RARRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR
-Aéléa WoOd : Oui, grâce à ses différentes ventes, elle a engrangé une très grosse fortune. Et elle se fait une joie de faire ce qu'elle veut avec. Pour le caddie à la queue leu leu, je reconnais l'avoir déjà fait et pour la caisse en flamme c'est déjà arrivé. Je suis en tout cas, je suis contente de t'avoir rendu la bonne humeur. J'espère que cette suite va te plaire et va aussi te faire rire.
-Hali 1 : Oui, c'est vrai que c'est une veinarde, c'est pas tout les jours qu'une personne peut se vanter d'avoir un elfe chez soit. J'aimerais bien être à sa place en tout cas .
-Tarock : Merci. Malheureusement, il ne va pas trop parler durant le film, enfin, tu vas voir. J'espère en tout cas que ce chapitre te plairas.
-Louise : Je sais que c'est dure de faire deux choses à la fois, souvent, je dois faire 2 à 3 choses à la fois. Mais dis – toi que tu feras de belles choses dans ta vie, autres que cette cloche d'Antoine ;)
-Gedauphin : Merci pour cette review, elle m'a fait très plaisir. Je souhaite que ce chapitre te plaira autant que les autres.
-Estel la Rodeuse : Salut cousine ! C'est la première fois que je réponds à l'une de tes reviews. Ça se fête, non ? ( sort une bouteille de champagne et une ribambelle de flutes à champagne) J'en ai aussi sortie pour ton harem et mon nounours il n'y a aucune raison pour qu'ils ne fassent pas la fête avec nous, non ? Après cette petite fête impromptue, je voulais te dire que je ne t'en voulais pas pour word, le plus important, c'est que tu continues à lire sur FF net J'espère que tu vas apprécier ce nouveau chapitre.
Maintenant que les RARRRRRRRRRRRRRRRRR sont terminé, je vous enjoins à la lecture saine de mon nouveau chapitre .
Par Eru chapitre 11
Amélie s'étira et redescendit pour voir Ereinion, celui – ci était en train de lire la notice du four tandis qu'une pizza chauffait au four à micro – onde. Elle éclata de rire le faisant lever son regard du livret. Il lui fit un grand sourire et ouvrit la bouche pour lui parler, quand le four sonna. Il se leva, et sortit la pizza chaude et lui dit :
-Gente demoiselle, le repas est prêt.
Il présenta la pizza au fruit de mer avec du jus d'orange qu'il trouva terriblement acide, c'était la première fois qu'il en buvait. Ils s'installèrent tous les deux dans la cuisine et discutèrent de choses et d'autre, en fait Ereinion raconta la journée de son point de vu et était toujours aussi choqué quant à la violence des femmes de ce monde. Mais il fut ravi de la gentillesse de certaines personnes mais déçu de la méchanceté d'autre. Amélie ne lui demandait jamais de parler de son monde pour qu'il n'ait pas le mal du pays, car c'est ce qu'elle ressentait pour sa maison et pour lui, ce devait être horriblement douloureux. Après avoir dîner, Ils décidèrent de regarder un film et Amélie se décida pour le Seigneur des anneaux. Ereinion mit le DVD tandis qu'Amélie apportait des canettes de coca. Il ne connaissait pas cette boisson, mais il savait que les gens en rafolaient. Il jeta un coup d'oeil à Amélie et la vit tirer une languette, il fit la même chose et sursauta quand un liquide marron foncé et collant gicla vers lui. Il entendit un bruit bizarre et vit Amélie pouffer de rire. Il souleva un sourcil et tenta d'imiter la jeune femme qui avala d'un coup 3 gorgées de cette boisson. Quand il l'eut en bouche, il sentit sa langue lui piquer atrocement et ses yeux piquèrent autant, il sentit des larmes lui couler le long de ses joues. Mais quand il l'avala, ce fut pire. Il crut avoir avalé une fourmilière en pleine effervescence. Il toussa comme un malade atteinte de peste pneumonique tandis qu'Amélie gémissait de douleur. En effet elle avait eut le fou rire en buvant et son coca lui était passé par le nez. Ereinion la regarda et éclata bruyamment de rire entrainant la jeune femme dans un autre fou rire irrépressible. Après le quart d'heure de rire, ils commencèrent à regarder le