RARRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR
-Gedauphin : Merci pour ta review.
-Estel la Rodeuse : Merci cousine, la coupe d'Ereinion n'est pas trop courte et lui va très bien. Et puis il va être encore plus traumatisé par les femmes, pauvre petit chou. Mais là, il faut lire ce qui arrive. ;)
-Aéléa Wood : Merci pour ta review, elle m'a fait bien rire. Et puis, n'oublie pas que les elfes ont une carrure beaucoup plus fine que les hommes mortels, ils sont fins et sveltes alors c'est un peu normal qu'il ait cru que c'était une femme. Mais il a faillit voire la colère d'un roi elfique. Héhéhéhé !!!! Gégé ? Ça me fait penser à Gégé la patate, alors non, je ne vois pas Gil Galad appelé Gégé. Comme je l'ai dit à Estel, il n'en a pas fini avec les femmes. Héhéhéhé !! ;)
-Hali1 : Merci, merci, merci !!! C'est vrai qu'Ereinion les cheveux court, c'est vachement sexy « bave » Je ne connais pas d'autres elfes que je pourrais te présenter, ils sont tous marié ou trop jeune héhéhéhé !!!!
-Aventurine : Oh une nouvelle reviewtrice, c'est un plaisir pour moi de te rencontrer :) Je suis contente que tu l'apprécie et j'espère que tu vas apprécié ce nouveau chapitre.
Bon, maintenant que les RARRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR sont terminées, je vous souhaite bonne lecture ;)
Par Eru chapitre 10
Avec un grand sourire, il la suivit paisiblement, non, en fait, il s'arrêtait à chaque rayon et voulait tout essayer. De guerre lasse, Amélie lui promit qu'après avoir acheter les vêtements, ils se promèneraient dans le magasin. Fou de joie, Ereinion la serra contre lui tellement fort, qu'il faillit lui briser les os. Certains couples crurent qu'il y avait un heureux événement en route. Arrivés là – bas, elle prit une dizaine de jeans, autant de chemises, de T – shirt, de pantalon, 3 vestes, 2 blousons et 5 shorts. En voyant tout cela, Ereinion ouvrit de grands yeux, se tourna vers elle et lui demanda :
-Mais qu'est ce que je dois faire avec ça ?
-Mon cher Ereinion, tu vas tous les essayer pour voire s'ils te vont.
-Tous ? Demanda – t – il d'un air choqué.
-Tous !
-Bon bah, on y va. Dti – il avec un petit soupire désespéré.
Elle l'emmena vers les cabine d'essayage et lui souffla dans le creux de l'oreille :
-Quand tu seras dans la cabine, tu retires ton pantalon si tu essaies un pantalon ou un short, ta chemise si tu essaies une chemise ou un T – shirt.
-D'accord.
-Je te donne les affaires et tu me dis si ça va ou non. D'accord.
-D'accord.
Il entra dans la cabine, et Amélie lui tendit les affaires qu'il essaya les uns après les autres. Il avait trouvé la taille qui lui allait le mieux. Mais pour la couleur, il dut sortir de la cabine pour demander à Amélie si ils lui allaient. La jeune femme donna son avis sur la question. Il essaya aussi les shorts, cependant, quand il essaya le premier short, il provoqua une émeute parmis la gente féminine du magasin. En effet, il sortit torse nu habillé que de son short. Amélie pour lui sauver la vie, dut le pousser dans la cabine, fonça derrière lui et bloqua la porte de son corps. La cohue cessa quand les agents de sécurité arrivèrent et les dispersèrent. Ereinion tremblait comme une feuille, encore une fois, il avait faillit se faire agresser par des représentantes du sexe faible. Qu'il retrouve celui qui avait donné ce qualificatif stupide aux femmes, et il verra que le sexe faible n'est pas celui qu'on croit. Tous les deux reprirent leur respiration entendant les dingues hurler après l'elfe. Elle se tourna vers lui et lui demanda :
-Mais pourquoi es – tu sorti dans cette tenu si légère ?
-Je voulais que tu me dises ce que tu en pensais. Je suis désolé, je ne fais que des bêtises.
-C'est normal, tu ne connais pas ce monde, il va te falloir du temps pour t'adapter. Si j'étaits à ta place en Terre du Milieu, je suis sûr que j'aurais été capable de déclencher une guerre entre les elfes et les hommes.
-Mais non, je suis sûr que tu t'en sortirais mieux que moi.
-Avec ma maladresse ? Je suis sceptique mon cher elfe.
