Fluminia : Hé hé hé oui je suis sadique !!!! : ) Mais c'est pour ton bien. Voilà la suite en espérant qu'elle te plaise.
Dreamoon : Tu as raison, il y en a qui traîne !!!!!!! Et je ne citerai pas de nom pour n'offenser personne et puis si je vais tout balancer !!! C'est toi qui traînasse, je veux la suite de ta fic !!!!!!! Tu sais les cours de potion ça peut toujours être pire : ) Fait moi confiance. En attendant voilà le douzième chapitre en espérant qu'il te plaise autant que les autres.
Bon voilà après tous les petits problèmes qu' a eu fanfiction je vous poste mon chapitre suivant en espérant qu'i vous plaise.
Suis un peu déçu par mon compte de reviews mais en même temps je peux être sûre que ceux qui me review c'est parce qu'ils trouvent ma fic vraiment bien et non pour me faire plaisir. Mais bon je me demande comment font certaines personne qui au bout de 10 chapitres ont déjà plus de 100 reviews !! Ils sont trop fort pour moi ceux-là.
Après ma petite sélection de la semaine : pour ceux qui sont en panne de lecture ou les petits nouveaux qui ne savant pas encore quoi lire voici qu'elles fic j'apprécie :
Harry Potter et la fille du phénix de Holly Safer
La vie continue de Liza Black
Tyffen de Dreamoon
Voilà je vous en met trois cette semaine je vous en donnerai trois autres la semaine prochaine. Ce sont toutes trois des fic en cours mais je les ai trouvé plutôt intéressante et surtout assez bien écrite.
Voili gros zoubis et bonne lecture à tous voilà le chapitre suivant en espérant que cela vous plaise toujours autant.
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Poudlard Express
Il se réveilla de bonne heure, depuis quelque temps maintenant il ne faisait plus de cauchemars et sa cicatrice ne le faisait plus souffrir. Cela était étonnant mais il ne s'en formalisa pas il préférait profiter de ces instants sans souffrance, c'était en quelque sorte des vacances pendant les vacances. Il sauta au bas de son lit et entreprit de se laver et de s'habiller, fin prêt il descendit dans la cuisine prendre son petit déjeuner. Son oncle venait de se réveiller déduisit –il de la tête enfariné qu'il arborait et sa tante était attelé devant la cuisinière comme chaque matin. Lorsqu'il entra dans la pièce il lança un vigoureux :
- Bonjour !
- Bonjour mon garçon, répondit son oncle avec un franc sourire.
Harry se crispa, ce sourire ne présageait rien de bon, la bonne humeur de son oncle était souvent synonyme de mauvaise journée pour lui.
- Sais-tu pourquoi je suis de si bonne humeur ce matin ? C'est parce qu'on est le 31 Août, poursuivit-il sans lui laisser le temps de répondre à la question qu'il avait pos. Et dans quelques heures tu disparaîtras de ma vue pour une longue année, bien entendu tu ne rentreras pas pour noël ni pour aucune autre vacances !!
- Bien entendu.
- Bien, très bien. L'oncle Vernon soupira d'aise et reprit la contemplation de son journal.
- Brouillés ou au plat ?
- Pardon ? Harry s'était retourné vers sa tante.
- Tes œufs, tu les veux brouillés ou au plat ? Dépêche toi j'ai pas toute la journée.. Ohh.. Et puis tu te les feras tout seul !
Et elle partit s'asseoir sur le siège libre en face de son mari, elle n'était pas la plus aimable du monde mais depuis ces dernières semaines elle le laissait tranquille et ne le rabrouait plus à chaque parole même en présence de son mari ou de son fils.
Il finit de cuire ses œufs, se dépêcha de les manger et remonta instantanément dans sa chambre pour attendre l'heure de partir.
