La t'tite rubrique de bidibou : salut tous ! alors gros gros mercis à tout ceux qui lisent cette fic ! et enormes bisous à tout ceux qui me font le plaisir de me le dire !waaouuuhh ! j'en reviens pas ! vraiment ! autant de reviews aussi sympa ! ça encourage drôlement ! continuez surtout (qui a dit que je mendies ? oui je c , c mal, mais bon , j'y ai pris goût ! )! et vraiment DESOLE de cette update tardive ! est ce que vous me pardonnerez un jour ? bonne lecture !


Galilea : Hola Galilea ! je suis heureuse et flattée de savoir que tu traduis cette fiction ! j'aimerais te répondre en espagnol car tu prends la peine de me lire et m'écrire gentiment en français, mais je ne parle qu Anglais et Allemand…Désolée ! je t'embrasse bien fort ! je te remercie énormément de ton message ! ah ! J'oublie : j'écris un chapitre par semaine normalement… Bisouuus Français ! Bidibou !

Jwulee : tu me vois flattée, et toute rouge ! merci c très (trop) gentil ! gspr ne pas faire ressurgir à la surface des mauvais souvenirs de ta vie, et si c'est le cas.. et bien… GSPR ne pas te causer top de peine ! merci à toi de cette review et de ta fidélité et de ton émotivité ! toi aussi tu es touchante et adorable, sincèrement ! énormes énormes bisous !

Sassenache : tu as pioché ton pseudo ds un livre de Diane Gabaldon ? J'adore ce mot, l'intonation et tout ! g commencé ta fic ! et j'me ! vraiment ! ce n'est pas un avis de quasi experte, dsl, mais en tout cas, c un avis objectif, de qqun qui aime les belles choses, simples et émouvantes, ou drôles ou mélodramatiques, et ton histoire, j'me bcp ! voilà ! je t'embrasse bien fort !

Émélie : ne pleure pas je t'en prie, je t'en prie ! je devrais voir honte de tous vous faire pleure, tu ne crois pas ? M c plus fort que moi, mes chapitres se finissent tjrs sur un ton mélodramatique.. C grave doc ? Gros bisous, jeune nouvelle et bienvenue !

Snapye : bjr ! va t'elle le changer, oui, il change déjà un peu.. cepdt, ça ne durera pas.. le passage d'Amy est court.. Voilà le hic ! pourquoi il la déteste ? Tu veux vraiment que je te dise tout de suite, ou c une question de pure forme ? Bon allez, comment crois tu qu'une personne ..mmm.. disons secrète et ténébreuse (snape adulte) réagisse face à qqun qui connaît ses faiblesses ? Sachant qu'il a un double visage, des rôles à tenir, et son orgueil ? Voilà, c une des raisons.. pkoi la lettre tardive ? tu veux dire, pckoi elle l'a écrit si tard ou pourquoi ne l'a t'il pas reçu plus tôt ? j'attends avec impatience tes prochaines questions et je tacherais d'y répondre au mieux ! bises et gros mercis !

Infinitylight : hello infy ! a y 'é ! tu t'y retrouves !lool ! tu l'aimes pour ce que j'en fais ou tu l'aimes pack c la marraine idéale ? niark nairk ! mdr ! perso, je préférerais une bonne fée, tte rondelette ! et non, il n' a pas de chance, je m'amuse drôlement à le faire souffrir ce poivre ptiot !oh ! mon dieu, G honte, bien voilà, t'a relevé une coquille, un vrai œil de lynx twwa! c vrai sa jambe !… TT … je lé réduite à une foulure… Bon heureusement qu'on est ds un monde magique ! mouarf ! merci pr tout ! kissouilles !

Isa-syn ex US Hermy : c un vrai chieur, hein? Je l'imagine comme ça dés l'enfance… Au contraire de Drago que je verrais plus réservé, mais ce ne sont que des idées ! enfin, c'est une vrai tête à claque ! je pense qu'il la verra oui…. Et ça changera quelque petites choses… merciii & Bisouus !

Flo-fol-œil : hello ! ça va super et ti ? de rien pr le coup de pub, si ça peut te faire des nouvelles connaissances ! et puis le couple choisi est rare, ça attire les curieux ! tu n'as pas à me dire mercii ! non mais dis donc ! c moi qui dis merci ici ! lol ! à toi et aux autre qui m'écrivent des messages trop sympas et qui blablatent sur un talent que JE N'AI PAS ! ggrr ! enfin c gentil , vraiment ! hi hi hi ! oui, c un méchant, je pense qu'on ne va pas le revoir de sitôt ! il est dur à gérer, fo trouver ttes les crasse qu'on va lui faire faire et tout.. pfff.. c un dur ! oui, oui, fo qu'on s'arrange, je c pas ct fonctionné ! groooos bisouuuussss ! che t'adoorrre (façon sigrid !)!

