RAR :
Zabou : Merci, c'est très gentil ce que tu dis ! (rougit) J'espère que ça te plaira.
Sandawn08 : Merci. (rougit) je suis contente de voir que tu penses que ce n'est pas sadique mais tu vas tout de suite braquer d'idée quand t'aura lut celui-là ! Merci beaucoup !
Satya : lol ! Meuh non, t'es pas folle ma chtitte ! Merci pour les compliments. J'espère que la suite te plaira.
Linnoa Anna Potter : Non mais quelle idée de prendre un pseudo aussi long ! Je plaisante ! Mijante ! Moi je suis avec les deux. Pas Dumby, évidemment ! J'espère que ça te plaira !
Onarluca : Je suis contente que ça te plaise toujours. Bizoos. J'espére que ce chap' te plaira.
Ocaora : Je suis contente que ça te plaise ! Pour les sentiments de ce chtit Ryry, je pense que je l'avait fait un peu trop sans sentiment alors le chap' précédent et celui-là exprime sa souffrance et son inquiétude. Maïvaë va disparaître à la fin du chap'… JE HAIS LES HOMMES EN NOIRS ! Nan, elle va pô mourir mais…
Luluflo4 : Merci beaucoup pour tes compliments. J'en rougirai presque ! Je suis ravie que ça te plaise ! Bizooooooos !
Melody Evans : Ok, merci du conseil, je vais développer la prochaine bataille(qui devrait être au chapitre suivant.) Atta, je cherche les réponses à tes questions… Harry s'est fait torturer mais il s'en fout, il a l'habitude et pis sa Maïvaë est présente prés de lui. Non, Harry a été blessé au cou pendant sa fuite, autrement il a été torturé mentalement et avec des Doloris. Sa baguette… Il l'a, c'est Voldy qui lui a passée. Rooo ! Je suis sadique, et alors ? (tire la langue) J'espère que ça te plaira.
Jade Oopale : C'est dommage que ça soit pas sadique ! T'es bizarre toi ! Voldy est en vacances à Hawaï ! Le pot ! Malheureusement, il revient d'ici peu…. Snif snif… pov' Maïvaë... Merci pour tes compliments. Bonne lecture !
Maisie chérie : Je suis sadique avec la mienne mais MÔA AU MOINS je l'avoue ! Merci pour les compliments tite puce ! Non, je ne vois pas de quelle récompense tu parle ! Bon, j'espère que ça te plaira !
Ptronille : Je sais, je sais, je suis sadique et je l'admet ! Voilà le chap' est posté, t'arrête de bouder d'acc' ?
NdA : Merci d'avoir été hyper compréhensif avec môa ! Le chap' est là maintenant !
Résumé : Harry a un nouveau pouvoir, Maïvaë l'aime plus que tout. Bref, le bonheur. Mais une ombre sur le tableau : une attaque de mangemorts va avoir une horrible répercussion sur eux deux et Harry va être plongé au cœur de ses craintes et douleurs secrètes…
Chapitre 19 : Qui a dit qu'une lune de miel était synonyme de calme ?
Quand Harry ouvrit les paupières, des étoiles étincelèrent devant ses yeux. Il les ferma, prit de vertiges. Il gémit et se laissa retomber sur le lit. Maïvaë se précipita sur lui, essayant de voir s'il allait bien. Mais il gémit à nouveau et perdit connaissance.
-
Lorsque Harry rouvrit les yeux, il ne vit que du flou. Il gémit tandis que deux voix, une grave et une autre assez aiguë, discutaient vivement et se posaient des questions. Mais lorsque Harry avait gémit, la voix grave s'était rapprochée et commençait à l'ausculter. Harry chercha au fond de sa volonté pour dire :
.-Arrêtez !
Aussitôt, les doigts qui parcouraient son torse se figèrent en l'air. Il entendit vaguement un cri horrifié qui se figea avant même d'être fini. Il cligna péniblement des paupières, essayant de rétablir un tant soit peu sa vue. Il grimaça devant la réussite de l'opération et attrapa ses lunettes qui étaient posées sur la table de nuit. Il les posa sur son nez avec un soupir de soulagement qui se transforma en glapissement. Devant lui, il avait Maïvaë, figée au pied du lit, la bouche ouverte. Elle n'avait pas pu finir son cri. Il remarqua un autre personnage, qu'il ne connaissait pas. Un homme cet fois. Il ne l'avait jamais vu mais il devina qu'il s'agissait d'un médecin, ou plutôt un médicomage. Harry soupira de soulagement. Il ne se sentait pas d'humeur à lancer un sort d'oubliette sur un moldu. Il le regarda. L'homme semblait assez vieux. Il était égyptien, aucun doute là dessus, ses cheveux noirs tiraient sur le blanc peu à peu, ses yeux bleus, exorbités d'ailleurs, avaient l'étincelle de la vie et de la naïveté. Sa bouche était ouverte, il était sans doute surpris. Harry les regarda puis fixa ses mains, un peu perdu. Il avait fait cela. Mais comment ?
