Me revoila ! Je vois que vous avez aimez le premier chapitre de Cuorum Magikaa, alors, en espérant que vous aimerez celui-ci, je mets le deuxième chapitre !

Mais d'abord, les réponses au reviews :

Onarluca (ou Artemis) : Heureuse que ce début te plaise ! Je tacherai de faire des chapitres plus long à l'avenir… mais, faut pas trop rêver ! Encore merci.

Cute : Marchi bokou !

Zabou : Merci d'avoir laissé une review ! Ben voilà le suite.

Nephéria : Tu trouves que l'idée est bonne ? Ben muchas gracias. En fait, ça fait longtemps que je réfléchit à une fic dans laquelle Voldemort, ou plutôt Tom, décide, de séduire Harry pour le mettre dans son camp, et plus si affinité. Je sais pourtant, que ça ne plait pas toujours à tout le monde… mais moi, je ne suis pas tout le monde !

Zag : Ben dites donc… je me tue à trouver un titre qui ne ressemble pas texto à Magie du cœur, et toi tu ruines tous mes vains espoirs Bouhouhouhouhouh ! (pleure au cas où ça ne se verrait pas). Bon trêve de rigolade. C'est sûr que Cuorum Magikaa, faut pas être voyant médium extra lucide 100 de réussite en amour, aux examens et concours, votre jeunesse d'Antan vous reviendra (NBM : ' ça recommence…) pour faire le lien. Merci d'avoir lu (déjà) et d'avoir laissé une review ( c'est beaucoup pour moi).

Enan : Merci ! J'adore que tu adores ! (LOL). Je vais essayer de faire plus long (enfin, j'espère…) et de continuer dans le même style.

Miniluce : Si tu m'élit Présidente de la République de je promets d'updater régulièrement ! Je construirai une autoroute qui relira Marie-Galante, les Saintes, et la Guadeloupe ! Je construirai un pont qui relira Petit-Canal à Pointe-à-Pitre au-dessus de Morne-à-l'eau pour mettre fin aux embouteillages ! (NBM : Citoyens citoyennes votez pour moi, VOTEZ POUR MOI votez pour moi !)……… Je suis désolée, je me suis encore perdue dans mon délire. Tout ça pour dire que si je m'avance à te promettre d'updater régulièrement, ça reviendrait à promettre de faire construire un pont au-dessus de Morne-à-l'Eau, ou de relier La Guadeloupe, les Saintes et marie-Galante… ce qui est totalement impossible (d'ailleurs, quand chez moi on parle de construire un pont au-dessus de Morne-à-l'Eau, ou de relier La Guadeloupe, les Saintes et marie-Galante, c'est pour faire le les gens. Mais quand on y réfléchit, faire un pont au-dessus de Morne-à-l'Eau, ça serait pas une si mauvaise idée PTDR !). Pour le slash……… c'est une autre chose mais je n'ai rien dit ! Sinon, merci pour la review !

Bon, voici enfin la suite de Cuorum Magikaa !

Spoilers : les cinq tomes déjà parus.

Titre de l'histoire : Cuorum Magikaa.

Titre du chapitre : Veritae in occulis sunt (Traduction : Dans les yeux sont les vérités)

Rating : PG-13 (pour l'instant).

Slash : pour l'instant, j'en sais trop rien.

Bonne lecture !

J'ai cherché ma véritable identité pendant longtemps,

Pour la trouver, j'ai élevé les yeux vers les cieux,

J'ai cherché dans les mémoires d'autrui… pourtant,

Depuis tout ce temps, la vérité, était cachée dans tes yeux.

Jamais il n'avait été le témoin d'une vision aussi incongrue. Jamais rêve n'avait été aussi bizarre. Sans doute était- ce un nouveau piège tendu par Voldemort. Un piège grossier qui pour son esprit embrumé par le sommeil, paraissait si Subtil.

