Chapitre 10 : Nouveautés.

Après trois semaines de lecture intensive, Harry avait fini tous les parchemins de techniques d'épée. Il lui fallait bien sûr encore beaucoup d'entraînement pour pouvoir les pratiquer, mais il les connaissait. C'est pourquoi il se retrouvait en train de lire « Au guet » de Tierry Pratchett, livre venant tout droit de la collection de livres de toutes origines de son maître.

En face de lui, Ton'Lowass et Kyrvain continuaient à s'entraîner. Leur nouvel exercice consistait en la construction de « tours » de pierres, la plus haute possible. Le premier des deux à avoir atteint le plafond avait gagné.

Bien sûr, ils avaient fortement contesté cet exercice en prétextant qu'ils n'avaient plus l'age de s'amuser à de tels enfantillages, mais Gugrierrin les avait forcé à faire ainsi.

Si Kyrvain était favorisé par sa meilleur maîtrise de la terre, il ne pouvait pas créer une colonne trop fine, ni trop large. La première étant trop fragile, et la seconde étant une cible trop facile pour les rafales que Ton'Lowass lui envoyait.

Ton'Lowass, lui, était plus en sécurité car sa maîtrise de l'air lui fournissait une bonne défense, et Kyrvain ne pouvait l'attaquer. Cependant, ses « travaux » n'avançaient pas très vite, car l'attaque et la défense lui demandait une certaine énergie dont il ne pouvait pas se servir pour contrôler la terre.

Harry perçu le geste de la main de son maître qui formait les sphères d'attaques. Il commença immédiatement à se concentrer, et, deux secondes plus tard, lança dix sorts : un pour chaque boule. Et il put encore jeter un sort sur la première, qui explosa.

Il recommença à se concentrer : les boules se réactivaient toutes les cinq secondes, si elles étaient touchées par un sorts trop faible pour les détruire.

Un second passage élimina une deuxième boule et réendormi les autres. Il fallut en tout à Harry huit passages pour venir à bout de la série. A la fin, il n'était même pas trop fatigué : il commençait à maîtriser sa magie, pour l'appeler quasi instantanément.

Bien sûr, le fait qu'il sache qu'il allait être attaqué aidait beaucoup, et, en dehors de l'exercice, il lui faudrait sûrement deux fois plus de temps pour réunir son énergie, mais s'il arrivait à lancer un sort destructeur en un dixième de seconde, il supposait que son maître serait content de lui.

Cependant, le chemin à parcourir était encore assez long.

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Voldemort se tenait devant ce qui serait l'œuvre de sa vie : ce qui n'était pour l'instant qu'un énorme morceau de basalte allait devenir l'objet magique humain le plus puissant que la Terre ait jamais porté. Et seul lui pourrait l'utiliser, à jamais.

Voldemort commença à tailler le bloc de pierre de deux mètres de haut, et d'un mètre de large : même si cela allait lui prendre plusieurs mois, il s'attellerait à cette tache avec acharnement. Puisque ça allait être plus important que tout. Plus important, même que l'armée qu'il voulait lancer sur Poudlard à la fin de l'année scolaire.

Certes, son armée devait encore grandir, mais il avait une année entière pour ce faire... Et l'armée qu'il destinait à la bataille de Poudlard ne serait qu'un élément pour la réalisation du rituel qui le ferait devenir le plus grand sorcier de tous les temps. Dans dix salles de son quartier général, dix mille squelettes attendaient d'être réactivés. Une centaine étaient restés éveillés, et avaient été dotés d'un niveau de conscience supérieur : ces derniers dirigeraient chacun quatre vingt dix neuf autres squelettes : ainsi, puisque tous les ordres n'émaneraient plus, de lui, il réserverait son énergie, et ne la dissiperait pas en des futilités. Même si la résistance qu'il pensait rencontrer ne devrait pas être bien grande, il préférait avoir encore assez d'énergie pour mener lui-même la bataille.

En plus, ses Mangemorts venaient de lui rapporter que de nouvelles recrues affluaient chaque jour. Certes, elles n'allaient pas devenir Mangemorts à part entière, ou du moins pas toutes, car chaque marque lui demandait aussi de l'énergie. Et, quoi qu'en pense certain, il n'avait pas une puissance infinie, et le savait bien.

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Harry sursauta : il avait été touché par un éclair. Pourtant, il n'avait pas vu de mouvement de son maître... Sans plus chercher à réfléchir, il chercha à voir d'ou provenait l'attaque : une sphère s'était bin formée à sa gauche. Quelques secondes plus tard, elle était en morceaux. Harry réfléchit.

