Voici la suite tant attendue (enfin, j'espère) de Retour en enfance. C'est ma toute première fic, et je me dois de la terminer même si c'est la dernière chose que je fais avant ma mort. C'est pas une fic avec une intrigue réelle, ou un fond sérieux. C'est juste un gros délire que je veux partager. Bon ben voilà un nouveaux chapitre.

Disclaimer : Tout est à JKR, sauf la fée.

Spoiler : quatre premiers tomes.

Allumer le feu !!!!! (Vive le Rock & Roll !!!!)

« Cher Harry, Ron, et Hermione,

C'est une véritable catastrophe, faites très attention, et surtout, Harry évite de t'énerver si tu ne veux pas tout faire..... »

Il avait à peine fini la phrase, qui entendirent un bruit sourd et un « Merde ! Les mecs attrapez ce mioche ! »

Ron et Hermione, trop concentré sur la lettre de Sirius, n'avaient pas senti planer au-dessus d'eux la menace que représentaient Draco Malfoy et quelques uns de ses fidèles Serpentards. Harry lui, avait eu l'impression que quelque chose de grand, de blond et de vert, se tenait derrière lui ; c'était pour cette raison qu'il se tenait du haut de ses trois pommes, heu, trois ans, devant son cher et tendre rival.

« Alors, Bébé Potter, qu'est ce que ça fait de se sentir vulnérable ? Si petit devant les grands méchants serpents. »

#Comment ça vulnérable ???!! Attends voir un peu que j'te mette l'pied au j'nou. Tu me diras qui est « vulnérable »#, pensa Harry qui gardait le silence.

« Ooooh !! », embraya le Serpentard, « Il a perdu sa langue. Et que dirais- tu si on t'emmenait dans nos cachots, juste pour jouer un peu. Hein, qu'en dis t......... »

Avant qu'il ait pu terminer sa phrase , Harry lui avait balancé son petit pied bien approvisionné en calcium dans le tibia, faute de lui attraper le genoux et sans demander son reste, il avait détalé vers les grandes portes.

« Merde ! Les mecs attrapez ce mioche ! »

Et tout un contingent de Serpentard partit à la poursuite du bousilleur de tibia, alors que leur chef nouvellement estropié, jurait sous son souffle.

Ron et Hermione arrivaient à la dernière partie de la lettre quand ils se rendirent enfin compte qu'il se passait quelque chose. Ils tournèrent la tête et virent un Draco Malfoy qui se tenait le tibia en jurant, et un Harry Potter qui se faisait courser par un troupeau de Serpentard non identifiés ; Le temps qu'ils aient compris ce qui se passait, Malfoy, s'était déjà élancé, en boitillant (NBM : Il doit pas aller bien vite comme ça, non ?), à la poursuite du Harry-tueur-de-tibia-Potter.

« Hermione, commença Ron, je pense que Harry a des problèmes »( NBM : Ben voyons Sherlock.........).

Pendant ce temps là, Harry courait à en perdre haleine dans le couloir qui menait vers la salle de Métamorphose. Les Serpentards, plus rapides étaient déjà à sur ses talons, et lui, malgré tous les atouts que la chasse au Harry avait pu apporter à sa vitesse de pointe, ne savait plus s'il pourrait encore tenir longtemps. Une idée de génie soudain lui vint : Il stoppa net et partit dans la direction inverse laissant sur place ses poursuivants. Ce à quoi il ne s'attendait pas, c'était les bras de Zabini qui l'arrachèrent du sol. Dans un dernier élan d'espoir et de survie, le petit sorcier mordit le bras qui était à portée de sa bouche. Lorsque les dents, de lait certes mais bien solides (et bien pointues), s'enfoncèrent dans son bras, le Serpentard hurla de douleur tel un coyote dont la queue aurait été écrasée par une porte. Harry en profita pour se glisser hors de l'étreinte mal venue et reprit sa course vers la grande salle, cette fois-ci.