Demoness lange : salut ! et bien vas-y ne te gêne pas demoness, apprécie –le !c pas défendu ! je vais essayer, oui, pour la famille.. Une tite punition, c'est vrai ça ne leur ferait pas de mal.. Mais quoi….. Si t'as des idées, hésite pas ! voila suite, bises et merci !

Lakimi : bonjour ! comment ça ? tu pleures toi aussi ? oOh ! mon but, non ce 'n'est pas de vous faire pleurer, pk sinon bah on lit flou, mais c vrai que je… heu… Je ne sais pas pourquoi mais j'ai l'envie de finir mes chapitres sur une note triste ! c quand même bizarre, non ? merci beaucoup de ton message adorable ! bisouuusss tt plein Lakimi !

Violette ou Ceresse : salut Lolie ! alors voilà le mystère du pseudo est éclairci ! dis donc, tu en as traversé des péripéties ! et moi pourquoi Lolie, et bien (toi aussi tu t'en contre fiche !) , je suis partie de violette : g trituré le mot en « iole » c'était pas beau, et j'ai rajouté un l en touillant les lettres et taddaaaam : tu as un nouveau surnom ! c bien , oui, de discuter avec les autres auteurs, j'aime aussi c pour ça que c rare que je ne prenne pas le temps de répondre aux reveiws.. moi j'aime ce coté là, pck à l'origine tu n'as qu'un pt commun avec une personne inconnue, HP et son monde, et pus au final tu distilles plein de détails, tu papotes de tout de rien, tu te découvres des pts communs, et j'adore ça ! bon ça n'empêche que mes reveiews sont plutôt courtes, mais j'en laisse assez svt, ça compense tu crois ? lol. Et c'est vrai, tu as raison c appréciable que quelqu'un décortique ton texte ds tt les sens pour en relever les passages flous et ceux qu'ils ont aimés, ce que tu fais super bien, alors.. bahhhh ;;; CONTINUUUUUEEEE ! lol alors réponses aux questions des questions maintenant : l'ampoule clignote tjrs ? HEU ;; Elles vont se voir.. oui ! Amies intimes.. Je ne C pas trop… En fait G très hâte de finir l'histoire pr écrire la suite, alors, je ne vé plus trop approfondir les relations, autrement G tenace à trop allonger mes fics. L'autre qui est oublié, devait faire une 20 de chapitres, mais je crois bien qu'elle ira au moins jusque 40-50 ! dc si je veux finir cette fic pdt les vacs ! Hermione s'inquiète par Harry, oui, quand même c pas pck ils se boudent qu'elle doit mettre de coté tte leurs aventures et les chocs qu'il encaisse.. En fait, je ne c pas si je vais vous dire pkoi ils ne se parlent plus, pk s'aurait été sans doute une bisbille tte banale (je voulais juste l'écarter pour que sevychou soit en pole position !) . l'atout, et bien c Severus Adulte, si elle peut lui envoyer un mssg (la lettre) et bien lui saura quoi faire ds le futur (cad ds le présent de rogue) pr elle coincée ds le passé puisqu'il sait théoriquement ce qui lui est arrivé !). le nouvo perso, heu…. Ce devait tre la venue de Lulu Le terrible, et puis oui peut être la mère de sev.. j'ai mis cette info où ?…. (suis perdue là.. dsl) ;merci à toi de m'encourager autant, c ce qui me pousse a tjrs essayer d'aller plus loin ds l'histoire et essayer de respecter un temps raisonnable entre les updates, et pr le reste, et bien je m'amuse quand j'écris alors.. voilà ! . je ne c pas encore si je pars en vacances, si ça se fait ce serait mi-août ! pr le moment ne t'inquiètes pas, dacc ! ta babidi ! bisous

Luna potter : bijour Lola !comment tu vas, pitchoune ? ça te plait toujours, génial ! ah tiens, tu aimes bien les slashs dray / Harry, je crois, j'en ai lu un, très sympa, c marqué rating M, mais il n'y a pas de véritables descriptions, tout est subjectif, si tu veux le lire, c l'id / 2315826 ; j'ai bien aimé, c une trad ! sinon, et bien grooos merciii , ça m'encourage vraiment à continué tt ce que tu me dis là !la fic je la veux courte pr vous faire une suite courte aussi, en assemblant les deux ça fera qqch de moyen, non ? Quaud est ce que je te vois sur msn, pr faire des papoptis papotas ? Gros bibis ! bidibou

Elisabeth 01 : salut Elisabeth ! merci beaucoup ! suis contente de savoir que ça te plait toujours autant ! voilà la suite, arrivée plus tard que prévue, mais j'avais énormément de mal à commencer le chapitre ! gros bisous et bonne lecture !

Jorahjo : je continue Jo !j'espère maintenir de l'émotion jusqu'au bout ! pour l'écriture, quand je me relis je trouve de grosses coquilles ! GSPR que ça passe assez inaperçu ! bises et merci de ton soutien !