Seigneur des Anneaux. Ereinion éclata de rire quand il vit la représentation de Cìrdan, de Galadriel mais surtout d'Elrond. Il fut passionné par l'histoire, par l'histoire de son monde. Il trouva qu'Imladris était assez bien représenté, mais celui qu'il connaissait était vraiment beaucoup plus beau. Cependant, il ne pouvait s'empêcher de rire quand il voyait Elrond et Galadriel. Il riait tellement qu'il avait mal au ventre. Après une heure de visionnage, Amélie s'endormit profondément la tête sur les cuisses d'Ereinion qui jouait avec ses cheveux riant de temps à autre durant le film, mais il pleura un peu quand il vit la mort de Boromir. A la fin, il la réveilla pour aller se coucher. Quand elle vit sa position, elle devint d'un beau rouge vermillon. Il pouffa de rire, grand seigneur, il la prit dans ses bras et l'emmena vers la salle de bain, quand le téléphone dans le bureau sonna. Elle décrocha et le timbre chaleureux, calme et doux de son ex raisonna dans la pièce. Il l'insulta, la traitant de putain et d'autre terme aussi peu aimable. Il hurla que par sa faute, il venait d'être renvoyé, qu'il n'avait plus de maison et qu'il était à la rue. Elle allait lui répondre quand Ereinion qui continuait à la porter lui souffla dans le cou. La jeune femme éclata de rire pour le plus grand plaisir de l'elfe et pour la plus grande rage de l'humain qui atteint des sommets insoupçonné dans les cris hystériques. Il beugla comme un taureau en rut :
-TU TE MOQUES DE MOI ?!
-Oui! Bon c'est pas tout ça, mais mon porteur s'impatiente de pouvoir m'emmener dans la salle de bain.
-C'EST QUI ????
-Arrête de hurler, je ne suis pas sourde. C'est quelqu'un qui est 10 fois que dis – je 1 000 000 000 fois mieux que toi. Et maintenant, laisse – moi, j'ai quelque chose à faire de plus intéressant que de supporter ta soporifique conversation.
Et avec un petit sourire fier, elle lui raccrocha au nez et reposa le téléphone. Ereinion reprit sa marche vers la salle de bain et lui demanda :
-Qui c'était?
-Mon ancien petit copain. Il était infidèle, et me volait mon travail pour le mettre à son nom. Alors je l'ai abandonné et je suis venu m'installer ici. Avant j'habitais plus à l'ouest, à Paris.
-Je voudrais bien y aller!
-Ben, dans 6 mois je dois y aller pour la réunion semestrielle tu n'auras qu'à aller avec moi.
Ereinion fut fou de joie, il la serra encore plus contre lui et l'embrassa pour la plus grande confusion d'Amélie qui devint rouge comme une tomate mais elle ne put se retenir d'avoir un petit sourire idiot aux lèvres. Puis il la laissa dans la salle de bain faire sa toilette et ensuite, elle alla dormir tandis qu'Ereinion prenait sa place et se lavait avec joie les dents, il adorait le faire et s'il en avait la possibilité, il le ferait tout le temps, car il adorait le goût du dentifrice. Quand il sortit de la salle de bain, sa première pulsion fut de descendre et quand il vit le canapé sans voir son lit, il paniqua jusqu'au moment où il se rappela qu'il avait maintenant une chambre pour lui. Il souhaita bonne nuit à Amélie et s'enfonçant dans les draps frais, il s'endormit profondément, puis commença à faire un rêve étrange. Il révait qu'il était devant la maison d'Amélie, il vit la jeune femme avec quelques années de plus venir vers lui et l'embrasser tendrement. Derrière elle, arrivait en courant un petit garçon d'à peu près 5 ans, avec de grand yeux gris vert et de long cheveux noirs et des oreilles pointues. Soudain, il vit la jeune femme s'effondrer et son ventre arrondit s'aplatir à mesure qu'il sentait l'immortalité la gagner et qu'il voyait ses oreilles s'effilées. L'enfant qu'elle portait venait de lui donner sa vie pour qu'elle vive auprès de lui. Il se réveilla en sursaut, d'après son réveil, 30 mn après s'être endormit. Il replongea dans le sommeil et entendit une voix lui dire:
-Tu ne peux rester ici plus longtemps et elle ne peut plus vivre loin de toi. Quand le moment sera venu, vous partirez ensemble.
