RARRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR :

-Aéléa Wood: Je suis contente que tu aies aimé ce chapitre, j'espère que celui – là te plairas autant que le précédent.

-Lasgalenya Greenleaves : Voici ton voeux réalisé et la suite arrivée.

-Sinwen : La voilà, la voilà,la voilà,la voilà,la voilà,la voilà,la voilà,la voilà,la voilà,la voilà,la voilà,la voilà,la voilà,la voilà,la voilà,la voilà,la voilà,la voilà,la voilà,la voilà,la voilà,la voilà,la voilà. La quoi ? Et bien la suite :)

-Estel la rodeuse : Je suis désolé, mais ton vote n'as pas été prit en compte, mais il est quand même super mignon comme cela ! ;) ( bave )

-Gedauphin : Merci pour tes encouragement et voici la suite.

-Louise : Merci beaucoup, je suis vraiment contente que tu apprécie mon histoire, et voilà la suite tant espérée.

Fin des RARRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR ;)





Par Eru chapitre 9

Après 45 mn de route, Amélie gara sa voiture devant le centre commercial d'Epinal. Elle regarda l'elfe qui dormait près d'elle et se demanda :

-Je le réveilles ? Oui, il faut que je le réveille.

Elle retira sa ceinture de sécurité, posa sa main sur l'épaule d'Ereinion et le secoua tout doucement. Il se réveilla très rapidement et demanda :

-Qu'est ce qui se passe ?

-Nous sommes arrivés.

-D'accord, je vous suis. Dit – il en baillant et en s'étirant.

-Vous vous êtes entendu?

-Hein ?! Demanda – t – il en la regardant.

-Vous parlez très bien, mais vraiment très bien. Toutes mes félicitations.

Il se mit à rougir de confusion et de joie. Il avait réussit à apprendre la langue et maintenant, il faudra qu'il apprenne les règles, mais Amélie sera là pour l'aider. Pour l'instant la jeune femme fouillait dans son sac pour sortir des jetons afin de prendre deux caddies, Avec ce qu'ils devaient acheter, deux caddies seraient nécessaire. Elle lui dit :

-Vous pourriez pousser celui – ci ?

-Oui. Où on va ?

-Nous allons chez le coiffeur.

Ereinion qui pensait que la jeune femme avait abandonné cette idée fit la tête et la suiva en grognant qu'il ne voulait pas y aller tandis qu'Amélie tentait de retenir le fou rire qui menaçait d'exploser. Tout le monde le regardait se posant la même question, c'est un homme ou une femme et puis elles sont ridicules ses oreilles ? Il traînait derrière elle, pas du tout presser à l'idée de perdre sa belle chevelure, mais quand un enfant lança la phrase qui tue :

-Maman, t'as vu comme elle est grande la dame ?

Ereinion accéléra brutalement tandis qu'Amélie se marrait comme une dingue. Il la poussait à accélérer. Enfin, ils arrivèrent à un salon de coiffure. L'un des coiffeurs s'approcha et leur demanda :

-C'est pour laquelle de ces jeunes femmes ?

Ereinion fut retenu in extremis par Amélie avant de causer un carnage. Amélie avec un sourire répondit :

-C'est pour mon ami « i ».

-Oh ! Excusez – moi monsieur. Et que veut – il faire ?

Ereinion haussa les épaules en signe d'ignorance alors la jeune femme prit les chose en main et expliqua au coiffeur ce qu'elle voulait. Le coiffeur comprit immédiatement ce que voulait Amélie et demanda à une jeune coiffeuse de se mettre au travail sur le champs. Le pauvre elfe eut droit au shampooinage qui dura longtemps parce que ses cheveux étaient particulièrement longs, puis commença le coiffage au sens propre du terme. Au grand dam d'Ereinion, la coiffeuse caressait les longs cheveux de l'elfe en s'extasiant sur leur douceur, leur longueur et surtout leur aspect soyeux. Amélie grogna un peu qu'ils n'avaient pas toute la journée et demanda que se soit le coiffeur qu'ils avaient vu en premier qui coiffe ses cheveux. C'est ce qu'il fit et au bout de 3 / 4 d'heure de coupe, Amélie sentit un léger filet de bave lui couler le long du menton. Elle se réveilla quand la gravure de mode appelé auparavant Ereinion lui demanda si ça lui allait bien. La jeune femme lui dit avec un grand sourire qu'il était 1000 X mieux comme cela, il avait court avec un effet décoiffé qui le rendait irresistible aux yeux d'Amélie. Il était ravi et remercia abondamment Amélie de l'avoir un peu forcé.

Ensuite, ils allèrent dans le supermarché à proprement dit. Amélie avait demandé à Ereinion de pousser l'un des caddies et de rester près d'elle afin d'avoir toujours un oeil sur lui et pour qu'il ne se perde pas dans un magasin aussi immense. Mais même ainsi, il était très difficile de le tenir à l'oeil, il voulait aller partout, et tout voir. Plusieurs fois, elle le perdit de vue et dut courir dans le magasin pour le retrouver. Pour le moment, elle prenait les fruits et les légumes, cela intéressait vivement Ereinion, surtout la balance, il appuya sur tous les boutons jusqu'au moment où une fumée s'échappa de la machine preuve de son agonie prochaine. Amélie arriva sur ces entrefaits et lui expliqua que les machines étaient très fragiles et qu'il ne fallait pas jouer avec. Les gens regardaient cet adulte avec ses drôles d'oreilles pointues. Une jeune femme ressemblant à s'y méprendre à Dumbo l'éléphant matiner avec un soupçon de Peggy la cochonne qui aurait une mâchoire chevaline se moqua de lui à cause de ses oreilles et reçu une phrase bien sentit d'Amélie qui n'était pas d'humeur à écouter ses salades :

-T'as vu ses oreilles pointues, pppffffuuuuuu !!!! Il s'est trop fait tirer les oreilles par ses parents. Arf, arf, arf !!!!Quel idiot, il ne sait même pas utiliser une balance électronique. Il devrait retourner dans sa jungle !

