JE voudrais remercier tous ceux et toutes celles ( la majorité ) qui ont lus et apprécié cette nouvelle fic. J'espère que ce nouveau chapitre va vous plaire. Bonne lecture.

Par Eru chapitre 3

-OOOOOUUUUUAIS!!!! DES PANNEAUX SOLAIRES!!!!

Elle comprit pourquoi ils ne fonctionnaient pas, ils avaient été mal branché et captaient la lumière du soleil, mais ne l'emmagasinaient pas. Pour le moment, ils n'étaient là que pour la décoration, mais Amélie n'était pas du tout d'accord avec ce concept. Elle redescendit, alla dans la garage, prit ses outils, remonta sur le toit et commença à rebrancher les panneaux, puis les nettoyer et enfin les orienter pour capter le plus de lumière possible. Puis, elle descendit à la cave et rebrancha les batteries et quand elle mit en route le système, elle eut la joie d'entendre sa radio se mettre à hurler. Toute contente, elle alla l'éteindre et eut un choc quand elle vit qu'il était 15 h 00, elle n'avait pas vu le temps passé et maintenant que son estomac était au courant de l'heure, il ne la lâchait plus, grognement par – ci, soubresaut par – là. Amélie décida donc de se faire à manger.

En fouillant dans son figo, elle trouva la merveille des merveille, une pizza aux fruits de mer avec un coca et une glace. Elle retourna auprès du blessé et vit qu'il avait bougé, car le drap se trouvait au niveau des chevilles et qu'elle avait une très belle vision de son corps meurtri. Elle remonta les draps et les couvertures et le borda comme un enfant, assez serré pour l'empêcher de trop bouger. Elle revint dans la cuisine quand elle sentit l'odeur de la pizza. Elle s'assit près du four et attendit tranquillement que la pizza soit cuite, quand le four commença à sonner, elle prit la pizza, la mit sur un plateau et l'amena vers le salon, pour pouvoir regarder la TV tranquille. A 15 h 00, à part « les feux de l'amour » ( beurk), il n'y avait pas grand chose. Elle se reposa un moment, le temps de manger sa pizza, sa glace et de boire son coca, de laver ses assiettes, elle repartit à la conquête du toit et de l'antenne satellite.

Elle passa 4 heures à essayer de bien orienter l'antenne et ce ne fut qu'à 19 h 30 qu'elle réussit à le faire et comme la veille, elle était épuisée et puait le bouc, mais au moins elle avait le satellite et l'électricité. Tout ce qui lui manquait, c'était l'eau chaude. Elle monta dans la salle de bain et poussa un petit couinement de joie quand elle sentit l'eau chaude lui couler sur la main. Ravi, elle se déshabilla rapidement et se jeta sous l'eau fumante. Elle resta 1 h 00 dans son bain à jouer avec ses pieds. Quand elle ressortit, elle devint toute rouge, elle avait oublié sa serviette au salon avec ses affaires, mais pourquoi diable les avait – elle descendu au salon. Elle ne pouvait pas mettre que son T – shirt, son pantalon étant trop sale. Habillé donc de son seul T – shirt, elle descendit dans le salon, elle allait prendre ses vêtements et sa serviette quand l'homme se redressa à – demi, la regarda droit dans les yeux et marmonna:

-Elrond, aderthad ah Elendil. ( Elrond, réunion avec Elendil )

Il retomba en arrière et replongea dans un lourd sommeil. Amélie le regardait toujours, les bras croisés sur sa poitrine, mais le jeune homme n'avait pas eut l'air d'être réveillé. Elle remonta dans sa chambre, se sécha, s'habilla et après s'être lavé les dents, elle alla se coucher aussi épuisé que la veille. Elle s'endormit profondément et se réveilla le lendemain toujours aussi épuisée, elle reprit son réaménagement, commença à organiser son salon et sa salle à manger, puis installa ses affaires dans les deux pièces. Cela lui prit 3 jours.

