RAR :
Ornaluca : Oui à suivre est cruel.. c'est pour ça que je l'est changé ! Rien que pour toi ! Une camisole ! NON ! Massacre moi mais tu auras pas de suite, se serait dommage… (sifflote) T'es peut-être pas sadique mais tu veux priver mes lecteurs de leur fic ? Nan ! Je suis contente que le chap' t'ai plu ! C'est pas juste, t'a reviewer avant moi sur « ABANDON » ! Ouin ! A plus !
Satya : Je crois qu'il est plus long mais je ne suis pas sure ! Bon, c'est de qualité, c'est déjà ça, non ? Aller, je te laisse lire !
Yaya : Pour les amis, tu va le savoir dans ce chap' ! Ils sont vraiment exceptionnels, mais quand même… un peu… bizarre… A plus !
Thealie : Oui, des amis ! Ils vont regretter mais pour le moment, Harry s'occupe seulement de Voldy ! Après, il verra pour Dumby ! Oui, tout le monde entendait la chanson.
Zabou : Oui, il va se réconcilier avec Dumby, t'inquiète ! Mais il faut qu'il évacue sa rage et sa haine ! Il faut que tu sache que Ron et Hermione ne sont que dans leurs disputes, ils sont dans un monde à part ! Ils s'aiment et ne connaissent pas la guerre comme Harry la connaît ! Voilà la suite !
Ptronille : Hum, hum. Depuis quand je m'appelle Willy Denzey ? Nan, je t'en veux pas ! Voilà la suite !
Elaur : Et oui, c'est surprenant ! Enfin, j'aimerai quand même savoir si j'ai raté un épisode : c'est quoi cette menace ? Ravie que ma fic te plaise. Au fait, ton chapitre « retour chez la vieille folle » je l'ai lu mais je n'ai pas eu le temps de mettre de reviews donc je te dis qu'il est très bien et j'espére que tu ne m'en voudra pas !
Severafan : Bon d'accord.. Mais même sans le discours, c'est mon plus long chap', je te jure ! Enfin, voilà la suite !
Laura : Oui, je continue cette fic, pas d'inquiétude ! Je suis pas sadique ! Ou presque pas…
Yumi4 : Voilà la suite ! A plus, Yumi4 !
BON, VOILA, JE PROPOSE A CEUX QUI ONT DIX MINUTES A PERDRE, ALLER LIRE MA NOUVELLE BIO ! JE NE SAIS PAS SI ELLE S'EST AFFICHEE OU SI S'EST ENCORE L'ANCIENNE MAIS J'EN AI MIS UNE NOUVELLE ! JE ME SUIS BIEN MARREE A LA FAIRE ! C'EST LONG, IDIOT MAIS CA PERMET DE RIRE (J'ESPERE). JE CROIS QUE JE N'AI RIEN OUBLIE ! A PLUS !
Blablabla : autre langue
Chapitre 9 : Chez des amis pas vraiment comme les autres ..
Il marchait. Doucement, fixant d'un regard ravi et soulagé les arbres qui défilaient devant ses yeux. Il sourit lorsque deux petits oiseaux sortirent d'un buisson devant lui pour s'envoler. Il regardaient avec bonheur la forêt douce et accueillante. Cette forêt qui était la sienne. Il fit un détour et grimpa sur la falaise au sud de la forêt. En dessous, on devinait une agitation étrange. Une effervescence. Il sourit. Rien ne pouvait le rendre aussi ému que ce paysage. Il redescendit du rocher. Il fit le chemin en sens inverse et tourna à droite. Il respira doucement l'air. Il y avait une effluve de fleurs variées et une odeur de beignets chauds, sortant du four. Il sourit, sachant qu'il arrivait à destination. Au détour d'un bosquet de pins, il vit une belle petite maison. Il était arrivé.
