RARRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR

·

·

-Hali1 : Merci, les cours vont bien et comme je suis en vacances, je peux mettre des réponses aux reviews. Ah! Antoine, il a faillit y avoir droit, mais si Ereinion lui avait refait le portrait, Mister j'emmerde le monde aurait été capable de porter plainte contre lui. Et comme je ne voulais pas que mon nounours ai des problème avec lui, j'ai laissé la police faire son travail. Enceinte, c'est comme si c'était hier qu'ils se sont rencontré et maintenant ils forment une vrai famille, c'est mignon, j'adire tout ce qui est mignon.Et oui, je suis assez fleur bleue. La famille va s'aggrandir, je ne te dirait pas ce que ce sera, ce sera la surprise dans un autre chapitre. Voici donc la suite tant attendue.Bonne lecture.

-Gedauphin : Merci de ta fidélité, tu as apprécié le chapitre 14 alors j'espère vraiment que tu apprécieras le chapitre 15 Donc celui qui arrive! Oui, celui qui se trouve après les réponses aux reviews ;) Bonne lecture.

-Aelea WoOd : Salut cousine, tu sais , mon nounours n'y était pour rien si je ne pouvais te répondre, c'est Msn qui faisait des siennes.Essaie de la comprendre, Mélanie dit que c'est sa meilleur amie, Amélie légèrement naive la croit et l'autre lui pique son mec et raconte des bobarts sur elle, toi aussi je pense que tu aurais mal réagit. Mais il est vrai qu'elle est assez impulsive, c'est dans son caractère. Et puis, merci pour les livres je pense que ça les aidera beaucoup . Tu sais, je fais mon possible pour qu'il soit un peu comique, même s'il s'est adapté à ce monde bizarre, il lui reste des choses à apprendre. Sinon, ne t'inquiète pas, je bosse bien quand même. Allez à mercredi et Bonne lecture ;).

-Chibi -Eladiel : Dame chibi. Je suis vraiment contente que le fait que l'action se passe dans les Vosges te plaise. J'espère que je ne l'ai pas trop amoché ton p'tit département sinistré :) Je t'envoie la suite tant espéré et j'attend moi aussi la suite tant espéré de ta fic ;). Allez bonne lecture et à la prochaine.

-Feariel : Cette figure de style est un euphémisme, minimisé une phrase pour montrer en fait qu'elle est beaucoup plus importante, quand j'écrit « quelques peu énervé », tu dois plutôt le lire comme fou furieux et bavant de rage, mais un elfe bavant de rage, ça perd une parti de son cherme, non ? J'espère que tu retrouveras bientôt son silmarillions, car il ne faut jamais perdre ce livre, c'est une bible, l'un des livres les plus important ;). Et bien, je t'envoie la suite et j'espère qu'elle va te plaire. Bonne lecture

-Louise : Super, je vien de comprendre l'un des mots que tu avais mis dans ta rewiews « lé ven » Ben pour les insultes, je me suis mise à la place d'Amélie et j'ai insulté mon chat, la pauvre bête ne coprenait plus rien ;) Bon, je te souhaite une bonne lecture.

-Sinwen : Je reconnais que ça défoule énormément, ouf! N'aie crainte et quant à la suite, maintenant c'est bon ? J'espère que tu vas apprécié ce nouveau chapitre. Bonne lecture.

Maintenant que les RARRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR sont terminés, je fais un beau petit disclamer qui dit que rien ne m'appartient, à part Amélie, que les lieux appartiennent à la France, les persos elfiques et canines à Tolkien

·

·

Bien ben bonne lecture .