Il pouffa de rire, se leva et tournant sur lui – même lui demanda :
-Alors, est – ce que ça me va ?
-Non, c'est trop large, on dirait un sac. Essaies en un autre. Le noir a l'air bien. Pendant ce temps, je vais voir si les dogues sont rentrées à la niche.
Elle entrouvit la porte tandis qu'il se changeait en riant. Il aimait bien les métaphores de la jeune femme. Elle avait beaucoup d'esprit, une bonne culture d'après tous les livres qu'elle avait chez elle et plein de sensibilité. Elle était aussi sensible qu'une elfe, sauf qu'elle n'arrivait pas à la cacher. Donc, Amélie entrouvrit la porte et vit avec soulagement que les folles étaient parties. Tout ce qui restaient, c'était les maris et les petits amis des folles, plus que légèrement couroucés. Elle leur fit un petit sourire désolé et leur dit :
-Je suis désolé, mais mon ami oublie souvent qu'il fait de l'effet aux femmes et il n'a pas pensé qu'il y en aurait ici.
Elle rentra la tête, referma la porte et s'y adossa en poussant un petit soupire de soulagement. Elle s'assit sur un tabouret qui se trouvait là et recommença à donner son avis sur les shorts qu'il essayait. Après, elle observa l'elfe qui avait remit son pantalon et essayait maintenant les hauts dans un silence quasi religieux. Puis, il arrêta de bouger et lui demanda :
-Pourquoi m'ont – elle sauté dessus ?
-Parce que tu es bien bâti et d'une beauté non – humaine. Et les femmes même celles mariés voulaient t'avoir.
-Mais elles sont folles !
-Tout à fait, bienvenue dans mon monde.
Il secoua la tête horrifié et recommença à se changer. En tout, ils gardèrent 5 jeans, 4 pantalons, 6 T shirt, 7 chemises, 3 shorts, une veste et les 2 blousons. Toutes ses affaires allèrent dans le caddies. Ils repartirent mains dans la mains tentant de pousser les caddies sous les regards envieux des femmes et celui soulagé des hommes. Là, ils allèrent dans tous les rayons et Ereinion put observer, toucher et s'amuser avec tout ce qu'il voulait voir. Quand ils allèrent dans le rayon d'hygiène, il voulu ouvrir toutes les bouteilles, mais là Amélie le retint fermement mais c'est lui qui choisit les produits qu'ils allaient acheté après avoir reniflé une bonne dizaines de bouteilles de shampooing, de gel douche et de sels de bain. Ils remplirent leurs deux caddies à ras bord et Amélie dut partir en rechercher un autre et quand elle revint, il était assaillit par 5 femmes, les 5 qui l'avaient presques agressé dans le rayon lingerie. Là, le sang d'Amélie ne fit qu'un tour, elle fonça dans la mêlée et de sa voix la plus forte, se moqua des 5 hyènes qui durent s'enfuir sous les rires de la foule.
Tous les deux repartirent faire les courses et attachèrent les 3 caddies les uns derrière les autres. Et ils allèrent au rayon des surgelés qui se termina par le remplissage du caddies en 10 mn. Ereinion voulait tout goûter et donc acheta de tout, frites, pommes dauphine, pizzas, repas déjà préparer, glaces, sorbet, tous les parfums, légumes, poissons etc, etc.... Amélie prit quelques dizaines de sacs isotherme. Mais il refusa de prendre des boites de conserves, allez savoir pourquoi. Ils se promenèrent longtemps dans le rayon pour le plus grand plaisir d'Ereinion qui adorait toucher le givre sur les parois des congélateurs. Amélie ne faisait que rire des facéties et des expressions stupéfaites d'Ereinion qui riait autant qu'elle. Il n'avait causé aucune catastrophe et il découvrait un monde nouveau et merveilleux. Après avoir dévalisé le rayon des surgelés, Amélie décida d'aller dans le rayon de la viande . Là, Ereinion fut sidéré car il y avait de la viande partout. Il n'avait jamais vu autant de viande dans un seul endroit. De plus il faisait assez froid, moins que dans le rayon surgelé, mais il faisait quand même froid. Ereinion sentait le froid, mais il ne le ressentait pas. Il murmura à l'oreille d'Amélie :
-Si tu prends de la viande, je dois te dire que je n'en mange pas!
-Pourtant tu as mangé du cordon bleu, alors qu'il y a de la viande dedans.
