Annonce
Je sais j'ai un petit peu de retard, donc je mets le chapitre 5 en ligne et le chapitre6 la semaine prochaine. En attendant, bonne lecture
Reponses aux reviews
Zabou
Ron va dire k on peut l utiluser pr se défendre contre un troll! mdr!c toujours aussi bien et je suis pressée de lire la suite
+ et bon courage
Zabou
La voilà la suite, j'espère qu'elle te plaira autant que les premiers chapitres.
Chapitre 5 : Une annonce brutale
Les compagnons sortirent de la salle de classe avec Neville.
-Se fut un cours intéressant. Déclara Drago.
-Oui, vous avez vu la façon dont il a stoppé mon sort. C'était impressionnant.
-Maintenant si nous allions en cours de métamorphose ? demanda Hermione.
-Tu as raison, Mione, MacGonagall ne va pas nous attendre.
Les Gryffondors s'en allèrent sous le regard de leur professeur. Harry retourna derrière son bureau en se disant :
-Apparemment mon premier cours leur a plut, maintenant place aux Serdaigle et au Poufsouffle.
Harry était perdu dans ses pensées quand les élèves entrèrent dans la salle de classe. Harry faisait peur aux élèves, car aucun des Poufsouffles et des Serdaigles ne s'étaient assis devant le bureau.
Harry refit son petit discours de début de cours puis leur parla de Voldemort.
-Avez-vous entendus parler du jour VV ?
As ce moment là, Michaël Corner s'effondra de sa chaise, il roula par terre.
-Miss Lovegood, amené le à l'infirmerie, s'il vous plait. Et si vous croisez le directeur, ce qui m'étonnerai pas dites lui de m'attendre dans mon bureau.
Les deux élèves sortirent de la salle de classe, sous le regard interrogateur des élèves présents. Un élève leva la main.
-Oui, Mr ?
-Verdict, Victor Verdict. Qu'est ce que le jour VV ?
-Le jour VV fut le jour où Voldemort fut vaincu. Cela veut dire « Victoire sur Voldemort ». Cela c'est passé il y quelque mois lorsque Harry Potter a vaincu le Lord Noir. Maintenant commençons le cours. Pouvez vous me dire ce qu'est un détraqueur ?
Le cours se passa sans problème, Luna Lovegood réapparut au bout de quelques minutes, et elle pu faire la démonstration d'un patronus corporel. La fin de l'heure arriva rapidement et Harry donna un travail sur la façon de se défendre avec des sorts de simples utilités, puis appela Luna. La jeune fille, attendit que les élèves sortent puis s'approcha du bureau de son professeur.
-Miss Lovegood, avez-vous croiser le directeur quand vous avez accompagnez Mr Corner à l'infirmerie ?
-Oui, Monsieur, je crois qu'il vous attends dans votre bureau.
-Merci Miss, vous pouvez rejoindre vos amis.
La jeune fille quitta la pièce. Harry se leva puis se dirigea vers son bureau. En entrant, il vit le directeur pencher sur un cadre de la famille de Harry.
Quand le directeur entendit Harry entrer, il se redressa et déclara :
-John, cette photo lève tous mes doutes.
Harry avait blêmi. Il n'avait pas réussit à cacher sa véritable identité au directeur plus d'une journée.
-Que voulez vous dire, Albus ?
-Je sais maintenant que vous êtes quelqu'un de bien, je n'ai aucun doute sur votre camp.
Harry pouffa de soulagement. Et le directeur continua :
-Maintenant pouvez vous me dire ce qu'il c'est passé avec Mr Corner pendant votre cours ?
-Je ne sais pas j'ai juste parler du jour VV et il s'est effondrait.
Dumbeldore avait vite réagit :
-Comment vous avez parler du jour VV ?
-Oui, je viens de vous le dire ? Dites moi maintenant ce qu'il s'est passé ?
Harry s'en doutait mais il espérait se tromper.
-Harry Potter et moi-même avons bloqué la mémoire de Mr Corner, avec son accord, l'an dernier après qu'il eu fait rentrer des mangemorts dans le château. L'attaque des mangemorts à échouer grâce à Harry et les compagnons, nous étions les seuls à connaître le mot qui débloquerait sa mémoire.
-Jour VV ?
-Effectivement. Nous voulions seulement attendre un peu avant de rendre sa mémoire sur cet événement à Mr Corner.
-Et comment aurait-il pu reconnaître ses erreurs s'il ne s'en souvenait pas. Je crois que Mr Corner à besoin de parler et je connais justement la personne qui pourra le faire.
-Puis je savoir qui ? demanda le directeur.