Hermione et Ron remuaient leurs sombres pensées dans la salle commune de Griffondors. Après la fuite de Voldemort et la sortie de Harry, Albus Dumbledore avait renvoyé les élèves dans leurs dortoirs. D'un commun accord, ils se levèrent. Ils sortirent de la salle commune, même si le directeur ne voulait que personne ne sorte, voulant sans doute régler le problème de Harry avec l'Ordre. Il se glissèrent vers une salle désaffectée où il y avait des éclats de voix.
-Non, c'est impossible, Harry est mort !
-Non, Moly, il est bien vivant mais blessé de notre ignorance.
-Non, Albus, je ne peux le croire !
Remus Lupin prit alors la parole :
-Il a eu raison de fuir, j'aurais fait la même chose, si j'avais été à sa place.
Les deux élèves se jetèrent un regard, comptèrent les voix et soupirèrent silencieusement. Les membres de l'ordre étaient tous là, ils pourraient aller à la bibliothèque sans embrouille. Il se mirent à marcher silencieusement, furtivement. Mais, vivement, ils se retournèrent en entendant une voix :
-Weasley, Granger, que faites-vous hors de votre dortoir ? demanda une voix doucereuse.
Il se mit presque à courir vers la maisonnette, voulant absolument les revoir. Il compta les pas le séparant d'elle. 4… 3… 2 … 1..
Il défonça presque la porte pour entrer. La femme se retourna, surprise. Puis, voyant à qui elle avait affaire, son visage s'éclaira d'un magnifique sourire. Il s'élança et étreignit la femme, sentant la sérénité l'envahir tandis qu'elle pleurait silencieusement de joie sur son épaule.
Ron et Hermione firent volte-face, et, d'un coup d'œil, comprirent leur erreur. Ils pâlirent, et se ratatinèrent devant la personne tant redoutée. Leur erreur était énorme, comme le nez de Rogue au milieu de la figure. Tiens, en parlant du loup , il pointe son museau hors du bois : Rogue se tenait devant eux, victorieux.
La femme s'éloigna de lui, pour le contempler.
-Tu es devenu un beau jeune homme, tu sais ?
Il acquiesça, sachant qu'il ne pouvait pas compter sur sa voix, et regarda la femme qu'il considérait comme sa défunte mère. Les larmes aux coins des yeux, il la regarda, avec de la douceur infinie. Brusquement, la porte s'ouvrit avec fracas et ils se tournèrent vers elle, voyant une forme immense se tourner vers eux, menaçante :
-Si vous touchez à ma femme vous…
Sa voix lui manqua.
Les deux fautifs se regardèrent. Ils avaient oubliés le plus dangereux ! Rogue leur demanda de le suivre. Ils se jetèrent un coup d'œil honteux et baissèrent le regard. Il ouvrit une porte et la rumeur d'une conversation s'éteint doucement. Ils relevèrent le regard et pâlirent d'avantage qu'ils ne l'étaient déjà. On voyait très bien les taches de rousseurs de Ron et le regard noisette d'Hermione. Ils se jetèrent un regard appuyé, se promettant de ne plus oublier Rogue, surtout lui ! Dumbledore prit la parole d'une voix froide, distante et irascible :
-Bon sang, je ne t'aurais pas reconnu dit l'homme émotif.
Il lui sauta dans les bras, tandis que l'homme éclatait en sanglots violents. Il s'étreignirent longuement jusqu'à ce qu'une voix douce, chaude, intervienne :
-Que se passe-t-il ici ?
-Que faisiez vous hors de votre dortoirs alors que vous étiez sensé y rester ?
Ils ne répondirent pas, rougissant tout deux devant l'explication qu'Hermione allait donné.
-Nous voulions aller au calme, la salle commune était bruyante. En plus, je n'aie pas fini le devoir de sortilèges du professeur….
Ron l'interrompit, furieux :
-Quoi ! Ce devoir est pour dans deux semaines et madame pense qu'elle ne s'y prend pas assez tôt !
Hermione, ravie que Ron aie comprit, lui cria :
-Et alors, moi au moins j'ai des notes digne de ce nom !
