Salut, salut!
Je suis (enfin!!!) de retour avec la suite! Je sais, je sais, avec huit mois de retard, mais y a personne qui lis ma fic! Pis j'avais perdu l'inspiration et je me sentais décourager. Au moins j'ai fait le 2ième chapitre! J'espère pouvoir me rendre jusqu'au 3ième mais bon, assez de bla bla et passons aux choses sérieuses!
Iana Londubat : Recoucou! Je suis super contente que tu sois ma première révieweuse (on va dire que ça ce dit!). Tu vois, j'ai finalement finit par publier le 2ième chapitre! Même si tu l'as lu avant tout le monde en camping, j'espère que tu la lira et que tu me laisseras une autre review. Je t'aime fort et j'ai hâte de te voir!
Gody : Oh mon dieu! Mon auteur préférer qui me review! J'y crois pas! Retenez moi quelqu'un... mais bordel retenez moi! Je suis vraiment contente que tu me review et j'espère que tu continueras à lire ma fic. Pour ce qui est de la fille, tu en apprendras plus dans le prochain chapitre. Je m'excuse pour mon retard. En passant, c'est quand que tu mets la suite de Mon nouveau beau-frère : James Potter ? Vite j'espère!
Timi turner : Meri de m'encourager, tu es vraiment gentille. Tout le monde devrait avoir quelqu'un comme toi dans son entourage. J'ai hâte de te voir!
Zo : Salut Zoé! Sincèrement, je m'attendais vraiment pas à ce que tu me laisse une review, ben merci beaucoup et inquiète-toi pas, je me charge de Momo!
Chapitre 2: L'unique vœuCette nuit là, Harry se réveilla en sursaut. Le même rêve que d'habitude l'avait hanté pendant toute la nuit. Il avait vu la même jeune fille avec ses même cheveux noirs et ses même beaux yeux verts envoûtant, mais sur son visage, au lieu de l'habituel sourire radieux, il pouvait voir de nombreuses larmes couler sur ses joues et il pouvait lire la douleur et la tristesse. Soudain, elle disparut, ce qui affola Harry et c'est ainsi que le rêve se finit. Il essuya les goûtes de sueur qui perlaient sur son front. Il resta quelques instants à réfléchir, immobile, dans son lit et c'est à cet instant précis que son ventre fit un gargouillement de plainte. Il se rendit donc compte qu'il avait faim. (nda : Qu'elle surprise!!!) Maintenant, il fallait trouver un plan pour pouvoir aller chercher à manger sans se faire prendre (sinon il était mort), sans faire de bruit (sinon il était mort) et sans laisser paraître qu'il avait pris de la nourriture (sinon il se faisait assommer par le cochon ambulant…oups…je voulais dire Dudley). Donc, il devait trouver un bon moyen pour aller chercher de la nourriture(nda : Ou plutôt calculer le pourcentage qu'il soit encore en vie demain matin lol). Il traversa sa chambre, ouvrit la porte en silence, sortit à l'extérieur, s'avança et mis un pied sur la première marche de l'escalier. Soudain, on entendit un grincement sonore venant de la marche. Harry se dépêcha de rentrer dans sa chambre et de refermer la porte. Il écouta pendant quelques secondes pour vérifier si quelqu'un l'avait entendu, mais se fut un ronflement de notre (Nda : hum…) Dudley qui le rassura.(Nda : Pour une fois que, euh…Codley… Dudchon…Dudley…c'est ça, Dudley peut rassurer.)
C'est décidé, pas les marches, j'ai pas envie de mourir la veille de ma fête, pensa t-il.
Harry tourna en rond dans sa chambre pendant quelques minutes pour trouver un plan pendant que son ventre se faisait plus persistant que jamais.
Bon, alors, j'ai le choix. Sois que je prends les marches et je fais un boucan du diable. Non, j'chuis trop jeune pour mourir. Sois j'utilise la magie…non, ça vaut pas la peine de me faire renvoyer de Poudlard à cause que j'ai faim.