-C'est à moi de savoir et à vous de trouver. Répondit Harry.
Le directeur souria, et finit par demander :
-Comment connaissez vous l'expression du jour VV, il me semble que c'est Ronald Weasley qui l'a inventé l'année dernière au moment de noël.
-Cette expression a également été inventée dans mon quartier par quelques enfants âgés d'une quinzaine d'années.
Le directeur s'avança vers la porte puis il fit demi tour et tendis à Harry le cadre où se trouvait la photo de famille en disant :
-Vous avez une très belle famille. Comment se nomme tout ce petit monde ?
-Les deux jumeaux, s'appelle Mathieu et David, la petit fille, Virginie et ma femme Julie. Mentit Harry.
-Vous avez beaucoup de chance d'avoir une aussi belle famille.
-Merci. Mais j'aurais plus de chance de les retrouver.
-Comment cela ?
-Ils ont disparus. Ma femme est partie avec mes enfants, il y a un an. Maintenant je parcours le monde à leur recherche.
-Vous savez que tous les ministères de la magie ont un système de recherche pour des cas comme le votre.
-Je sais, mais comment une moldue réagira quand des sorciers débarqueront à l'improviste dans sa maison ?
-Bonne remarque, j'espère que vous les retrouverai un jour. Et si vos enfants sont des sorciers, je vous promets de vous prévenir si ils étudient dans ce collège.
-Je vous en remercie. Répondit Harry.
Harry s'était construit une histoire peu glorieuse, et il n'en était pas fier, mais s'était la seule façon d'éviter les questions sur sa famille.
Les deux hommes sortirent de la classe. Et continuèrent à discuter sur le trajet de la grande salle.
-Albus, j'aimerai faire quelque chose de spéciale avec les compagnons et Neville Longdubat, mais j'aurais besoin de votre accord.
-De quoi s'agit-il ?
-J'aimerai leur apprendre à transplaner.
-Pardon ?
-Si j'en crois certains, ils ont le chic pour ce mettre dans des situations impossibles, je crois qu'en sachant transplaner, il pourrait mieux se défendre.
-Vous avez sans doute raison. Mais où voulez vous leur apprendre cela ?
-Je crois que la cabane hurlante, n'est plus utilisé depuis le temps des maraudeurs !
-Je vois que vous connaissez les maraudeurs, malheureusement, cette année deux élèves de Beaubaton sont arrivés et l'un d'eux est un loup garou par la naissance alors elle sera utilisé.
-Cela me laisse quand même trente jours par mois pour le faire. Mais dites moi le nom de c'est deux élèves de Beaubaton.
-Normalement vous les aurez qu'à partir de demain car ils arrivent ce soir. Mais si vous connaissiez les maraudeurs, leurs noms devraient vous être familier. Nous accueillons, Mr Maxime Lupin et Mr Alexander Black.
-Donc Mr Lupin est un loup garou. Je crois que les compagnons pourront l'aider un peu.
-Vous savez donc qu'ils sont des animagus.
-Bien sur j'ai vu une loutre, un loup, un renard et une fouine se balader dans le château cette nuit. Mentit Harry.
La discussion s'arrêta quand ils arrivèrent dans la grande salle. Encore une fois les regards se tournèrent vers eux. Puis après quelques secondes les discussions reprirent.
A peine assis, Harry se fit interloquer par le professeur de potion.
-Comment avez-vous osez retirer cinquante points d'un coup aux Serpentards ? Aboya t-il.
-Cher professeur Rogue, vous devez savoir que je ne laisserez jamais une injustice impunis. Vos précieux élèves se sont moquer d'un membre de Gryffondor, je ne vois pas pourquoi je devrais laisser passer cela.
-Vous vous croyez chez vous n'est ce pas ?
-Je ne suis pas chez moi, je suis ici car personne ne semble apte à occuper ce poste. Et puis je ne fait aucune distinction de maison, pour moi les serpentards peuvent être charmant seulement si ils ne vont pas ramper à genou devant un moins que rien.
-Aucun des élèves n'a rampé devant le seigneur des ténèbres.
-Ha bon, si j'ai bien suivit l'affaire de l'an dernier, je crois que sous l'impulsion de Drago Malefoy, les serpentards avaient créer un groupe appelé AS. Heureusement pour lui, seul Drago a eu la présence d'esprit de quitter se groupe. Mais dans ce groupe nous ne retrouvions que les enfants de mangemorts qui avaient des missions venant de Voldemort lui-même.
-Comment savez vous cela ?