-Et bien moi aussi ! Tu crois que je suis arrivé en 6eme année en me tournant les pouces, hein ?
-Oui, sans moi tu ne serais pas là !
-C'est ça, je n'ai pas besoins d'une miss je-sais-tout pour me débrouiller ! Je suis suffisamment grand et capable de me débrouiller tout seul !
-Je ne crois pas ! Déjà la semaine dernière tu me demandais de t'aider pour ta métamorphose !
-Suffit ! tonna une voix forte.
Il se retourna et eut chaud au cœur. La jeune fille de 16 ans sentit que ses yeux s'écarquillaient. Le bonheur la submergea quand il ouvrit ses bras pour qu'elle s'y précipite. Et elle le fit. Leur éteinte fut émotive. La jeune fille éclata en sanglots et murmura :
-Tu es revenu … Tu es revenu … Tu es revenu …
Il lui obligea à relever le regard et elle vit les larmes couler le long de son beau visage. Emeraude contre noisette.
Dumbledore dit fermement :
-Vous aurez une retenue et je vous enlève 20 points chacun. Estimez vous heureux que ce ne soit pas plus. Maintenant, dans vos dortoirs et vite !
Sa voix claqua comme un fouet et ils tressaillirent en sortant en courant. Les larmes roulèrent sur les joues d'Hermione. Ron et elle se glissèrent dans une salle vide où Ron entreprit de la consoler.
Harry lui sourit et la reposa par terre en marmonnant :
-Tu fais quand même bien ton poids.
-Hé !
L'atmosphère s'allégea.
La femme murmura :
-Si tu nous expliquais ton retard ?
Le regard de Harry s'assombrit et ils comprirent que ce n'étaient pas joyeux. Ils s'installèrent autour de la table. La femme servit à boire et posa des beignets sur la table. Harry sentit des regards poser sur lui. Il ouvrit la bouche et, malgré la boule grossissant dans sa gorge, prit la parole d'une voix enroué et lointaine qui ne lui semblait pas être la sienne :
Une fois calmée, Hermione murmura à son ami :
-Je voudrais tant revoir Harry ! Et dire que l'on ne l'a même pas vu quand il était prof… Et on l'a accusé ! Tu te rends compte ! On a cru qu'il était un partisan de Vol-demort. L'horreur que cela a dû être vu qu'IL essayait de le recruter ! Tu te rends compte, Ron ! On a trahi notre meilleur ami !
Les yeux de Ron s'ouvrirent de terreur, comprenant l'allusion…
-IL m'a eu, Oanné. Il m'a eu avant que je n'ai pu rien dire.
Oanné, la femme, hocha la tête, la douleur visible dans ses prunelles d'un bleu profond.
-Il m'a torturé pour que je cédé et le rejoigne ! Et puis il L'a eu.
Les yeux d'Oanné s'ouvrirent sur le choc.
-Non … Pas notre seul atout …
Harry hocha la tête, gravement :
-Il a eu la prophétie.
Ilsrentrèrent dans la salle commune. Les yeux rougis d'Hermione provoquèrent quelques coups d'œil mais vite les élèves comprirent qu'ils n'auraient aucuns commentaires. Ils montèrent dans leur dortoirs, se séparant sans un mot.
Harry regarda Maïvaë et lui fit signe qu'il voulait lui parlait seul à seule. Ils sortirent, sous l'œil inquisiteur des parents. Maïvaë le regarda jusqu'à ce qu'Harry prenne la parole :
-Tu sais, j'ai envie de me venger d'eux ! De ses sales traîtres !
Elle souffla doucement :
-Je sais. Mais qu'aie-je à voir dans cette affaire ?
Il leva son regard vers elle, un regard plein d'espoir.
-Tu te souviens de ta proposition ?
Maïvaë eut un sourire et battit des mains comme une fillette. Puis, se rendant compte de son comportement, elle baissa la tête, rougit et bégaya :
-Oui, tu veux celle de t'aider coûte que coûte ?