Puis il plongea dans un sommeil encore plus profond et ne fit plus un seul rêve de toute la nuit. Quand il se réveilla le lendemain, le rêve qu 'il avait fait le perturbait encore. Était – ce un simple rêve ou une vision. Il resta longtemps dans son lit appréciant ce silence et cette paix qui ne dura pas quand il entendit un hurlement de rage venant d'Amélie. Il se leva d'un bond et toujours en pyjama, il se précipita vers les cris. Arrivé dans le salon, il entendit des grognements et bruits de déchirements qui avaient l'air de venir du garage. Il se précipita vers la pièce et vit Amélie se battre avec un gros chien noir pour un tas de vêtements bleus. Il fonça à l'aide d'Amélie et fit fuir le chien qui poussa un couinement de douleur quand Amélie lui jeta un espèce de cube qu'elle avait prit dans un carton près d'elle. Le chien lâcha le tissus et s'enfuya en grognant de colère et de douleur. Amélie put se reposer. Elle s'approcha d'Ereinion, se mit sur la pointe des pieds et lui embrassa la joue :
-Merci.
-Qu'est ce que c'est ?
-Ce sont vos habits, je vous avais trouvé avec dans la forêt.
-Merci! C'est mon armure. Vous n'auriez pas trouvé une couronne. Mae.... je veux dire un diadème fait en métal, très fin.
-Un diadème très fin, comme ça ?
Elle fouilla dans un carton et lui rendit la couronne des Noldor. Ereinion fou de joie, prit la couronne hérité de sa famille et de son père entre ses mains et la serra contre son coeur en pleurant de joie. Ensuite, il attrapa Amélie par l'épaule et la serra fort contre lui en lui disant :
-Merci, merci! Tu ne peux savoir tout ce que représente cette couronne pour moi! Je ne sais vraiment pas comment te remercier !
-Moi, j'ai une idée.
-Ah oui, laquelle ?
-Tu voudrais rester avec moi ? Parce que ce chien commence à m'effrayer. Il a une intelligence malsaine. Je commence à avoir peur.
-Oui, je resterai. Un parce que je ne sais pas où aller et parce que j'aime beaucoup cet endroit, il est apaisant. Je pourrais rester ici jusqu'à la fin des temps sans aucun problème.
-Merci Ereinion. J'ai eu tellement de chose à faire pour le déménagement et notre rencontre, que je n'ai pas eu le temps de penser à Antoine. Mais maintenant que ça c'est calmé, je ne pense qu'à ça. A sa trahison, à ses mensonges et ça fait tellement mal.
-Et bien maintenant, cet Antoine ne va penser qu'à toi et à cet homme mystérieux qui t'a fait rire et il doit regretter ce qu'il t'a fait.
-Merci Ereinion! Viens je vais te préparer ton petit – déjeuné.
-Avec plaisir!