Il était un peu plus de huit heures trente, Harry vérifia ses bagages pour être sûr de ne rien oublier. Quand il eut finit il regarda à nouveau son réveil qui affichait neuf heures, si le temps passait à cet allure il allait dépérir avant de partir. Il s'assit sur son lit et entrepris d'attendre mais l'inaction n'était pas vraiment son for cinq minutes plus tard il se levait et faisait les cents pas à côté de son lit. Quand il regarda à nouveau le réveil il était neuf heures treize, il s'affala sur son lit en maugréant :
- Mais qu'est-ce qu'ils peuvent bien faire je vais finir par louper mon train moi !!
Il vérifia une fois encore ses bagages, il commença par sa grosse valise et regarda un à un ses livres de cours des années précédentes. Il compta ses robes : quatre pour la semaine plus une tenue de soirée, puis se pencha sur son chaudron, ses plumes et ses rouleaux de parchemin. Il vérifia une fois de plus qu'il n'avait pas oublié ses devoirs de vacances, que son balai était bien calé et qu'il ne se casserait pas durant le voyage, tâta sa poche pour sentir sa baguette puis referma le tout. Et ses yeux dérivèrent vers le cadran de son réveil, il eut l'impression qu'il avait été ensorcelé afin que le temps passe plus lentement, en effet il n'affichait que neuf heures trente-deux. Il était sûr que cela lui prendrai au moins une demi-heure si ce n'est trois quart d'heure pour faire le tour de tous ses bagages. Mais apparemment ses possessions étaient plus maigre que ce qu'il s'imaginait, cela ne lui avait en tout et pour tout pris que dix-neuf minutes. Il regarda s'égrainer les minutes, tombant dans la torpeur : Neuf heures trente-trois… Neuf heures trente-quatre… Neuf heures trente-cinq… Neuf heures trente-six… Neuf heures trente-sept… Il se leva d'un bond en criant :
- « Ahhhhhhhhh… Je suis en train de devenir fou ici. »
Et il recommença à faire des va et viens autour de son lit jetant des coups d'œil à intervalle régulier à son réveil. Et il vit passer de cette manière neuf heures quarante-cinq, dix heures puis dix heures et quart. Il commençait réellement à s'affoler il allait bientôt être dix heures et demi et personne n'était venu le chercher ou ne lui avait dit comment se rendre à la voix neuf trois quart. De plus il lui était formellement interdit de mettre un orteil dehors de ce fait ce n'était pas sa famille qui aurait dû le conduire à la gare. Alors comment Dumbledore s'attendait-il à ce qu'il se rende la bas ??!!!
- Cette fois c'est sûr je vais le rater, dit-il en regardant pour la énième fois son réveil, il est dix heure trente passé et je ne sais toujours pas comment je vais arriver là… Bas. Acheva-t-il après avoir entendu un pop et de voir apparaître Dobby.
- Dobby ??!! C'est encore toi qui m'empêche de rejoindre le train ? Demanda-t-il sur un air de menace et se remémorant les évènements de la deuxième année.
- Non ce n'est pas Dobby cette fois –ci, Dobby est juste venu donner une lettre à Harry Potter de la part de son nouveau maî… de la part de celui qui emploie Dobby.
- Donne-la moi Dobby, donne-la moi de suite ! C'est un ordre.
- Avant Dobby doit réduire les valises pour que Harry Potter puisse les transporter sans encombre, elles reprendront leur taille normale une fois que vous serez dans le train.
Et aussitôt dit aussitôt fait il pointa son doigt vers les bagages et les réduisit Harry s'en saisit et les glissa dans sa poche.
- Alors cette lettre Dobby, je vais finir par rater mon train, il jeta un regard fébrile à son réveil : onze moins le quart.
- Voilà, voilà Harry Potter est bien press.
- Allez Dobby !! Harry trépignait littéralement sur place.
L'elfe de maison lui tendit une enveloppe qu'il se dépêcha d'ouvrir, il découvrit à l'intérieur le billet de train pour le Poudlard express, il leva les yeux de l'enveloppe pour les porter sur Dobby.