Sans répondre, Harry leva la tête vers le ciel et une larme roula sur sa joue tandis qu'il pensait à son parrain. Il tourna alors la tête dans sa direction et lui dit franchement :
-Tu sais, c'est difficile. Je ne veux pas qu'il t'arrive des malheurs avec moi. Si tu me connais, tu risque des ennuis. De graves ennuis.
Elle le coupa :
-Oui, je sais mais je sais me défendre.
Harry sourit et lui expliqua son envie. Elle le regarda, les yeux ronds et dit calmement, bien que sa voix trembla un peu :
-J'accepte, Harry. J'accepte.
Il lui fit un sourire éclatant et elle rit. Son rire vibra en Harry. Un rire si cristallin …
-Il faut maintenant en parler à tes parents, Maïvaë.
Il se dirigèrent vers la petite maison et, sans s'en rendre compte, la jeune fille prit la main de Harry et la serra. Harry ne se déroba pas et ils se dirigèrent ainsi vers la chaumière.
Hermione se leva de son lit et descendit dans la salle commune, les yeux toujours aussi rouges. Mais personne ne releva, comprenant le choc que cela lui avait fait de revoir Harry. Elle fixa le feu jusqu'à s'en brûler les yeux. Elle détourna son regard et observa la salle. Elle était pleine et elle étouffait. Hermione sentit le sang affluer dans ses tempes. Elle avait envie de fuir l'étouffante présence des autres. Elle se leva et vacilla. Ron bondit et la rattrapa. Leurs visages n'étaient qu'a quelques centimètres l'un de l'autre. Ils se regardèrent.
Si seulement… Ron, ne réfléchissant pas plus, emprisonna ses lèvres. Contrairement à ce qu'il s'attendait, elle ne se débattit pas. Elle se plongea même dans le baiser. Les élèves, eux, savaient que ce baiser signifiait plus aucune dispute. Ils applaudirent. Ron rougit et murmura doucement :
-Veux-tu …
-Oui repondit-elle.
Ils se regardèrent et rougirent encore. Quel bonheur de se retrouver ensemble après tant d'années loin l'un de l'autre…
Les parents n'opposèrent aucune résistance au fait que leur enfant veuille aider Harry. Ils acceptèrent, ravi. Les deux adolescents furent heureux et Harry fit tournoyer Maïvaë. Ils se sourirent mutuellement et Harry décida de parler sérieusement à son amie.
-Ecoute, Maïvaë, il va attaquer le Chemin de Traverse d'ici peu. Tu viens ?
-Bien sur, Harry, je ne te laisserai pas partir comme ça !
Il sourit doucement, quoique se fut un sourire un peu triste. Il lui tendit la main. Sans une hésitation, elle la saisi. Harry fut surpris de voir à quel point elle était prête à le suivre. Puis, il ferma les yeux et se concentra. Et, dans la lueur du couchant, ils disparurent silencieusement, telles des ombres. Puis, ce fut comme il n'avait jamais étaient là.
Hermione et Ron étaient assis à la table de Griffondor. Dumbledore était là, calme et serein. Il fixait avec joie les élèves qui discutaient principalement de Harry et de sa fuite. Mais aucun ne lui en voulait, ils auraient tous fait pareil. Ils ne se doutaient pas encore de ce qu'il allait se passer le soir même, de la boucherie qui se préparait sans que personne ne soit au courant. Ou du moins, une personne et son amie le savaient. Et ils allaient agir. Oui, ils allaient agir, mais à quel prix ?
FIN
J'arrête là ou pas ? Bon, comme je tiens à la vie, je continue. Faites-en bon usage. (Ca me rappelle vaguement quelque chose. Mais quoi ? 50 points à celui qui trouve !)
Harry atterrit avec son amie. Vêtus d'une cape bleue, capuchon rabattu sur leurs visages, ils scrutèrent le Chemin. D'un commun accord, ils surent que cela n'allait pas tarder. Ils se préparèrent. Et, d'un seul coup, un CRAC sonore retentit. Comme un seul homme, plusieurs mangemorts arrivèrent. Puis, ce fut le tour de leur maître.