-J'en mange si je n'ai pas le choix, mais normalement je n'en mange pas. Ça va à l'encontre de mes croyances.
-Ah ! D'accord, est ce que tu manges du poisson ?
-Heu... oui!
-Parfait, alors sus à la poissonnerie ! S'exclama – t – elle avec un sourire.
Ereinion lui adressa un grand sourire et ils firent donc demi – tour et après s'être un peu promené dans les rayons, ils arrivèrent dans le rayon « Poissonnerie ». Là l'odeur fut tellement forte que l'elfe fit précipitament marche arrière. Amélie lui fit un sourire indulgent et lui demanda ce qu'il voulait. Comme avec les surgelés, il prit de tout pour le plus grand plaisir du vendeur. Ils visitèrent ainsi tous les rayons pour le plus grand plaisir d'Ereinion qui touchait à tout et déclencha plusieurs fois les alarmes pour le plus grand énervement des agens de sécurité. Amélie réussi à les calmer, et demanda à Ereinion d'arrêter de toucher à tout. Mais il ne voulait rien savoir, jusqu'au moment où Amélie eut une idée, elle lui demanda d'attendre avec les agents de sécurité et partit chercher une matière bien gluante vendu dans le rayon des jouets. Quand elle revint, elle lui donna le pot et avec un sourire ravi, il le prit dans ses mains. Mais quand il sentit la texture sur sa peau, il voulut immédiatement la reposer, mais Amélie fut intraitable :
-Tu ne peux pas toucher à tout, alors si tu dois toucher quelque chose, ce sera cela, un point c'est tout ! Nous allons aller payer et manger, parce que cela fait 4 heures qu'on est ici et je commence vraiment à avoir faim. De plus, on doit acheter un nouveau four, un nouveau congélateur et tous tes meubles.
-D'accord !
Il était un peu déçu, mais il avait visité plein de chose, et il lui faudrait du temps pour bien digérer toutes les informations qu'il venait d'engranger. Ils allèrent en caisse et il recommença à vouloir tout toucher. De guerre lasse, Amélie lui demanda de poser les affaires sur le tapis, car elle était de plus en plus épuisée, trimbaler un elfe dans un supermarché était encore plus fatiguant que de garder une troupe d'enfant. Tout le monde regardait les 4 caddies se vider les uns après les autres. Ereinion vidait et Amélie remplissait tout aussi vite. Il y avait une organisation tacite excellente entre eux. Bientôt Ereinion se retrouva sans plus rien faire et il recommença à toucher à tout. Amélie pour le calmer lui demanda de prendre des sacs, beaucoup de sacs. Ravi de faire quelque chose, il le fit et ramena une brassée complète de sac tandis que la caissière commençait à vraiment fatigué quand tout fut passé, le scanner poussa un petit « brrzzzuuiingg » prouvant définitivement qu'il venait de rendre l'âme. Une petite fumée bleue s'échappait de la caisse moribonde. Le porte monnaie d'Amélie cria à l'assassin quand la modique somme de 1500 euro disparue de son univers. Après avoir payé et rangée les course dans le 4 X 4 qui prit une tonne cinq en 20 mn, Amélie plus qu'affamée entraîna son elfe dans un restaurant chinois et se jeta affamé sur ses ravioli vapeur ( miam ), son riz cantonais ( re – miam ), son porc aigre – doux ( re – re – miam ) et termina le tout par une banana – split ( pour les béotiens, une banane entouré par une ou deux boule de vanille, de fraise et de chocolat, recouverte de crème chantilly et arrosé par du chocolat fondu et parsemé d'amandes effilé, ce qui est tout à fait recommandé pour prendre 45 kg dans un régime grossissant ). Ereinion eut plus de mal à choisir, mais il prit du riz cantonais, deux rouleaux de printemps et comme dessert, la même chose qu'Amélie. Il ne regretta pas une seul fois son choix et fut éblouit par ce que pouvait faire les mortels.