Assis au bas de la fenêtre de sa chambre, Harry Potter, encore sous le choc, tremblotait d'incrédulité. Pendant tout le mois de Juillet, il avait essayé d'oublier, de tout nier. Non, la Prophétie qui liait son destin à celui de Voldemort n'existait pas. Non, Sirius, n'était pas mort. Non, ce n'était pas son père et son parrain qu'il avait vu agir comme des petites brutes gonflées d'arrogance dans la pensine de Snape. Pourtant, il savait bien que tout était réel, pas de mensonge……

/Plus de mensonges/ pensa-t-il tristement.

Apparemment, Dumbledore lui avait caché la vérité, plus sciemment que par omission. Peut être la fin de le protéger justifiait les moyens, mais maintenant il se sentait mis à nu. Depuis le début de sa scolarité, il avait toujours eu l'image d'un père modèle qui dans sa jeunesse à Hogwarts avait été populaire. Une muraille s'était construite autour de lui : son père. Il avait, inconsciemment, eu un but à atteindre, un idéal : son père. Lorsqu'il avait vu la manière dont James avait traité Snape, il en avait été malade. Il avait vu en James son propre cousin Dudley… et ça le dégoûtait. Beaucoup lui disait qu'il ressemblait à son père… … … Si ressembler à son père signifiait être une petite brute tyrannique, il préférait ne ressembler à personne.

/Peut-être vaut-il mieux que je sois orphelin……/

Cette seule pensée le ramena sur Terre. Comment pouvait il dire cela alors que sa mère lui manquait tant. Combien de fois aurait il voulu la prendre dans ses bras et lui confier ses secrets les plus intimes.

Comme il se sentait coupable de la mort de Sirius. Lui aussi avait eu un comportement très reprochable, mais douze années à Azkaban ressemblaient plus à l'enfer qu'au purgatoire. Il avait mérité de vivre en liberté malgré ses erreurs de jeunesse, mais maintenant, à cause de Harry, il ne pouvait plus vivre du tout.

/ Si seulement j'avais écouté Hermione et Snape. J'aurais mieux pratiqué l'Occlumencie, et Voldemort ne m'aurait pas trompé de la sorte./

Un bruit à la fenêtre le tira de ses réflexions : Hedwige revenait du QG. D'un geste presque machinal, Harry attrapa la lettre qu'elle portait : encore une fois il s'agissait de messages de Ron et d'Hermione. Ils essayaient de lui remonter le moral, de lui prouver que tout irait bien ; mais les non-dits réduisaient leurs efforts à néant. Il savait très bien qu'au dehors, Voldemort commençait à monter en puissance : sa cicatrice se chargeait de le lui rappeler par ………intermittence.

Et puis, il y avait aussi ce rêve qu'il tentait toujours de comprendre. Il craignait que ce ne soit un piège, pourtant, il voulait croire que la femme belle et fière de ses songes était sa mère. Il avait déjà vu des photos d'elle, mais tout sa personne avait semblé être magnifiée par l'atmosphère ; et les propos crus qu'elle crachait à la figure de Voldemort donnaient d'elle l'image d'une toute-puissante divinité.

On lui avait toujours parlé de son père, mais maintenant il désirait connaître sa mère, découvrir l'enfant, l'adolescente puis la femme qu'elle avait été. Et s'il devait poser des questions, il le ferait. Sirius ne lui avait jamais parlé de sa mère, mais plutôt de sa mère avec son père. Il ne lui avait jamais dit que Lyly n'avait pas toujours aimé James ; au contraire, dans le souvenir de Snape, elle avait semblée prête à sortir avec n'importe qui d'autre, plutôt qu'avec James Potter.

/ Je me demande parfois si je n'ai pas été un accident, ou une erreur… /

Cette seule pensée arrivait à le démoraliser toujours un peu plus. Il lui fallait la vérité, ou il ne s'en sortirait pas. Est-ce que malgré tout l'amour qu'elle avait eu pour lui, sa mère avait souffert de le mettre au monde ; pas pour l'accouchement, non, mais... avait-elle réellement aimé son père, ou avait elle été contrainte…

Oh oui, il était décidé à éclaircir tout ce mystère……… autant qu'il l'était à comprendre son rêve.