Cette fois ci, il n'a pas eut besoin de faire un quelconque geste. De plus, il n'y avait eut qu'une boule. Celà ne pouvait signifier qu'une chose : son exercice s'était encore complexifié. Il devait maintenant savoir quand la boule allait attaque. Ce n'était plus un exercice de rapidité, mais de détection. E seul problème est qu'il ne savait absolument pas comment faire. Un bouclier permanent, même s'il lui permettait de continuer à lire tranquillement, serait trop dur à tenir. Tout ce qu'il pouvait se permettre de faire était de rassembler son aura en une sphère de cinq mètres de rayon qui l'entourait. Toute perturbation à l'intérieur de cette sphère lui serait connue. Mais cela allait lui demander de l'énergie... Et même s'il voyait l'attaque arriver, il devrait ensuite réagir : l'exercice était toujours un exercice de rapidité.

Quelques minutes plus tard, Harry sentait déjà qu'il aurait du mal à tenir son aura trop longtemps comme ça. C'est alors qu'une sphère se matérialisa à quatre mètres de Harry : en un éclair, Harry « rappela » son énergie, pour détruire la menace.

Gugrierrin sourit, et se retourna vers ses deux autres élèves dont les colonnes s'élevaient maintenant à trois mètres de hauteur.

Harry se remit un position de lecture et t'attente. 2trangement, il se sentait à nouveau dispos pour maintenir son aura.

Ce doit être comme un muscle : si on le contracte trop longtemps, on attrape vite une crampe, tandis que si on bouge un peu, on peut tenir beaucoup plus longtemps.

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-Il est revenu. On le dit a Marc, ou pas ?

-Ron... je ne pense pas que ce soit judicieux de se mêler de leurs affaires.

-Mais, pourquoi, si Draco vint se mêler de son plein gré à ce qu'il appelait « sang de bourbe » ou crétins dégénérés, c'est qu'il a pu changer, non ?

-Oui, c'est bien là le problème. Il a PU changer, et , a vrai dire, nous n'en savons absolument rien.

-Alors pourquoi étais tu tellement de son côté l'an dernier.

-Ecoute. Il faut toujours laisser une chance aux gens. C'est ce que j'ai fait l'an dernier. Et selon moi, il se comporte mieux.

Hermione fit les gros yeux à Ron pour qu'il arrête de débattre de ce sujet sensible au beau milieu de la salle commune des Gryffondors.

-Et puis, de toute façon, pour survivre six ans en étant rejeté des Serpentards, Marc doit être assez fort pour se débrouiller tout seul. Maintenant, supposons que Draco ait vraiment changé, si on le voyait se réconcilier avec Marc, beaucoup de monde se poserait des questions, non ?

-Oui... tu as sans doute raison. Comme chaque fois... Dis, tu crois que si je met un nouveau paquet sous mon lit, Harry le prendra ?

-Sûrement, pourquoi ?

-Et bien... Cet été, il ne m'a pas répondu, et, depuis, j'ai peur de lui envoyer du courrier... Je n'ai pas envie qu'il ne nous réponde pas.

-Oh... je pense qu'on peut tenter le coup. Non ? Après tout, on est des Gryffondors...

-Oui. L'ennui, c'est que je ne sais pas quoi lui écrire.

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A deux heures de l'après midi, alors que Harry s'entraînait à l'épée avec Gugrierrin, Harry ressentit quelque chose qu'il n'avait pas ressentit depuis l'année d'avant.

Une lettre. Poudlard. Ses amis...

Troublé, il relâcha sa garde et son épée vola au loin :

-Te concentrer. Tu dois apprendre à te concentrer.

-Mais... Oui, maître, excusez-moi. Harry couru vers son épée pour la ramasser, mais, alors qu'il la ramassait, Gugrierrin lui dit de la ranger :

-Ca suffira pour l'instant. Tu peux aller te reposer. Si tu veux bien, nous reprendrons plus tard.

Harry alla dans le dortoir, tira les rideaux de son lit, et « appela » ce qu'il avait sentit.

Devant lui, un rouleau de parchemin apparu : il e déroula et commença à le lire.

D'après l'écriture, c'était Hermione qui avait commencé. En dessous, Harry pouvait voir l'écriture plus désordonnée de Ron :

Cher Harry,

Ou que tu sois, nous espérons que tu vas bien. Comment s'est passé ton été ? Ron s'inquiète de ne pas avoir eut de nouvelles. Tu sais, notre été n'a pas été le meilleur...