Après manger, ils repartirent dans le supermarché et les vigiles firent une tête de 30 km quand ils les virent revenir, mais cette fois – ci, il n'avaient qu'un seul caddie. Amélie l'emmena dans le rayon de four et acheta un four à micro onde, ainsi qu'une cuisinière en vitrocéramique. Elle se promena dans le coin des congélateur, mais ne trouva rien de bien tandis qu'Ereinion se faisait apprendre par le conseiller ce qu'il fallait et ce qu'il ne fallait pas faire avec un four à micro – onde. Il expliqua au vendeur, qu'il venait d'un lointain pays qui n'était pas à la pointe de la modernité et qu'il avait beaucoup de chose à apprendre, comme la manipulation d'un four. Le vendeur très gentil lui apprit tout ce qu'il devait savoir. Quand il eut terminé ses explications, il dut repartir conseiller d'autres clients, et Ereinion ravi attendit paisiblement qu'Amélie revienne. Il décida de lui cacher le fait qu'il savait utiliser un four pour lui faire une surprise. Amélie revint 5 mn plus tard l'air grognon, elle n'avait rien trouvé de bien dans les congélateurs. Alors ils décidèrent de voir les meubles, mais aucun ne plût à Ereinion, ni à Amélie. Sauf une lampe de chevet en bois noir décoré par des motifs floraux dorés. Elle lui rappelait son chez lui et voulu absolument l'avoir, devant son air buté, elle céda et la prit. Ensuite, ils allèrent dans le rayons informatiques et quand Ereinion demanda des informations sur les ordinateurs, il crut que le vendeur lui parlait dans une autre langue. Il ne comprenait rien au ram, au kilo – octet, au dvd rom, au cd rom et autre. Il passait son temps à sourire en hochant la tête faisant croire qu'il comprenait. Amélie pendant ce temps faisait une razzia sauvage dans les feuilles et dans les cartouches d'imprimante qu'elle consommait à des allures insoupçonnées. Elle en consommait tellement vite que bientôt la police croirait qu'elle faisait de la contrebande de cartouche d'encre. Enfin ils allèrent dans le rayon des DVD pour la plus grande joie d'Ereinion qui adorait jouer avec le lecteur de DVD quand Amélie travaillait. En farfouillant dans le rayon, Amélie dénicha la trilogie des « scary movies » tandis qu'Ereinion mettait la main sur la trilogie du Seigneur des anneaux en version longue. Enfin, ils repartirent vers les caisses, et les caissières priaient pour ne pas être celle qui devrait les enregistrer, car la dernière caisse qu'ils avaient pris, avait, elle, prit feu. Ce fut une jeune hôtesse qui en hérita, et elle passa son temps à rire des blagues et des exclamations d'Amélie. Le porte – monnaie d'Amélie pleura devant ce régime amaigrissant sévère que lui faisait subir Amélie et Ereinion. Ils retournèrent à la voiture et posèrent le four et les autres affaires.
Ils retournèrent une troisième fois dans le centre commerciale, et quand ils passèrent devant les vigiles du supermarché sans s'arrêter, ceux – ci soupirèrent de joie de voir qu'ils ne rentraient pas encore. Non, cette fois – ci, ils allèrent dans un magasin de meuble pour acheter le congélateur et les meubles d'Ereinion ainsi que le four. En effet, ils avaient acheté le four à micro – onde et la plaque vitrocéramique, mais Amélie voulait acheter le four traditionnel en même temps que le congélateur et les autres meubles pour pouvoir être livré en même temps. Amélie commençait à bailler et quand elle vit la literie, elle ne put résister au chant envoutant du sommeil et s'endormit sur le premier matelat venu, laissant un elfe perdu en plein milieu d'un monde remplit par des créatures plus dangereuses que les orques, plus retors qu'un seigneur des ténèbres, des vendeurs en quête d'un pigeon... heu je veux dire d'un client. Ereinion ne fit pas attention au fait qu'Amélie l'avait vicieusement laisser tout seul et continua à marcher regardant tous les meubles, mais il n'était pas intéressé par eux, trop gros, ou trop petit, pas la bonne couleur. Non, pour le moment rien ne lui plaisait. Il se retourna pour demander l'avis d'Amélie et vit qu'il était seul. Il se figea et se mit à trembler comme un enfant abandonné. Il murmura d'une petite voix effrayé :
-Amélie ? Amélie ?
Un vendeur qui passait par là fut sa bouée de sauvetage. Il lui fonça dessus pour la plus grosse frayeur du type qui crut que ce très grand homme aux oreilles bizarres allait lui faire des choses douloureuses et pas très catholique. Au lieu de cela, il entendit une voix effrayé demander :
-Vous n'auriez pas vu Amélie ?
-Amélie ? Quel âge a – t – elle ?
-Heu..... dans les 20 ans. Elle est brune et a de longs cheveux.
-Ah! C'est elle qui dort depuis 30 mn sur l'un des matelats. Venez !