Tous les deux allèrent dans la cuisine et Amélie lui fit un gros petit déjeuné à base de jus de fruit, de céréale, de chocolat, de croissant, de pain au lait et d'oeuf au plat. Ereinion dévora le petit déjeuné en quelque minutes, puis décida d'aller se promener près du lac. Amélie aurait vraiment voulu l'accompagner, mais elle devait travailler. Alors ils se séparèrent, lui vers le lac, elle, vers le bureau. Il se promena ainsi pendant trois bonnes heures. Quand il revint il décida de parler à Amélie, car il en avait assez de rester cloîtrer dans la maison sans rien faire. Oh bien sur il adorait passer l'aspirateur, ça l'amusait énormément, mais il ne pouvait pas le passer toute la journée. Alors il prépara le repas en réfléchissant à la meilleur manière de lui parler.
Pendant ce temps, Amélie bossa sur un nouveau jeu que son patron lui avait donné. Elle travailla avec acharnement jusqu'au moment où une amie lui parla sur MSN. Elles discutèrent durant plus de 30 mn et la conversation dévia sur un certain mâle très bien fait de sa personne qui préparait le repas. Elle lui raconta les courses, mais surtout leur dit :
-Je crois que je suis tombée amoureuse. Il est parfait.
-J'imagine, mais il va repartir, non ?
-Non, il reste ici, j'ai réussit à le convaincre.
-Je parie que c'est pour ton argent qu'il reste.
-Je ne crois pas, il passe son temps à passer l'aspirateur et à faire la cuisine, il adore faire ça!
-Hein ?! Mais..... mais tu as trouvé la perle rare dit donc! Tu sais pas s'il a un frère ?
-Je ne sais pas ! Et puis de toute façon, il est unique et je n'aime pas partager ! Je suis comme la fourmis, je ne suis pas prêteuse.
-AMELIE ! A TABLE !
-Ah! Mesdemoiselles, mon appolon m'appelle pour manger ! A plus tard.
-Bon ap et A
Toute contente, elle descendit dans la cuisine et fut accueillit par le fumé délicat et délicieux de l'oeuvre d'Ereinion. Elle sentait son estomac se tordre et grogner tellement elle avait faim. Elle s'assit en face d'Ereinion et vit avec délice le repas qu'il avait préparé. Elle regarda la cuisine d'un coup d'oeil et put constater qu'il n'y avait aucune dégradation. Elle lui fit un grand sourire auquel il répondit par un sourire un peu crisper. Amélie après un bruyant bon appétit commença à manger. Elle mangeait dans un silence quasi – religieux, ce qu'il avait fait était un pur délice, une merveille. Elle savourait, dégustait ce repas sans un bruit, laissant ses papilles gustatives se délecter du repas. Ereinion ne mangeait pas, attendant nerveusement la sentence. Avait – elle apprécié, avait – elle détesté ? Mais quand il vit Amélie fermé les yeux de plaisir, il poussa un soupir de soulagement et commença à manger. Elle fit un immense sourire à Ereinion et lui glissa :
-C'est délicieux, je n'ai jamais mangé quelque chose d'aussi bon. Mais ce pain est étrange, je n'en avais jamais goûté auparavant. Qu'est – ce – que c'est ?
-C'est du Lembas. Tous les hauts elfe savent le faire, les hommes comme les femmes. Bien que se soit surtout les femmes qui le fassent.
-Et bien c'est un véritable délice. J'adore ça ! Marmonna – t – elle avec la bouche pleine.
Il pouffa de rire et fut vraiment ravi que ce la lui plaise. Maintenant que la phase un du plan pour l'amadouer était une réussite, il mit en place la phase 2. L'air de rien, il lui demanda :
-Amélie ?
-Oui ?
-Heu.... voilà! Je voudrais pouvoir sortir dehors. Tu pourrais venir avec moi faire une promenade ? C'est assez ennuyeux de se promener seul. Et je commences à en avoir assez de rester à l'intérieur.
-Aujourd'hui ce n'est pas trop possible, mais demain d'accord.