Didi : salut ! merci beaucoup de ta reveiew ! mais non, ta question n'est pas stupide : tout les reveiewvers me l'ont déjà demandé, alors.. toi aussi ! en fait il y aura plusieurs raisons à sa haine… Lié à ses liens avec sa mère dont je parle vaguement ds le chapitre d'avt, et puis, aussi, parce qu'elle a appris à le connaître et que, c'est un homme secret, qui a une vie difficile, sans accroches par moments.. enfin, l'abandon jouera oui ! gros bisouus !

Superfan : voilà la suite ! merci, ravie que ça te plaise ! j'espère que le reste te passionnera autant ! sinon faut me le dire ! et pour Hermione ça dépend de ce que tu entends par bientôt ? en tout cas c'est une affaire de mois pour elle et de semaines pour nous ! LOl ! bises !


Résumé du chapitre précédent :Hermione sauve la vie de Severus Snape, vie mise en danger par Lucius Malefoy. Il lui parle enfin de sa Mère, celle que tous traitent de parjure à la famille et de dépravée. lui, ne la connaît pas

Chapitre sixième dans lequel le Héros rend une visite des plus courtoises à sa famille.

Severus Snape a à peine le temps de remettre de l'ordre dans ses vêtements froissés et couverts des résidus poisseux et grisâtres véhiculés par le déplacement inter-cheminées que, impeccablement rigide dans Son habit de l'ancien temps qu'il s'acharne à porter, M. Tillmore entre à pas feutré dans le salon.

Severus sort du réduit obscur, un sentiment profond de dégout le submergeant.

Il fronce le nez. La pièce pue. On n'a pas du ouvrir les fenêtres depuis une éternité. Même la grand-tante Bridgetta deuxième du nom, claquemuré dans son cadre d'ébène ciselé d'harpies, semble outrée de l'odeur de moisi qui suinte dans l'air humide du salon ténébreux. Elle s'applique un mouchoir sur le nez et respire difficilement dans des sifflements de boa en rut.

La tête blanchie du vieux majordome s'affaisse doucement dans un salut emplint de raideur et de respect.

Severus d'un geste de la main lui ordonne de se relever et l'homme lui offre un sourire entendu et des yeux humides :

.- « Bienvenu chez vous, monsieur. Votre visite surprise nous est bien agréable, Monsieur. »

Severus ne pipe mot. Il se dirige vers une fenêtre, tire la voilure et ouvre la fenêtre, faisant entrer la brise hivernale.

Il respire avec avidité et se retourne.

Comme il le hait !

Ce vieil homme asservi aux idées noires de son Père ! Comme il l'écœure !

Il est abject ! Gonflé de ses préjugés et de ses révérencieuses et aristocratiques formulations dont lui, Severus n'a que faire.

Il regrette presque déjà d'être venu.

Comme il abhorre ce regard que le valet pose sur lui.

Un regard presque reconnaissant !

De quoi ? De s'être lié au mal absolu, dans la seule idée d'entrer dans ce que son Père appelé la digne conduite des Snape ?

D'avoir fichu sa vie en l'air et de continuer à faire semblant d'être un homme d'honneur !

Honneur de pacotilles ! Billevesées ! Et ça le valet ne le sait pas. Il pense juste qu'il fait parti des grands hommes du siècle, un des plus fidèles de son Eminence Noire !

Mais Severus ne voit que par le fond. Il vit dans un gouffre

Et pour quoi ? Parce qu'il a commis une faute, il y a des années de cela. Une faute que sa famille a hissé au rang des nobles résolutions !

Il n'est pas le fils digne et le futur maître des lieux incorruptible que l'on croit qu'il est !

Il ne le sera jamais !

Pas avec ce dégoût, ce remords qui le ronge !

Il ne laisse rien paraître… Rien. Pas même ce tremblement si mal perçu au sein de cette demeure d'hypocrites !

Severus se maudit. Severus se méprise et il aimerait le dire aux vieux grigou ! Mais il n'ouvre la bouche que pour dire, d'une voix sèche :

.- « Ne m'annoncez pas, Tillmore. Je ne suis pas certain de rester. »

Tillmore s'incline, ne redoutant plus de réveiller ses douleurs rhumatismales et son lumbago.

Sevrus réprime un rire sans joie.

Il franchit la porte de la pièce, glacée désormais, un nœud au ventre.

ooo00ooo

Il pousse la porte et hume l'odeur délicieuse de cette pièce aimée. La cuisine.

Il fait chaud ici.

Un porcelet cuit à la broche dans la gargantuesque cheminée de briques.

Frau Recktenwald s'affaire à ses fourneaux… Ou à une tâche plus ingrate qui la pousse dans l'exigu cellier où elle criaille.

Sevrus referme la porte et ôte sa cape.

Il écoute la cuisinière rouspéter.

Ses yeux se plissent d'amusement ; Il ne voit que ses jupes, tremblantes, alors que des coups secs et des glapissements raisonnent.