Le lendemain, elle fit la grasse matinée, et ne se réveilla qu'à 10 heure fraîche comme une rose. La première chose qu'elle fit en se levant, fut d'aller voir le blessé, comme tous les matins. Le jeune homme était toujours plongé dans l'inconscience, avec douceur, elle lui retira sa minerve et son bandage et vit que la brûlure était en bonne voie de guérison, mais elle préféra quand même les lui laisser. Ensuite, elle retira les autres pansements et vit que toutes les blessures étaient guéries, donc, elle décida de retirer tous les points de sutures.

Puis elle se fit son petit déjeuné ainsi qu'une soupe pour lui. Après avoir fini de manger, elle lui apporta son repas. Comme tous les jours, elle le rehaussa un peu et lui donna la soupe comme à un bébé. Quand se fut fait, elle décida de monter son meuble d'ordinateur. Elle monta dans le bureau et commença la difficile tache de comprendre le mode d'emploi en maudissant une fois de plus les livreurs qui auraient dû le faire.

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La douleur était abominable, il sentait les doigts du Seigneur des Ténèbres lui serrer le cou, il sentait la chaleur de sa main devenir infernale, il avait ouvert un instant les yeux pour hurler encore plus fort et avait vu des lumières se précipiter vers lui, puis plus rien. Il avait sentit qu'on le tirait et le traînait sans aucune douceur, mais trop faible, il n'avait même pas pu bouger un cil, puis il retomba dans l'inconscience. Il devait être dans une charrette, car il était secoué dans tous les sens, mais pourtant, il n'y avait pas d'odeur de cheval, rien. Puis, il retomba de nouveau dans l'inconscience.

Il errait dans le noir le plus complet, revivant les longs passages de sa vie bien chargée, les premiers jours protégé par sa mère adorée et son père si fort. La mort de son père, puis celle de sa mère morte de chagrin. Et enfin le combat final contre Sauron. La douleur était atroce, il avait cru pouvoir le vaincre, mais il n'en était rien. Mais s'il avait été tué par ce démon, pourquoi avait – il toujours aussi mal? Il sentit une douleur vive, mais brève à la cuisse. Il sentit aussi une douce fraîcheur sur son coup brûlant, puis plus rien.

Où était – il? Il réussit à entrouvir un instant les yeux, mais il était plongé dans le noir le plus complet, mais il faisait bon et il était dans un lit moelleux. Serait – il à Imladris? Trop fatigué pour tenter de réfléchir, il se laissa retomber dans une douce inconscience. Quand il émergea de nouveau, il sentit à nouveau des douleurs un peu partout sur son corps, comme si on tirait sur sa peau puis il sentit encore cette douce fraîcheur sur son cou. Il sentit qu'on l'asseyait et qu'on lui faisait boir quelque chose de chaud et de liquide. Une soupe? Il n'avait jamais rien goûter de tel, c'était délicieux. Il tenta d'ouvrir les yeux pour voir cette personne, mais ses paupières étaient trop lourde et il retomba dans le néant de l'inconscience.

Quand il ouvrit réellement les yeux, il vit qu'il était dans une pièce très grande, mais toute noire, il n'y avait aucune torche pour éclairer cette pièce, ni aucune fenêtre. Mais où était – il? Il tenta de se redresser mais sans y arriver vraiment. Alors il regarda plus précisément le peu qu'il pouvait voir. En face de lui se trouvait un grand miroir rectangulaire avec un point rouge qui brillait, serait – il dans l'antre de Sauron, où d'un adepte de Sauron, cela expliquerait l'oeil rouge. Il devait donc se trouver dans l'antre d'un sorcier maléfique. Il essaya de bouger la tête, mais c'était comme si ses muscles étaient en pierre, impossible de faire le moindre mouvement.