-Ouais, et toi espèce de troll. T'as vu ta gueule! T'as un groin de cochon, et des oreilles de chou. Dégage Dumbo, tu pollues l'atmosphère avec ton gros cul. Retourne dans ton écurie !

La jeune femme qui avait insulté Ereinion, s'enfuit en pleurant. Parce qu'il fallait pas croire, mais Amélie tenait à son elfe et elle savait toujours frapper là où ça faisait mal et l'autre venait de le découvrir pour son malheur. Les gens s'écartèrent d'Amélie, ne désirant guère se retrouver humilié par la jeune femme qui n'avait pas la langue dans sa poche et savait très bien l'utiliser. Quant à Ereinion, il était en train de scruter avec fascination un ananas, il adorait sentir l'odeur de ce fruit charnu. Il se précipita vers Amélie, lui attrapa le bras et l'emmena vers le fruit et lui demanda avec un regard excité :

-On peut en prendre, s'il vous plaît ?

Amélie regarda les ananas et le laissa choisir. Ereinion regarda émerveiller les fruits ne sachant pas lequel prendre. Il fouilla dans la caisse et prit les deux plus parfumés qui allèrent dans son caddie. Il était tout content et tout fier, il poussa son caddie suivi par Amélie qui tentait de retenir son fou rire. Elle tourna la tête vers le rayon des boissons, et quand elle se retourna vers Ereinion pour lui demander son avis, l'elfe avait disparu. Avec un soupire elle rangea les deux caddies et partit à sa recherche. Elle le retrouva dans le rayon lingerie fine. Il était très curieux de tout ce qu'il voyait et voulait tout toucher. Présentement, il était en train de regarder un ensemble de lingerie noir quand en relevant la tête, il vit 5 femmes se rapprocher de lui avec un sourire étrange. Il fit un pas en arrière en regardant dans tous les sens pour essayer de retrouver Amélie, mais il y avait vraiment trop de monde. Il était perdu et cinq femelles en chaleur se rapprochaient de lui. Il commença à paniquer et se frappa mentalement en se disant pourquoi il n'avait pas écouter Amélie, elle lui avait dit une dizaine de fois qu'il risquait de se perdre et maintenant, c'était le cas. Il était complètement perdu et en plus les 5 sangsues se rapprochaient dangereusement de lui avec un sourire de prédateur étirant leurs lèvres chargées de maquillage. L'une d'entre elle se colla à lui et lui sussurra :

-Vous êtes seul ?

-Mae....... non. Je suis venu avec Amélie.

-Votre soeur, je présumes ?

-Non, mon amie. Son expression paniqué laissa place à un soulagement intense quand il vit Amélie qui arrivait. Il rajouta : Et la voilà.

Toujours avec l'ensemble entre ses mains, il se précipita vers la jeune femme ravi de la revoir. Amélie se demanda ce qu'il s'était passé pour qu'il y ait cette peur sur son visage. Il a croisé un vigile. Non! Rectifia – t – elle. Femelles en chaleur en manque de mâle droit devant. Il se cacha derrière elle, l'utilisant comme bouclier humain. Amélie le trouvait adorable comme cela, mais elle envoya un regard noir aux femmes qui s'approchaient les menaçant des pires horreurs si elles continuaient sur leurs lancés. Ereinion regardait dans tous les sens, puis, il vit un homme se promener avec une jeune femme et il lui tenait la main. Il décida de faire la même chose. Amélie sursauta un peu quand elle sentit la main chaude de l'elfe lui attraper la sienne. Elle lui sourit et tous les deux main dans la main repartirent vers les caddies. Ereinion se rappelant qu'il tenait toujours l'ensemble lui donna avec un sourire gêné. Elle éclata de rire et prenant l'ensemble, lui dit :

-38, c'est pile ma taille. Merci Ereinion.

-De rien, mais je promets que j'arrête de courir dans tous les sens.

-Mais que c'est – il passé ?

-Ces 5 femmes m'ont presque agressé. Elles sont toutes comme cela chez vous ?

-Avec des hommes aussi séduisant que vous ? Oui. Nombreuses sont celles qui seraient prêtes à vendre leurs parents pour vous mettre le grapin dessus.

-C'est joyeux dis donc. Je peux rester à côté de vous.

-Mais bien sûr. Cependant, il va falloir que l'on se tutoie si on veut que les autres arrêtent de vous courir après. D'accord ?

-Vous voudriez qu'elles pensent que nous sommes ensemble ?

-Tout à fait. Et avec le caractère de chien que j'ai, elles ne s'approcheront pas.

-Merci. Vous... mae.... tu me sauves la vie. Qu'est ce qu'on fait maintenant ?

-On va se promener vers le rayon homme, pour t'acheter de nouveaux vêtements.

-Merci, ceux là sont beaux, mais ils sont trop petits.

-Beaux, ceux qu'on va acheter eux seront beaux.

A suivre