Chapitre 6 : Recrutement.
L'auror Sherborne était dans son bureau, se détendant du mieux qu'il pouvait, tout en sachant qu'une alarme pouvait l'interrompre à tout moment.
Malheureusement pour lui, ce ne fut pas l'alarme. Quelqu'un frappa à la porte. Sursautant et voulant enlever ses pieds de son bureau un peu trop rapidement, il s'étala par terre. Se relevant au plus vite il remit son uniforme d'aplomb :
-Entrez.
-Commandant, vous allez bien ? J'ai entendu comme un drôle de bruit...
-Jan...
-Oui monsieur ? L'ironie était plus que perceptible dans sa voix.
-Puis-je savoir ce que tu fiches dans mon bureau !
-Et bien... tu m'as dit d'entrer... Je te dérange peut-être ?
-Non, non... Bon, alors, qu'est ce qui t'amènes ?
-Le Général est la, il voudrait te parler.
-Le général ! Qu'est-ce que tu attends pour le faire rentrer ? Dis lui qu'il peut entrer.
-Oui, oui, mais je pense qu'il était préférable que j'ouvre la porte avant.
-Valton !
-Commandant Sherborne. Il semblerait que cette fois votre franchise soit allée trop loin.
-Monsieur ?
-Je crains que le colonel Henstridge ne vous aime guère.
-Ah... qu'est ce qu'il a encore trouvé pour m'accuser.
-De bonnes raisons, je le crains, et vous avez une bonne chance de passer en conseil de discipline.
-Ils me connaissent bien.
-Oui, justement. Mais nous sommes en temps de guerre. Et cela pourrait vous être fatal.
-Bon, quels sont mes torts ?
-Vous avez publiquement dénigré le travail des aurors ?
-Hein ? Moi, monsieur ?
-Oui, vous, les aurors de Henstridge qui travaillaient avec vous à la protection du Poudlard express n'ont pas appréciez le fait que vous annonciez à des civils que nous avions mal agis.
-C'était la vérité mon général.
-Je sais, et c'est pour ça que je vais vous trouver quelque chose pour vous éviter tous ces désagréments.
-Figurez vous que nous manquons d'instructeurs.
-Monsieur !
-Après l'attaque du train, beaucoup de volontaires ont demandés à être réintégrés dans l'armée... Surtout ceux qui ont eut comme vous quelques problèmes de discipline, mais ayant les qualités requises.
-Vous allez me nommer à la tête d'un bataillon de dégénérés, c'est cela ?
-A peu près, oui. Vous avez trois mois pour sélectionner parmi les cents postulants une douzaine avec laquelle vous seriez prêt à travailler.
-Et sinon ?
-Sinon, je crois que vous pourrez faire partie des postulants. Je suis désolé, croyez le, mais c'est tout ce que je peux faire. Vous savez, Henstridge a pas mal de puissance. Et il est votre supérieur en grade.
-Mais je pourrais l'avoir son grade !
-Autrement, vous pouvez aussi choisir d'accepter une promotion.
-Ah, non, je préfère le conseil de discipline.
-Je m'en doutait, vous avez déjà refusé deux promotions, néanmoins, il vous faudra choisir entre les deux si vous échouez.
-Je n'aime pas la paperasserie... Sauf votre respect, général.
-J'aime votre franchise, Sherborne. Je suis sûr qu'elle sera aussi appréciée de votre futur bataillon.
-Général, qu'est ce qui vous fais croire que...
-Ah, j'oubliais. Vous pouvez demander de l'aide à l'un de vos officiers.
Le général quitta la salle, laissant Sherborne défait. Puis un sourire sadique naquit sur son visage.
-Jan ? Peux tu venir, s'il te plait ? Demanda par la porte le commandant de sa voix la plus mielleuse.
-Oui, Waren ?
-Tu as entendu ce que le général me voulait ?
-Euh... Non ?