- Ceci est votre portoloin pour vous rendre à la gare de Londres, Dobby espère que vous ferez un bon voyage mais…
Et avant que il n'ait pu ajouter un mot Harry toucha le billet de train et une sensation familière l'envahi : le crochet au ventre, le tourbillonnement et l'arrivée sur le parvis de la gare le nez sur les dalles et L'horloge de la gare qui indiquait onze heures moins dix.
- Je déteste les portoloins, vivement que je sache transplaner !!
Il courut à perdre haleine il ne lui restait plus que dix minutes avant le départ du train. Il dépassa ainsi les voies 7 et 8 et arriva entre les voie 9 et 10, il se dirigea rapidement vers le troisième pilier entre ces deux voies s'élança un bon coup et le traversa sans encombre. Mais alors qu'il arrivait ce qu'il vit lui coupa le souffle, il n'arrivait pas à en croire ses yeux, des dizaines de Mangemorts étaient là des sorts fusaient dans tous les sens. Des Aurors et certains parents protégeaient le train où s'étaient réfugiés leurs enfants ils faisaient face avec bravoure mais certains tombaient sous le surnombre d'ennemi. Puis il entendit crier un des ennemis, il reconnut la voix de Lestrange.
- Vous deux, attrapez Potter et tuez le !!!!
Une fois de plus il était la cible, il sortit de sa poche sa baguette magique pour se défendre et même avec elle il se sentait désarmé. Puis une autre voix lui vint celle la plus familière :
- Molly, protèges Harry il vient d'arriver, dépêches toi.
C'était Arthur Weasley il était au prise avec le mari Lestrange et voyant celui-ci baisser sa garde une demi-seconde et porter un regard sur le côté, il fit de même et aperçut le jeune homme.
Harry vit deux énormes monticules noirs lui foncer dessus, il n'avait nulle part où se cacher et pas d'échappatoire possible. Ses deux assaillants couraient vers lui et déjà jetaient les sorts de DOLORIS qu'il évita en plongeant rapidement d'un côté puis de l'autre en un magnifique roulé-boulé. Il bénissait les heures d'entraînements qu'il avait subit les années précédentes et qui lui avait donné assez de souplesse et de rapidité pour éviter les attaques. Il leva bien haut sa baguette prêt à se défendre mais à ce moment là ses amis quittèrent le train et vinrent se placer devant lui juste au moment ou les deux Mangemorts arrivaient à sa hauteur.
- Il faudra me passer sur corps si vous voulez tuer Harry, intervint Ron.
- Et sur le mien également, ajouta Hermione.
- Et sur le mien.
- Et sur le mien.
Plusieurs voix s'élevèrent ainsi, Neville, Dean, Seamus, Lova… Et bien sûr celle d'Hermione, Ron, Séréna, et plusieurs autres Griffondors ainsi que quelques Serdaigles et Poussouffles s'étaient placés devant le survivant.
- Harry est notre seul espoir face à vous, on ne le laissera pas se faire tuer. Affirma Dean Thomas.
- Dans ce cas la c'est toi que je vais tuer, ricana l'un des deux hommes.
Pratiquement tous les membres de l'A.D. était réunis autour de lui, Molly Weasley arrivait à leur hauteur également et hurla :
- Remontez tous dans le train les enfants, vous êtes fous !!!!!!
Mais cet instant de relâchement lui coûta cher, l'un des deux ennemis se retourna et lui lança un sort qu'elle n'eut pas le temps de contrer. Heureusement ils étaient également pressés et n'avaient pas eut le temps de lancer un sort impardonnable ce fut un simple STUPEFIX qui arrêta Mrs Weasley, simple mais puissant.