.- « Zors d'izi ! Crie t'elle, frénétique. Zale Fermine ! »

Severus hoquète. Elle l'a donc entendu entrer ?

Il apparaît ensuite que cette interjection ne lui était pas destinée quand un nouveau coup se fait entendre et qu'un manche à balai apparaît dans l'embrasure de la porte.

Il semblerait qu'il y ait un intrus aussi irrévérencieux que l'enfant qu'il était.

Une petite souris replète, en effet, ne tarde pas à faire son apparition, sortant du placard à provisions et zigzaguant entre les meubles, cherchant désespérément une sortie de secours afin de ne pas succomber aux assauts meurtriers de la corde tressée avec laquelle la vaillante et revêche cuisinière cherche à l'assommer.

.- « OUST ! » Fulmine la femme.

La souris couine et Severus entrouvre la porte. La souris s'y faufile sans demander son reste, et Frau Recktenwald, échevelée, en sueur, se demande qui a bien pu entrer dans son domaine. Elle ne voit que cette robe noire et simple. Elle lève sa tête doucement et bouche bée le considère.

Ses doigts s'écartent et le balai vient échouer à ses pieds.

Les lèvres de Severus se plissent, railleuses.

.- « Monzieur Zeverus .. Bredouille la femme.

.- Pauvre bestiole ! Elle échappe à un rude adversaire pour atterrir directement dans l'antre de Père ! » Ricane t'il.

Il s'avance vers la cuisinière et lui fait face.

Elle réagit enfin et porte ses mains mouillées d'eau de vaisselle à ses pommettes écarlates.

.- « Monzieur Zeverus ! S'exclame Sigrid Recktenwald. Quelle bonne Zurpise !"

Et elle est sincère.

.- « N'est ce pas, Frau Recktenwald ?" Demande t'il.

Et, une envie de sourire, là, lui vient. Alors, il se détend et..Sourit.

Elle glousse avant de flatter son épaule, de le décréter trop maigrelet et de le forcer à s'asseoir devant un café fumant, du pain frais et encore chaud et de la crème d'une blancheur affolante.

.- « On ne fous fois pas azzez zoufent ! Ronchonne t'elle en lui souriant affectueusement et lui apportant des œufs frais. Allez ! Manchez ! »

Il ne s'étonne pas de la familiarité de Frau Recktenwald.

Elle est la seule qui ne lui pose jamais de questions impolies ici. Elle est la seule qui le consolait lorsque, enfant, il avait trop de chagrin à ses retours de vacances de Poudlard. Elle ne lui parlait pas dans ses cas là. Elle l'installait sur une chaise confortable devant des petits plats préparés avec amour, et il faisait comme en ce moment. Il mangeait. Et ne pensait à rien.. enfin, presque..

Il pense là.. Même trop..

Il boit une gorgée de café, et repose la tasse fumante.

Il pense encore.. Toujours..

Ses mains continuellement actives jouent avec souplesse avec la petite cuillère. Et puis, soudain, il les plaque violemment sur la grosse table rustique. La petite cuillère échoue au sol et Frau Recktenwald sursaute.

.- « Vous souvenez-vous d'Amy, Sigrid ?»

Sigrid pose son essuie-main sur une chaise et s'assied face à lui, se rongeant pensivement un ongle.

.- « Amy Granger ? » Insiste t'il.

Le visage rubicond de son interlocutrice s'éclaire.

.- « Ah ! Bien zur ! La cholie Amy! Elle était zi Zympathique ! Elle fous menait par le bout de zon charmant nez ! ».

Elle éclate d'un gros rire sonore alors qu'il déglutit avec peine. Elle réalise alors le mutisme de son maître.

.- « Ch'ais dit quelques chose de mal, Zeverus ? » S'inquiète t'elle.

Les yeux de la gentille dame s'embuent. Elle ôte son bonnet de lin crème et il s'étonne des cheveux grisâtres qui ornent son crane en une jolie tresse flamande. Jolie mais grise. Il soupire sans même s'en rendre compte. Il ne s'apercevait pas que sa bonne amie vieillissait… Cette vérité là l'offusque.

.- « Non. C'est vrai… Mais les choses ont changé… J'ai reçu, une lettre. D'elle ; »

Elle porte une main boudinée à sa bouche dans un geste d'étonnement ravi.

.- « Comment fa t'elle ? S'exclame t'elle hâtivement.

.- Je l'ignore. Avoue t'il.

.- Fous ne safez pas ? » S'étonne la femme face à lui.

Elle le regarde avec des yeux ébahis. « Comment peut-on ignorer comment va la personne qui vous envoie une lettre ! C'est impensable ! » Expriment ses yeux d'Allemande honnête.

.- « La lettre a été écrite il y a 20 ans. Dans cette maison. . Quelques mois avant qu'elle ne… »

Elle recoiffe son bonnet, l'écoutant toujours .

.- « S'envole. » Conclue t'il, d'une voix basse.

Trop.

Elle le remarque et s'inquiète.