-Je me renseigne. Je n'aime pas débarquer dans un endroit dont je ne connais rien. Je vais vous dire pourquoi je suis là, je veux enseigner aux élèves de ne plus jamais courbé l'échine devant qui que se soit.
-Voilà de nobles sentiments, mais vous n'y arriverez pas.
-Je sais que la seule personne qui pourrait regretter que j'y arrive c'est vous, car vous n'aurez plus de pouvoir sur vos élèves.
Rogue était vert de rage. A la table des Gryffondors Ron donna un coup de coude à Drago et dit :
-Regard Rogue, je crois que je vais finir par apprécier Malco.
Toute la table de Gryffondor regardait maintenant la table des professeurs pour voir la réaction du professeur de Potion.
Celui-ci se leva et en jouant avec sa cape il partit d'un pas pressé vers les cachots.
-Ben cela va être gaie cette après midi en potion.
-T'as raison Ron, il vaut mieux ne pas être en retard.
Les trois compagnons de septième années se levèrent puis après avoir donner rendez vous à la bibliothèque aux trois autres, ils se dirigèrent à leur tour vers les cachots.
Marc et Marion se levèrent en même temps que Ginny. A la table des professeurs, Harry regardait les compagnons se lever un par un. Ce qui le frappa était le visage de Ginny. Harry voyait sur le visage de sa future femme la mélancolie. Elle semblait de plus pouvoir sourire. Jamais Harry n'avait pensé que Ginny puisse être aussi triste que cela quand il été partie de Poudlard.
La salle se vida. Harry resta seul un moment à la table des professeurs, perdu dans ses pensées. Au début Harry était heureux de revoir le passée de ses amis, mais voir la petite Ginny aussi triste, lui avait fait mal. Il se rendit compte qu'il avait été plus qu'égoïste quand il est partit de Poudlard.
Après quelques minutes, il se rendit compte que son cour aurait du commencé. Il transplana dans sa salle de cours sous le regard de ses élèves de secondes années. Quand il apparut, tous ses élèves le regardèrent avec des yeux ébahis.
-Je vois que mon arrivée ne vous laisse pas de marbre. Mr Evans veuillez fermer la bouche, c'est mal polit.
Un petit rire parcourut la salle.
-Bien maintenant que la glace est brisée, nous allons entamer le cours.
Harry regarda chaque élève un par un, il stoppa un peu plus longtemps sur Marc et sur Marion. Le regard de celle-ci était remplis de larme. Harry espéra au fond de lui que ce n'était pas sa faute, mais une petite voix se fit entendre.
-Non, vous n'y êtes pour rien. La tristesse ne vient que de moi.
Harry regarda à nouveau Marion. Le lien venait encore de se manifester. Harry commença son cours.
-Aujourd'hui nous allons étudier les épouvantards. Qui peut me dire ce que c'est ?
Plusieurs mains se levèrent.
-Oui, Mr Thomas ?
Sans doute le frère de Dean, pensa Harry.
-Les épouvantards, sont des créatures qui prennent l'apparence de notre plus grande peur. Pour les combattre, il faut utiliser le sort Riddikulus, en pensant à lui donner une forme qui nous faut rire.
-Bonne réponse, Mr Thomas, cinq points pour Gryffondor. Puis je savoir d'où vous viens toutes ses informations ?
-Mon frère Dean a eu le professeur Lupin en troisième année, il avait eu une cour mémorable sur les épouvantards.
-Ha oui, j'en ai entendu parlé. Savez vous en quoi se transformer l'épouvantard face à Mr Longdubat ?
Harry se fit donc un devoir de leur raconter le cours qu'il avait eu lors de sa troisième année. La transformation Rogue avec les habits de la grand-mère de Neville. Ce qui fit rire toute la classe.
Le cours se termina avec une démonstration de quelques élèves. Quand le cours se termina, il se demandait si le rapprochement des maisons n'était pas en train de s'effectuer. Il n'avait pas eu l'impression d'avoir deux maisons différentes dans sa classe. Les Gryffondors et les Serpentards s'entendaient dans l'ensemble assez bien.
-Il était temps d'oublier ses vieilles querelles. Pensa t-il.
Il donna juste un petit devoir à sa classe et souhaita une bonne soirée. Les élèves sortirent de la classe et Harry demanda juste avant :
-Miss Wood, puis je vous voir quelques instants.
-Bien sur professeur. Répondit-elle.
La salle de classe était vide. Harry ferma la porte à clef puis plaça un sort de silence dans sa classe.
-Qui êtes vous ? demanda Marion. Il y a qu'une seule personne avec qui je peux converser ainsi. Seulement à l'heure actuelle il est au village de ses ancêtres.