Ron et Hermione trouvèrent que le directeur s'était bien rattrapé. Il y avait un bal le soir même. Ils échangèrent un regard et Ron, d'un seul geste, l'invita à danser. Ils dansèrent mais tout deux pensaient seulement : Si seulement Harry l'avait su ! Lui qui nous disait qu'on allait finir ensemble…
Les hommes et les femmes furent bloqués entre un mur magique et les troupes noires. Ces dernières riaient d'avance. Mais une voix s'éleva et les empêcha de commencer à attaquer :
-Qu'est ce que vous compter faire, espèce de chiens galeux se traînant aux pieds d'un demi-sang ?
Ron et Hermione arrêtèrent de danser et s'assirent. Ils rirent doucement et Ron fit le pitre, augmentant le rire de sa petite amie. Ils échangèrent un regard et Hermione murmura :
-Je n'arrive pas à me concentrer, je pense sans arrêt à Harry.
Ron, faisant preuve pour la première fois de tact, murmura :
-Moi aussi. Je ne pourrai jamais l'oublier. Non, jamais…
Harry s'interposa, comme son amie. Il regarda les hommes en noirs de haut. Il regarda les mangemorts qui, comme un seul homme, foncèrent vers eux, oubliant leur maître qui regardait avec intérêt l'aura de puissance que dégageait l'homme. Son amie en avait une, mais nettement moins impressionnante. Il ne douta pas que ses hommes se fasse massacrer. Ce fut ce qu'il se passa.
Ron et Hermione tourbillonnaient, heureux. Loin d'eux se passait une bataille. Mais tout était loin, pendant cette danse… Même le fait que leur meilleur ami risque sa vie…
Harry les avait tous battu. Il fit signe à son amie de reculer. Il se mit face à Voldemort, calme et sans peur.
-Qui es-tu ?
-Un homme, si tu veux savoir.
-Qui es-tu réellement ?
Harry, d'un geste baguette, fit sortir des lettres de sa baguette. Voldemort dit plus pour lui même que pour quelqu'un d'autre :
-Spece et pax. Un pseudonyme, je suppose.
-Tu suppose bien, Tom.
-Qui es-tu pour osait prononcer mon nom ?
-Quelqu'un qui te déteste.
Voldemort transplana et Harry, tandis que Maïvaë attachait les mangemorts, leva sa baguette. Il murmura :
-Spece et pax, survivantum.
Ils échangèrent un regard, se tendirent la main et disparurent tandis qu'arrivaient les aurors.
Malfoy vit des hiboux arriver dans la Grande Salle et sourit. L'attaque avait été mené à bien. Mais lorsqu'il vit le titre, il perdit l'envie de lire l'article :
Une attaque au Chemin de Traverse contrée
par
deux mystérieuses silhouettes !
Tout le monde lu l'article, sous le choc. Malfoy était furieux. Le maître en personne s'était déplacé et cela avait raté ! C'était sensé découragé le monde de la sorcellerie après la disparition du Survivant ! Mais non ! Furieux, il ne se rendit même pas compte que son père avait été arrêté. Il sortit et retourna dans son dortoir, dégoûté.
-La marque est apparut ! Une colombe avec un lion, un phénix, un griffon, une licorne et deux loups autour d'elle dit Harry à Oanné et son mari Ténné.
Harry échangea un regard avec Maïvaë et ils sourirent. Tous allèrent se coucher et, Harry murmura avant de tomber dans le sommeil :
-Quelle magnifique famille d'elfe ai-je…
Et il sombra…FIN !
Je pense que ce long chapitre sans sadisme mérite des reviews, non ?
Bande d'inculte ! Je suis obligée de traduire :
-Spece et pax signifie espoir et paix en latin !
-Spece et pax, survivantum signifie l'espoir et la paix survivront en latin !
Bon, au prochain, chap', comme d'habitude ! Merci aux silencieux et aux parlants ! Tanks !