Il l'emmena jusqu'à la literie et vit la jeune femme abandonnée dans un sommeil des plus profond. N'ayant pas le courage de la réveiller, il demanda au vendeur de l'aide pour trouver des meubles pour une chambre, ainsi qu'un four et un gros congélateur. Le vendeur enfin, rendons à césar ce qui est à césar, le directeur du magasin ravi de l'aubaine et excité à l'idée de la grosse,n très grosse vente en perspective l'entraîna dans les rayons à la recherche de ce qu'il voulait. Ereinion extrèmement difficile mit beaucoup de temps pour trouver ce qu'il voulait, son compagnon aurait pu trouver le temps long et être énervé, mais les meubles que prenait l'elfe étaient les plus beaux et accessoirement, les plus cher. Quand tous les meubles de sa chambres furent choisis, ils allèrent dans le coin des fours et le directeur l'aida beaucoup, car Ereinion voulait un four très performant, mais aussi très facile d'utilisation, ils mirent plus de 45 mn avant de trouver la perle rare. Ensuite, ils foncèrent vers le rayon des congélateurs et Ereinion tomba en extase sur un frigo mais le directeur très gentil lui dit que s'il voulait un congélateur performant qui ne consommait pas beaucoup d'énergie, il faudait plutôt en prendre un autre, car celui sur lequel avait flashé Ereinion était gros, marron et pas très profond. Le directeur lui dénicha un congélateur gros aussi, très profond et très économique question consommation d'énergie. Ereinion lui faisant confiance prit le congélateur qui lui n'était pas très cher par rapport à tout ce qu'il avait choisi auparavant. Il ne restait qu'une seul chose à choisir, le matelat. Il demanda s'il pouvait essayer les matelats, le directeur accepta et Ereinion eut du mal à choisir, aucun ne lui plaisait. Trop dur, trop mou, il ne restait plus qu'un matelat à essayer, celui sur lequel dormait Amélie. Ereinion se coucha près d'elle et se sentit bien sur ce matelat et se relevant, il demanda s'il pouvait avoir ce matelat au dimension du lit qu'il avait prit. Le directeur lui dit qu'il n'y avait aucun problème. Ereinion très content se leva d'un bond réveillant en sursaut Amélie qui se frotta les yeux en se demandant où elle se trouvait.
Amélie se leva en s'étirant et marmonna:
-Il faut que l'on achète tes meubles.
-C'est déjà fait. Dit Ereinion avec un grand sourire, on a choisi tous les meubles pendant que tu dormais, même le four et le congélateur.
-On ? C'est qui on ?
-Ce vendeur et moi. Il m'a beaucoup aider, il est excellent.
Le directeur éclata de dire et lui dit:
-Je ne suis pas vendeur, je suis le directeur du magasin, mais je vous remercie. Je dois malheureusement vous laisser, car j'ai beaucoup de travail à faire.
-Merci, monsieur. Dit Amélie avec un sourire confus. Tandis qu'Ereinion lui serrait la main en lui disant :
-Merci Victor. Mais la voiture est trop petite, comment on va faire pour ramener nos affaires à la maison.
-Et bien, nous pouvons vous livrer où se trouve votre maison ?
Amélie donna l'adresse et le directeur fut incapable de situer la maison, Amélie lui expliqua l'endroit et il décida de préparer la commande immédiatement et leur expliqua qu'un camion de livraison les suivrait, car il ne voulait pas qu'ils se perdent en route. Amélie plus que ravi le remercia abondamment au même titre qu'Ereinion.
Le directeur partit en riant et Ereinion avec toutes les références entraîna Amélie vers la caisse. Là le porte feuille d'Amélie fit une attaque cardiaque devant le montant de l'achat. Mais Amélie s'en moquait un peu, elle était heureuse, car une nouvelle vie plein de surprise avait commencer le jour où elle avait percuté ce gros bidule en noir. Elle se demandait encore que pouvait être ce truc. Ils retournèrent vers la voiture et l'amenèrent devant le quai de livraison. Quelques minutes plutard, un gros camion de livraison prit le chemin de la maison d'Amélie. Cette fois – ci, elle roulait tranquillement afin que le camion ne les perde pas de vu. Après plus d'une heure de trajet, ils arrivèrent devant le portail de la maison. Les livreurs s'arrêtèrent cherchant la maison des yeux, mais Amélie fit marche arrière et leur dit que la maison se trouvait plus loin, et dans l'oreille d'Ereinion :
-Beaucoup plus loin !