/ Je me demande vraiment ce qu'il voulait dire par « m'unir à lui »/

Sérieusement, toute cette histoire ressemblait à l'intrigue d'un de ces romans moldus qui finissaient toujours très mal autant pour le «méchant » que pour le « héros » (BM : ne voyez surtout pas une allusion à cette fiction………). Il ne voyait vraiment pas du tout ce que Voldemort (car l'inconnu était Voldemort, il en était sûr) insinuait. Il comprenait encore moins les propos de sa propre mère : prêtresse, maîtresse, don… s'était du charabia pour lui. Et Riddle qui voulais le faire sien…

/ Par Morgane, faites que ce ne soit pas ce que je pense…/

Le pauvre adolescent ne voulait surtout pas penser à ça, mais ne pouvait s'en empêcher. Il pouvait n'avoir fréquenté (et le mot est encore trop fort) en tout et pour tout, qu'une fille et cela de toute sa courte existence, mais il savait parfaitement ce que voulait dire Voldemort………et il ne voulait surtout pas que cette funeste prédiction se réalise. La question n'était pas d'avoir une relation avec un homme, au point où il en était il ne pouvait pas dire quel genre l'attirait vraiment. Non, le problème se résumait en un nom : Voldemort. Coucher avec Voldemort : ces trois mots représentaient une aberration à ses yeux, il aurait même préféré qu'on lui dise que la Terre était plate (BM : je sais que j'exagère mais bon, la Terre est quant même légèrement aplanie aux pôles LOL). Mais ça, c'était inconcevable pour son esprit maintenant pleinement réveillé. Le jour où il donnerait sa virginité à Voldemort serait le jour où il aurait perdu la raison ou la guerre…


« Potter, descend tout de suite »

Son oncle chéri l'appelait de sa voix aigrie, sûrement pour lui donner la liste des taches à exécuter. D'un pas lent, il se leva de son lit, s'étira à la manière d'un chat, et se décida à descendre à la cuisine. Ce qu'il ne remarqua pas fut la petite tache rouge qui souillait ses draps blancs élimés.

« Potter, dépêch… »

« Je suis là Oncle Vernon. Pas la peine de crier je suis pas sourd »

La dernière remarque sembla révolter l'homme massif qui leva la main comme pour le gifler.

Harry, qui avait d'autre chats à fouetter (notamment ses propres projets de recherches sur ses parents, et les paroles de Voldemort), n'eu pour lui que quelques mots et un regard bien senti.

« Tu ne voudrait pas que des bizarreries de mon espèce débarque chez toi pour une gifle. Je pourrait toujours glisser que tu es violent à mon encontre »

Cette réplique refroidit les ardeurs de Vernon qui ne lui donna finalement qu'un regard noir.

« Je pars avec ton cousin aujourd'hui, il a un match. Tu vas rester avec ta tante et faire tout ce qu'elle te demande. »

Pétunia apparu à ce moment avec le sac de son fils et le visage fermé elle le donna à son mari. Ce dernier la regarda avec quelque chose qui ressemblait à du mépris.

/ On aurait dit qu'il y a un problème ici. C'est pas normal ça /

« Dudley, nous avons trois heures de route, alors on part. »

Seul les pas lourds de son fils lui répondirent.

« Mais Papa, pleurnicha presque celui-ci, j'ai pas encore mangé »

« On passera au Burger »

Le visage de Dudley s'éclaira et sans opposer plus de résistance, le garçon suivi son père jusqu'à la voiture sans même un regard pour sa mère.

/ OK y'a réellement un problème ici/

Pétunia donna à Harry la liste des choses à effectuer après lui avoir dit de trouver quelque chose à manger dans son réfrigérateur. Avant qu'il n'est pu dire quoi que ce soit, elle repartit dans sa chambre.