Je m'inquiète, je m'inquiète, bien sûr ! Comment pourrais-je faire autrement ! Ca fait plus d'un an qu'on ne s'est pas vu, je ne sais même pas si on se reconnaîtrait si on se croisait dans le rue... Quand à cet été. Franchement, tu as choisit l'un des plus mauvais moment pour ne pas nous répondre. Ginny a passé toute les vacances dans le coma. TOUTES ! Et tu n'a répondu à aucune de mes lettre... Enfin, je ne t'en veut pas trop. Tu avais sûrement une bonne raison. Après tout, je me demande si tu ne t'es pas encore fourré dans les ennuis jusqu'au cou, comme chaque année. C'est aussi un peu pour ça qu'on est inquiets. Sans nous avec toi, qui sait comment tu as pu te débrouiller, hein ?

J'espère que tu ne oublies pas.

Ron.

Cette lettre fit chaud au coeur à Harry. Ses amis pensaient à lui, ils s'inquiétaient pou lui... Si seulement ils avaient su. Ron semblait avoir été assez en colère... Il en restait encore des traces dans la lettre. Mais Hermione avait apparemment réussi à le calmer, heureusement. Maintenant, il n'avait plus qu'a trouver une bonne excuse...

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La première chose que fit Ron après les cours de la matinée fut se précipiter dans son dortoir pour voir si Harry leur avait répondu. Regardant sous son lit, tous ses espoirs furent dessus : le parchemin qu'il avait posé quelques heures auparavant était toujours à la même place.

En le déroulant, son espoir revint : en plus des quelques lignes que lui et Hermione avaient écrit, Harry avait rajouté une réponse :

Salut,

J'espère que vous allez tous bien... Mais que me racontes tu là ? Ginny a été dans le coma ? Pourquoi ? Vous avez une quelconque explication ? Quand à moi, je suis désolé si je n'ai pu vous contacter de tout l'été, mais j'avais des choses très importantes à faire pour contrer Voldemort. En parlant de lui, je pense que la fin approche... Je commence à être prêt. Deux ans ne seront pas de trop.

Je suis désolé de ne pas les avoir passés avec vous, mais ne vous inquiétez pas, je reviendrai. Pour passer mes aspics, au moins... Hermione peut être rassurée.

Et je suis désolé de te décevoir, Ron, mais je ne me suis pas vraiment fourré dans les ennuis jusqu'au cou, l'an dernier. Si je me souviens bien, c'est moi qui ai du vous sauver...

En tout cas, ne vous inquiétez surtout pas pour moi, je vais très bien, mais comment se passe les cours à Poudlard ? Est-ce que j'ai manqué quelque chose d'intéressant ?

Harry.

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Darco était très pensif.

Père ne m'a toujours pas redemandé quand je souhaiterai me faire marquer. De toute façon, j'ai jusqu'à la fin de l'année pour réfléchir. Mais qu'est ce que je vais faire de ma vie. Il est hors de question que je m'abaisse à servir qui que ce soit. Ca, c'est maintenant une chose certaine. Mais il faut que je trouve quelque chose à faire. Auror ? Non... ça ne marchera jamais. Un travail au ministère ? C'est vraiment un « métier » pour Malfoy... mais je ne serais pas bien accueilli.

Il ne me reste à peu près plus qu'une chose. Le travail « manuel ». Ce qu'aucun Malfoy n'a fait depuis plus de cinquante générations. Mais en quoi suis-je bon. En quoi pourrai-je être utile ?

Fabriquant de potions ?Non... ça ne marchera jamais. Qui oserait confier sa vie à quelque chose préparé par un Malfoy, maintenant ? C'est d'ailleurs le grand problème. Et il n'est pas non plus question que je change de nom.

Je pourrais toujours être professeur... Pfff... Non, ça, ça m'étonnerait. Je n'aurais jamais la patience nécessaire.

Je crois que je ne pourrai rien faire en restant en Angleterre. Mais si je change de pays pour redorer notre blason, la question se repose : que pourrai-je bien faire de ma vie ?

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-Jan... peux-tu me redire pourquoi je ne suis pas encore passé en cour martiale ? Waren avait l'air désespéré.

-Vous avez eut beaucoup de chance mon comandant.

-C'est tout ?

-Oui, si quelqu'un avait découvert les prisonnier dans la chambre de Tudor, ou si quelqu'un vous avait entendu faire votre rapport au général, ou encore, si nos aurors avaient échoués dans leur première mission de confiance auprès du Seigneur des Ténèbres, ou si...

-C'est bon. J'ai compris. Et... Juste une fois ... Est-ce que ce que nous faisons est si risqué que cela ?

-Non mon commandant. Nous avons dix aurors infiltrés. Si l'espion de Voldemort chez les aurors lui fournit des informations sur nous, nous n'auront plus que quelques jours à vivre. Si Voldemort ordonne d'autres attaques de moldus ou de sorciers, et qu'il surveille, notre espérance de vie se limitera à quelques minutes, en étant optimiste. Si un auror laisse échapper un mot malencontreux, c'est pareil... si...