-Je sais, il est en train de réparer sa maison détruite par Voldemort, alors qu'il n'avait que un an. Il n'est pas nécessaire de dire que se village se nomme Godric Hollow.
Marion avait regardé dans les yeux son professeur en espérant lire dans ses pensées un indice.
-Marion, crois tu vraiment que je voudrais du mal à Poudlard, où même à toi ? Demanda Harry avec douceur.
Marion n'en revenais pas, le ton employer par son professeur était doux, une seule personne selon elle avait la même intonation de voix.
-Vous êtes…
-Harry, oui petite sœur. Je ne savais pas que je devrai te le dire aussi vite mais la tristesse qui émane de ton visage est un vrai calvaire alors écoute, je viens d'une époque que tu ne connaîtras que dans une dizaine d'années. Maintenant explique moi pourquoi l'an dernier tu étais si gaie et aujourd'hui si triste.
A nouveau les yeux de Marion se remplirent de larmes. Elle respirait difficilement.
-Allons calme toi, petite Marion et explique pourquoi tu as autant de tristesse au fond de toi ?
-Harry, je ne veux pas que cela te gêne, et je sais que tu pourrais te sentir coupable de nous avoir laissé.
-Marion, je crois que tu es celle qui me connais le mieux, je ne pourrais jamais être heureux si je vois ne serai ce qu'une personne triste dans mon entourage.
-Je sais, voilà, j'ai reçu une lettre ce matin, ma grand mère est…..Oh Harry, je suis si triste.
Elle se mit à pleurer dans les bras de son professeur, qui se mit à caresser ses longs cheveux en murmurant doucement :
-Pleure, ma douce petite sœur, cela te fera du bien. Laisse sortir tes émotions, ne les enferment pas au fond de toi en espérant les oublier.
La petite fille, continua à pleurer. Puis après quelques minutes de pleures, Marion s'endormit dans les bras d'Harry. La chemise d'Harry était mouillé de larmes de sa sœur de cœur. Vraiment, il ne se ferra jamais à la situation.
Celui-ci la transporta dans son appartement, la déposa sur son canapé et lui apporta une couverture. Il fouilla doucement la petite bourse de cuir qui était accroché au cou de Marion, trouva le gallion trafiqué et appela Marc et le directeur.
Les deux personnes arrivèrent en même temps devant l'appartement du professeur de Défense contre les forces du mal. Harry les fit rentrer et demanda le silence en mettant un doigt devant sa bouche.
Il mit un autre sortilège de silence autour de son canapé. Marc demanda :
-Professeur Malco, que se passe t-il ?
-Mr Evans, votre amie a eu une perte dans sa famille.
-Qui ? Demanda précipitamment Marc.
-Mr Evans, je crois que ce doit être Miss Wood, qui vous explique la situation. Il serait préférable Mr Malco, de l'emmener à l'infirmerie, afin qu'elle puisse se reposer. Répondit le directeur.
-Non, Mr le directeur, le fait qu'elle reste ici ne me gêne aucunement. Je tenais simplement à vous prévenir. Je souhaiterai également qu'elle ait quelques jours de congés, afin de faire ce qui doit être fait.
-Il va de soit que nous laisserons, Miss Wood retourner dans sa famille, le temps qu'il faudra.
-Merci Mr le directeur.
Dumbeldore quitta la pièce en saluant poliment le professeur et Marc. Harry se tourna alors vers Marc :
-Marc, si vous souhaitez rester ici, je n'y vois aucun inconvénient. Il faudrait seulement prévenir vos compagnons pour éviter qu'il défonce ma porte pour savoir ce que j'ai fait de deux Gryffondors.
-Vous avez raison, répondit Marc en sortant son gallion de sa poche.
-En voila un objet intéressant, fit Harry en faignant l'ignorance.
-Oui cela permet de converser en toute sécurité.
-Mais bien sur, pensa Harry. Dans dix ans tu verras que même toi tu trouveras ces gallions d'une simplicité extrême.
Et voilà c'est finit pour aujourd'hui. Je voudrais avoir quelques reviews en plus avec des idées pour la suite. Je suis actuellement bloqué au chapitre 20 et j'ai la maladie de la feuille blanche. Je sais où je veux aller mais ne voulant terminé mon histoire trop vite je veux allongé avec des idées un peu inédite. Avec l'histoire que j'ai en tête cette histoire peux se terminer au chapitre 22 hors j'espère bien arriver à écrire une trentaine de chapitre. Cela ne tiens qu'a vous de me donner desidées afin de participer à ma fic.
Merci à tous.
la semaine prochaine.
Jojo