.- « Ce n'est pas une lettre égarée, n'est-ze pas ?

.- Non.

.- …

.- Du tout. C'est même moi qui me la suis fait remettre. » Conclut t'il dans un grincement sarcastique qu'il n'adresse qu'aux élèves fats et insipides.

Vraiment, il tombe bien bas…

Il se rappelle l'ironie de son acte.

ooo00ooo

Le 22 novembre 1970, une calèche

Miss Amy lui ouvre la portière et il se laisse glisser au bas du véhicule. Il prend le temps de flatter l'encolure des deux chevaux et elle lui tend la amin. C'est un geste régulier et ordinaire maintenant que de saisir cette fine main chaude.

Et alors, que leurs paumes se collent l'une à l'autre, il lève les yeux, et le voit. Pour la première fois. Le château de Poudlard !

La majesté de ses murs de pierre se dresse comme des barrières infranchissables, des murailles surmontées de tourelles crénelées de vieux châteaux forts. Le tout reflète une telle sensation de liberté, d'évasion, malgré ces fortifications épaisses ou peut être à cause de cela.. Car derrière, se devine des jardins, des salles gigantesques, des couloirs, des recoins sombres, des endroits où se poser, seul.

.- « Wow ! » Fait t'il, émerveillé.

Elle lui adresse un de ses chaleureux sourires dont elle a le secret.

.- « Nous n'aurons pas le temps de visiter, Severus . Tes parents nous veulent pour le souper . Mais tu as de la chance peu d'enfants voient Poudlard avant leur rentrée ! »

Il hoche la tête. Peu lui importe. Le peu qu'il verra le comblera.

Il s'étonne de passer le gris des grosses pierres fondatrices pour recevoir de pleins fronts les couleurs qui décorent les tableaux accrochés par centaines aux murs.

Il emboîte le pas à sa répétitrice qui lui évite même les marches branlantes. Elle les mène à la conciergerie dit-elle.

Il monte un escalier, et il étouffe un cri quand celui-ci tourne sur lui-même.

.- « Et si l'escalier se trompe de direction, Miss ? Demande t'il, peu rassuré.

.- Divers chemins mènent à une même porte. Il y a juste certains raccourcis moins éprouvants. » Répond-elle, emplie d'une sagesse que les murs semblent lui apporter.

A la conciergerie il trouve une dame, passablement aimable qui leur demande de la suivre après que Miss Amy lui ai exposé sa requête.

Après ça, ils arpentent des couloirs d'une longueur incroyables et finalement finsissent devant une porte de bois comme tant d'autres. La surveillante toque deux fois et entrouvre la porte. D'une voix fade, elle demande :

.- « Professeur Dumbledorre ?

.- Oui ?

.- Une jeune femme désire vous parler. »

La femme referme la porte et leur explique qu'il arrive d'ici quelques instants qu'elle laisse maintenant et Miss Amy la salue d'un signe de tête et d'un sourire.

Ils attendent à peine. Le temps qu'elle ferme les yeux brièvement et lient ces doigts en une prière muette. Il n'ose pas la questionner sur la raison de cette visite au Château.

Et un homme dans la force de l'âge sort de la salle de classe. Il a une longue barbe rousse qui tire vers le gris et ses yeux pétillent à la fois de malice mais aussi et surtout de perplexité et de curiosité bienveillante.

Miss Amy le salue chaleureusement, la gorge un peu nouée et lui demande quelques minutes de son temps alors qu'il la considère comme un étranger découvre une nouvelle connaissance.

Aimable, le professeur consent et elle se tourne vers Severus :

.- « Attend-nous là Severus, et sois sage, tu veux bien ?

.- Oui, bien sur. » Dit-il et il s'assied sur le sol.

Il les regarde s'éloigner vers l'extrémité du couloir. Sa gouvernante discute avec animation et le professeur l'écoute, tiraillant continuellement sa barbe et hochant de temps à autre la tête. Il semble que Miss Amy ait mal à la gorge, elle passe souvent une main sur sa poitrine, comme en proie à une vive émotion où a une angine coriace.

Et puis, elle sort une lourde enveloppe de sa poche et la tend à son interlocuteur, l'air grave, les yeux suppliants et humides de larmes. L'homme l'accepte et la serre précautionneusement dans une poche interne. Ils rebroussent chemin et Severus se lève.

Le professeur Dumbleorre le regarde avec un sérieux qui fait naître en lui des petits fourmillements.

.- « C'est ce jeune garçon ? Demande t'il d'une voix douce.

Miss Amy lui a sans doute parlé de son entrée à Poudlard l'an prochain et elle acquiesce. Un sourire crispe ses lèvres roses.

.- « Nous nous reverrons en septembre prochain, Severus, n'est-ce pas ? Continue l'homme.

.- Oui, monsieur. Répond avec courtoisie l'enfant.

.- Croyez-vous que vous aimerez Poudlard ?