Pendant ce temps l'autre mangemort avait lancé le sortilège DOLORIS sur Dean Thomas, il se tordait sur le sol plié en deux par la douleur il avait lâché sa baguette dans sa chute. Les jeunes gens étaient pétrifié par la peur mais de voir leur ami s'écrouler au sol fut le signal et des sorts arrivèrent de partout sur les deux hommes.
Hermione cria pour essayer de couvrir le tumulte par sa voix :
- Vers le train !!!!! Il faut aller vers le train.
Seamus Finnigan voulut tirer son ami mais il reçut un sortilège impardonnable et tomba, mort, sur le corps de son ami. Harry hurla tout en jouant des coudes pour rejoindre ses amis :
- Seamussssssss !!
Il avait entendu l'un des hommes prononcer le plus terrible des sorts mais lorsqu'il arriva près des corps il était trop tard pour Finnigan. Il évita de justesse un sort de stupéfixion qui venait droit sur lui en roulant sur le côté puis son assaillant dû faire face à Ron et Hermione qui était venus lui porter secours. Il dégagea Dean et le hissa pour le relever mais ce dernier sentait encore les effets du sort qu'il avait reçu et avait du mal à tenir debout. Il le soutint quelques instant puis Séréna vint l'aider et ils se retrouva à nouveau au centre du cercle formé par ses amis. Ils semblaient être un bouclier des plus efficaces, pas un seul sort ne l'avait atteint par contre il avait vu plusieurs personnes tomber à terre et ignorait si c'était de douleur ou de mort.
Du côté des adultes cela commençait à devenir la panique ils avaient vu Molly Weasley tomber et les enfants se défendre seuls contre deux ennemis bientôt rejoint par deux autres.
Arthur hurlait :
- Les enfants !! Il faut aider les enfants.
Mais lui-même n'arrivait pas à se débarrasser du mangemort qui lui faisait face et il en était de même pour les autres parents.
Le quai de la gare était un véritable champs de bataille, les enfants réussissaient à s'approcher du train tout doucement mais ils étaient encore à plusieurs mètres de la porte du premier wagon. On entendait hurler de toutes parts des sorts plus terribles les uns que les autres couvert quelques fois par des appel à l'aide ou des cris de douleur et de déchirement :
- Que quelqu'un aille protéger les enfants !!
- Seigneur aidez-nous !!
- ADAVA KEDA…
- Non !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
- Tuez Potter !!!!!!!!!!
- Ahhhhhhh …
Les hommes tombaient les uns après les autres à part égale dans chaque camp, la panique se faisait sentir.
Finalement Tonk et Maugrey réussirent à se libérer et à transplaner auprès des enfants.
- Tonks ! Fais monter Potter dans le train dépêche toi !!!
Ils approchaient de la portière ils avaient réussi petit à petit à s'en rapprocher et n'étaient plus qu'à quelques pieds de la première marche mais à quel prix ? La moitié des leurs étaient tombés morts ou meurtris par la douleur et ne pouvaient pas se relever, au début ils les avaient aidé et les soutenaient mais les blessés étaient devenus trop nombreux et ils n'auraient pût faire face à leurs détracteurs.
Arthur Weasley réussit à prendre le dessus sur son assaillant et le stupéfixa puis rejoint Maugrey.
- Allez maintenant tous dans le train !! Ordonna-t-il à peine arrivé, quand je vous le direz vous vous mettrez à courir et vous grimperez sans vous retourner c'est compris.
Les hostilités s'étaient arrêtaient quelques secondes entre les quatre mangemorts et les enfants lorsque les adultes étaient venus les rejoindre, ils se jaugeaient les uns les autres sachant que le premier coup porté devrait être le plus efficace.
Ron s'était précipité vers sa mère lorsqu'il n'avait été qu'à quelques pas et avait lancé un sort :
- FINITE INCANTANTEM.
Le sort marcha du premier coup sa mère fut aussi surprise que lui et beaucoup de leur ami furent également étonné.
- Maman ? Tu vas bien ?