Il pouffa de rire, il riait encore quand ils arrivèrent devant la maison. Les livreurs étaient sidérés, ils ne pensaient pas que le terrain était si grand. Ils installèrent le four, la plaque vitrocéramique et reprirent les anciens meubles. Puis ils installèrent dans le garage le congélateur et montèrent les autres meubles dans la chambre blanche. Enfin, après un rafraîchissement et un dernier signe d'au revoir, ils repartirent. Amélie et Ereinion eurent beaucoup de pain sur la planche, car ils vidèrent le coffre de la voiture et remplirent le congélateur des surgelés et du poisson. Les légumes frais prirent 95 du frigo. Le lait et les boissons allèrent dans une partie fraîche du garage. Après une bonne heure, ils installèrent le nouveau four à micro – onde sur une magnifique table qu'Ereinion avait choisi. Ensuite, ils montèrent des étagères qu'Amélie avait depuis longtemps et y mirent les DVD qu'ils venaient d'acheter. Ensuite, ils allèrent dans la chambre blanche, celle d'Ereinion et montèrent le lit, l'armoire, la commode et enfin le bureau. Il y avait aussi un coffre qu'Ereinion mit sous la fenêtre. Amélie lui montra comment faire le lit, où se trouvait les oreillers, les draps et les couvertures afin qu'il ne soit plus perdu ensuite, qu'il soit entièrement autonome. Quand ils eurent terminé avec la chambre, il était bien plus de huit heures du soir et ils étaient plutôt fatigués, enfin surtout Amélie, parce qu'Ereinion était beaucoup trop excité.
L'elfe avec un grand sourire lui dit :
-Je vais essayer le four !
-Heuuuuuuuu....... Fut la seule réponse d'Amélie qui se souvenait de la rencontre four à micro – onde et boîte de conserve.
-Ne faites pas la septique ma chère humaine. Je sais utiliser un four et je vais vous le prouver.
-Je vous fait confiance, mais j'espère que vous courrez vite, parce que si vous faites à nouveau exploser la cuisine, je vous pourchasses avec la voiture. Dit elle en souriant.
Il lui fit un grand sourire et partit cuisiner tandis qu'Amélie rangeait les cartouche d'encre de son imprimante. Elle s'installa devant son ordinateur et lu les messages qu'elle n'avait pas eut le temps de lire. Elle découvrit avec joie qu'Antoine n'était plus trop apprécié dans l'entreprise, car ses oeuvres montrait l'étendue infinie de son mauvais goût. Elle vit que son patron lui avait envoyé un jeu à tester. Elle envoya une réponse et se mit immédiatement au travail, elle sortit un calpin et se mit à énumérer les points forts et les points faibles du jeu. Pour le jeu en question, c'était une véritable merde. Elle téléphona à son patron et lui demanda :
-Allo boss, je viens de faire un rapide survole du projet que vous m'avez envoyé.
-Et tu en penses quoi ?
-C'est une farce hein ?
-Pourquoi dis – tu cela ?
-Parce que rien ne va avec ce jeu, les images sont grotesques, le scénario est nul, la fluidité est quasi – inexistante il n'y a aucun intérêt à ce jeu. Je suis désolé de te le dire, mais ce jeu est une merde et je pèse mes mots.
Elle entendit des éclats de rire derrière son patron. Les commentaires allaient bon train et Amélie demanda :
-Tu crois pas qu'un enfant s'est amusé avec vos logiciels, parce que seul un enfant pourrait faire une merde pareil.
-C'est Antoine qui t'as fait ce cadeau.
-Antoine, ça c'est à Antoine ? Tu te moques de moi là !
-Pas du tout. C'est la vérité.
-Mais c'est..... c'est........ j'ai pas de mot pour désigner ce truc. Même l'idée est pourrie, attends un cochon qui vole! Même les mômes de 2 ans trouveraient ça nul. Bon, je t'envoie mon rapport enfin si tu le veux toujours.
-Oui, je veux voir ce que tu penses de ce travail.
-Je te l'envoie.
Elle cliqua et envoya son rapport à son patron. Celui – ci le reçut quelques secondes plus tard !
-C'est bon, je viens de le recevoir.
Il lut le rapport et elle entendit les commentaire derrière, ils étaient tous d'accord avec elle et riaient aux appréciations de la jeune femme, appréciations sarcastiques et ironiques. Il la remercia pour son travail professionnel et lui dit qu'il lui renverrait d'autres jeux plus tard et que pour le moment il avait un Garfield à voir. Il la salua et raccrocha.
A suivre.