Ereinion faillit crier de joie. Il débarassa la table, fit la vaisselle et regarda la télévision enfin pendant 5 mn, parce qu'après, il recommença à passer l'aspirateur. Amélie elle remonta dans le bureau, se déconnecta de MSN et se plongea complètement dans son travail. Après 3 heures de travail acharné, elle envoya à son boss son rapport et commença à faire une recherche sur internet. Elle rechercha dans les environs et elle apprit avec une joie toute relative qu'il n'y avait pas grand chose à faire par rapport à Paris. Mais elle apprit avec joie qu'il y avait un haras pas loin en fait à 15 km de chez elle. Et aussi un stand de tir à l'arc, les activités parfaite pour avoir un elfe heureux, épanoui et en bonne santé physique et mentale chez soit. Elle téléphona au stand de tir et fut dégouté en apprenant qu'il allait fermer définitivement dans une semaine faute de moyens. Abandonnant l'idée, elle raccrocha et appela les haras, qui s'appelait le Haras des 4 domaines et apprit qu'il y avait des chevaux à vendre. Elle décida de faire la surprise à son elfe et elle eut même une idée pour lui remonter encore plus le moral. Elle descendit dans le salon et lui dit :
-Je dois faire une course, je reviens dans 2 heures.
-Mais..... Et moi ? Demanda – t – il d'une toute petite voix.
-Ben.... Vous pouvez rester dans la maison si vous voulez. Bon, ben à plus tard.
Elle prit ses clés de voiture, et partit laissant le pauvre elfe seul dans la maison. Tout seul, sans personne à voir, ni à parler. La machine à laver le linge ne tournait pas, et il ne voulait ni sortir dans le jardin de peur de tomber sur une femme qui tenterait encore de l'agresser. Le pauvre se demandait ce qu'il avait fait de mal pour qu'elle le punisse de cette façon. Il commença à tourner en rond dans la maison, ne sachant pas quoi faire. Il décida alors de l'attendre devant la fenêtre du salon. Amélie, dans sa voiture, fit un léger excès de vitesse en volant un peu bas sur la nationale et à 160 sur l'autoroute. Elle fonça à Epinal et alla à Decathlon acheter 2 arcs, l'un pour Ereinion et l'autre pour elle. Elle acheta aussi une centaine de flèches, 2 carquois, et des protections pour le bras et la main. Elle demanda qu'on enveloppe le plus grand des arcs. Les autres se demandèrent pourquoi et elle leur dit qu'elle voulait faire un cadeau à un grand ami à elle. Ensuite, elle visita tous les magasins mais ne trouva rien d'autre à part du jus de poire, de pomme, d'orange, de raisin, en fait tous les jus de fruits qui existaient, ainsi que du nectar de poire, d'abricot enfin tout ce qui existait comme nectar. Ensuite, ses achats effectués, elle décida de revenir chez elle, craignant que le pauvre elfe ait fait une dépression tout seul. Quand elle revint chez elle, elle vit un elfe tout content courir vers la voiture et accessoirement sa personne. Elle eut une image dans sa tête, la pub de Royal canin avec le chien qui court dans la plaine. Elle éclata d'un rire joyeux. Ereinion ravi qu'elle soit revenu lui demanda encore secoué par ce lâche abandon:
-Ai – je fait quelque chose de mal pour que vous m'abandonniez ainsi ?
-Tu ne m'as rien fait. Et je ne t'ai pas abandonné, j'avais seulement quelque chose à t'acheter, une surprise. Et je veux te l'offrir maintenant.
Avec un sourire, elle lui tendit un long paquet entouré de papier brun. Etonné, il prit le paquet et commença à l'ouvrir. Et quand il vit l'arc flambant neuf, il ne put s'empêcher de crier de joie. Il caressa l'arc sur toute sa longueur et se tournant vers Amélie, il l'embrassa tendrement tentant ainsi de lui montrer sa joie. Il aurait voulut tirer quelques flèches, mais le soleil se couchait déjà et Amélie et lui avait encore du travail à faire. Après un bon repas, Tous les deux allèrent se coucher. Ils eurent une magnifique nuit enfin surtout Ereinion qui passa la nuit à rêver de tir à l'arc. Vers le milieu de la nuit, il rêva qu'il se trouvait avec sa cousine Galadriel et avec Amélie qui dormait pelotonner contre lui. Le lendemain, Amélie se réveilla assez tôt pour pouvoir continuer la surprise d'Ereinion. En allumant l'ordinateur, elle reçut un mail de son patron qui la félicitait chaudement pour son travail, en plus, il lui donnait une augmentation, car beaucoup de boîtes seraient prêtes à vendre leur parents pour l'avoir chez elles. Amélie vit aussi avec joie qu'il n'avait pas d'autre boulot à lui donner, enfin pas encore. Elle poussa un cri de joie :
-OUAIS !!!