Harry était sur le bord de choisir de se laisser mourir de faim quand Hedwige entra par la fenêtre.
- Mais oui, je suis bête, la fenêtre, dit-il.
Il s'approcha de la fenêtre et regarda en bas.
Bon, j'ai encore le choix, sois je saute en bas et je me pète la gueule dans les buissons,
(Nda : NON!!! Harry c'est une très mauvaise idée. Très mauvaise, très mauvaise, très mauvaise, très mauvaise, très mau…)
(Ndhp : Oui bon ça va, j'ai compris, et de toute façon, tu crois vraiment que je suis assez con pour sauter de ma fenêtre dans les buissons?)
(Nda : Ben…euh…Tu veux vraiment que je réponde à cette question?)
(Ndhp : Heye!!!)
(Nda : Et moi, tu crois vraiment que je suis assez folle pour écrire que tu t'es suicidé grâce à un buisson???)
Ndhp : Sa ce pose même pas cette question là, elle est folle de nature celle là!
(Nda : C'est pas que je veuille interrompre tes pensés Harry mais c'est que figure-toi donc que je peux lire ce que tu penses.)
(Ndhp : …)
(Nda : Bon, euh…désolé cher lecteurs pour cette petite divagation, j'espère que vous êtes pas tous partis…allô?… Y a quelqu'un? En to k, retournons à la fic.)
J'en étais rendus où moi? À oui!!! Les buissons. Bon, je peux pas sauter dans les buissons… Je peux pas utiliser mon balai non plus, sinon je risque d'être remarquer.
Harry porta son regard sur son lit, ou plutôt sur les couvertures.
Est-ce que j'ose? Ah! Et puis pourquoi pas?
Donc, il fit comme dans les films, ils pris les draps de son lit, les attacha ensemble grâce à de gros nœud solide et accrocha la « corde » qu'il s'était fait après une des pattes de son lit pour laisser le reste de la corde pendre sur le mur de la maison. Il descendit le long du mur. Arrivé en bas, il se dirigea vers la première fenêtre à sa gauche, qui était celle de la cuisine, l'ouvrit et entra à l'intérieur. La pièce était plongé dans l'obscurité, seul quelques rayons de lune venaient éclairer par si, par là. Donc, il commença à chercher le frigo à tâtons. Il trouva rapidement la grosse télé que Dudley avait fait mettre dans la cuisine puis la table et... du papier?
Mais que fais du papier sur la table? Connaissant ma tante, je suis surpris qu'elle ne l'ai pas déjà ramasser et ranger,se demanda Harry.
Il prit le morceau de papier pour constater que c'était une lettre, Mais pas n'importe qu'elle lettre, non. Avec ce papier et ce sceau, cela ne pouvait être qu'une lettre de SON école. Poussé par la curiosité, il approcha la lettre de la fenêtre et lut.
Chère Mme Dursley,
J'ai pris la décision de finalement vous confier la garde de la jeune Potter. Vous savez donc ce qu'il vous reste à faire, car je crois qu'il est temps pour Harry de connaître la vérité. Et vous savez aussi bien que moi que vous ne pouvez refuser, vous avez des devoirs envers votre famille dont vous ne pourrez vous sauver. J'irai la porter personnellement chez vous le 5 août.
Avec mes meilleurs sentiments,
Albus Dumbledor, directeur en chef de Poudlard
Dans la tête de Harry, plein de pensées se bousculaient.
De qui il parlait? Une autre Potter? Une? Une fille? J'ai une cousine, une tante ou une grand-mère? Pourquoi est-ce qu'on ne me l'a jamais dit? Bon là je vais prendre quelque chose à manger et je retourne me coucher parce que je commence à avoir mal à la tête moi!