Sans commentaire, Harry fit ce qui lui avait été demandé après avoir pris une pomme et un sandwich jambon fromage. En silence, il fit la vaisselle, la lessive, le jardin et les poussières.

Enfin, il remonta pour prendre une douche bien méritée (NBM : je n'en doute pas). Comme à son habitude, il attrapa un de ses vêtements de seconde main et se dirigea vers la salle de bain.

Alors qu'il se déshabillait, il remarqua qu'il avait grandi encore un peu et que ses cheveux avaient poussé et pris sur les pointes, une teinte qui tirait vers le rouge. Ce changement le surpris au plus haut point : ses cheveux avaient toujours été d'un noir de geai ……… comme son père.

'Arrête Lily, je sais bien qu'au jour de sa naissance, tu as caché les véritables traits de ton fils pour qu'il soit la copie conforme de ton cher James.'

Cette phrase eu l'effet d'un poids dans son estomac… l'instant d'un moment, il avait oublié ces mots précis. Si sa mère avait réellement jeté un sort sur lui à sa naissance, son, visage, non, tout son corps changerait. Il ne serait plus le même… comment réagiraient ses amis face à son hypothétique nouvelle apparence……… resterait il le même Harry Potter, leur amis, ou serait il un étranger poursuivi par les attentions d'un Seigneurs des ténèbres trop intéressé. Cette seule pensée suffit à le remplir de désespoir et pour chasser sa morosité certaine, il sauta dans la douche. Perdu dans ses pensées, il ne régla pas la température afin qu'elle soit avenante, loin de là : ainsi, un puissant jet d'eau froide suffit à le secouer de sa torpeur grandissante. Grelottant, il parvint à mettre l'eau à la bonne température et pu profiter de l'eau chaude sur son corps.

Encore un peu fébrile du froid qui l'avait agressé, il prit une fiole de taille moyenne qui contenait un liquide pourpre : il s'agissait d'un gel douche aux essences naturelles de vanille, d'Ylang-Ylang, et de bois d'Inde que lui avait envoyé Hermione au début des vacances. Généralement il se serait contenté d'un savon normal, mais ce gel était sensé avoir un effet apaisant autant sur le corps que sur l'esprit. En effet, dès les premières gouttes, il se senti entraîné dans une valse de langueur. Avec la plus grande lenteur du monde, il fit mousser le liquide doux et visqueux sur ses bras. Puis, se deux mains partir couvrir son torse. Sa main gauche ralenti au niveau de ses tétons, et il frissonna lorsque sa main droite effleura son bas ventre. Doucement, se mains glissèrent encore plus bas jusqu'à ce qu'il dut retenir un halètement. Avec un peu plus de vigueur, il frotta ses cuisses fuselées et musclées par le sport sur balai. Enfin, ses mains remontèrent vers ses fesses fermes. Avec prudence, il les massa avec gel douche qui moussa, puis avec un peu d'hésitation, sa main gauche passa entre les deux paumes arrondies et pleines.

Après un dernier détour sur son visage et ses cheveux, il souleva le mitigeur de douche et rinça son corps.

Lorsqu'il sorti de la douche, il essuya son corps ruisselant et enfila un jean et un T-Shirt trop grands pour lui. Devant le miroir, il passa sa main sur son visage et grimaça de l'absence injurieuse de barbe naissante. Tout ses amis, même Neville, avait commencé à avoir un duvet au menton……… lui restait imberbe comme au jour de sa naissance. Bien des fois, ces amis l'avaient taquiné en lui faisant remarqué qu'il avait la peau aussi douce que celle de Valaïkaa, l'une des Pin-up stars des magazines style « Baguettes and co » ou « Play Wizard » qui avaient élu domicile sous les lits de certains. Parfois, il regrettait que ses hormones soient encore aux repos, mais en voyant le visage couvert de papier toilette de son oncle, il se disait qu'il valait mieux ne pas avoir un seul poil que d'avoir le visage mutilé par un rasoir ou un sort de rasage mal maîtrisé (et Dieu seul savait que bon nombre de ses congénères avaient une piètre aptitude au sort de rasage). Enfin, peut être était-ce encore lié a discussion agitée entre sa mère et Tom Riddle.