-Que se passe – t – il ? Demanda Ereinion en passant la tête dans l'entrebaillement de la porte du bureau.
-Je suis en congé aujourd'hui. Viens Ereinion, on petit – déjeune et ensuite on part en vadrouille.
-En vadrouille ? Demanda – t – il, il ne connaissait pas ce mot.
-Oui, on va se promener !
-OUIIIIIIIIIIIIIII !!!! Je vais aller vous préparer ton petit déjeuné.
-Parfait je vais aller me changer et puis après manger on part.
-D'accord !
Après un bon petit déjeuné bien consistant, ils partirent en vadrouille, Ereinion avait un immense sourire aux lèvres, qui commença à disparaître quand elle prit les clés de sa voiture et s'envola franchement quand elle se dirigea vers le garage. Il monta dans le 4 X 4 en grognant et laissa Amélie le conduire toujours en grognant . Il s'endormit au rythme du requiem de Mozart qu'il adorait. Amélie jeta un coup d'oeil vers lui et tenta de trouver le chemin pour le haras sant trop se perdre. Elle ne mit que 4 heures, Ereinion étant plongé dans un repos bien mérité. Enfin, elle trouva le bon chemin grâce à l'aide providencielle d'un paysan sur son tracteur qui regardait la route comme les vaches regardent les trains passer. Ereinion se réveilla en sursaut quand il entendit un hennissement bruyant. Il ouvrit les yeux, il vit un immense bâtiment. Tournant la tête, il vit des centaines de chevaux s'ébattre librement dans les enclos. Quand le 4 X 4 s'arrêta, il ouvrit la porte et respira avec bonheur l'odeur des chevaux. Il se tourna vers Amélie, la serra fort contre lui et l'embrassa passionnément pour la plus grande joie de la jeune femme qui tituba un instant frôlant l'extase la plus complète. Ereinion fou de joie se précipita vers les chevaux qui s'approchèrent de lui sans aucune peur ni aucune appréhension sous les regards fascinés et médusés des cavaliers.
Amélie partit essayer de trouver le propriétaire afin de trouver les chevaux qui étaient à vendre. Ereinion flattait un puissant étalon noir qui ensença en hennissant bruyamment. Ereinion pouffa de rire. En tournant la tête, il vit Amélie partir vers les grands bâtiments. Il fit un signe à l'étalon et partit en courant rejoindre Amélie. Elle sursauta un peu quand elle sentit une main chaude s'emparer de la sienne. Elle leva la tête et vit Ereinion qui marchait à côté d'elle tout souriant. Il avait l'air vraiment heureux, et elle fut contente pour lui. Elle lui serra la main et lui dit :
-Tu aurais pu rester avec le cheval, tu avais l'air d'être si content.
-Je veux rester avec toi et voir le reste. Le cheval, je pourrais toujours le revoir plus tard.
-D'accord.
-Où allons – nous ?
-Nous allons trouver le propriétaire des haras et acheter nos propres chevaux.
Là Ereinion cru défaillir de joie. Il allait pouvoir monter ses propres chevaux. Il pourrait sortir tous les jours, galoper les cheveux aux vents et peut – être qu'Amélie irait avec lui, pourquoi pas. Ce serait tellement bien. Il se tourna vers elle et en réponse à son regard joyeux, elle lui fit un grand sourire. Puis, elle l'arrêta et entra dans une pièce avec un panneau sur lequel était écrit « direction ». Un homme d'une quarantaine d'année les accueillit avec un grand sourire en leur demandant :
-Bonjours. Que puis – je faire pour vous, monsieur, dame ?
