Voila, c'est le troisième chapitre, j'ai fait un p'tit effort pour le faire plus long, et j'espère qu'il vous plaira ! Et puis vous aussi faites un piti effort, quoi, mettez des reviews ! C'est pas compliqué quand même ! bon voila, c'est tout et n'oubliait pas les reviews !
Bizarreries:
Ce matin Harry se réveilla très tard, le soleil était déjà haut dans le ciel. Harry se leva, se lava, s'habilla et essaya de se coiffer mais il dut abandonner la partie car son peigne s'était cassé.
Il descendit l'escalier et rentra dans la cuisine, il s'attendait à voir les trois Dursley. Mais personne. La cuisine était vide. D'habitude il y avait toujours l'oncle Vernon qui lisait le journal dans la cuisine, le Dimanche, (car aujourd'hui c'était Dimanche), pendant que la tante Pétunia jonglait entre la vaisselle et le repas sous l'oeil attentif et gourmand de Dudley.
Mais là il n'y avait personne.
Harry haussa les épaules, après tout ils était peut être allés quelque part et ils n'avait pas juger utile de le prévenir. C'était ce qu'ils faisaient parfois. Mais où pourrait-ils aller le dimanche car tout était fermé et même un Dursley, dont le niveau d'intelligence frôlait les moins cinq, devraient le savoir. Harry ouvrit le frigidaire et regarda se qu'il y avait dedans. Il ne put s'empêcher de sourire. Dudley avait pour habitude de dévaliser le frigidaire chaque matin, et il ne laissait à Harry que les seules rares fruits et légumes que la tante Pétunia achetait.
Il mangea son petit-déjeuner en se réjouissant, il a la maison pour lui seul, il pourra regarder la télé, essayer le nouvel ordinateur de Dudley, ou pouvoir faire ses devoirs qu'il avait pour la rentrée sans être obligé de les faire la nuit caché sous ses draps.
Après avoir mangé quelques abricots qui traînaient dans le frigo depuis plus d'un mois, Harry monta finir le devoir de potion pour Rogue, dans sa chambre.
Cinq heurs plus tard, après avoir enfin fini TOUS ses devoirs, il descendit, mangea un petit casse-croûte et s'installa devant la télé. Il l'alluma et regarda se qu'il y avait sur la une, c'est à dire des petites séries moldus sans intérêt. Il passa le reste de la après-midi ici, avaché sur le canapé.
Quand à 6h la porte d'entrée s'ouvrie brusquement. Harry s'empressa d'éteindre le téléviseur mais il n'eut pas le temps de se lever du canapé que la porte du salon s'ouvrie à son tour.
La tante Pétunia entra elle était livide et avait les lèvres tellement serrées qu'on ne pouvait presque plus les voir. Elle portait sa plus belle robe de soirée (un truc affreux avec des petits pompons roses un peu partout le long de sa robe Elle avançait dans le salon, vers la cuisine à grand pas rageur. Derrière elle, arrivait l'oncle Vernon qui était tout rougissant et avait l'air très embarrassé en regardant sa femme. Lui par contre avançait tout doucement comme s'il avait peur que le plafond lui tombe dessus.
Aucun d'eux ne semblaient remarqué Harry, qui était en train de ramasser les chips qui s'étaient renversés sur le canapé dans sa précipitation. Il ne comprenait pas normalement ils l'auraient tellement puni pour ça qu'il ne serait même plus sûr de rentrer à Poudlard vivant, début septembre, (bon d'accord j'exagère un peu, mais quand même). Mais là rien ils ne s'étaient même pas aperçut de sa présence.
La tante Pétunia se précipita dans la cuisine et claqua violemment la porte. Harry ne l'avait jamais vu aussi énervée de sa vie. Il était en train de se demander se qui avait bien put se passer pour l'énerver à ce point, quand un grand cri le fit sursauter.
- VERNON ! VIENS ICI TOUT DE SUITE !
- quelquechosenevapasPétuniamachérie? Minauda l'oncle Vernon.
- OUI !
L'oncle Vernon rentra tout tremblant dans la cuisine.
- FERME LA PORTE !
- ouimonamour.
L'oncle Vernon ferma la porte, au grand malheur de Harry qui mourrait d'envie de savoir ce qui se passait.