.- Oh ! Ça oui alors ! S'exclame t'il et il ajoute très animé, Miss Amy m'a parlé des fantômes et du plafond de la grande Salle et de.. »

Il s'interrompt alors que sa répétitrice se met à rire. Mais étrangement elle le cache sous se deux mains. Elle tremble.

.- « C'est bien, mon garçon. » Dit Dumbledorre et il pose une main lourde de sagesse sur son épaule chétive.

Severus n'aime pas qu'on le touche, mais, curieusement, cette main, là, posée ave délicatesse, ne le gêne pas. Elle est bien là. Il se sent bien sous le regard bleu de cet homme et il sourit.

La main se retire quand Severus entend un sanglot.

.- « Pardon. Suffoque Miss Amy.

.- Tenez. "

Le professeur lui tend un mini drapeau, noir et rose. Un mouchoir très laid en fait. Trop de couleurs pour un tissu qui dans les normes est d'une blancheur amidonnée.

Et elle se mouche dedans. Vigoureusement. Severus écarquille les yeux et ceux du professeur pétillent et lui adressent un clin d'œil.

Miss Amy a une manière très enfantine de se moucher.

Elle relève ses yeux rougis pour les voir sourire et se décrispe un peu. Elle tend aussitôt la main à son protégé et remercie l'homme. « De tout.. »

Elle lui montre son mouchoir et dit, d'une voix faible :

.- « Je vous le ferais remettre, Professeur. »

Dans un petit rire, il lui répond que « non, il en a des tas. Et celui-ci est bien laid. C'est le drapeau de l'équipe de Quidditch des Faucons Noirs et cette équipe là ne fait pas partie de ces favorites. »

Elle rit-elle aussi.

Et puis, il la regarde longuement, la tête légèrement penchée vers elle. Il lui prend sa main libre et l'enveloppe paternellement des deux siennes.

.- « Je vous souhaite de trouver le bonheur, Miss Granger.. Ici ou ailleurs… »

Sa voix est douce et mélancolique.

Severus ne comprend pas de quoi l'homme lui parle pas plus qu'il ne saisit la réponse de sa gouvernante et amie.

.- « Merci, Alb.. Pardon, Professeur. Et excusez-moi d'insister.. Mais.. N'oubliez pas…

.- Dans quelques 20 années, j'ouvrirais cette lettre qui m'intrigue déjà fort, j'aurais quelques réponses et je donnerais celle qu'elle contient à un homme en qui j'aurais confiance.. Je n'oublierais pas, miss… Je ne vous dis pas Adieu. Un au revoir suffira, j'espère. Quant à vous jeune homme, Poudlard vous attend en septembre. »

Ils saluent tout deux et l'homme les regarde disparaître. Sa main posée là où l'étrange correspondance de Miss Amy a été placée.

ooo00ooo

Une bûche craque dans l'âtre et Severus sursaute. Il est toujours dans la cuisine.Il s'est laissée distraire par le souvenir de cette escapade. S'il avait su alors que tout avait débuté ce jour là !

Il ricane amèrement .

Sigrid le considère. Les traits brouillés. Elle n'ose rien dire. Elle n'ose même pas le resservir en café.

.- « Vous rappelez-vous pourquoi elle a été congédiée ?

.- Che ne zais pas.… »

Severus se mord la lèvre. Même la cuisinière, si franche, et droite lui semble soudain devenir dissimulatrice et fourbe.

C'est absurde ! Elle ne sait pas ! Ou elle ne sait plus.

Qu'importe ! De toute façon, elle ne dira rien de plus. Il se renferme sur lui-même et elle soupire.

.- « Je ne resterais pas souper, Frau Recktenwald. » Déclare t'il, distant.

Il tourne le dos et récupère sa cape. Il fuit son regard.

.- « Monzieur Zeverus.. Ce chour là, elle m'avait dit fouloir afoir une matinée… C'était Monzieur Crazzus qui les lui accordait d'ordinaire. »

Elle a parlé d'une voix faible, hésitante..

Il tourne légèrement la tête.

Puis, plus franche, elle rajoute alors qu'il la considère.

.- « Est-ze-que che rachoute un couvert pour ze zoir, Monzieur ? Dit-elle dans un sourire gigantesque.

.- Fous le poufez, Zigrid ! »

La porte se ferme calmement.

Il la passe comme une ombre.

Mais une ombre qui sent son cœur s'affoler.

Il a une piste.

Et la cuisinière chantonne devant sa table.

Ce soir, les maîtres se coucheront repus !

ooo00ooo

Le cliquetis des couverts argentés ponctue la monotonie du souper. La grosse et hideuse horloge a rendu l'âme, il y a quelques années et personne n'a eu la charité de la faire remplacer.

Severus ne s'en plaint pas.

Il refuse la croustille de truite au safran que lui propose sur un plateau étincelant le valet.

Il n'a pas faim.

Il relève la tête et s'absorbe dans la contemplation des mangeurs.

A sa droite, à la place du maître de maison, son Père.