« Ondine, cria-t-il, va vite trouver Ron et Hermione, et dit leur de s'activer. »

Aussitôt, la petite fée, toutes ailes dehors, partit à la recherche des deux amis de son protégé. Protégé qui n'avait pas vu venir Draco Malfoy, récemment consacrer Messire de la Canarderie Boiteuse. D'un geste précis, le Serpentard attrapa le petite fuyard, un sourire machiavélique aux lèvres.

« Où croyais tu aller mon mignon ? Tu ne voulais tout de même pas me fausser compagnie ? »

« Laisse-moi tranquille sale furet », cria Harry.

Le « furet » en question resserra sa prise, faisant grimacer l'enfant à la frêle ossature.

« Tu sais petit Potter, dehors, il y a quelqu'un qui serait on ne peut plus content de te voir. Tu sais qui c'est petit Potter ? Bien sûr, que tu sais ! Et moi je vais t'emmener le voir. »

« Lâche mooaaa !! Je veux pas voir « tranche- de- saumon- avariée »

« Comme c'est touchant. Mais pour l'instant, on va voir Lord Voldemort »

Harry, se rendant compte de la tournure sombre que prenaient les évènements se mis a crier. Et sa voix déjà aiguë devint perçante à en éclater les tympans. Comme pour répondre à son appel déchirant, un halo noir veiné de doré et de blanc l'entoura, émanant de son corps. Malfoy qui ne s'attendait pas à quelque chose de ce genre lâcha l'enfant dont les hurlements gonflaient de plus en plus. Un grondement sourd s'accorda aux cris et avant que le serpentard n'est pu se mettre à l'abris une violente détonation souffla les fenêtres alors qu'une colonne de feu réduisait consciencieusement les objet inflammables en cendres. Le phénomène ne dura que dix secondes, mais les dommages étaient plus que surprenants.

Hermione, qui fût la première à arriver, laissa tomber la lettre de Sirius, tant le choc fut grand. Au milieu d'un amas de serpentards non identifiés, et encore moins identifiables, était allongé le petit corps de Harry. Il n'avait subit aucune brûlure et un souffle régulier animait sa petite poitrine. Ondine, s'approcha de l'enfant et poussa un petit cri lorsqu'elle vit une arabesque noire apparaître sur l'épaule du garçon.

Sur la lettre qui était consumée par une flamme survivante on pouvait voir le mot « destructor » 1.

Lorsque Harry se réveilla, il se tenait dans les bras d'Hermione, dans le bureau de Dumbledore. Il se sentait encore fatigué, et si le sommeil l'avait quitté, s'était à cause d'un picotement qui lui dérangeait le dos.

Dès qu'il ouvrit l'œil, le visage inquiet de ses amis apparu dans son champ de vision.

« Est-ce que tu va bien ? », lui demanda Hermione.

Il se souvint de l'épisode des serpentard, de la colonne de feu, et eu un sourire qui était trop effrayant pour son visage d'enfant.

« Harry, commença le directeur, arrête de sourire ainsi, tu fait peur au pauvre vieil homme que je suis »

« Et moi je suis content de ressentir à nouveau cette sensation de puissance créatrice et destructrice......... ça faisait tellement longtemps »

Dans les yeux de l'enfant pouvait ce lire une nostalgie troublante.

« Alors tu te souviens »

« Oui, même si la dernière fois que j'ai utilisé mes pouvoir, j'avais à peine un an »

« Pauvre Sirius......... je me souviens encore de l'état dans lequel il était après ta petite.........crise, diront- nous. »

« Il l'avait bien cherché ! », répliqua l'enfant les bras croisés et l'air boudeur.