-Comme tu veux. De toute façon, je vais t'expliquer tout ça... Tu sais quoi, j'ai eut une offre très intéressante, mais il se trouve que j'aurai besoin d'un peu d'aide.
-Oh non...
-Oh si.
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Le seigneur des ténèbres sortit tout seul de son quartier général. Ce n'était pas parce qu'il allait tenter pour la première fois quelque chose et qu'il redoutait la honte de l'échec... Non, il n'aurait jamais laissé personne penser une telle chose, même pas lui. C'est donc pour pouvoir mieux savourer sa victoire personnelle qu'il se rendit (1) seul dans le cimetière le plus proche.
Passant parmi les tombes, il en repéra une, assez vite, qui lui conviendrait. La mort datait d'une vingtaine d'années, d'après ce qu'il pouvait lire à la lumière blafarde de la lune.
Voldemort releva ses bras à l'horizontale, paumes vers le bas, et entonna une incantation d'une voix rauque :
-" HEÎTZAHR HALSCAZOLIXLITCH
H'ALSLAMBLADRA PARLIABOR
BNETEZLURABLIOBRISHOU KRALS'MENIEU
VRRANKLAMBZ
HILLYRIA GRHOKUBITTH "(2)
L'atmosphère s'alourdit, et une forte énergie fila vers la tombe. Des craquements sinistres retentirent, puis la terre commença à trembler, une motte de terre remuait à côté de la lourde pierre tombale, et une main blanche jaillit de terre. Elle n'était pas simplement pâle, mais encore plus blanche que si elle avait été exsangue. Et pour cause : aucun vaisseau sanguin ne parcourait cette main, ni d'ailleurs aucun muscle ou nerf. Elle était purement constituée d'os reliés entre eux et formant un tout comme par magie.
A la suite de la main, qui s'avérait être une main gauche, le reste du squelette sortit de terre, et vint s'agenouiller devant celui qui dirigeait à présent tous ses mouvements.
Alors seulement Voldemort se permit de montrer sa joie. Un rire grave, fou et inquiétant retentit dans la nuit.
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Au même moment, dans une montagne de l'Oural, un jeune humain plaqua sa main droite contre son front qui s'était mis à saigner, roula des yeux ; et tomba sur le sol.
Alors, Potter, tu voulais savoir ce que je faisais, mais j'étais prêt, et pas toi, mais maintenant, je sais, oui, je sais où tu te caches... Et vous allez tous mourir, toi et tous ceux qui osent t'héberger.
Harry n'en entendit pas plus car il venait de renvoyer cette intrusion et reconstruit ses défenses mentales qui avaient souffert. Ouvrant les yeux, il vit le visage de son maître au dessus de lui.
-Vous allez bien ?
-Oui, oui...
-Savez vous ce qu'il s'est passé ?
-C'est vrai, Harry, je n'ai jamais vu ta magie fluctuer autant.
-C'était Voldemort, je vais vous expliquer. Ton'Lowass, même si tu connais déjà l'essentiel, tu peux rester, s'il te plait ?
-Euh, on ferait peut-être mieux d'aller s'installer pour le petit déjeuner. Ça risque d'être long.
-Oui, tu as raison, Ton'Lowass, j'ai beaucoup de choses à raconter. Harry semblait plus sérieux que jamais.
Harry décrivit donc le plus précisément possible le lien qui l'unissait à Voldemort, et raconta son histoire et celle du seigneur des Ténèbres.
-Quand je vous disais que Harry était bizarre ! Ton'Lowass ne semblait pas du tout perturbé, et même plutôt de bonne humeur.
-Ton'Lowass, ce n'est pas le moment de plaisanter. Harry avait un ton grave, très, très sérieux.
-Oh, pourquoi tu prends cet air là, ce n'est pas la première fois que cela t'arrive.
-En effet, ce n'est pas la première fois qu'il me menace de me tuer et de tuer tous ceux qui se trouvent avec moi. Mais il a bien précisé qu'il savait où je me trouvais.