- Tu sais, Harry Potter, écoute donc et mémorise mes paroles. Lorsque tu recevras la puissance antique appelée puissance des mots, je te ramerai dans ton hôtel. Non, non, ne me poses pas de questions sur mon savoir. Apprend à maîtriser tes mots, principalement tes verbes, et tu auras notre puissance. Mais sache que si elle ne fonctionne pas sur ton ennemi de toujours, elle marchera sur tes autres ennemis !
Et Harry comprit. Tout s'éclairait. Les mots étaient lourds, mais ils avaient une vie propre lorsque l'on savait s'en servir. Harry fixa les deux personnes changées en statues et dit :
.-Libère les.
Mais à peine les mots furent sortit de sa bouche qu'il sut que ça ne marcherait pas. Il ferma alors les yeux, cherchant dans son esprit sa volonté. Volonté féroce qu'il avait depuis toujours, sa volonté à lui. Puis, il dit avec calme :
.-Libérez.
Aussitôt, le cri strident de Maïvaë mourut sur ses lèvres tandis que le médicomage secouait la tête, sortant difficilement de son ébahitude, fixant Harry avec respect. Maïvaë fut la première à parler.
.-Co…comment ?
Harry ne répondit pas, plongé dans ses pensées. Le médicomage murmura :
.-Alors… alors ça y est. La puissance antique a trouvé son porteur !
Maïvaë jeta un regard inquisiteur au médicomage avant de regarder d'un œil interrogateur Harry. Harry détourna le regard, massant ses tempes encore endolories par le choc que les pouvoirs avaient fait. Maïvaë murmura quelques mots au médicomage qui acquiesça et ils sortirent de la pièce, laissant un Harry songeur dans son lit.
-
Maïvaë regarda dehors avec inquiétude. D'après le médicomage, '' d'étranges hommes masqués qui recherchaient apparemment quelque chose'' rodaient dans le coin. Alors qu'elle apercevait un homme en noir et qu'elle entendait un cri étouffé, elle compris que ses craintes étaient fondés. Elle se précipita vers Harry qui se tenait la cicatrice. Puis, le garçon soupira et s'assis sur son seyant. Sa cicatrice, brillante d'une lueur rougeâtre, ressortait sur son front blanc. Il se leva, vacilla mais resta cependant debout. Il fixa pendant un moment Maïvaë qui était face à lui, les lèvres pincées par l'inquiétude, d'une pâleur qui pouvait rivaliser avec la sienne. Harry marmonna un sort et il fut en pleine forme. Il attrapa Maïvaë par la taille et l'embrassa fiévreusement. Maïvaë répondit à son baiser. Puis Harry le coupa, rit en voyant la mine de chien battu de Maïvaë et l'embrassa à nouveau. Il la posa délicatement sur le lit et leur baiser se fit encore plus langoureux. Maïvaë l'interrompit avec l'intention de dire quelque chose mais le regard de Harry la résigna et elle reprit le baiser là où elle s'était arrêtée. Mais une détonation les interrompit et rompit la charme du moment. Harry, toujours rapide, se précipita vers la fenêtre, abandonnant Maïvaë sur le lit. (NdA : Niark niark niark. Vous avez cru qu'il allait y avoir quelque chose entre ces deux là non ? Et ben loupé !) Il jura en voyant que les mangemorts jouaient avec leurs victimes. Harry se sentit gonflé de fureur. Sans réfléchir, il sauta par la fenêtre, atterrit en douceur sur le sol et, sans prendre compte du cri de stupeur de sa femme, hurla avec toute la force de sa volonté :
.-Cessez !
Aussitôt, les muscles des mangemorts cessèrent de bouger et ils fixèrent, impuissants, le garçon, célèbre par sa cicatrice, qui s'appelait le Survivant et qui valait son surnom, s'approcher. Il était gonflé de fureur. Il en faisait même peur ! Les mangemorts frémirent. Mais ils ne pouvaient rien faire. D'un geste, ils les stupéfixa tous. Il entendit un léger bruit à côté de lui et, sans tourner la tête, dit :
.-Je crois que pour la lune de miel tranquille, on repassera.