·

·

·

·

Par Eru chapitre 15

·

·

·

·

Maintenant qu'ils étaient de retour chez eux, Ereinion prit les choses en main. Il emmena Amélie avec tendresse dans la salle de bain et lui fit prendre un bain qui fit frémir la jeune femme de plaisir, car il prit le bain avec elle et lui savonna tendrement tout son corps en cherchant les premières preuves de sa grossesse. Puis, il la coucha dans son lit et lui apporta son repas. Amélie était attendrie par toutes ses attentions et s'endormit profondément dans les bras d'Ereinion qui dormit avec elle. Le lendemain matin, elle se réveilla malade comme un chien et réveilla en sursaut Ereinion quand elle lui marcha dessus et courut vomir tout ce qu'elle avait dans son estomac en un mot, rien. Ce manège dura 2 mois jusqu'à ce que ses nausées matinales disparaissent. Pendant toute cette période, elle resta dans son bureau ou dans sa chambre enviant Ereinion qui jouait comme un fou avec les deux chevaux. En effet, il était retourné au haras à pied et avait ramené les chevaux pour leur plus grand joie. Mais ils furent encore plus heureux quand Amélie abandonna sa condition d'hermite et les rejoignit à l'extérieur.

Ce jour là, ils firent une longue balade qui se termina par un bain dans le lac et dans le plus simple appareil. Le temps passait et les voyait de plus en plus heureux visitant leurs terres toujours plus belles chaque jour. Alors qu'Amélie et Ereinion travaillait sur l'ordinateur enfin qu'Ereinion apprenait à utiliser un ordinateur et qu'Amélie travaillait, Patrick et Medhi arrivèrent avec une mauvaise nouvelle.

-Amélie, Ereinion! On a une mauvaise nouvelle à vous annoncer.

-Que se passe – t – il ? Demanda Amélie inquiète.

-Voilà, un de vos voisins a porté plainte contre vous, parce que votre barrière l'empêche de prendre le chemin communal.

-Comment ? Il y a un chemin communal qui passe dans notre domaine ? Demanda Ereinion tout étonné.

-Non, il serpente à côté de la barrière, mais il n'est pas sur nos terres. C'est simplement que nous l'empêchons de revenir dans le cabanon qu'il a fait illégalement construire de l'autre côté du lac. Dit Amélie légèrement en colère. J'ai vraiment envie de le brûler ce cabanon, mais avec le peu de pluie qu'il y a eut ces dernières semaines, ça risquerait de mettre le feu à toute la forêt.

-Il l'a fait illégalement ? Demanda Patrick très intéressé. Pourriez – vous nous y amener ?

-On ne peut pas y aller en voiture, il faut y aller à cheval ou à pied.

-Mais nous n'avons pas de chevaux ? S'exclama Medhi.

-Mais nous si ! Vous allez voir. Rétorqua fièrement Ereinion.

Ils allèrent devant la maison et Ereinion siffla bruyamment. Les gendarmes sursautèrent surtout quand ils virent arriver les deux chevaux. Patrick lui demanda :

-Pourriez – vous attendre un peu je vous prie.

-Mais bien sûr. Répondit Amélie étonnée.

Les deux gendarmes remontèrent en voiture et repartir comme s'ils avaient le feu aux trousses. Les deux amoureux et les deux chevaux furent assez étonnés par ce fait. Puis, 2 heures plus tard, le collègue de Patrick alla garer la voiture de gendarmerie devant la porte tandis que Patrick revenait monter sur un fier alezan et tenait la bride d'un hongre à la robe grise. Il regarda Amélie et Ereinion et leur dit :

-Heureusement que nous savons monter à cheval. Vous nous montrez le chemin ?

-Pas de problème. Dit Amélie avec un sourire.

Medhi sortit de la voiture et monta sur son cheval imité par Ereinion et Amélie qui eux, montaient à cru tous les deux. Les gendarmes étaient ravis de pouvoir chevaucher paisiblement dans l'un des plus beaux domaines de la région. Ils discutaient tranquillement avec Ereinion et Amélie observant une nature préservé de toute présence humaine. Toute présence humaine ? C'est quoi ce four, et puis ce pneu. Plus ils approchaient de la rive nord du lac, plus il y avait de déchets. A la fin, ils se trouvaient devant une véritable décharge publique. Ereinion en pleurait. La nature était complètement saccagée, il y avait une odeur infecte qui empoisonnait l'atmosphère. Amélie se tourna vers les gendarmes et leur dit :

-Vous êtes témoins, cette décharge est ancienne.