C'est malheureusement possible, étant donné que je ne sais pas combien de temps il a réussi à pénétrer dans mon esprit. Je n'était pas encore tout à fais réveillé, et on ne peut pas être tout le temps sur ses gardes...
-Ne cherches pas à te justifier, Harry, on sait que tu as fait de ton mieux. Et puis, de toute façon, il faut maintenant regarder en avant : que va-t on faire ? Cela ne sert à rien de se lamenter.
-C'est malheureusement assez embêtant, surtout compte tenu du fait que vous avez eut une brève augmentation de magie alors que vous tombiez à terre, je crois bien que votre ennemi sait précisément où nous sommes, et ce, malgré toutes les protections de ce lieu. Etant donné que le sort venait de l'intérieur, il a très bien pu passer, et en plus, il était suffisamment faible, il sera donc passé inaperçu.
-Bref, Voldemort va attaquer sans que personne ne soit au courrant ? Il faut faire quelque chose.
-Ne vous inquiétez pas, les elfes nains savent tout de même se défendre. Nous verrons bien le moment venu. Ce ne pourra pas être si terrible que cela. En attendant, nous allons reprendre l'entraînement.
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Voldemort convoqua ses cinq mangemorts les plus forts en combat. Ils arrivèrent le plus vite possible dans la salle pour s'agenouiller devant leur maître.
-Mes fidèles serviteur, je vais vous montrer ma nouvelle force. Cependant, j'aurais besoins que vous la testiez.
Voici une des pièces de ma victoire.
Dans un cliquettement d'os, le squelette approcha.
-Voilà votre cible. Je vous demande de détruire ce squelette. Je veux voir s'ils sont aussi résistants que selon les légendes. Vous n'utiliserez que la magie. Celui qui arrivera à le détruire ainsi aura ma gratitude.
Les mangemorts ne se le firent pas dire deux fois : si la gratitude de leur maître pouvait leur éviter un doloris...
Les sorts fusèrent vers le squelette : feu, sortilège de disparition, d'explosion, de brisement, tout y passa pendant les dix secondes de jets de sortilèges en continu.
Quand la poussière du aux multiples effets retomba, tous purent voir que les légendes disaient vrai. Les squelettes étaient, une fois animés, invulnérables à la magie.
Voldemort eut un bref sourire :
-Bien, cela suffira, je pense. Une armée de ce type ne sera pas très difficile à recruter.
Voldemort repartit vers le cimetière pour le vider. A l'aube, il aurait sûrement une bonne force de frappe. L'inconvénient était qu'il ne pouvait pas non plus déplacer ses squelettes par magie. Mais cela ne le gênait pas. S'il ne pouvait le faire discrètement que la nuit, cela lui permettrait aussi de retrouver ses forces durant la journée. Car même s'il était puissant, cela ne voulait pas dire que ce nouveau sortilège ne le fatiguait pas.
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...(3)
Waren, s'assis à son bureau, et se prépara à une nouvelle série de candidats.
-Commençons, qui est le premier ?
-Un moldu, Tony Deal.
-Oh non, dit Waren en se levant.
-Non, non, il est très motivé, sa famille a été tué par Voldemort quand il était jeune, depuis, il a appris le maniement de toutes les armes possibles et inimaginables.
-Mais il ne peut rien contre la magie...
-Non, mais il a une pêche d'enfer, tu le verrais poussez des « Yippah ! » à tout vas en déchargeant ses pistolets...
-Je t'en prie... Dis moi que tu plaisantes.
-Bien entendu, commandant. Le premier est une sorcière du Yorkshire. Mira McCallan.
-Je me vengerai horriblement, Valton !
-Yippah !
-Fais là entrer. (4)
Plus tard, Waren révisa la liste des candidats.
Venait d'abord une sorcière du Yorkshire, qui ne portait pas le ministre dans son coeur et le faisait savoir. Sa carrière chez les aurors n'avait pas durée.