Il la saisit par la taille et l'embrassa. En même temps, il transplana. C'était une étrange sensation pour Maïvaë qui en fut émerveillée. Mais peu de temps après, elle se sentit déposée sur le sol, l'herbe pliant légèrement sous son poids. Elle fixa Harry avec un doux sourire et l'embrassa. Harry la souleva délicatement et continua le baiser. Mais une explosion du sol sous leurs pieds les arracha l'un à l'autre. Harry se sentit tomber longuement dans un trou sous les cris de Maïvaë qui ne tardèrent pas à s'éteindre. Et tout devint noir….
J'arrête ou pas ? Non, c'est trop court et en plus je veux pas mourir si jeuneuh !
Quand Harry ouvrit les yeux, il grimaça. Il avait ses lunettes cassés et un élancement particulièrement douloureux dans le dos. Il se leva péniblement. D'un geste, il répara ses lunettes. Il grimaça lorsqu'il vit un sombre et sinueux chemin devant lui, qui le menait apparemment jusqu'à la surface. Il tenta de transplaner mais il ne put pas. Avec un soupir de découragement, il s'engagea dans le chemin.
-
Harry grimaça en posa sa main sur son dos. La douleur refaisait surface après quelques heures de marches. Brusquement, il sentit quelque chose lui tirer le pied dans l'espoir qu'il dérape et tombe jusqu'en bas, et se tue, probablement. Il hurla furieusement :
.-DEVOILEZ-VOUS !
Aussitôt, des Peeves miniatures apparurent à différents endroits dans la caverne. Harry jura et continua avec plus d'ardeur si c'est possible, sa marche. Il voulait absolument partir de cet endroit qui semblait être l'enfer. Il marcha avec rapidité tandis que les diablotins flottaient autour de lui en ricanant. L'un d'eux, Harry ne sut lequel, lança :
.-Découvre notre chef sans ta magie et nous te laisserons en paix !
Harry s'arrêta. Il les regarda rapidement. Il ne devait pas utiliser la magie des mots, il le savait. Les diablotins lui l'avait dit. S'il le faisait, il avait de grande chance de finir sa marche et sa course au fond de cette espèce de grotte. Il vit alors que l'un d'eux semblait vieux et faible. Mais il était à l'écart. Il plongea son regard au centre des petits diables pour voir l'un d'eux trônant fièrement sur une espèce de nuage. Cependant, sa conscience savait que ce n'était pas lui. Il continua son va et vient du regard. Finalement, il laissa sa conscience le guider. Il tomba alors sur le plus vieux, le plus immobile des diablotins, celui qui était a l'écart. C'est impossible pensa-t-il. Puis, avec réflexion, il comprit le piége. Sa conscience ne s'était pas trompée. C'était belle et bien lui. Seulement, celui au centre était un attrape-nigaud. Et bien pas moi p'tit ange pensa Harry.
D'un geste, il désigna le vieux diablotin. Le verdict tomba. Les diablotins, abasourdi, fixaient Harry. Le vieux prit alors la parole :
.-C'est bien lui. Notre sauveur à tous !
Il finit, son regard glissant vers Harry :
.-Continue ton chemin en paix, voyageur. Nous serons là lorsque tu aura besoins d'aide.
En un « pof » sonore, ils disparurent, laissant un Harry perdu et immobile sur le côte. Et il reprit son chemin.
-
Il découvrit alors avec bonheur le soleil et l'air frais. Il respira un bon coup et se mit en marche. Cependant, il s'arrêta sans savoir pourquoi. Ce geste machinal lui sauva la vie. Un tigre avait sauté et atterrit à l'endroit où il aurait dû être. Mais il ne s'en rendit même pas compte. Il se transforma aussitôt en son animagus, une panthère noire. L'animal se dressa avec un cri strident. Et il bondit sur son ennemi. Le tigre baissa les oreilles, gronda et grogna puis fit demi-tour. Mauvaise idée : celui qui fuit n'a pas de protection contre la mort, qu'il le veuille ou non, il y laisse sa vie. D'un mouvement rapide et énergique, il trancha d'un coup de patte le cou du tigre. Déjà, le sang quittait son corps. Il souilla le sol vert et le fit virer au rouge carmin. Harry détourna la tête de la vision d'horreur qu'il avait devant les yeux et se re-transforma. Il fit un geste et l'animal eut une sépulture digne de ce nom.
Ici gît un animal sauvage, guidée par la rage et la faim,
Il fut tuer après un court combat loyal pourtant sans fin,
Son sang est dans cette terre bancale,
Ici est un magnifique et puissant animal, un tigre du Bengale
Il a été tué en un temps de guerre,
Temps souillé par la haine de cette ère.
