Sa y'est c'est le deuxième chapitre ! Merci pour vos reviews ! Et désolé, je sais que vous les trouvait cour, mais j'arrive pas à les faire plus long. J'essarai quand même mais je vous promet rien.
Surprise à Privet Drive :
Mais Harry ne parvint plus à se rendormir il était trop préoccupé par son rêve, il resta allongé sur son lit, les yeux fermé, dans l'espoir que le sommeil vienne. En vain. Il se leva vers 8h du matin, car il était sur que le sommeil n'arriverait plus à présent.
« Il faudra attendre la nuit prochaine » se dit-il.
Il regarda à nouveau par la fenêtre encore ouverte, le soleil avait monté dans le ciel, et il éclairait à présent toute la rue de Privet Drive. Dans la rue des gamins jouait au football avec une petite ball. Harry les regarda jouer un peu en pensant que rien ne pouvait être plus beau que le Quidditch et que c'était dommage que les moldus ne connaissent pas ça, ça les ferrait enfin se désintéresser au football, car c'était un sport stupide.
« Enfin, soupira-il en se détournant de la fenêtre, tant qu'il ne m'envoient pas leur fichu ballon sur la tête, je ne … »
Mais il n'eut pas le temps de finir sa phrase que quelque chose de rond et dur vient se scratcher sur sa nuque.
« Outch ! Espèces de petits … »
Il se retourna et regarda la petite chose ronde qui l'avait percuté, ce n'était pas un ballon c'était …
« Coquecigrue ! Mais que fait tu ici ? »
Le petit hibou répondit d'un fier hululement, (qui eut le don d'exaspérer Hedwidge au plus haut point), en brandissant une petite lettre accrochée à sa minuscule patte. Harry se précipita sur lui et détacha la lettre de sa patte. Ca faisait longtemps que Ron et Hermione ne lui avaient pas écrit. Il donna un petit gâteau sec à Coquecigrue qui s'envola vers la fenêtre heureux d'avoir accompli sa mission. Harry entreprit alors d'ouvrir la lettre de Ron. Il lut :
Salut Harry,
On viendra te chercher bientôt, on ne peut pas te dire exactement quand, au cas où la lettre serait interceptée, j'espère que tu vas bien.
Ron
Ils viendraient le chercher bientôt. Ca n'en disait pas beaucoup, mais ça disait quand même le principale : ils ne l'ont pas oublier et ils vont le sortir de ce trou pourri. Et bientôt.
Cette lettre eut un effet considérable sur Harry, il était à présent tellement heureux qu'il en oublia presque son rêve.
Ce ne fut qu'au cour du repas du soir qu'Harry parvient enfin à se calmer.
L'oncle Vernon racontait à sa famille, c'est-à-dire la tante Pétunia et Dudley, sa journée de travail. Harry n'écoutait que d'une oreille distraite son discours. Il était occupé à découper sa pomme de terre et à la fourrer dans sa bouche, quand l'oncle Vernon enchaîna :
« Et devinez quoi, les Ponniers, vous savez ceux qui habite au 6 Prive Drive, en rentrant du travail, j'ai vu un grand camion de déménagement devant chez eux. Alors, je me suis arrêté, et j'ai demandé à Mrs Ponniers s'ils allaient déménager, et elle m'a répondu qu'en effet qu'ils iraient habiter plus dans le sud, à cause du travail de son mari. Elle m'a aussi dit qu'ils avaient vendu la maison. A des français parait-il, un couple et leur fille. Et, ajouta l'oncle Vernon pendant que Harry mettait une autre cuillérée de pomme de terre dans sa bouche, leur fille a pile l'age de Dudley.
Harry s'étouffa à moitié avec ses pommes de terre, il fut obligé de tousser pour se dégager la gorge et pouvoir enfin respirer. Il avait bien dit une fille de l'age de Dudley ? Apparemment oui. Ca voulait aussi dire alors, une fille de SON age.
La tante Pétunia regarda Harry tousser, d'un air outré qui signifiait Danger , et elle ajouta en s'adressant à l'oncle Vernon :
« Il faudra quand même s'assurer de la normalité de ces gens, avant que Dudley ne fréquente leur fille. »
« Oui, bien sur, ne t'inquiète pas pour ça Pétunia chérie, je m'en chargerait moi-même. » reprit-il.
Le dîner fini, Harry tout rêveur, remonta dans sa chambre, la fin de l'été promettait d'être fort en émotion.
Et voila fini pour le deuxième chapitre, maintenant si vous voulait le troisième vous savez se qui vous reste à faire : ... REVIEWS !