Les cheveux grisâtres, les yeux froids ou hérétiques selon que l'homme est illuminé par une de ses idées révolutionnaires qui « changeraient l'ordre imposé par cette nature malveillante et leur offrirait l'immortalité, Fils ! L'immortalité ! »

Severus n'est plus son bâtard. Il est son Fils .

Il l'est devenu le jour ou son avant bras a saigné.

Un jour bien noir.

Crassus, sait-il seulement, alors que du dos de sa fourchette il craquelle la pâte feuilletée de son met raffiné que « son fils » l'exècre ? Le hait, lui aussi ? Le vomit même?

Non. Il ne sait pas.

Il mange. Heureux pour l'avenir de sa lignée. Qui même si elle s'éteint ne le fera que dans sa conception de l'honneur.

Heureux car son brave fils est entré dans la bonne voie, voilà une vingtaine d'années.

Heureux car à sa table, noir et austère, trône un fidèle du plus grand sorcier de ces derniers siècles.

Severus déporte son regard noir à la droite de son Père, où, Lovise, plumée comme un coq en pâte, le teint verdâtre malgré les couches de maquillages, jette un regard mauvais et cerné de violet sur la délicieuse nourriture qui ne la satisfait pas.

Elle n'a pas plus de remords à critique le travail de sa cuisinière compétente qu'elle n'en a eu pour le reste.

Lui, à sa place, se satisferait des miettes des pains des criminels, et encore ses tripes les rejetteraient ! Seul le remord aurait faim ! Il se nourrirait de lui, l'affalerait, le crèverait, jusqu'à l'épuisement…

D'ailleurs c'est ce qui se passe… Mais pour lui, Severus. Pas pour elle !

Elle le mérite cependant autant que lui !

Elle lui est obscène. Sa maladie la ronge mais elle résiste, refusant de périr.

Elle lève ses yeux fatigués sur lui, s'étonnant d'être le point de mire de ce beau-fils qu'elle n'aime que pour fumiger de ses outrages, de sa présence tenace . Elle babille :

.- « Et bien, Severus, la cuisine de votre bonne amie, ne vous ravit plus ? »

Elle pointe son doigt serti de brillants sur un plat de puréeau potiron au fumet appétissant .

Il esquive la réponse. Lui parler l'offense.

Son père, silencieux jusque là, prend sur lui d'orienter la conversation dans un sens qui lui plait :

.- « Quelles affaires vous amènent, Severus ?

.- Préfériez vous que je ne reparte, Père ? Demande t'il de la voix veloutée qu'il sait si bien contrôler.

.- Quelle idée ! S'exclame trop bruyamment la malade. Vous venez, on vous garde ! On vous voit si peu ! »

Elle cille comme une donzelle effarouchée. Elle le répugne.

.- « Il est vrai que vous avez une grande science de la séquestration, Madame. » Riposte t'il dans un sourire mielleux.

Ses paroles font effet comme il s'y attendait, et, nerveuse elle boit une gorgée de vin, manquant de l'avaler de travers.

.- « Severus ! Tonne son Père. Assez d'allusions ! Votre mère est souffrante que diable ! »

Crassus, de son ton si glacial ne parvient plus à rien.

Severus, pose ses mains à plat sur la table et se lève. Il mène la danse, ce soir. Son attitude d'autorité distante ne leur laisse guère le choix. Alors d'une voix posée et froide, tourne t'il un regard insondable vers sa Belle-Mère et déclare :

.- « Aussi, j'aimerais lui épargner la suite de cette conversation familiale… Père, si nous passions au salon. »

Et ce n'est pas une demande. C'est un ordre. Un de ceux que nul ne peut contester.

Dans l'impossibilité de contester ce fils par lequel il jure désormais, le père quoique furieux lui emboîte le pas et Severus referme la porte d'un petit salon. Il allume quelques bougies et attend que son père s'assied pour lui faire face.

.- « Je recherche quelqu'un, Père.

.- Pour le Lord ? Demande Crassus, prêt à coopérer à une noble cause.

.- Non, Père. Pour mon compte. Une personne me nuit.

.- Qu'à donc fait .. ?

.- Les détails ne vous intéressent pas, Père. Le coupe t'il, incisif. »

Snape Senior se renfrogne. Le ton de la conversation ne lui plait pas. Mais, il a confiance en son fils désormais. Il l'écoute et le questionne.

.- « En quoi puis-je aider à retrouver cet homme ?

.- Cette femme. »

Sanpe s'étonne. Depuis quand les femmes sont-elles une faiblesse ! Elles ne sont bonnes qu'à tenir une maison et élever les enfants et son unique descendance le sait. Les femmes, il les maîtrise, il les teint éloigné de lui et n'use d'elle que lorsqu'il en a le besoin..

.- « Vous êtes l'un des derniers à l'avoir vu, Père. Il y a de ça 20 ans. Elle s'appelait Amy Granger. Vous l'avez congédié.»