-Bonjours monsieur. Je souhaiterai acquérir des chevaux. Pourrais - je voir ceux qui sont à vendre.
-Mais bien sûr. Venez, je vais vous les montrer. Dit – il avec un grnad sourire et pour Amélie un regard qui disait je vais te plumer ces deux pigeons.
Il les emmena vers les écuries pour leur montrer les chevaux à vendre. Amélie se tourna vers Ereinion et lui demanda dans le creux de l'oreille.
-Je ne connais rien aux chevaux. Et lui a bien l'intention de nous arnaquer et de nous vendre des bêtes en mauvaise état. Tu pourrais les vérifier et choisir les meilleurs ?
-Bien sûr, je ne prendrait que des chevaux digne de mon rang. On ne verra jamais un roi elfique sur une carne squelettique.
-Un roi elfique. Et bien, je ne suis pas tombé sur n'importe qui. Ria Amélie devant Ereinion qui ne comprit pas son hilarité.
Il haussa les épaules et tous les deux suivirent le propriétaire qui les emmena dans les écuries. Là, Ereinion commença à vérifier l'état des animaux. Il y avait une vingtaine de bêtes à vendre et Amélie fit entièrement confiance à l'elfe pour lui trouver les meilleurs chevaux du groupe. Le propriétaire et Amélie regardait l'elfe qui tâtait et palpait les jambes des chevaux, passait la main sur le dos des animaux, regardait les dents et après les avoir bien observé, il se redressa et dit au propriétaire :
-Ils ne sont pas très bien ses chevaux. Celui – là est malade, celui – là est boîteux et celui – ci à les dents pourris. Quant aux autres ils sont tellement vieux qu'ils risquent de mourir avant d'arriver devant la porte.
Le propriétaire le regardait avec les yeux rond tandis qu'Amélie pouffait de rire et faisait à Ereinion un clin d'oeil amusé. Elle dit à l'autre homme :
-Mon ami est un expert avec les chevaux. On peut même dire qu'il est né sur le dos d'un cheval. Alors comme cela vous vouliez nous vendre de mauvaises bêtes. Nous voulons voir d'autres chevaux. Ordonna Amélie.
Ereinion lui fit son plus beau sourire et recommença à observer les chevaux, mais d'autres, ceux dans les enclos. Pour le plus grand dam du proprio, il dénicha les deux meilleurs chevaux du haras, une pouliche blanche comme la neige et l'étalon noir qu'il avait flatté à son arrivée. Le propriétaire tenta de les mettre en garde, car ces chevaux venaient juste d'arriver et étaient reconnus unanimement comme indressable. Mais bizarrement quand Ereinion les appela, les deux chevaux arrivèrent rapidement et s'arrêtèrent devant l'elfe. Ils furent tous les deux doux comme des agneaux. Amélie décida donc de les acheter tous les deux pour la plus grande joie d'Ereinion et devant le propriétaire médusé qu'une personne puisse sortir 25 000 euros de sa poche sans aucun problème et sans pleurer. Il faut dire que les comptes d'Amélie étaient plus que remplis, elle était plus que millionnaire et pouvait même vivre dans un luxe outrancié jusqu'à la fin de sa vie sans avoir à travailler.
Le propriétaire fut ravi de cet achat qui arrivait vraiment au bon moment, en plus la jeune femme avait acheté le van, le harnachement et tout ce qui était nécessaire pour la monte des chevaux. Ereinion calma les deux montures qui entrèrent sans trop de problème dans le van. Puis, ils repartirent vers la propriété d'Amélie devant les cavaliers qui regardaient ces 2 équidés presque sauvages partir vers une autre destination.
A suivre