Ron et Hermione , qui ne comprenaient visiblement pas ce que racontaient Harry et Dumbledore, se regardèrent pour décider de qui poserait la question qui leur brûlait la langue. Finalement, ce fut Hermione, âme charitable, qui posa la question fatidique :

« Heu, vous pourriez expliquer là ? Parce que nous, on n'a rien compris pour le moment »

Les regards de Harry et Dumbledore se s'attachèrent, aucun ne souhaitant se sacrifier, jusqu'à ce que Harry, se trouvant une mystérieuse attirance pour Fumseck, se mette à jouer avec l'oiseau à « Chat » (BM : chez nous on appelle ça « Cho-tapé » ). Le directeur lui lança un coup d'œil qui voulait sûrement « lâcheur !! », et commença :

« Avant d'arriver à la situation présente, je doit vous parler d'un type de sorciers.........légèrement différents. Je suppose que vous avez déjà entendu parler des individus appelés « Destructor » (Une pause/ Hermione et Ron acquièsent). Comme vous le savez, il s'agit de sorciers qui à la naissance ont été dotés de la faculté de détruire la matière et de créer à partir de cette même matière. En fait un Destructor devrait être appelé Destructor-Conditor2 puisqu'il doit détruire de la matière donnée pour en créer une nouvelle (NBM : Que ceux qui n'ont pas comprit lèvent bien haut la main !!! Nasty lève la main suivie de beaucoup de lecteurs qui ne comprennent pas vraiment où veut en venir l'auteur BM : Si vous n'avez pas comprit......... allez réviser vos chapitres de chimie : réactions chimiques –d'oxydoréduction, acido-basiques les lecteurs et NBM regardent l'auteur, une lueur meurtrière au fond de l'œil Ne me regardez pas comme ça car je ne fléchirait pas -- / LOVE PHY-CHIMIE !!!!!!!! / Revenons à l'explication de Dumbledore ). Le lien entre la destruction et la création est très complexe puisque pour construire il doit détruire et quand il détruit il droit transformer la matière détruite, donc il créé. Cependant, les sorciers normaux ne voient pas en quoi il y a création. Ainsi, lorsque la Destructrix- conditrix Mélizandre-la- diabolique fit disparaître puis ré-apparaître Big Ben elle ne l'avait pas envoyé sur la Lune ni détruite a proprement parler !! Elle avait transformé la tour en air et en minéraux, Big Ben était toujours là, mais sous une autre forme. Vous savez, « Rien ne disparaît, tout se transforme ». »

A se stade de la conversation, Hermione prenait frénétiquement des notes alors qu'une lueur d'inquiétude animait les prunelles de Ron.

« 15 jours après la naissance d' Harry, Lily m'a contacté me demandant de venir chez eux dès que je le pourrait :

Flash Back :

Lorsque le vénérable directeur de Poudlard Albus Dumbledore arriva devant le pavillon des Potter à Godric's Hollow, il entendit au loin les gémissements de tristesse (BM : Pourquoi y'en a une qui s'est mordue la langue ?? NBM : Fé pas frè !!Ve me fuis pas morvue la 'angue !!! èé'' ) de James Potter. Craignant le pire, Albus se précipita dans le salon où il trouva Lily en train de tenter de consoler un mari effondré.

« Lily, où est Harry, et pourquoi James pleure-t-il ? » demanda le vieux sorcier étonné de voir son ancien élève dans un tel état.

« Oh, bonjour Albus. Harry est parti avec son parrain, et James est devenu hystérique quand Sirius lui a dit qu'il allait donner à son filleul son "baptême de moto ».

En effet James semblait sur le point de perdre conscience et marmonnait des phrases qui ressemblaient étrangement à « Mon bébé !! » ou à « Si jamais il lui arrive quelque chose j'en fait de la saucisse pur chien !! ».

Un vrombissement retentit au loin pour devenir de plus en plus présent. James se leva et couru dans le jardin, suivi de Lily qui malgré les apparence était inquiète pour son enfant et Albus qui lui était plutôt amusé. Harry, âgé de quinze jours, était dans les bras de son parrain et gazouillait gaiement en tendant les bras à son père. Ce dernier, livide, ne put contenir le fou rire qui l'assaillit lorsqu'il remarqua la tenue de son fils : bébé Harry portait une grenouillère marron sur laquelle il y avait dessiné une grosse moto noire. Il portait aux pieds de petites bottes noires et aux mains de petits gants de la même couleur. Mais le plus drôle restait encore le mini casque qu'il portait et la paires de lunettes d'aviateur qui devait protéger ses yeux. En gros, il avait à peu près la même tenue que son parrain à quelques détails près (notamment la grenouillère).