Sevreus Snape se penche sur les accoudoirs, encadrant son Père. Ses yeux sondent.

.- « Je n'ai pas eu ce plaisir, Fils ! »

Severus sursaute et s'éloigne hâtivement. Ainsi, il se souvient ! Sa réponse a été spontanée. Elle était chargée de mésestime.

Son Père se lève et s'approche d'une desserte chargée d'alcool. Il se sert un Fire-Whisky et en propose un autre à son partenaire. Partenaire qui s'est adossé à la cheminée. Ses genoux flagellent.

Il sent ! Il le sent !

Cette histoire va loin !

Là où il ne veut justement pas s'aventurer.

.- « Elle nous a fait la grâce de disparaître.. Vous savez tout ce scandale avec..

.- Avec Elle.. ? » Murmure Severus, se servant finalement du liquide ambré.

Son Père lève son verre, un sourie fugace sur son visage blême.

.- « Elle voulait la revoir. Cette.. Cette…

.- Dites-le !

.- Créature ! »

Severus jette son verre sur les cendres froides. Il n'a pas bu.

Crassus Snape, lui, boit, par petites rasades, regardant tourbillonner avec majesté son enfant ténébreux.

.- « Elle a un nom, Monsieur ! Siffle Severus. L'a t'elle revu ? A t'elle revu ma Mère avant de disparaître, de s'envoler ?

.- Je ne sais . Croyez-vous que je me sois renseigné auprès de cette monstrueuse femme ?.. »

Severus n'en peut plus de biaiser. Il rage. Il bout. Il serre les poings. Severus plisse les yeux. Et méprisant dit entre ses dents :

.- « Ceux qu'on ne saurait nommer sont ceux que l'on craint. Il fut un temps ou vous ne craignez pas celle avec qui vous avez.. Copulé, Père.

.- Croyez-vous donc que cette malheureuse me fasse peur ? Rit chichement l'autre. Non, mon Fils. Elle m'ennuie, voilà tout… Et encore. Riposte t'il, serein.

Mais ses doigts tremblent. Severus lui retire son verre.

.- « Vous ne la craignez pas ? Allons Père.. Est ce donc que vous vieillissez et que vos nerfs s'usent tant qu'ils vous fassent trembler. C'est une attitude si peu « Snape » ! Raille t'il.

.- Suffit !

.- Non. Je veux entendre son nom !Une fois ! Une fois de votre bouche !

.- Tu es comme elle, Severus ! Fou ! Fourbe ! Périssable ! Tu es comme.. Comme !

.- Oui. J'en suis aise, parfois. Ment –il. Je lui passerais votre bonjour Père, lorsque je lui rendrais visite.

.- Tu n'iras pas voir cette.. cette…

.- Oh que si. Puisque vous ne me renseignez pas.

.- Je te défends ! » Vocifère le Père.

Il s'est relevé et le toise. Mais son dos est voûté et son fils le domine. De sa taille. De son regard. De son attitude. Il le surpasse.

Dans tout.

.- « Je me passe de vos interdictions ! Fulmine Severus. J'irais la voir !"

Dieu seul sait à quel point cela le contrarie.

.- "Personne n'est autorisé à voir ..Charla … Sans mon consentement »

Severus sort une liasse de feuillets, une plume de corbeau et un encrier d'un secrétaire d'ébène.

.- « Et bien, je le réclame.. Comme Amy Granger l'a fait auparavant ! Signez ! »

C'est d'une main tremblante que Crassus annote la date, l'heure et sa signature dessous une requête laborieusement obtenue et écrite.

C'est d'une main ferme que Severus lui reprend la feuille des mains de son géniteur et la plie avec soin avant de la ranger proprement dans sa poche.

.- « Je ne vous dis pas Merci, Père. » dit il.

Et dans un « pop » sonore, il transplanne.

A suivre….


Bon j'avoue ce chapitre me déçoit beaucoup, j'y ai mis beaucoup d'éléments que je ne comptais pas mettre avant la fin, mais devant mon Pc, je n'ai pas pu faire autrement ça aurait d'avantage compliqué les choses !

Autre chose, pitié, pour le prénom « Charla », ne prononcez ça comme si c'était un Ch, comme charlotte mais plutôt un K ! siouplait, je trouve ça tellement plus classe et joli la prononciation avec cette écriture. Voilà, c'est tout !

GSPR que ça vous a plus quand même !

Gros bisous et à la semaine prochaine !

Ah oui, petite précision… J'ai lu ce matin même dans une chronologie établie dans « le grimoire » que Lucius aurait 6 ans de plus que Severus. On n'en tiendra pas compte dans cette fic… Désolé de cet aberration chronologique.

et dites, ceux qui ont lu le tome 6: vous y croyez-vous.? (enfin on a pas le choix mais...)... C'est horrible, non ce qu'il fait !.. chut ! desolé, je n'en dis aps plus.. c'est juste que.. je suis sous le choc !