Il eut soudain une idée qui lui traversa l'esprit comme un choc électrique: il n'avait pas le droit de faire de la magie pendant les grandes vacances, mais rien n'interdisait les objets magiques et ça faisait trop longtemps que sa cape d'invisibilité n'avait servi à rien.
Il courut la chercher dans sa valise. Et redescendit, quelques secondes plus tard, avec la cape d'invisibilité en mains. Il la mit et disparut dessous. Il ouvrit la porte de la cuisine et se glissa à l'intérieur. La tante Pétunia tempêtait et l'oncle Vernon subissait ses foudres la tête baissée.
- ... ET AUSSI TU N'AVAIS PAS A ...
Elle s'arrêta de parler pendant quelques secondes et regarda du coté de Harry, la porte qui s'était ouverte toute seule. Puis se retournant vers l'oncle Vernon, elle cria:
- ET FERME CETTE PORTE POUR L'AMOUR DU CIEL, VERNON !
- Oui ma chérie.
L'oncle Vernon referma la porte et retourna s'asseoir en face de la tante Pétunia. Puis elle enchaîna au bord des larmes, et sa voix se brisa dans un sanglot:
- tu ... tu n'avais pas le droit de me faire ça.
- mais ma chérie, je n'ai rien f ...
- OH QUE SI ! Ne fais pas l'innocent, je t'ai bien vu ... je t'ai bien vu ! Tu n'arrêtais pas de la regarder ! Et ce n'est pas le pire ...
- Mais ma chérie, c'est tout à fait normal de regarder les gens ...
- AH OUI ! Et de se mettre à genoux devant "elle" et de lui réciter une poésie d'amour, c'est normal peut-être ?
- Mais je ... je ...
- Tu QUOI ?
- Je ... je ne sais pas ce qui m'a pris ... d'un coup comme ça quand je l'ai vue, j'ai eu l'impression que ... que toute ma vie je ne pourrai plus jamais détacher mes pensées d'elle ... Mais depuis qu'on est parti, plus rien. J'ai l'impression de m'être réveillé après avoir rêvé. C'est tout.
- Et tu n'éprouve rien pour ... pour "elle" ?
- Non, rien. Temps que je ne la voie pas je ne ressent rien du tout. C'était comme si ...
- Si quoi ?
- Si elle m'avait ensorcelé.
- Oh ! Vernon, tu crois que ...
Mais elle n'eut pas le temps de finir sa phrase que l'oncle Vernon l'embrassa.
- C'est toi que j'aime, lui murmura-t-il à l'oreille, avant de reprendre leur baiser encore plus fougueusement.
C'est ce moment là que choisit Harry pour sortir discrètement de la cuisine. Les deux Dursley étaient trop occupés pour se rendre compte que la porte de la cuisine s'ouvrait et se refermait apparemment toute seule.
Une fois dans le couloir Harry enleva sa cape d'invisibilité et la laissa tomber par terre. Il s'assit sur la première marche de l'escalier. Il avait besoin de réfléchir, tout cela avait un peu perturbé son esprit. Il fallait qu'il fasse le point.
Apparemment ils avait sûrement été invités quelque part (vu leur tenues de soirées), et l'oncle Vernon a essayer de "draguer" une femme, la tante Pétunia s'était vexée du comportement de son mari avec une autre femme, et ils sont rentrés s'expliquer à la maison. Et l'oncle Vernon affirme avoir été victime d'un sortilège. Tout ceci est bizarre. En plus, Harry n'imaginait vraiment pas l'oncle Vernon déclarer son amour à quelqu'un. A son age ! Mais pas plus la tante Pétunia faire une crise de jalousie en public.
Enfin bon, de toute façon avec tout ça, il aurait de la chance si les deux autres dans la cuisine ne faisait pas un autre Dudley ! Un seul suffisait largement !
Au fait, OU EST DUDLEY!
Fini pour le troisième chapitre, alors maintenant n'oubliait pas REVIEWS !
Sinon ...,LoL !
Le prochain chapitre s'appellera surement "le Mystère de Dudley", et je l'ai pas encore commencé mais j'ai des idées. Donc je le mettrai peut-être dans un mois vers là. Oui je sais c'est dans longtemps mais c'est moi qui décide, lol.
ZiBouS !