Cependant, du point de vue de Waren, ne pas aimer les incompétents est logique. Et il appréciait la franchise.
Ensuite venait un sorcier londonien, passé en conseil de guerre pour vol. Il l'avait supplié de lui laisser une dernière chance. Mais une fois sortit de son bureau, Waren s'aperçut que la photo de sa famille sur son bureau avait disparue.
Il envoya Valton récupérer l'objet, et raya le nom de la liste.
Ensuite venait un médecin qui avait été traumatisé par l'attaque de sa famille. Lorsque Waren lui fit faire des tests de combat, il semblait être en dépression nerveuse avancée rien qu'à l'idée de jeter un sort qui puisse faire mal. Il lui conseilla donc de s'en tenir à la médecine.
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Voldemort avait réuni les ingrédients nécessaires au rituel d'invocation majeure. Bien sûr, il ne retenterait pas l'invocation du château des ténèbres... Il ne tenait pas à être à la botte de quelqu'un pour l'éternité, mais ils allaient pouvoir se servir de toutes les connaissances qu'il avait acquises.
Potter sera sans doute bien étonné lorsqu'il rencontrera mon petit cadeau...
Se plaçant au milieu du pentagramme, il effectua le sacrifice humain nécessaire, et les ombres commencèrent à danser. Elles se réunissaient devant le seigneur des ténèbres, en prenant petit à petit une forme plus compacte, la forme d'un démon majeur du feu. Rapidement, Voldemort appliqua trois petites pierres sur le haut du démon ainsi que sur ses deux pieds.
Le démon sembla tout d'un coup plus réel. Puis, à chaque articulation, une autre pierre était fixée. Lorsque cette opération fut terminée, le démon du feu était entièrement constitué, et une trentaine de pierres étaient enchâssées dans son armure.
Le démon se plaça droit devant celui qui l'avait appelé, le jaugea un moment du regard, puis mit un genou à terre.
-Quels sont vos ordres ?
-Tu vas remonter cette piste magique. Tes ordres sont assez simples. Y tuer tout le monde dans un rayon de dix kilomètres.
-Bien. Vous pourrez être fier de mon travail.
Avec quelque chose qui ressemblait à un sourire face à ce qu'il allait bientôt pouvoir accomplir, le démon plongea littéralement dans la terre, et se dirigea droit vers l'est.
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-Y en a-t-il d'autres ?
-Il se fait tard, dit Valton, mais il nous reste seulement deux candidats.
-Aujourd'hui, ou en tout ?
-En tout. Le suivant est le comte Ivan von Camarilski, un demi vampire.
-Très drôle, dit Waren. J'ai marché pour le moldu, mais ça ne prend plus.
-C'est un demi vampire
-Les demi vampires n'existent pas, même pas dans les contes. La physiologie des vampires en fait des êtres violents et impatients, et pires que a-sociaux.
-Pourtant, c'est bien un demi vampire.
-Continue à te moquer de moi, et fais le donc entrer !
Valton dit quelque chose par la porte.
Un instant plus tard, un humain de deux mètres de haut qui semblait avoir passé sa vie sous terre, les yeux bleus, les cheveux platines, la peau d'une blancheur effroyable contrastant avec l'intérieur pourpre de sa cape, entra et salua.
-Yipah ! Commandant, Yipah ! dit Valton avec un sourire.
Le comte Camarilski parlait l'anglais avec une pointe d'accent russe.
-Oui, commandant je vous confirme que je suis bien un demi vampire. Et, d'après ce que je sais, je suis le seul encore en vie.
-Comment ça.
-Disons, que les demi vampire ont souvent une tendance... suicidaire qui se dégage de leur double origine. Ils ont tendance à s'enfoncer des pieux dans le coeur, ce qui est je crois, notre seule façon de mourir.
-Rien d'autre ne vous dérange ?