Ayant repris le contrôle de ses émotions, James pris son enfant et le serra contre son cœur.

« Mon chéri, qu'est ce qu'il a encore fait Sirius ? Il est trop irresponsable pour s'occuper de toi n'est ce pas ?? Il te sort de ton berceau pour te faire monter sur sa moto sans même le dire à papa ! Il est fou ton parrain et je vais le transformer en saucisse.........

Se disant James avait retiré les lunettes et le casque de son fils, et avançait dangereusement vers Sirius qui lui aussi s'était défait de son casque ; celui-ci n'avait pas vu venir son ami et futur meurtrier, et sifflotait l'air du Pont de la rivière Kwaï.

« James......... » commença Lily, d'un ton qui signifiait toujours « mon humeur commence à ce dégrader sensiblement ». Son mari se retourna vers elle et se rendit enfin compte de la présence de Dumbledore.

« Professeur !! Ce n'est pas que votre présence me dérange, bien au contraire, mais qu'est ce que vous faites ici ? »

« James Claudius Janus Démétrius Potter......... » fit Lily d'un ton qui signifiait toujours « mon humeur c'est dégradée sensiblement »

« Aaaaah ouiiiiiiiiiiiiiii, vous êtes venu pour la ......... faculté particulière de Harry »

Le directeur lui sourit, excusant l'attitude presque hystérique de son ancien élève. Il salua Sirius et prit dans ses bras le petit bébé qui continuait à gazouiller. L'enfant leva vers lui ses grands yeux vert émeraude. Le vieil homme y accrocha son regard et trouva au fond de l'œil du tout petit une lueur qui lui racontait que ce nouveau-né ferait de grandes choses un jour, très grandes.........

« Je pense que nous devrions rentrer mes amis. N'est-ce pas Harry ? »

Le nourrisson, en guise de réponse attrapa de son petit poing quelques mèches de la barbe argentée et s'amusa à les teindre de toutes les couleurs. Lily voulut bien évidemment mettre fin aux élans artistiques de son fils, mais le directeur l'en empêcha en rétorquant que ça lui donnait « un air de hippie » tout à faire adorable.

« Alors Lily, si vous m'expliquiez le problème. »

La jeune femme regarda l'enfant qui jouait toujours les De Vinci, inspira puis commença :

« Depuis quelques temps, Harry faits des choses très bizarres, même pour un sorcier. Je veux dire qu'il fait apparaître des objets, et quand je veux les renvoyer à la source, ils ne disparaissent pas, c'est comme s'il les avaient créés à partir de l'air. Il y a aussi autre choses : quand par exemple on transforme un bout de ficelle an souris, un simple finite incantatum rend à la souris son état initial. L'un des passe- temps de notre fils est de prendre un objet et de lui faire subir une métamorphose quelconque. Quand je lance un finite incantatum, l'objet en question ne reprend pas son apparence normale. Dernièrement, il a transformé sa petite cuillère en sphère argenté. Et puis, il a transformé la paire de lunette de son père en hochet. »

Pendant qu'elle parlait Harry s'était dirigé discrètement vers Sirius et avait commencé à lui faire une couleur capillaire.

« Et !!! Gamin !!! Mais qu'est-ce que tu fais avec mes cheveux ? »

« Gagagou bigibi » répondit l'enfant.

« Ah !! D'accord !! Bigourgou ? »

« Fifi imahaku gouma »

« Gouma ?! Kiboukou ibidou »

« Hihihihihihihihihihihihihihihihi » Riait l'enfant.

James, qui doutait sérieusement de la santé mentale de Sirius, s'empressa de récupérer son fils.