Il n'eut pas le temps de faire quoi que ce soit car il entendit des bruits de pas se diriger vers la cuisine.
Ho non! Les ennuis qui commencent.
Harry regarda autour de lui pour trouver une place où se cacher. Il choisit donc l'objet le plus gros qui était à proximité, la grosse télé. Il se cacha juste à temps, car les lumières s'étaient ouvertes et deux personnes étaient entrées dans la pièce.
- Il est hors de question qu'une autre cinglée vienne dans cette maison, dit alors la voix de l'oncle Vernon, nous en avons bien assez d'un.
Hé oh! C'est qui le cinglé ici hein? Tu veux te battre, c'est ça tu veux te battre?
(Nda : Harry Ssssssssssshhhhhhhhhhhuuuuuuuuuuutttttttttttttttt!!! Arrête de penser et écoute! )
- Mais Vernon, il a raison et tu le sais. Nous ne pouvons malheureusement pas refuser, dit Pétunia.
- Mais chérie!!! Cet homme n'a pas le droit de décider de notre vie.
- Vernon, tu sais de quoi il est capable et de toute façon ce n'est pas si grave que ça.
- Pourquoi?
- Car cette fois ci ce n'est pas un garçon qu'il nous envoie, mais une fille. Donc, elle fera les tâches ménagères.
Vernon sembla réfléchir quelques instants. (Nda : Pour une fois lol!)
- Oui, et on aura juste à la loger dans la chambre de l'autre demeuré.
QUOI?!? Une fille dans MA chambre?
(Nda : PAF!!! ( Donne une bonne claque en arrière de la tête de notre cher Harry national) Qu'es-ce que t'as contre les filles?)
(Ndhp : Non, non! Rien, rien de rien. Je t'assure! J'ai jamais rien eu contre les filles.)
(Nda : Ouais, t'étais mieux!)
- Et on aura juste à monter le lit superposé de mon petit Dudleychou, dit alors Pétunia.
- Oui, c'est une bonne idée, mais je crois que je vais aller me coucher, je suis très fatiguer.
- Moi aussi, mais Vernon?
- Oui Pétunia?
- Je crois que tu devrais brûler cette lettre.
- D'accord.
Sur ces derniers mots, Vernon et Pétunia quittèrent la cuisine pour faire brûler la lettre pour que personne ne le lise, mais trop tard, Harry l'avait déjà lut. Il prit quelque chose à manger et retourna dans sa chambre. Il était très perturbé. Pourquoi lui avait-on caché l'existence d'une autre Potter? Durant toute sa vie, il avait été sur qu'il n'avait plus de famille, mais Sirius était arrivé et Harry s'était attaché à lui. Ho oui! Il l'aimait Sirius, mais le sort décida qu'il se fasse arracher le reste de la famille qu'il avait. Pourquoi on ne lui avait pas dit qu'il lui restait quelqu'un? Il aurait peut-être moins déprimé durant l'année scolaire, moins rejeté tout le monde, moins détesté la vie ou peut-être se serait-il senti un peu mieux? Dans un mouvement de rage, il prit son oreiller et se mit à le frapper de toutes ses forces. C'était le seul moyen qu'il avait trouvé pour se calmer sans faire beaucoup de bruits.
(Nda : C'est vrai que pitché une chaise par la fenêtre ça passe pas vraiment inaperçu lol)
( Ndhp : Mais on s'en fout, du moment que sa défoule!)
( Nda : Oui mais c'est pas subtil Harry)
( Ndhp : C'est pas grave ça et puis de toute façon, tu t'es vu? Un enfant de trois ans est plus subtil que toi)
( Nda : (Après un moment de réflexion) Ouais bon là je te l'accorde Harry. (Parle aux lecteurs) peut-être un jour je vous raconterai pourquoi mon (hum) personnage dit que je suis pas subtil (Iana arête de rire!))
Au bout de quelques minutes, il se calma. Puis, il s'écroula sur son lit épuisé.