- Ca va mon chéri, elle se releva et il lui rendit sa baguette, maintenant rejoins tes amis et montez à bord du train.
Il n'était pas sûr de devoir laisser sa mère mais lorsqu'il planta son regard dans le sien il y lut une telle détermination qu'il sut qu'il ne lui arriverait rien et qu'il valait mieux lui obéir. Il rejoint le groupe et dit :
- Prêt à courir les amis ?
Ils hochèrent la tête en signe d'assentiment leurs baguettes toujours pointées vers leurs ennemis qui leurs faisaient face.
Mme Weasley se releva et commença à avancer et dit en détachant chaques syllabes des mots qu'elle prononçait :
- Vous… Vous avez osé vous en prendre à mes enfants.
Le ton de sa voix montait de plus en plus mais ce n'était pas comme lorsqu'elle se mettait à crier après les jumeaux au Terrier où sa voix montait dans l'aigu. Non cette fois sa voix était grave et froide dénué de sentiments, elle n'était plus en colère elle était furieuse.
- Vous avez détruit ma maison.
- Vous vous êtes attaqué à mon mari.
A chaque pas qu'elle faisait et à chaque mot qu'elle prononçait sa puissance magique augmentait, Ron, Hermione et Harry ne l'avait jamais vu dans cet état, à ce moment là ils n'auraient pas aimé être à la place des mangemorts ils allaient passer un sale quart d'heure.
- Cette fois vous allez payer pour vos crimes.
Et elle lança l'offensive, une telle puissance émanait d'elle que même ses assaillants reculaient, quelque peu effrayés.
- Courrez !! cria-t-elle.
Saisi les jeunes gens ne bougèrent pas de suite puis Ron les tira de leurs pensées.
- Qu'est-ce que vous attendez !!! Tous dans le train !
Il tira Harry par le bras et poussa Hermione puis les autres suivirent le mouvement, ils se précipitèrent à l'intérieur et se barricadèrent. Les quatre amis se postèrent à une des fenêtre pour voir le sort que Mme Weasley réservait à ses opposants.
- Et ben t'a mère elle se laisse pas faire Weasley. Admira Dean
- Je ne l'avais jamais vu dans cet état, avoua Ron.
- Ils ont du sacrément la mettre en pétard alors. Ajouta Harry mi-figue mi-raisin.
- Ca tu l'as dit, même Fred et George n'ont jamais réussi à la mettre dans une telle fureur, parce que là elle a largement dépassé le stade de la colère.
- Et bien moi je n'aimerai pas être à la place des mangemorts, poursuivit Dean.
- Moi non plus, confia Séréna.
Dehors le combat faisait rage entres les adultes et leurs opposants plusieurs personnes avaient perdu un parent ou une personne proche, mais voyant les enfants enfin à l'abri dans le train ils prirent l'avantage du combat. Molly Weasley avait fait apparaître un dôme doré au dessus de sa tête et des trois autres personnes qui étaient à ses côtés. Arthur Weasley criait des ordres afin de faire partir le train qui commençait à être assailli également.
- Faite démarrer ce train et qu'il s'en aille.
Plusieurs mangemorts étaient sur le toit et essayait de l'ouvrir pour pénétrer à l'intérieur du train et continuer leur chasse.
Mr Weasley en fit tomber deux avec deux bons sorts bien lancés et la grand mère de Neville en fit tomber deux autres.
- Joli coup Mrs Londubat.
- Le votre était pas mal non plus Mr Weasley.
- Merci.
- Nom de Dieu mais faites partir ce foutu train, s'emporta la vieille dame alors qu'elle repoussait un cinquième assaillant.
