RAR :
Onarluca : C'est vrai, que c'est trop génial ? Merci beaucoup, Artémis !
Elaur : et oui, si tu me tue, plus de suite ! Gros dilemme, hein ? Oui, mais après ce chap', tu voudras m'assassiner mais et la suite ? gros problème… Voilà la suite !
Zabou : Merci pour le pseudo ! Oui, Voldy s'en aie pris plein la figurer mais cette fois ce sera le tour de Harry ! Le pauvre… ouais, il a pas a squatter ! Tss. Non mais aucune manière, je suis d'accord avec toi ! Merci beaucoup ! A plus !
Bébé tarré : Cette fois-ci, il va pas avoir beaucoup de chance ! Enfin, voilà la suite !
Nymphodora Tonks : Merci pour les compliments. Je sais, je suis cruelle mais c'est pas ma faute si je suis sadique !Ouais, Harry est arrogant et c'est drôle ! J'adore ! Allez, je te laisse !
Thealie : Oui, je sais pour la cure anti-sadisme, tu la conseillé à Ilys ! Comme quoi, je suis pas ignorante ! Ah ah ! Tu ne sauras pas ce que Harry lui a dit car ce sera THE secret ! Bon, à plus !
Alinemcb54 : Merci de tous tes compliments, je suis vraiment touchée !
Angel-of-dead : Merci de tes éloges ! Je suis ravie que ça te plaise !
Amandine Potter :Et aller, une deuxième Potter sur le dos ! Comme si je n'avais pas assez de boulot avec Misspotter95 ! Heureusement que c'est sur l'autre fic ! Nan, t'inquiète, je te charrie ! Merci de tes compliments, ça fais plaisir ! Si, si, je te jure ! Je ne sais pas le nombres de chapitres, la fics n'est pas encore suffisamment avancée mais je te le dirais quand je le saurais ! Le titre c'est « Orphelin » de Willy Denzey. Voilà, je crois que j'ai tout dit. A plus, Didine !
CA YEST, J'AI DEPASSE LES 100 REVIEWS ! JE SUIS TROP CONTENTE ! JE PENSAIS PAS QUE CETTE FIC AIE TANT DE SUCES ! MERCI A TOUS ET A TOUTE QUI ONT REVIEWER ! MERCI, MERCI, MERCI, JE VOUS ADORE ! DE GROSSES BISES A TOUS ET TOUTE !
Chapitre 12: Attaque et labyrinthe mangemoresque
Harry sentit brusquement son esprit être malmené. Voldemort ? Ici ? Comment ? Harry dit sèchement en elfique, sachant qu'il comprendrait :
-Tom, voyons, ça ne se fait pas de venir à un bal si on n'a pas de carton d'invitation ! En plus, tu n'as même pas de compagne ! Tu peux quitter cette salle tout de suite.
Harry était crispé même s'il ne le montrait pas car il avait de nombreuses vies entre les mains. Sa boule d'énergie crépitant avec force dans sa main droite, semblait vouloir se jeter dans la mêlée. Mais Harry la contint, attendant la réponse du mage.
-Allons, Harry, je ne te savais si … grincheux. Est ce que je tomberai mal, par hasard ?
Comme réponse Harry lui jeta un regard noir. Mais Voldemort eut un sourire mauvais. Il plaça alors sa baguette sur le cœur d'une jeune elfe et dit :
-Allons, sois un peu plus poli ! Sinon je vais devoir tuer cette jeune fille.
Hary, secoué, murmura tandis que sa boule d'énergie s'éteignait :
-Danaë…
Voldemort eut un sourire plus grand et se mit à parler :
-Bien, te voilà un peu plus coopératif… Reste à savoir si tu le resteras…
-Que veux-tu, Tom ?
Voldemort eut un mauvais rire :
-Il faudrait que tu abandonne le « Tom » et le tutoiement , Harry…
Harry se crispa davantage. Il continua à réciter à voix basse des mots. Quand il eut fini, il leva la main au ciel et la jeune elfe s'envola des bras de Voldemort pour se faire porter jusqu'à l'abri du bouclier. -Tu t'es amélioré constata simplement le mage noir. Maintenant, Harry, sois coopératif et rejoins-moi avant que l'on tues tous ses elfes. Ce serait tellement dommage… -Non, Tom, je ne te rejoindrai pas. Et si tu veux les tuer, il faudra me tuer d'abord !Harry lança une magnifique boule de puissance sur les mangemorts. En voilà quelques-un au sol pensa le garçon. Dans le brouaha des sorts, Harry sentait la puissance de chacun le frapper.