-Oui! Tient, tient, tient ! Comme c'est intéressant ! Dit Patrick.

-Qu'est ce qui est intéressant ? Demanda Ereinion qui reniflait pitoyablement.

-Vous voyez ce four ?

-Heuuu oui ! Dit Amélie plus qu'étonnée.

-Et bien il appartient à Alex Térieur, votre voisin énervé contre vous.

-Oh ! Je vois. La gendarmerie est loin d'ici ?

-Non, une dizaine de km. Pourquoi ?

-Parce que je vais porter plainte contre lui pour avoir transformé ma propriété en décharge et puis aussi, je vais portez plainte contre lui pour construction illégale. Je revient, je vais aller chercher mon appareil photo.

Amélie fit faire demi – tour à sa jument et galopa à vive allure jusqu'à la maison. Là, elle prit son appareil numérique et vit avec joie que la batterie était pleine. Ensuite elle remonta sur son cheval et repartit toujours à vive allure vers ses compagnons. Arrivé devant la décharge, elle photographia tout, y comprit le nom écrit sur le four. Puis, ils repartirent vers le lac et la construction. Après la décharge, ils furent horrifiés, car au lieu de voir un cabanon, ils virent un véritable petit village lacustre totalement illégal. Amélie était en train de fulminer:

-Tout est totalement illégal ici! Oh ils vont voir de quel bois je me chauffe. Je vais tout faire détruire et devant eux !

Tous mirent pied à terre et Amélie donna aux gendarmes la permission d'entrer de n'importe quelle façon dans les maisons, ses maisons étaient sur ses terres et donc à elle. Ils découvrirent bien vite que les maisons avaient été construites par les voisins directes d'Amélie. Elle demanda à Patrick quand était le procés, il lui dit que c'était dans 3 semaines au tribunal d'instance d'Epinal. Amélie leur demanda ce qu'ils devaient avoir besoin pour faire démolir ces cabanons et les gendarmes leur donnèrent toutes les dispositions qu'ils devaient faire pour que se soit légal. Ils firent tout le tour du lac. Mais au lieu de reprendre leur voiture, les gendarmes les amenèrent à la gendarmerie devant les voisins qui jasaient. Quand le capitaine de gendarmerie vit les 4 chevaux dont deux étaient presque libre dans la cour, il demanda à Ereinion et Amélie s'ils pouvaient accueillir les vieux chevaux de la gendarmerie. Mais Amélie répondit :

-Nous sommes désolé, mais notre écurie ne peut contenir que deux chevaux. Les deux autres appartiennent aux Haras des 4 Domaines.

-S'il vous plaît. Supplia le capitaine. Si nous ne trouvons pas d'endroit où les garder avant la fin de l'année, ils finiront à la boucherie.

-Heeuuuu..... J'ai une idée, mais il nous faudra un permis de construire. Il y a une vieille acierie. Nous pourrions utiliser la charpente et les poutres encore bonne et construire une écurie plus grande. S'exclama Ereinion.

-Vous le feriez ?

-Mais bien sûr, il n'y a aucun problème. Je n'aime pas savoir que des chevaux qui ont bien travailler toutes leur vie finissent à la boucherie. Répliqua Amélie

-Merci. Je vais téléphoner au maire.

Il fit un numéro, attendit quelques secondes puis commença à parler :

-Francis ? C'est Bertrand. Oui, je vais bien. Mais voilà, j'ai trouvé des gens qui se feraient une joie d'accueillir les anciens chevaux de la gendarmerie, mais il leur faudrait un permis pour construire une nouvelle écurie. Tu veux d'abord voir le terrain ? « Il regarda Amélie et Ereinion qui acceptèrent d'un signe de tête » Ils sont d'accord. Mais pour le moment, ils ont un problème de pollution, les voisins qui ont balancé toutes leurs ordures dans leur propriété. Oui, le temps de décomtaminer le site et puis c'est bon. Parfait. Merci Francis. A plus.