La mère de Ron était encore aux prises avec deux mangemorts, le troisième étant à terre et le quatrième s'attaquant à Tonks et Maugrey. Mais elle entendit l'appel de la grand mère de Neville elle para les sorts des deux mangemorts avec un bouclier et se retourna pour voir d'où provenait la voix. Le train était toujours à quai et d'autres hommes s'attaquaient au Poudlard express, tout en maintenant le dôme d'une main elle tendit sa baguette qu'elle tenait dans l'autre et un éclair bleu et argenté en jaillit et alla frapper le train qui aussitôt s'ébranla.
Puis celui qui semblait être le chef des assaillants cria :
- Repliez-vous !!!
Et les mangemorts commencèrent à disparaître les uns après les autres en transplanant mais avant qu'ils ne soient tous partis une violente explosion eut lieu et une lumière doré aveugla tout le monde. Lorsqu'elle se dissipa une aura doré entourait Mme Wesley et les deux mangemorts qui s'opposaient à elle, étaient étendus par terre. Ce fut la dernière vision qu'ils purent voir avant que le train ne soit trop éloigné pour qu'ils puissent distinguer quelque chose.
Ils regagnèrent leur compartiment, des Aurors étaient montés à bord afin de protéger le train durant le voyage jusqu'à Poudlard. Ils patrouillaient dans les couloirs et allaient voir les blessés légers, les plus grave ayant été laissé sur le quai de la gare.
Harry pénétra à son tour dans le compartiment où était ses amis.
- Harry, soupira Hermione, j'ai bien cru que ce train n'allait jamais partir.
- Moi aussi, maugréa-t-il
- Juste à temps, ajouta Ron.
Il hissa ses bagages qui avait repris leur taille normale au-dessus de leur tête et les cala convenablement afin qu'ils ne tombent pas pendant le voyage jusqu'au château. Puis il se laissa tomber sur la banquette à côté de Ron et reprit son souffle.
- Heureusement que tu es arrivé si tard, poursuivit son ami, comment ça se fait ?
- Ca, faudra le demander à Dumbledore ! s'exclama-t-il, Dobby est arrivé à dix heure et demi passé, pour me porter le portoloin afin de me rendre ici. Et encore il lui a fallut un quart d'heure pour me le donner !! Je comprend mieux maintenant pourquoi.
Ron siffla entre ses dents et ajouta en souriant largement :
- Et bien ça c'est du timing !!
- Mouais, mais à l'avenir je préfèrerai éviter ce genre d'expérience.
- Et nous donc !! Ajouta sa cousine.
Ron et Hermione se mirent à rire franchement, Séréna souriait et Harry avait pris une mine boudeuse, mais le rire de ses deux amis fut contagieux et finalement ils rirent tous quatre à gorge déployée.
A ce moment là, la porte du wagon s'ouvrit à la volée et la tête de Malfoy apparut dans l'encadrement ainsi que celle de Pansy Parkinson.
- Tu riais moins quand tu étais sur le quai de la gare. Se moqua le jeune homme.
- Dégage Malfoy tu n'as rien à faire ici, lacha d'un ton tranchant Harry.
- Fait gaffe à qui tu parles Potter et au ton que tu emploies !! N'oublie pas que je suis préfet !!
- Et moi je suis préfète Malfoy alors vire de l !!
Hermione s'était levé et faisait face au jeune serpentard à présent.
- Tu crois que tu me fais peur mademoiselle je-sais-tout ?
Pansy Parkinson vint se mettre entre les deux et dit d'un ton méprisant où pointait de la jalousie :
- Ne t'approche pas de Draco, Granger ! Où tu pourrais le payer cher.
- Des menaces Parkinson ?
- Juste une promesse.
- Du calme Pansy, ils le paieront en temps voulu.
- Que veux-tu dire Malfoy ? S'emporta Harry.
- Du calme, du calme tu le verras bien assez tôt Potter.
Draco Malfoy sortit du compartiment Pansy Parkinson sur ses talons et ils riaient tous deux. Les garçons se rassirent sur leur banquette et le voyage se passa sans autres incidents le train avait pris beaucoup de retard à cause de l'attaque.