-Endoloris
-Impero
-Stupefix
-Petrificus totalus
-Tosmus totla
Harry sourit, des sorts, il y en avait pour tout les goûts. Mais, peu à peu, Harry remarqua alors que lancer des sorts et maintenir son bouclier sur les elfes l'affaiblissait. Il se concentra alors sur la défense. D'ailleurs, ce que Harry perçut, c'était ce que Voldemort voulait qu'il fasse. Peu à peu, sa défense commença à diminuer, au profit du bouclier. Il sentit un sort inconnu lui frapper le bras et vit du coin de l'œil le sourire de Voldemort s'agrandir. Le sort était sans effet sur Harry qui tentait tant de bien que de mal de se protéger. Voldemort décida finalement de porter le coup de grâce. Il dit de sa voix aiguë et glaciale où l'on pouvait percevoir une once de triomphe :
-Avada Kedavra
Harry se prépara à supporter le choc et la puissance du sort sur son bouclier. Le sort, contrairement au autres, ne disparut pas au contact du bouclier. Il sembla qu'il voulait l'entamer, le détruire. Au frôlement du sort, le bouclier émit des étincelles. Harry luttait difficilement contre le sort, glissant ses dernières forces dans son bouclier. Puis, finalement, en un bruit de verre brisé, le bouclier explosa en milliers de petites étincelles et Harry fut projeté au sol. Le temps de reprendre ses esprits et c'était déjà trop tard : la baguette de Voldemort pointée sur son cœur, son énergie magique tellement épuisée qu'il ne pouvait faire de la magie sans baguette, Harry était en position d'infériorité….
J'arrête ? Nan !
Harry se releva calmement, sans aucune peur. Il souffla alors :
-Que veux-tu ?
Voldemort eut un sourire vicieux :
-Rejoins-moi.
Harry dit alors :
-D'accord, à une seule condition : n'attaque plus ces elfes.
Voldemort eut un sourire ravi et répondit :
-Très bien, Harry.
Voldemort lança quelques ordres à ses mangemorts et transplana. Deux mangemorts pointèrent leurs baguettes sur Harry et murmurèrent des litanies de mots. Quand ils eurent finis, une lumière les enveloppa et ils disparurent tous. Ce fut comme s'ils n'avaient jamais été là, il n'y avait plus aucun signe de leurs présences, plus aucunes traces à part la mémoire des elfes.
-
Quand Harry arriva, ce fut dans le QG du mage noir. Il grimaça doucement en voyant le labyrinthe que formaient les dédales pierreux. Harry avançait docilement, obéissant à la voix qui lui disait où aller. Il savait qu'il fallait attendre pour s'enfuir. D'ailleurs, derrière lui, les mangemorts discutaient allègrement de la bataille et des projets d'attaques. Harry nota ce qu'il disait dans son esprit tout en prenant un air désintéressé. Il savait qu'il ne valait mieux ne pas les croire mais, au cas où… Harry, remarquant que les mangemorts ne s'occupaient plus de lui, se prépara à courir. Il se pencha légèrement en avant et, dès qu'ils éclatèrent de rire, Harry bondit.
-
Maïvaë était inquiète. Harry avait disparut, comme ça, se livrant pour éviter la mort d'elfes blancs et la fin d'un peuple. Personne n'avait bougé et elle murmura un sort à voix basse. Aussitôt, elle vit apparaître un écran. Elle pensa très fort à Harry et vit son ami.
