tremblant mystère.
Je me réveillai abruptement, mon rêve s'était tu et restait sans souvenir, je m'aperçus que Remus s'était allongé et endormi, nos têtes si proches l'une de l'autre que nos cheveux étaient enchevêtrés, comme des courants d'eau douce et d'eau salée. Je n'osai bouger de peur de les déranger dans leurs flux jumeaux et dormants.
Puis Remus ouvrit les yeux à son tour, me disant que le changement de rythme de mon souffle, qui le berçait, l'avait prévenu de mon réveil ; il ajouta
« Ne dites rien, restons comme des amis silencieux »
Ce qu'il ressent pour moi se brise sur son secret, et s'éparpille en amitié.
Comme cela était cruel et inexorable : par amour de moi, il restait caché derrière quelque chose dont l'existence faisait que je ne pouvais pas véritablement l'aimer (mais étais-je bien sûre de cela ?). Je m'agrippai à ce qui me restait : la douceur dans ses yeux d'amant déguisé en ami.
Nous n'avions pas progressé l'un vers l'autre malgré ces promenades, ces distances qui nourrissaient nos enjambées, nous étions à nouveau allongés sur la terre, comme ce jour de tempête, mais aujourd'hui dimanche était encore noir de nuit, et comme s'il avait suivi le déroulement de mes pensées, Remus me dit :
« Je vous en prie, je vous en supplie, ne partez pas, cette fois-ci, ne partez pas »
. Je lui répondis :
« Je reste, je reste près de vous, je reste avec vous, nous repartirons ensemble quand le jour sera levé »
. Nous attendions cet événement, nous nous détournâmes l'un de l'autre afin de regarder le ciel. Mais nos cheveux étaient toujours les uns dans les autres. (2)
Rien ne se passait encore dans les cieux, il était trop tôt. Je dis :
« La nuit est comme une soie douce où poser et reposer son regard. »
Remus dit « Une soie douce, mais si lointaine… »
Je répondis « C'est parce qu'elle est accrochée aux étoiles, en train de sécher aux vents célestes ».
Qui de nous deux allait oser dire :
« Quand elle aura séchée, nous pourrons la prendre tel un drap à poser sur nous »
Moi, je le pensai, et je sentais Remus à côté de moi se confronter à la même association, si évidente à deux personnes étendues sur le sol, qui viennent de se réveiller : drap, lit… et après ?
Nous restions silencieux, comme des complices habitués l'un à l'autre.
J'essayai de m'orienter, de trouver la direction de l'est. Je fis passer mes yeux d'un côté à l'autre du ciel : sur ma gauche, tout restait absolument noir, sur ma droite, la profondeur de la nuit était en train de recéder à la clarté déjà persévérante du jour, comme devant une irrésistible marée montante.
Remus toucha doucement mon bras :
« Vous avez vu ? Les étoiles ont disparu … »
Je fis remonter mes yeux, de l'est au zénith sans soleil, je ne vis plus maintenant que du bleu profond et calme, qui allait en se densifiant vers l'ouest, nous étions à l'heure où la nuit et le jour se mélangeaient pour se séparer dans cette fabuleuse couleur.
Puis, le ciel se vida de ses ombres douces, le jour commença dans une lumière nette et incisive, les seuls secrets qui subsistaient encore étaient ceux de Remus. Mais cette fois-ci je ne pris pas le risque de lui en reparler.
Nous rentrâmes dans un absolu silence, appliqués à ne pas dévier de nos deux trajets parallèles.
Journal de Remus, le 28 avril
Isolfe a-t-elle entendu les mots fervents que je lui ai chuchotés ?