Harry y déposa des fleurs, certains qu'elles ne faneraient jamais. Et il se releva, essuyant ses larmes. Il aurait d'autres meurtres à faire, il le savait alors autant commencer un jour.
-
Finalement, il revint à l'endroit où il était tombé. Et Maïvaë était toujours penchée vau bord du trou, hurlant désespérément. Son cœur se gonfla alors de joie.
Cette impression que nous avons d'avoir changé,
Quand la raison ne compte plus comme elle comptait
Quand un prénom met d'la chaleur dans nos pensées
Qu'on est plus seul, jamais
Comme une revanche inespérée,
Comme une urgence à partager
Une évidence en moi se fait
J'ai découvert en elle,
J'ai découvert mes racines et mes ailes
Dans son rire et ses yeux, l'essentiel
J'ai découvert en elle,
j'ai découvert ma terre et mon ciel,
Une attache à nulle autre pareille
Il explosa littéralement en joie.
Mes racines et mes ailes qui font de notre histoire,
De nos regards, un trait d'union,
Et de mes chaînes, ma liberté sans condition,
Et ma plus belle prison
Comme une revanche inespérée,
Comme une urgence à partager
Une évidence en moi se fait
Harry hurla alors :
.-Maïvaë !
J'ai découvert en elle,
J'ai découvert mes racines et mes ailes
Dans son rire et ses yeux, l'essentiel
J'ai découvert en elle,
j'ai découvert ma terre et mon ciel,
Une attache à nulle autre pareille
J'ai découvert en elle
J'ai découvert en elle,
J'ai découvert mes racines et mes ailes
Dans son rire et ses yeux, l'essentiel
J'ai découvert en elle,
j'ai découvert ma terre et mon ciel,
Une attache à nulle autre pareille
La jeune fille se releva et tourna sa tête, baignée de larmes, vers Harry. Alors, l'espoir prit place dans son cœur.
J'ai découvert en elle,
J'ai découvert mes racines et mes ailes
Dans son rire et ses yeux, l'essentiel
J'ai découvert en elle,
j'ai découvert ma terre et mon ciel,
Une attache à nulle autre pareille
(Mes racines et mes ailes, Kyo)
C'était lui ! Elle essuya ses larmes. Harry accéléra l'allure. Cependant, il vit brusquement deux hommes en noir transplaner et saisirent Maïvaë qui fut prise au dépourvu. Elle se débattit mais il l'empoignèrent furieusement. Avant de disparaître, elle hurla avec désespoir :
.-HHARRRYYY !
Ce dernier se mit à courir plus par désespoir que pour la rattraper. Il s'effondra alors au sol. Il se mit à sangloter. Il saisit alors le mouchoir de soie brodée qu'elle semblait avoir perdu. Il le serra contre son cœur comme si il en dépendait. Il murmura alors un prénom comme dans une suite sans fin où perçait le désespoir. Il hurla alors le prénom qui l'obsédait au ciel :
.-MAÏVAË !
Les larmes qui avaient désertées sont corps revinrent et perlèrent. Elles glissèrent le long de ses joues pour mourir sur le mouchoir. Le désespoir et l'impuissance le prirent. Il se mit à frapper tout ce qui bougeait avec le désespoir de la cause. Maïvaë avait disparue !
La mer qui meurt dans le port
Me rappelle la chanson
Que tu chantais hier encore,
Aux soupirs des bandonéons.
Je t'ai attendu des heures
A l'ombre des arcades,
En écoutant les clameurs
Du match dans le vieux stade.
Je t'ai cherché dans les rues,
Dans les cafés.
Même tes amis n'ont pas su
Me renseigner.
Des voisins t'ont vu partir
Avec deux hommes
Qui t'ont poussés sans rien dire
Dans une Ford Falcon.
Disparue, tu as disparue.
Disparue, tu as disparue
Au coin de ta rue.
Je t'ai jamais revue.
Comme un enfant fasciné
Par ses propres blessures,
Je ne veux pas oublier
La douleur de cette aventure.
J'ai questionné tout le monde
Autour de moi
Mais c'est la même réponse
A chaque fois.
J'n'arrive plus à dormir :
Dès que l'on sonne,
J'ai peur de voir revenir
Les hommes en Ford Falcon.
Disparue, tu as disparue,
Disparue, au coin de ta rue.
Disparue, tu as disparue,
Disparue, au coin de ta rue.
Je t'ai jamais revue.
(disparue, Jean Pierre Mader)
FIN pour cette semaine !
A vendredi pour savoir ce qui va se passer avec Maïvaë et Ryry !
AD vs AV