-
Harry courait. Il entendait des cris derrière lui. Des cris de fureur, de rage, d'humiliation. Il ne voulait pas s'arrêter. Il bifurqua à droite et évita deux Doloris. Un sort rouge passa au dessus de sa tête et Harry grommela se qui ressemblait à un juron. Il évita agilement deux mangemorts qui venait en sens inverse et esquiva un Imperium. Il savait qu'il ne pourrait pas tenir longtemps comme cela mais suffisamment pour pouvoir récupérer son énergie magique. Il bondissait d'un couloir à l'autre, ne voulant pas se faire rattraper. Seulement, voilà, les mangemorts avaient un avantage non négligeable : ils connaissaient leur repère comme leur poche et Harry ne doutait pas qu'ils essayent de le faire tomber dans une embuscade. Il passa dans un couloir à gauche tandis qu'il sentait une dizaine de doloris le frôler. Seulement, en face de lui courait une vingtaine de mangemorts armés jusqu'au dents. Harry vit un couloir à droite et, sans hésiter, franchit les quelques pas qui le séparait du dédale au pas de course. Il omit simplement de penser que Voldemort était peut-être en train lui aussi de le chercher. Quoique avec le troupeau en furie qui poussait des cris derrière lui, il devait déjà l'avoir localisé. Il réussit à trouver le moyen de regarder en arrière et détourna son regard de cette vision d'horreur. Des dizaines et des dizaines de mangemorts le poursuivaient dans ce labyrinthe, baguette au poing et n'hésitant pas à s'en servir. Il grimaça et bondit dans le couloir principal. Il murmura :
-Oh, oh…
Il n'eut pas le temps de finir car les mangemorts qui le traquaient hurlaient à qui mieux- mieux :
-Arrêtez-le ! Stupéfixez-le !
Harry vit un bataillon d'un vingtaine de mangemorts se détacher de la troupe qui le regardait. Il dit :
-C'est pas que je m'ennuie, mais bon… J'ai autre chose à faire…
Et il reprit sa course folle.
-
Voldemort regardait ses mangemorts courir derrière Harry Potter. C'était humiliant de voir une centaine de mangemorts courir, armés, derrière un adolescent inoffensif et désarmé, sans magie. Il le vit déboucher dans le couloir principal et les mangemorts s'égosiller à appeler de l'aide. A peine un groupe s'était-il détaché qu'il avait déjà disparut après avoir lancé quelques mots à la volée. D'un geste, la boule tourna sur elle même et Voldemort s'assis sans quitter des yeux Harry. Ce garçon était dégourdi. Oui, il fallait vraiment qu'il l'ai. Voldemort eut un sourire. La course effrénée du garçon n'allait le mener à rien car il ne pourrait pas s'échapper. Il ne pourrait pas quitter le QG s'en y avoir été invité. Voldemort eut un rictus :
-Harry Potter, tu sera dans mon armée coûte que coûte, de gré ou de force !
-
Harry eut envie de se retourner et de foudroyer d'un magnifique éclair ses stupides chiens. Mais il ne pouvait pas, il avait regagné un peu de son énergie. S'il l'avait regagnée, ce n'était pas pour le dépenser tout de suite ! Il bifurqua rapidement et quitta ainsi l'allée principale. Il essayait à présent de mettre le plus de distancer entre elle et lui mais, malheureusement, il tomba sur une autre allée qui était sans doute aussi fréquentée aux heures de pointes. Il eut un rire en pensant à cela. On aurait dit une entreprise moldue. Il profita de l'avance qu'il avait sur son « escorte » pour la regarder en détails. Des torches aux flammes émeraudes étaient accrochées sur les murs. Les murs, d'un gris sombre, semblaient irréel. Le plafond, qu'Harry ne voyait pas, d'ailleurs, semblait ne pas exister. Mais il était là, d'un noir ténébreux, donnant ainsi un aspect plus que lugubre à ce couloir. Harry eut un sourire en pensant que, par rapport à Poudlard, cette demeure était le contraire. Mais Harry murmura :
-Les contraires s'attirent.
En pensant à cela, Harry sourit. Cela le faisait penser à Voldemort et lui même. Harry se reprit vite, entendant les cris d'animaux que poussaient les mangemorts. Harry sourit en marmonnant :
-Je suis pas protecteur animalier moi ! Alors pourquoi me poursuivent-ils ?
Harry se tut et entreprit de remonter le couloir en courant. Malheureusement, il entendit derrière lui des mangemorts parler :
-Laisse-le, Lucius, il est piégé, il se dirige droit vers les appartements du Maître.