Si je prends les lettres de ton prénom que j'en laisse certaines et que j'en ajoute d'autres en une cruelle et clandestine combinatoire je peux te dire I love you mais aussi en ne laissant qu'une lettre inemployée I lose you Isolfe et je pourrais en cet instant respirer et pour toi et pour moi et combien de temps encore me forcerai-je encore à résister à la tentation de tout te révéler de moi vois comme je suis lâche j'ose enfin te parler parce que je sais que tu dors et pourtant je souhaiterais aussi que tu ne fasses que semblant d'être fatiguée et que tu m'entendes et que tu me dispenses du supplément de courage qui me manque tu m'épargnerais d'avoir à lire ta réaction sur ton visage je cherche une confession sans effort mais j'ai tellement peur de te faire définitivement fuir loin de moi si je te dis ce que tu souhaites entendre sur ce que tu appelles ma zone d'ombre mais Isolfe sache que c'est plus qu'une ombre c'est une tâche que nul soleil au plus haut de ses zéniths ne pourra jamais faire disparaître c'est une souillure irrémissible que je ne méritais sans doute pas et il faudrait que tu m'aimes follement comme une impitoyable insensée pour accepter cela entre nous il y a en moi une violence secrète dont tu ne sais rien et dont il faut que tu te protéges je te demande l'impossible Isolfe de m'aimer tout en restant à distance de moi mais on ne peut pas soumettre une relation à une telle contrainte à une telle impossibilité je voudrais pour nous le possible dans l'impossible mais cela ne peut être qu'un amour chimérique maladif végétant sur des mots qui ne peuvent même pas être prononcés entre nous le mieux que je puisse faire le meilleur que je puisse leur donner est de les proclamer à ton oreille endormie sachant qu'ils vont se perdre car ils doivent se perdre ces pitoyables mots avortés d' un amour infructueux car à quoi bon écrire des mots s'ils ne sont lus à quoi bon prononcer des mots s'ils ne sont entendus et pourtant ces mots tu les as enfin fait sortir de ma tête de cet enfermement où ils tournaient en rond inutiles et stériles puisque je les ai enfin psalmodié près de toi Isolfe tu es ma ligne droite tu es le rigoureux mouvement dans ma vie
(3)
Journal de Remus, le 2 mai
J'ai à nouveau essayé d'extorquer des nouvelles de Gn1-2 à Albus, alors que je le croisais dans un couloir en fin de soirée – il était resté invisible de toute la journée.
Il m' a dévisagé des pieds à la tête d'un air absent, puis a semblé soudain comprendre le sens de ma question avec un brusque tressaillement. Et pourtant, je l'ai senti encore hésiter à me répondre – à tel point que j'ai bien eu envie de tourner les talons et de le planter là : s'il veut jouer au cachottier, pourquoi pas ? il doit avoir ses raisons, bonnes ou mauvaises … Je ne vais pas me jeter à ses pieds pour mendier les informations qu'il voudrait bien condescendre à me divulguer.
S'est-il rendu compte de ce que je ruminais… toujours est-il qu'il m'a donné une petite tape sur le bras, sous laquelle je me suis rétracté. Il a soupiré. :
« Calmez-vous, Remus… ne me rendez pas les choses plus compliquées qu'elles ne les sont déjà. Je vous ai promis de vous transmettre toutes les informations utiles que je pourrais avoir. Et je crains fort de rien savoir qui puisse entrer dans cette catégorie. Mais, puisque vous insistez… vous voudrez bien garder votre déception pour vous.
Sachez donc que leur simulacre d'enquête n' a rien donnée, mais j'étais certain qu'ils ne cherchaient pas trop loin, toujours est-il que Gn1-2 est à nouveau tranquille, Sirius va bien m'a-t-il dit, mais j'ai l'impression qu'il ne veut pas m'en raconter trop. Ils ont l'air de beaucoup parler tous les deux, mais je n'en sait pas plus, enfin du moins Sirius a-t-il échappé à la vidange, et moi cela me laisse du temps pour agir. Mais là-dessus, Remus, je ne vous dirais rien, pour le moment. Et de votre côté, il paraît que vous allez faire de l'escalade ? »
J'ai résisté à la puérile tentation de lui demander comment il était au courant…j'imagine que Minerva avait dû tout lui raconter, l'air de ne pas y toucher. Et Merlin sait quelles conclusions ils avaient pu en tirer. !
J'en viens de plus en plus à penser que ces deux là ont fait des paris sur la date à laquelle Mademoiselle Dazurs glissera une jambe et… puis l'autre… dans le lit de Remus J. Lupin.
Je lui balance au visage :
« 27 juin », j'ai réussi mon coup, il a l'air complètement ébahi, ses lunettes vacillant à l'extrême limite de son nez et ses sourcils tellement remontés qu'ils sont à deux baguettes de se perdre dans ses cheveux.
Je m'accorde encore quelques secondes de béate contemplation et tourne les talons sans rien ajouter.
Si je n'étais pas si occupé à penser aux jambes d'Isolfe, je me demanderai « Pourquoi le 27 juin ? »
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(1) et je pense qu'il aurait eu raison… Lupin, t'es vraiment un peseur d'œufs de mouche et en plus j'ai eu un mal de chien à écrire cette phrase et d'ailleurs j'ai l'impression qu'elle est NAC.
Alors, please,
Lupin,
just do it
(2) connaissez vous le superbe poème d'Eluard L'amoureuse ?
Elle est debout sur mes paupières
Et ses cheveux sont dans les miens
…
(3) je sais, je sais, je n'ai pas sauté de ligne mais je ne pouvais pas faire passer à la moulinette des procédures ffnet cette longue psalmodie amoureuse ! Merci de votre patience…