Harry se réveilla assez tard et en fut assez surpris. Normalement la tante Pétunia le réveillait pour faire le déjeuner ou toute autre chose, mais ce matin elle n'était pas venue. Harry tendit l'oreille pour essayer d'entendre un bruit dans la maison, mais il n'entendit rien. Il n'y avait personne! Soudain il se rappela que les Dursley étaient partis pour toute la journée. Soulagée et de bonne humeur, il décida alors de se lever. Il réalisa alors qu'il avait reçu plusieurs lettres ainsi que des cadeaux, car c'était son anniversaire. Il avait donc une lettre de : Hermione, Ron, Ginny, Hagrid et... Dumbledor? Il s'empressa de lires ses lettres.
Salut Harry,
Bonne fête! J'espère que tu passe un bel été et que tu vas bien. Moi oui et vous me manquez beaucoup tous les deux. Je ne te cacherai pas non plus que je me fais un sang d'encre à cause de tous les événements qui c'est produit l'an passé. Tu es sur que tu es en sécurité à Privet Drive? Mais c'est ton choix. J'ai hâte de te revoir. Au fait, je crois que tu vas aimer mon cadeau.
Bisous
Hermione
Elle lui avait offert deux livres : « Comment comprendre et analyser vos rêves » et « L'encyclopédie des joueurs de Quidditch qui ont marqués l'histoire ». Harry sourit, c'était tout à fait Hermione. Il lui parlait une fois d'un rêve étrange et elle faisait des recherches pour finalement lui envoyer un livre. Il ouvrit ensuite la seconde lettre.
Salut Harry,
Ça va? J'espère qu'oui. Bonne fête! Tu vois, tu avais tord lorsque tu disais que tu arriverais pas à ton 17ième anniversaire. Voilà, tu as 17 ans! Bonne fête encore.
Ron
Harry sourit de plus belle. La dernière année n'avait pas été très agréable avec toutes les attaques de Voldemort puis le combat final. Il était sur qu'il serait mort à l'heure qu'il est s'il n'avait pas eu l'aide de toutes les personnes qu'il aime, mais surtout de Ron et d'Hermione qui n'ont jamais cessé de le soutenir. Ron lui avait donné un magnifique vif d'or en or où il avait fait gravé « Au meilleur attrapeur de Poudlard ». Harry était ému. Avec le cadeau de Ron, il y avait une boîte envoyé des jumeaux et plein de nourriture envoyé par leur mère, qui avait tendance à surprotéger Harry depuis la mort de Voldemort. Il prit alors le paquet venant de Ginny et l'ouvrit. La boîte contenait un cube transparent avec une sphère à l'intérieur. Il y avait aussi un petit mot de Ginny.
Salut Harry,
Bonne fête! Mon cadeau est un spévértal. C'est un objet qui te dit la vérité sous forme de mot, de lettre, d'image, de sons ou autre. Tu n'as qu'à lui poser une question et il te répondra, mais c'est plus des énigmes que d'autre chose. Moi j'ai rien compris, donc je te souhaite bonne chance.
Bye
Ginny
Harry regarda l'objet pendant quelque instant.
- Qui est la fille de mon rêve? Demanda-t-il.
Aussitôt la sphère devint bleu puis des mots argentés s'inscrire sur elle. Harry lut :
31 juillet – Lily Potter
Harry comprit tout de suite ce que Ginny voulait dire par c'est plus des énigmes que d'autre chose. Il devait décoder ce qui était écrit et il aurait la réponse. Vu qu'il ne comprenait rien, il décida de passer à l'autre lettre, celle de Hagrid.
Bonjour Harry,
Comment vas-tu? Bien, j'espère. Bonne fête! Je suis sûr que tu vas aimer mon cadeau.
À bientôt
Hagrid
Hagrid lui avait offert ses fameux biscuits maison. (Nda : Ce qui veut dire que la pâte est en ciment et le chocolat de béton!)