Ses sens développés détectèrent des coups, des jurons puis un cri de douleur . C'était sûre, il était dans l'antre d'un sorcier et on était en train de torturer quelqu'un. Alors l'ultime alliance avait perdu, le mal avait gagné. Quel cauchemar! Il tenta à nouveau de se redresser, mais ses muscles endoloris le firent grogner de douleur et il retomba dans le lit. A ce moment, il remarqua une chose étonnante, il était nu, complètement nu. L'avait – on déshabillé pour l'empêcher de s'enfuir, de combattre. Ou alors ???? Non, quand même pas, il n'aurait pas été donné à une créature de Sauron pour???? Pitié, pas cela!!!!

Avec un terrible effort, il réussit à lever le bras et à passer la main dans ses cheveux sales et découvrit qu'il n'avait plus sa couronne. Il laissa retomber son bras, et découvrit avec horreur qu'il avait quelque chose de dure autour de son cou, sa peau devenait dure, il commença à s'affoler, il était en train de devenir de la pierre comme les trolls à la lumière, il va devenir une statut de pierre. Non, ce n'est pas possible, c'est un cauchemar, il devenait de la pierre, quelle horrible fin. Il ne voulait pas devenir un statut de pierre. Il acheva de paniquer complètement, sa gorge totalement nouée par l'angoisse et la peur. Sa main retomba sur sa poitrine puis il cessa tout mouvement quand il entendit quelqu'un descendre les escaliers lourdement. Ça devait – être un orc. Les elfes et les hommes ne font pas autant de bruit alors que les orcs si. Aucun doute, il était prisonnier. Cependant, la créature parlait un dialecte étrange qu'il n'avait jamais entendu auparavant:

-J'en ai marre. C'est la pire période de ma vie. Ah! Ils vont m'entendre, bande de flemmards.J'ai payé pour qu'ils les montent pas seulement à l'étage ! Et ils n'ont même pas été fichue de le faire.

C'était une voix féminie qui passa derrière lui et alla dans une pièce près de lui. Il tenta de dire quelque chose, mais ne put émettre qu'un faible cohassement incompréhensible que la créature n'entendit pas. Il ferma les yeux quelques instants, prit une grande respiration, rouvrit les yeux et réussit à souffler:

- Ennas nas pen ? (il y a quelqu'un? )

-Quoi ? Couina la créature qui s'approcha de lui.

Il rassembla tout son courage prêt à lutter contre la créature démoniaque et en fait croisa 2 grands yeux gris – vert qui appartenait à une jeune femme brune. Peut – être était elle une esclave de Sauron. Elle avait pourtant un doux sourire et il vit que son doigt était rouge et enflé. Donc c'était elle qui tapait sur quelque chose ou sur quelqu'un. Elle commença à lui parler:

-Bien, vous vous êtes réveillé. Vous avez faim ? Vous voulez quelque chose ?

Il ne comprenait pas un mot de ce que disait la jeune femme. Elle s'approcha de lui et posa doucement la main sur son front et lui mit une tige dans la bouche. Ce doit être pour la manger, peut – être un médicament. Il tenta de la croquer, mais la tige était trop dure. La jeune femme éclata de rire, retira la tige et lui dit:

-Non, c'est un thermomètre, ce n'est pas à manger. Vous n'en avez jamais vu ou quoi ?

Elle lui remit la tige dans la bouche, mais il ne tenta pas de la croquer, c'était vraiment trop dure. La jeune fille lui retira quelque chose qui était sur son cou, ainsi qu'une bande de tissus et son cou fut mis à nu. La sensation de l'air caressant son cou brûler était étrange et un peu désagréable, car ça le brûlait encore un peu. Elle regardait un instant la blessure, et mit quelque chose dessus. Il sursauta violemment en sentant un produit glacé sur son cou. Une odeur puissante et vraiment désagréable arriva à ses narines et il ne put réprimer une grimace de dégoût. La jeune fille pouffa de rire et lui dit :

-C'est un médicament, c'est pour soigner votre brûlure.