Malfoy s'étrangla et répliqua :
-Non, Bella, si le Maître le trouve avant nous, je n'ose pas imaginer la punition que l'on risque..
Harry ferma les yeux. Trop tard pour reculer, maintenant. Il était temps pour lui de faire face.
-
Voldemort regarda Harry fuir l'allée principal menant à la salle de réunion et essayer de mettre le plus de distance entre elle et lui. Il déboucha alors sur le couloir menant à lui-même. Son sourire s'accentua. Harry Potter allait se jeter dans ses bras, inconsciemment. Il le vit détailler le couloir avec un intérêt innocent. Il sourit en l'entendant murmurer une parole qui ressemblait à un proverbe puis comparer ses mangemorts à des animaux. Cela le vexa un peu mais son sourire et son idée pardonnait tout. D'ailleurs, puisque les mangemorts ne semblaient pas capable de l'arrêter, il allait devoir le faire lui-même. Il se leva et regarda un dernière fois l'objet. Il vit l'expression de Potter se décomposer à l'entente des paroles de Bellatrix puis passer à la résignation. Voldemort eut un rictus et se retourna pour sortir. Oui, Potter savait quand il fallait abdiquer, abandonner la lutte et cela allait permettre à Voldemort d'imposer à Potter ses idées. Tôt ou tard, certes…
-
Harry sentit brusquement sa cicatrice le brûler. Il sut alors qu'il allait venir. Et il l'attendrait de pieds ferme !
-
Maïvaë pâlit et s'effondra sur le sol tandis que l'écran disparaissait, ayant donné ses information. Son amie lui demanda si tout allait bien. La jeune fille éclata de rire et dit avec enthousiaste :
-Oui, tout va bien, Harry fait tourner en bourrique les mangemorts, tout va pour le mieux !
Et elle rit doucement. Ce rire extériorisait sa nervosité et son inquiétude et elle ne put s'empêcher de penser :Mon dieu, Harry, dans quel pétrin t'es-tu encore fourré ?
-
Harry plaqua sa main sur sa cicatrice tandis qu'il se stoppait. Voldemort l'attendait tranquillement, debout au milieu du couloir. Les mangemorts se stoppèrent, perdus et honteux. Avant même qu'ils n'aient pu bredouiller des excuses, Voldemort les sommait de partir. Ils lui obéirent avec empressement. Voldemort, sachant pertinemment qu'ils n'avaient pas besoin de mots se comprendre, n'en prononça qu'un seul :
-Endoloris.
Frappé à la fois par la nonchalance du ton et par la douleur, Harry ne pu s'empêcher de hurler sa douleur. Longuement torturé, Harry avait à présent perdu toute conscience du temps. Harry voulait oublié sa douleur et il sentit brusquement que la torture s'arrêtait. La gorge en feu, Harry se releva avec peine et remarqua le regard amusé de son ennemi. Voldemort lui dit avec amusement :
-Alors, nie-tu toujours autant ma proposition ?
Harry le foudroya du regard et Voldemort prit cela comme une réponse négative. Et il relança alors le sort. Harry sentit son corps exploser en douleur. Lorsque, plusieurs heures plus tard, Voldemort arrêta un court instant la torture, Harry sentit une douceur s'emparer de ses membres endoloris. Il ne la repoussa pas. Il ouvrit doucement les yeux pour s'apercevoir qu'un voile trouble s'étendait devant ses yeux. Brusquement, il se sentit tiré en avant alors que retentissait le cri de rage de Voldemort, furibond que son souffre-douleur s'échappe. Harry vit passer devant ses yeux flous des couleurs indistincts. Puis, il se sentit heurter rudement le sol. Il ouvrit péniblement ses yeux mais ne réussit qu'à avoir un voile flou devant son nez. Il entendait depuis deux minutes un brouha immense, comme si le monde entier voulait lui briser les tympans. Ce tapage de voix indistinctes aiguisa sa curiosité. Mais, malheureusement, son voyage lui avait prit toutes ses forces et il tomba dans un trou noir. Puis ce fut le néant.
A SUIVRE !
C'est pas trop sadique alors ne m'en voulez pas !
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