- Hum... Ça pourra me servir pour assommer Dudley, dit Harry.
(Nda : Bonne idée Harry, j'y avais même pas pensé. Vas-tu l'utiliser sur Malefoy?)
(Ndhp : Ça dépend s'y il reste tranquille...)
Puis il ouvrit la dernière lettre, celle de Dumbledor.
Bonjour Harry,
Tu as aujourd'hui 17 ans et j'ai quelque chose de spécial pour toi. Je suis sûr que tu l'apprécieras et j'espère que tu y feras très attention car ce sera un cadeau unique, que tu recevras une seule fois dans ta vie. Je t'expliquerai le 5 août, quand je t'apporterai personnellement ton cadeau.
Albus Dumbledor
Directeur de Poudlard
Harry était à la fois choqué et heureux. Il savait que son cadeau était une personne, mais il n'en savait pas plus. Qui était-elle? Pourquoi il n'avait jamais pu le savoir jusqu'a ce jour? Il ne le savait pas mais il était décidé à en savoir plus le 5 août. Il décida de descendre à la cuisine car il commençait à avoir faim. C'est vrai qu'il avait maintenant 17 ans et que ça lui faisait bizarre. Donc, il décida qu'il devait fêter ça à sa manière. Il se prépara donc des crêpes, il les mit sur la table puis s'assit sur une chaise.
Coralie se réveilla doucement. Elle était si bien dans ses couvertures. Elle ouvrit les rideaux de son baldaquin à contre cœur. La lumière entrait à flot par la grande fenêtre de sa chambre. Elle regarda les murs qui étaient d'un rose éclatant cette journée là, car, à l'âge de 4 ans, Alicia avait fait un sort sur les murs de sa chambre pour qu'elle puisse changer les couleurs comme elle voulait. Elle se dirigea vers le miroir et grimaça en voyant sa tignasse noire toute emmêlée. Après avoir passer un bon 45 minutes à démêler ses cheveux, elle s'habilla. Elle s'apprêtai à descendre mais elle s'arrêta encore devant son miroir. Aujourd'hui c'était une journée spéciale, c'était sa fête, elle avait maintenant 17 ans. Ça lui faisait bizarre, dans 1 ans elle pourrait enfin quitter le manoir et voir le monde extérieur qu'elle connaissait bien car elle avait la radio, la télé et plein de truc moldu à cause de Jérémie. Elle sortit de sa chambre puis, se dirigea vers l'escalier lorsqu'elle entendit des éclats de voix. Elle s'assit donc sur le bord des marches, là où elle pouvait tout entendre sans être vu.
- Mais elle est tellement jeune et elle n'a jamais quitté la maison, disait Alicia.
- Mais non, je suis sûr qu'elle sera très bien et de plus, elle a 17 ans, arrête de la traiter comme une enfant. Il va falloir un jour ou l'autre qu'elle apprenne à vivre d'elle-même, car nous ne serons pas toujours là, disait Jérémie.
Mais pourquoi prend-t-il ma défense celui là? C'est louche cette affaire, pensa Coralie.
- Oui, fit Alicia, je crois que tu as raison, mais j'ai tellement de peine qu'elle doive partir.
Je comprends mieux maintenant. Monsieur Jérémie prend ma défense parce qu'il veut que je parte très loin et pour plus me revoir. Quel con! Mais pareil...partir? Dehors? YOUPI!!!
- Tu savais bien que ce jour arriverait tôt ou tard et qu'il faudrait lui dire toute la vérité.
Oh ho! La vérité? J'aime moins cette partie!
- Oui, mais...
Alicia ne put finir sa phrase, car Coralie, qui en avait assez que Jérémie passe toujours pour celui qui la protège ( tandis qu'il la haïssait et lui faisait bien savoir) et qu'Alicia la surprotège tout le temps comme si elle avait 5 ans, avait décidé de mettre fin à la discussion en descendant les marches. Effectivement, Coralie avait vu juste car Jérémie et Alicia cessèrent de parler et lui sourire.