/ Merlin, faites que je ne sois pas une fille/

Cette pensée loufoque, certes, mais sûrement possible dans le monde magique, le secoua d'un rire nerveux, le premier rire depuis la mort de Sirius.

S'il devenait une fille, comment pourrait il donc bien s'appeler : Harrietta ? Harriette ? Haroldina ? Non, vraiment, il ne voulait pas être une fille. Il se voyait mal discuter sous vêtements et garçons avec Hermione et Ginny (et encore moins avec Lavande et Pavarti). Quant à souffrir ces choses qui s'appelaient menstrues et nausées, il en était hors de question (BM : Mon cher Harry, je sens que tu vas bien rire………). Il était un garçon même s'il n'avait pas de poil au menton.

Alors qu'il passait devant la chambre de sa tante, il entendit un bruit faible, comme une plainte, un sanglot étouffé. Interloqué, il frappa à la porte. De l'autre côté, le silence se fit comme si on voulait se faire oublier.

« Tante Pétunia, tu vas bien ? Tu veux que j'entre ? »

« Laisse-moi » lui répondit la voix étranglée. « Nous n'avons rien à nous dire »

Le jeune sorcier, pas dupe pour une mornille, entra malgré les mots de sa tante. La pièce était plongée dan la pénombre, et avachie sur un côté de l'immense lit était Pétunia Dursley. Son corps frêle était secoué de sanglots et se cheveux gris cendrés étaient défaits.

D'un pas hésitant, Harry s'approcha d'elle, et s'assit sur le lit. Lentement main sûrement, il déplaça sa main jusqu'à ce qu'elle touche le dos de la femme. Doucement, comme pour ne pas l'effrayer il la caressa en murmurant des mots réconfortants à son oreille tout en la poussant à lui dire ce qui n'allait pas.

« Mon mariage tourne à la catastrophe, je ne ressens plus rien pour mon propre enfant, et mon passé me rattrape : ma vie parfaite s'écroule. Mais le pire de tout c'est que je m'en sens presque……… réjouie. » dit elle en se retournant vers lui.

Ses paroles, choquèrent Harry, mais ce qui le pétrifiait réellement était la couleurs des yeux de sa tante : loin d'être brun comme à l'habitude, ils étaient verts émeraude. Rougis par les larmes, mais verts comme les yeux de Lyly, verts comme ses propre yeux, verts comme l'Avada Kédavra.

Maintenant, il savait, il en était sûr : la vérité n'était ni dans les livres contant son histoire, ni dans les paroles de sorciers amis ou inconnus, ni dans les souvenirs de son professeur de Potion. Depuis tout ce temps la vérité se cachait dans les yeux de sa dernière parente direct, dans des yeux si semblables aux siens. Ce dont avaient parlé Voldemort et ça mère allait être dévoiler par sa tante, car elle, savait la seule et unique vérité……… il le voyait dans ses yeux.

To be continued………


Alors, vous avez aimé ce chapitre, ou vous l'avez détesté ? Une review constructive fait toujours plaisir et permet de savoir s'il faut changer un truc ou deux (sans changer le fond de l'histoire bien sûr).

Bon, ben la prochaine fois, je développerai ce que j'ai commencé à dire dans la fin de ce chapitre. Sinon, comment avez vous trouvé la scène de la douche (juste pour savoir comment m'améliorer pour la délicate partie avenir).

Au fait, je tiens à préciser que Pétunia reste et restera la tantine de Harry (alors pas de confusion parce que je sens venir quelques petites remarques……… désobligeantes dirons-nous).

Big Kisses, Black Moon et Nasty Black Moon.