Elle remit le pansement et le truc dure autour de son cou. Il la regardait se nettoyer les mains, mais soudain un bruit incongrue résonna dans la pièce :

-bip,bip,bip,bip,bip,bip,bip...

Il poussa un cri de peur en réalisant que c'était la tige qui criait. Cette tige était vivante, pourtant elle avait l'air d'être en métal. C'est une sorcière, elle peut rendre le métal vivant. Et le métal lui obéit, puisqu'elle l'a prit, l'a secoué et il s'est calmé et a arrêté de crier. La sorcière lui dit :

-C'est bon, vous n'avez plus de fièvre.

Mais qu'a – t – elle dit, il ne comprenait rien de ce qu'elle disait, et si elle venait de lui envoyer une malédiction. Il tenta de lui demander :

-Ai rialie? ( qui êtes – vous? )

-Hein? Qu'est – ce que vous avez dit?

-???????

L'homme la regarda avec incompréhension. Elle tenta de parler en Anglais :

-Do you speak English ?

-???????

-Habla espanol ?

-???????

-On est mal là !

Epuisé, il s'enfonça dans le lit et s'endormit profondément. Amélie le regarda un instant, puis repartit se venger sur le meuble de son ordinateur. Elle mit 6 heures pour monter totalement le meuble et à installer son ordinateur, son imprimante, son scanner, sa web cam et sa bien – aimée connexion internet. Il ne lui restait plus qu'à monter sa chaise, mais épuisée comme elle était, elle décida d'aller se coucher. Elle alla voir l'homme, mais il dormait toujours, elle était vraiment trop fatigué pour se faire à manger, alors elle décida de se coucher le ventre vide, et lui aussi sera mis ce soir à la diète. Elle s'endormit comme une masse s'en savoir qu'à minuit, un pauvre elfe perdu en plein milieu des Vosges se réveilla complètement affamé et appela :

-Togalye amin medi ! ( apporter moi à manger !)

Le pauvre s'égosilla 20 mn avant de se taire et de se rendormir, le ventre vide et la voix cassée. Il ne se réveilla que le lendemain, quand Amélie descendit l'escalier avec sa discrétion naturelle qui rivalisait avec celle d'une troupe d'éléphant. Le pauvre, se réveilla en sursaut et tenta de voir la jeune femme, mais celle – ci alla directement dans l'autre pièce et ne revint que 10 mn plus tard, le ventre plein et un sourire aux lèvres. Le pauvre elfe, réussit à coasser :

-Analye amin medi ! Supplia – t – il d'une voix malheureuse. ( donnez – moi à manger !)

Mais, malheureusement pour lui, elle n'avait rien compris à ce qu'il venait de lui dire. Elle s'approcha de lui, lui retira la minerve et les pansements et fut totalement effarée en voyant que sa brûlure était totalement guérie. Ce type guérissait hyper vite, plus vite que n'importe qui. Normalement une telle brûlure mettait plusieurs mois, voir plusieurs années avant de guérir complètement. Elle se demandait encore ce que lui avait dit le jeune homme, quand un grognement vint troubler ses pensées, ce grognement avait l'air de venir de l'estomac du jeune homme. Et ben voilà, elle avait comprit, il avait faim. Elle alla préparer à nouveau de la soupe et la lui donna. Elle l'aida à se redresser et lui donna à manger comme d'habitude, car il était encore faible. Cependant ce qu'elle lui avait fait ne fut pas suffisant et il lui dit :

-Ad! Ad! ( encore! encore!)