- Bonjour, leur dit-elle.
- Bonjour ma puce, fit Alicia.
- Bonjour, dit Jérémie qui se forçait d'être aimable.
- Bonne fête ma chérie, continua Alicia, je t'ai préparé ton petit déjeuner préféré.
- Merci beaucoup, répondit Coralie qui n'avait pas vraiment envie de manger.
Par politesse, Coralie se força de tout manger. Puis, elle partit dans sa chambre tandis que ses deux parents (ce qu'elle détestait dire) préparaient le gâteau. Elle pu donc retrouver Crystal, qui était coucher sur son lit et qui ronronnait.
- Alors toi mon vieux, tu ne changeras jamais, dit-elle à son chat.
Elle s'assit à côté de lui et le caressa. Elle resta plusieurs instants comme ça à côté de son chat. Au dehors il faisait beau et sur ment chaud. Coralie s'approcha de la fenêtre et regarda à l'extérieur. Les enfants du cartier étaient en train de jouer et de courir partout en s'amusant et en riant. Coralie eu un pincement au cœur en les voyant ainsi, car elle, elle avait été privée de ce plaisir durant tout son enfance. Elle sécha rapidement les quelques larmes qui embuaient son regard. Il n'y avait jamais rien eu pour elle. Ni rien ni personne. Elle sentit quelque chose se frotter sur sa jambe. Elle baissa les yeux pour voir Crystal qui se frottait en ronronnant. Elle se pencha, le prit dans ses bras et le caressa doucement en le serrant contre elle. Après plusieurs heures, Alicia l'appela pour venir manger. Elle descendit et s'assit devant le magnifique gâteau que Alicia et Jérémie lui avaient préparé.
C'est à cet instant précis que, comme le veut la tradition, Coralie et Harry firent un vœu, mais ce qui est bizarre, c'est qu'ils firent le même vœu, en même temps.
« Je souhaite pouvoir rencontrer une personne qui me ressemble et qui puisse me comprendre pour atténuer ma souffrance. »
FINI!!!!! (ben juste le chapitre)
Alléluia, vous pouvez pas savoir combien de temps, de volonter, de courage et de persévérance ça ma prit à l'écrire ce foutu chapitre. (j'exagère pas un peu là?)
Harry : Oui, c'était très long, j'ai même du faire des heures supplémentaires moi!
Carry (auteure) : Tes même pas payer.
H : C'est ça le pire.
C : Chiale pas toi, je t'ai évité la mort dans ce chapitre.
H : Oui mais ta voulu me tuer une bonne dizaine de fois.
C : C'est un détail ça.
H : Ben oui c'est sur. (ton sarcastique)
C : Tu me cherches c'est ça?
H : Oui, j'ai pas pu me défouler sur Vernon donc je vais me défouler sur toi!
C : Ok on va se battre à pile ou face. Pile je gagne, face tu perds.
H : Mais c'est pas juste ça.
C : Si si, c'est très juste! Bon attends... PILE! Tu perds, donc je gagne. Na na!
H : Heu... c'était pas le contraire?
C : Bah, de toute façon, ça revient à la même chose.
H : Je le savais! Tricheuse!
C : Je suis même pas tricheuse, la pièce est même pas truquer, regardes. (elle montre la pièce à Harry)
H : Je parlais pas de la pièce andouille!
C : Une andouille? Où ça?
H : C'est pas possible! Bon et bien chers lecteurs, vu que l'auteure n'est pas... heu... disons apte à vous parler, je crois que nous allons finir la petite discussion. À la prochaine.
C : Au prochain chapitre, je vous aime tous très fort!
H : Carry...
C : Quoi?
H : Je venais de dire que tu pouvait pu parler!