-STOP ! Et tu trouve que ce n'est pas si risqué ?

-Je disais ça pour vous faire plaisir mon comandant.

-Valton !

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Marc réfléchissait :

Cette Serdaigle n'a pas arrêté son manège depuis la rentré. Qu'est-ce qu'elle peut bien me vouloir ?C'est décidé. Demain matin, je me serai assuré de ses intentions.

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Luna prit sa décision : le lendemain matin, elle prendrai son courage à deux mains, et elle irait Lui parler; Enfin.

-Les filles ?

-Qu'est ce qu'il y a ?

-Rien, justement. C'est la nième fois qu'on se lève aux aurores pour venir les regarder manger. Le problème étant justement qu'il n'y a rien. Je vous prévient. Si il n'y a rien de neuf cette fois ci, je ne continue pas. Même si Luna agit moins bizarrement... Et bien elle fait ce qu'elle veut. Et puis, pour moi, se lever tous les jours aux aurores, c'EST bizarre.

-Mais...

-Je suis d'accord.

-Bon, très bien... S'il ne se passe rien, j'abandonne...

Luna mangeait beaucoup moins vite que d'habitude. D'habitude, elle voulait terminer au plus vite pour pouvoir espérer suivre Marc le plus loin possible.

Là, même si elle aurait du le précéder pour lui parler, malgré toutes ses résolutions, une peur bleue lui tiraillait le ventre.

Marc, de son côté, n'était pas plus en forme. Il allait certes règler un problème gênant, mais il ne savait pas comment faire. Surtout s'il se trouvait que "Luna", s'il se souvenait bien, n'était pas su tout une espionne. Ce cas aurait été réglé avec un petit changement de mémoire... rien de bien méchant. Mais il ne pouvait se permettre une telle chose sur une personne innocente. Quoique..; deux ans plus tôt, il ne se serait pas dérangé...

Luna se leva, et se dirigea vers Marc.

Etrange... elle vient à moi toute seule. Que dois-je faire ? Me lever ? ... Non, se serait surment un peu trop agressif. Rester assis, alors ? La baguette sous la table ? Je n'aime pas ca...

Luna se mit en face de Marc, qui continuait à faire semblant de manger :

-Marc ?

-Oui ? Luna ? C'est ça ?

-Oui. Je peux te parler ?

Dans un coin de la grande salle, la tension montait entre les trois Serdaigles partageant le dortoir de Luna : il s'était ENFIN passé quelque chose.

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Merci à mes reviewers.

satya
« ca me derange pas de patienter » Ouf...
Je suis désolé, mais j'ai menti. On est maintenant mardi matin, pas Lundi soir... Désolé.
a+

magali
Kikou .
« Tout d'abord je tiens à te féliciter car tu fais tout de même moins de fautes qu'avant, bravo ;-) ».

Merci.

« Remarque je suis mal placée pour te dire quelque chose car je me suis aperçut que j'avais oublié une faute, oups! »

Ou ca ? je peux toujours la corriger...
« Une dernière chose si tu veux que ton prochain chapitre soit corriger ne me l'envoit pas trop tard ».

Là, j'ai plutôt été en retard sur la fin de l'écriture... Désolé.
Bises à bientôt

Linoa Anna Potter Ok, ok... je continue à écrire. Merci de m'avoir reviewer.

Anastasia « Mais quelles relations ont-ils avec Riry? » Euh... Je sois réopndre, ou pas ?

La vrai réponse est aucune, de toute facon, je ne pense pas que ca gache l'histoire ?
« KONTINU C VMNT BON! (avec des fôte dortografe) » MERSI
Je continue, ne t'inquiète pas, Merci pour tous ces compliments.

Nymphodora Tonks « c'était qui les trois filles de serdaigle qui parlait de Luna dans l'autre chapitre? »

Coment as-tu su que c'était Luna, d'abord ?

« Et c'est quoi qu'elle fait Lune pour paraître ''normal'' aux yeux des autres? »

Elle a arrêté de dire la plupart des conneries qu'elle débitait chque jour.

« C'est quoi le lien entre Ginny et Harry? »

« Et je suppose que les 8 personnes vont espionner les mangemorts et Voldemort à l'avenir non? »

Oui, ca c'est sur, je peut te répondre.

On a plus vu Harry... C'était mieux ?

Merci de m'avoir reviewer.

darkrogue Merci

Thamril Oui, je sais, mes derniers chapitres sont bizard. Mais je retourne à la « normale ». Merci pour tes encouragements.