Chapitre bonus 2
Sieg raccrocha et poussa un soupir de soulagement.
Sieg : Qu'est-ce qu'elle est bavarde cette fille.
Roi : En tout cas on apprend des chose avec elle : le Sieg Hartounet d'amour aime voir les filles en petite tenue et fait tout sauf son travail. Et je ne parle pas de ce que vous avez fait hier.
Sieg : Ce qu'on a fait hier ? Mais vous ne savez même pas de quoi on parlait.
Jack : On imagine bien, Don Juan.
Sieg : Vous pensez tout de même pas qu'on a fait ce que je pense ?
Roi : Que pourrait-on penser d'autre ?
Sieg : J'avoue, je suis sorti avec elle hier mais...
Roi : Silence ! Savoir que tu sortais avec une fille alors que je t'avais envoyé Jack pour te rattraper suffi pour te mettre quelques jours derrière les barreaux.
Sieg : Quoi !
Jack : Avec tout ce que t'as fait tu devrait t'estimer heureux de t'en tirer qu'avec quelques jours.
Sieg : Mais...
Roi : Gardes ! Mettez-moi ce bon à rien aux oubliettes !
Gardes : C'est comme si c'était fait mon roi.
Roi : J'allait oublier,donnez-moi aussi son portable.
Sieg : Non ! Tout ce que vous voulez sauf ça ! Pas mon élément cx351 ! Je dois rappeler Reina !
Jack : Le roi t'a demandé ton portable Sieg !
Sieg : Pff... Tenez... Le voici.
Sieg sorti un tout petit portable couleur bleu métallique de sa poche et le confia à Jack qui le transmis au roi.
Roi : Tu peux le garder Jack, c'est toi qui vas surveiller Sieg.
Sieg & Jack : Vraiment !
Roi : Oui, vraiment.
Jack : Eh ! Eh !
Sieg : Oh non.
Jack suivi Sieg entouré par les deux gardes. Le chemin qui menait aux oubliettes était long, complètement à l'opposé de là où ils se trouvaient et impossible à trouver si on ne le connaissait pas. Sieg était déprimé au plus haut point, sachant que dès qu'il sortirait de ce pétrin Reina viendrait le massacrer. Mais Jack, lui, rayonnait de bonheur et ricanait dans son coin tellement il était heureux que Sieg paye enfin pour tout ce qu'il a pu faire.
Sieg : C'est encore loin ?
Garde n°1 : T'es impatient d'aller au frais, toi.
Garde n°2 : Pourtant il y a pas de fille dans ta cellule.
Sieg : C'est même pas drôle.
Jack : Maintenant que t'as une petite amie les autres ne t'intéressent plus ? Je comprend, t'es un mec fidèle, tu veux pas la tromper. En plus elle doit te plaire pour que vous fassiez des choses au lit...
Sieg : J'ai rien fait avec elle ! Faudra te le dire combien de fois avant que ça rentre dans ta petite tête toute vide !
Garde n°1 : Calme-toi.
Sieg : J'aimerais bien que lui aussi il se calme avec ses mensonges.
Jack : Sa cellule est sécurisée j'espère ?
Garde n°2 : Oui, quand il sera à l'intérieur il ne pourra plus utiliser de magie. D'ailleurs la voici.
La cellule que désignait le garde était spacieuse, pas très confortable et à la différence des cellules normales, les barreaux étaient blancs. Le premier garde ouvrit la porte et fit signe à Sieg d'entrer. Au moment où il allait passer la porte, le garde leva la jambe pour s'apprêter à pousser Sieg aux fesses à coup de pied comme dans les films. Mais au moment où il allait toucher sa cible, Sieg trébucha sur un rocher qui dépassait du sol et s'aplati comme une crêpe dans sa cellule.
Sieg : Waoutch.
Jack et les gardes partirent dans des éclats de rire "à la Rushia" et essayaient de parler en même temps, de ce fait on ne comprenait pas un mot de ce qu'ils racontaient.
Sieg : C'est si drôle que ça quand je tombe ?
Jack (riant) Non, Ah ! Ah ! C'est...
Sieg : Te fatigue pas, je comprend rien de ce que tu dis.
Garde n°1 (ayant retrouvé son calme et fermé la cellule) Tiens Jack, je te laisse les clés.
Jack : Merci.
Garde n°2 : Prends bien soin de lui pendant son séjour ici.
Jack : T'inquiète pas pour ça.
Tandis que les gardes retournaient à la salle du trône, Jack pris place sur le tabouret qui se trouvait à droite du cachot de Sieg.
Sieg : Dis, ça fait combien de temps exactement quelques jours ?
Jack : J'chais pas, 2-3 jours, 2-3 mois, 2-3 ans...
Sieg : Dis que tu sais pas au lieu de raconter des...
Jack : Et toi essaye d'être un peu plus poli avec les adultes.
Sieg : Oh non, tu vas pas te mettre à faire comme Reina.
Jack : Hein ?
Sieg : Elle arrête pas de me dire que je suis qu'un gosse et que je devrais grandir un peu dans ma tête.
Jack : Elle a pas tort.
Sieg : J'avoue que sur certains points elle a raison.
Jack : Comme ?
Sieg : Comme quand je bave à la vue d'une petite culotte.
Jack : Rien que ça ?
Sieg : Je suis un garçon sensible à ce genre de chose.
Jack : Pff...