-Voilà c'est fait. Votre plainte a été bien noté, et ils vont la recevoir sous peu. Quand au permis de construire, il vous sera délivré quand votre domaine sera libéré des ordures.

-Merci Capitaine.

-Appelez – moi Bertrand, tout simplement.

-Merci Bertrand.

Tous les deux sortirent et quand Amélie grimpa sur Blanche Neige, elle tira la langue aux voisins qui l'insultèrent encore plus copieusement. Mais ceux - ci furent tous plus que surpris quand ils reçurent le jour même la notification de la plainte porté contre eux. Après avoir porté plainte, Amélie et Ereinion allèrent aux haras pour ramener les chevaux, puis les gendarmes montèrent en croupe derrière eux, reprirent leur voiture et arrivé à la maison des deux amoureux, ils repartirent après un ultime au revoir aux 2 amoureux. Le temps passait et Amélie mettait au point une défense en béton ainsi qu'une attaque meutrière et attendait avec impatience le permis de démolition. Le jour de l'audience, Amélie eut la joie de recevoir le permis, mais en plus, ce serait la police qui le ferait trop contente de faire respecter la loi et de clouer le bec à des gens qui se croyaient tout permis parce qu'ils avaient un compte en banque bien fournis. Elle leur demanda de le faire après l'audience, ce qu'ils acceptèrent avec joie.

Donc, le jour de l'audience de bonne heure, Amélie et Ereinion entrèrent dans la salle du tribunal et furent conspués par les gens qui ne pouvaient plus aller au lac et faire mumuse dans leur petit cabanon. Ereinion était désemparé, il ne comprenait plus rien, il ne comprenait pas pourquoi les gens l'insultait. Amélie le rassura en lui disant que les gens la sifflaient elle et pas lui et qu'elle attendait avec hâte la fin de l'audience pour voir leur tête surtout qu'ils avaient reçu des invitations pour une surprise près du lac. Les avocats du plaignant amenèrent témoins sur témoins, et Amélie n'apporta que 2 témoins, un historien qui connaissait la région comme sa poche et l'employé du cadastre. En 20 mn, elle brisa les rêves de ses gentils voisins, car le chemin qu'ils prenaient d'habitude n'était pas le chemin communal, et que d'après le cadastre celui – ci serpentait à côté de la barrière. Le tribunal trancha et le voisin fut débouté et dû en plus payer son avocat ce que n'avait pas prit Amélie et les frais de justice. Mais en plus, le hasard avait voulu que les procès contre ses voisins pour construction illégal et création d'une décharge sauvage s'ouvre le même jour mais l'après midi. Avec toutes les preuves, les témoignages et les photographies, les voisins perdirent de nouveau. Amélie avait été dure, ils devaient reprendre leurs déchets et les apporter à leur frais à la décharge publique. De plus, ils devaient payer des amendes, des dommages et intérêts, la location des camions qui transporteraient les ordures, ainsi que la terre souillée, et aussi la démolition des cabanons.

Amélie et Ereinion très fiers d'eux, repartirent vers leur maison puis amenèrent les buldozers devant les cabanons. Devant tous les voisins choqués, battus et larmoyant, ils regardèrent les buldozers mettre à bas les cabanons et les hangars à bateau qui contenaient tous des bateaux. En 2 heures il ne resta plus rien. Amélie leur lança un regard noir et leur dit :

-Un enfant a failli se noyer ici, et bien cela n'arrivera plus, car ma propriété vous est dorénavant fermé! Partez et ne revenez jamais plus chez moi où je me verrais contrainte d'appeler la police pour effraction. Alors maintenant dehors.