Elle le regardait bizarrement et il comprit qu'elle ne l'avait pas comprit, alors, il fit un geste difficile de manger. La jeune femme mit un peu de temps à comprendre, puis revint 20 mn plus tard avec une soupière remplie à ras bord de soupe. Il la dévora entièrement et ensuite, il s'endormit profondément jusqu'au soir. Pendant ce temps, Amélie curieuse de connaître la nationalité de son invité, chercha sur le net le peu qu'elle avait comprit mais en eut rapidement assez. Elle décida donc d'aller regarder un peu la TV, et surtout le satellite. L'autre étant en train de dormir, il ne serait pas gêné et de toute façon, elle était chez elle et s'il était pas content, il finirait sa nuit dans la remise avec le chien de Freddy Krueger!

Quand elle descendit de son bureau, il était 12 h 30 et elle commençait à avoir faim. Elle descendit l'escalier avec sa discrétion naturellee t de ce fait réveilla en sursaut l'ex – comateux qui se demanda ce qu'il se passait. Elle se fit à nouveau du cordon bleu mais ne le fit pas crâmer cette fois - ci. Le blessé sentant la bonne odeur entendit son estomac protester bruyamment. La jeune femme revint avec un plateau où se trouvait un met qui avait l'air plus que délicieux et d'où s'échappait une alléchante odeur accompagné de drôle de boules chaudes et dorées et de légumes verts. Il arriva à s'asseoir quand elle posa le plateau sur une table devant le lit. Puis elle repartit vers l'autre pièce et revint tenant un autre plateau avec un bol et une cuillère. Il eut une mine déconfit, mais dévora quand même la soupe en quelques minutes, il commençait à être lassé de la soupe, et il était constamment affamé.

La jeune femme éclata de rire et apporta une soupière remplit à ras bord du succulent liquide. Le jeune homme prit 4 fois de la soupe et vida la soupière avant d'être rassasié. Pendant ce temps, la jeune fille commença à manger son repas, se régalant de ce qu'elle avait fait cuire. Elle venait de terminant son cordon bleu et allait attaquer ses pommes dauphines quand elle vit avec un sourire que la soupière était vide et l'estomac de son « patient » remplit comme une outre. Il reposa le bol vide de près de la soupière avec un profond soupire de contentement. Amélie prit le bol et la soupière et les ramenèrent dans la cuisine tandis que l'homme s'endormait profondément avec une seule pensée, la sorcière était gentille, mais dommage qu'elle ne comprenait pas ce qu'il disait.

Quand elle revint dans le salon, l'homme était dans les bras de morphé n'entendant rien de se qu'elle disait ou faisait. Elle alluma la TV en finissant de manger et regarda les informations, cela faisait plus d'une semaine qu'elle ne les avait pas regardé. Elle se posait encore et toujours la question, comment les américains avaient pu élire un tel abruti à la tête de l'état. Après s'être étouffé avec un bretzel, s'être vautré en velo, il s'était assommé en percutant un poteau électrique pendant qu'il faisait son jogging. Elle pouffa de rire en imaginant sa tête rentrée dans le poteau puis changea de chaîne et tomba sur Jurassic parc 3. Ce n'était pas le meilleur, mais il n'y avait pas grand chose d'autre. Elle augmenta légèrement le son sans remarquer que derrière elle, l'homme s'était réveillé et regardait totalement horrifié ce qui se passait à la TV.

L'elfe sentait toujours cette bonne odeur et s'endormait paisiblement, puis il entendit une autre personne parler, puis encore une autre, puis plus rien. Il tenta d'étirer un peu ses jambes, mais il sentit bientôt une masse bloquer l'espace, là où la sorcière était assise. Il entendit ensuite les bruits de vents dans les arbres, des grognements bizarres. Il y avait des orcs. Il prit son courage à deux mains et ouvrit les yeux. Ce qu'il vit l'horrifia, il y avait des gens qui courait dans le miroir, et l'oeil avait changé de couleur, il était devenu vert. C'était incompréhensible. Il se redressa silencieusement et vit que la sorcière regardait le miroir comme si elle était envouté. Soudain, un monstre terrifiant leur fonça dessus. Il ne put se retenir et hurla de terreur.

A suivre.