-Ah, si, j'ai toujours quelques influences dues à ma mère, par exemple, je dois porter des lunettes de soleil, et je n'aime pas du tout l'ail. Mais à part ça, c'est tout. J'ai même été baptisé, comme mon père le voulait.
-Parlons de votre dossier, il parait que vous avez des problèmes de caractère, ce qui vous a empêché de continuer votre carrière chez nous.
-Oh, non, c'est juste que les lois contre les non humains ne datent d'il n'y a pas si longtemps. Vous savez, je suis rentré dans les aurors quand ma mère à été tuée par Voldemort, alors qu'elle ne voulait pas suivre. Mais, peu de temps après, les lois ont été votées, et j'ai été mis dans une position assez délicate. De même que mon supérieur, qui a préféré trouver la première excuse plausible qu'il pouvait inventer. Bien sûr, je n'ai pas trop essayé d'argumenter, sachant que cela ne servirait à rien. J'ai donc été renvoyé, mais mon but avait été atteint, puisque Voldemort avait disparu.
-Je vois. C'est tout pour le moment. Comment voulez vous être appelé ?
-Eh bien, dans mon dernier bataillon, c'était « eh, toi », ou alors, « demi humain » ou d'autres apostrophes identiques. Franchement, je préférerai être appelé tout simplement par mes nom et prénom : Ivan Camarilski.
-Merci. Vous pouvez disposer.
Le comte quitta la salle.
-Bien. Qui est le dernier ? Une acromentula ?
-Tu deviens paranoïaque, Waren ! Le dernier est un sorcier irlandais.
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(1) Au passé simple : les sorciers utilisant le transplanage ou les portoloins, c'est une action assez brève... Et n'est donc pas à l'imparfait. Je sais, tout le monde s'en fout, et je fais sûrement pleins de fautes de grammaire, mais au moins, là, je peux me justifier.
(2) Incantation piquée sur http/mapage.noos.fr/aspexpl/kalonbrw.htm enfin, l'un des liens dessus... Je ne peux pas dire le nom de l'auteur, il ne s'est pas présenté... Enfin, j'ai quand même rendu l'incantation à peu près humainement prononçable : vous pouvez essayer si vous voulez, je ne garanti pas le résultat.
(3) Je ne sais pas si je l'ai dis quelque part : « ... » Au milieu d'un chapitre signifie qu'un certain temps s'écoule, du genre deux ou trois jours. « -----oooOOOooo----- » montre les changements de lieu.
(4) J'avoues, j'ai encore un peu copier... si vous voulez absolument la référence : Star Wars l'escadron spectre de Michael Stackpole. (Et de même pour tous les passages avec ces groupes d'aurors dégénérés.)
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Hmm...Hmm... Je tiens àà signaler à TOUT LE MONDE. Que J'APPRECIE FORTEMENT les REVIEWS
Et que... disons... 5 reviews, ca me change beaucoup du superbe travail que vous avez fait ces derniers chapitres. Dois-je comprendre qu'il faut que je me repose ?
satya
Oui, évidemment, je comprends que tu suives beaucoup
d'histoires à la fois. Tu ne peux pas retenir toute les
dates de parutions... Enfin, heuresemetn qe tu as pu me lire, et me
reviewer. 4, c'eut été vraiement trop peu pour ma
motivation...
Merci beaucoup pour tes compliments. A la semaine
prochaine.
Thamril Je suis
ravis que tu aimes que je tiennes Harry au « courant »,
mais... pourrais-tu inir ta phrase, si tu t'en souviens ?
« c
une drole de technique d'apprentissage de f » Mais c'est
une technique qui marche.
mushu Merci, et à la prochaine, oh, toi, reviewer fidèle.
miladjadja « Bof...T'as fait mieux » Oui, oui, je ne suis pas non plus super en forme en ce moment. Mais je continue, en espérant que tu appréciera mieux la suite. Même pour me dire ça, merci de m'avoir reviewer, ca fait très plaisir.
darkrogue
Oui,
première. Je continue, ne t'en fais pas.