« Ce n'est pas tout professeur, commença James. Il a aussi des arabesques dessinées sur le corps. Elles apparaissent et disparaissent pas intermittence ; c'est troublant. »

En effet, Dumbledore remarqua des lignes noires qui courraient sur le corps du nourrisson. Magnifiques, elles écrivaient leurs Histoire ne laissant vierges que le visage de Harry et un carré de peau rosée sous le nombril.

Un air de pur étonnement passa sur le visage du vieil homme.

« Vous souvenez-vous de l'histoire de Mélizandre- la – Diabolique ? »

« Oui, répondit Lily. Certain livres disent qu'elle était une Destructrix-Conditrix............ Vous voulez dire que notre petit bébé est un ......... »

« Un Destructor, Lily. Un Destructor-Conditor »

Et comme pour appuyer la révélation de Dumbledore, Harry Potter petit sorcier de quinze jour fit apparaître une rose aux pétales noires veinées de doré qu'il tendit à sa mère. Et dans son sourire, et dans ses yeux, un petit quelque chose qui fit frissonner le Très- grand et le Très- vénérable Dumbledore. Cet enfant était réellement celui de la prophétie.

Fin du Flash Back.

Pendant que Dumbledore avait parler, Harry s'était amusé à créer un mobile fait de sphères de cristal et s'avait actionné.

« Vous savez professeur Dumbledore, je peux teindre à nouveau votre barbe. Vous voulez quelle couleur ?

Harry, Hermione , Ron et Ondine sortirent du bureau de Dumbledore après avoir fait le plein de recommandations. Il arrivèrent à la tour de Griffondor mais au lui de l'emmener au dortoir, ils se dirigèrent vers la salle de bain.

« Heu, fit Harry. Poukoi on va dans la salle de bain ? »

« Parce que tu vas te coucher tôt comme l'a demandé le professeur Dumbledore. Ca fait seize que tu n'as pas utilisé tes pouvoirs. »

« Ouais mais je vois toujours pas où est le rapport ? »

« Ben mon petit cochon, tu es bien sale. Tu vas prendre un bain »

A peine Hermione avait fini de parler que Harry avait déjà décampé sur ses petites jambes.

Filant comme le vent il prit la première direction venue, les cachots. Il savait que s'était une direction risquée, mais si un seul Serpentard lui cherchait des noises......... il en ferait une adorable carotte.

Apercevant une porte avenante, il transforma une portion du panneau de bois en chatière et s'y faufila.

Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'il aperçut sur un pant de mur une étagère gigantesque dont les livres traitaient essentiellement de potions. Aucuns doutes : il avait atteint le point de non retour, il avait franchit la frontière entre le monde des vivants et celui où il était potentiellement mort, il avait pénétré l'antre de Sévérus Rogue.

Note(s) :

1 pas besoin de faire du latin pour savoir que destructor signifie destructeur.

2 Alors, conditor veut dire constructeur, créateur.

Black Moon : Voilà la fin de ce chapitre. J'espère qu'il vous a plu.

Harry (énervé) : Poukoi tu m'as envoyer chez ROGUE

BM : Ben paske c'est pour les besoins de la fic.

Harry : Les besoins de la fic !!! Je t'en mettrais moi des besoins.

BM : Harry, on surveille son langage.

Harry (avec un sourire mauvais) : Ben moi pour mes besoins, je risque de te transformer en lapin si Rogue me tue.

Nasty Black Moon et un contingent de chasseurs surexcités : Le lapin ! Le lapin ! Le lapin ! Le lapin !

BM (très nerveuse) : Ne t'en fait pas. Le professeur Rogue et toi serez très......... liés dans un futur relativement proche ou lointain tout dépend du point de vue.

Harry : Comment ça liés ????!!!!

BM : «- - - - Silence radio - - - -»

BM : Je remercie du fond du cœur tous mes reviewers et promets aussi un nouveau chapitre pour Vampire.