Tous repartirent dégoûté, leurs voitures regorgeant d'ordures puantes et suintantes. Le voisin agressif se retrouva avec le plus de déchets, car il avait la voiture la plus grosse et la plupart des ordures venaient de chez lui. Tous regardèrent une dernière fois ce domaine qui avait été leur terrain de jeu pendant leur enfance quand le dernier enfant et le dernier camion quitta la propriété quelques 17 heures plus tard, la porte se referma sur un domaine purifié. Il n'y avait plus une seule ordure dans tout le domaine, les produits dangereux qui heureusement n'avaient pas fuit furent amené dans une décharge spéciale de même que la terre. Puis tous entendirent le grésillement caractéristique d'une clôture électrifié. Cependant, le plus dur pour eux furent de voir des chevaux les narguer et s'ébattre librement dans la propriété, et les propriétaires jouer avec eux. Amélie se tourna vers Ereinion priant qu'il ne lui en veuille pas. Mais en fait, il lui lança un sourire charmeur :

-Je suis vraiment content que tout soit terminé. Cet endroit est notre royaume à nous et à personne d'autre. Nous allons pouvoir élever notre enfant dans le calme et la tranquilité.

Le lendemain, le Monsieur le Maire, Francis Duprès arriva devant la propriété et eut la surprise de voir le gros portail s'ouvrir devant lui. Il pénétra dans le domaine et fut ébahi par la beauté de la forêt, sa densité et sa profondeur. Quand enfin après 45 mn de route il arriva devant la maison, il vit deux chevaux qui couraient librement dans la propriété et une toute petite écurie qui ne pouvait contenir que 2 chevaux grand maximum. Près du lac, il vit les propriétaires du domaine qui jouaient à se jeter de l'eau à la figure. Il sortit de sa voiture et s'approcha d'eux. Il toussota un peu et reçut une gerbe d'eau en plein figure. Les deux amoureux furent désolé et ils se retrouva en 3 minutes en caleçon assis sur le sofa attendant que ses vêtements sèchent. Il était en train de discuter avec Ereinion qui lui posait une tonne de question sur la ville et le métier de maire, quand Amélie revint avec une tarte au pomme fait par ..... Ereinion et congelé ensuite, pendant 2 semaines après l'annonce de la grossesse d'Amélie, il avait été pris d'une frénésie de pâtisserie et il restait encore une trentaine de tarte et de gâteaux de toutes sortes qui attendaient dans le congélateur. Après le goûter et après avoir remis ses vêtements tout chaud, il leur parla du permis. Amélie lui expliqua qu'ils avaient l'intention de démonter la vieille acierie, prendre la charpente et en faire une écurie qui accueillerait sans problème une cinquantaine de bête. Le maire se mit à réfléchir rapidement et accepta de leur signer un permis de construire. Il leur dit :

-Pour moi, c'est d'accord. Vous avez tout à porter de main. Mais à une seule condition.

-Laquelle ? Demanda Ereinion un peu méfiant.

-Vous devrez le faire par des artisans de la région.

-D'accord, monsieur le maire.

-Appelez – moi Francis. Tous mes amis m'appellent Francis.

-Merci Francis. S'exclama Ereinion avec un sourire ravi.

Quand la discussion se termina, le maire reparti chez lui avec 7 packs de jus de goyave. Amélie et Ereinion trouvaient ça dégoûtant et n'y touchaient pas. Le maire était ravi, parce que les 2 jeunes gens n'avaient pas tenté de le corrompre. En effet Amélie lui avait dit qu'Ereinion offrait toujours des jus de fruit à ses amis. 2 semaines plus tard, ils reçurent le permis de construire et appela les artisans à l'aide. Tous vinrent les aider et en 3 mois, une magnifique écurie pouvant accueillir une soixantaine de chevaux fut construite. La charpente était en métal. Les murs en bois venant de la plus part de l'ancienne acierie, le toit était étrange. Directement sur les poutres, c'était du bois, ensuite, il y avait du métal, puis encore du bois et enfin, de la tuile. C'était le toit d'origine de l'acierie la seule chose qui avait été changé était le bois car il avait pourri. 3 jours plus tard, des vans appartenant à la gendarmerie vinrent amener des chevaux. Les pauvres bêtes étaient épuisées et allèrent directement se reposer. Les gendarmes les remercièrent chaudement de leur gentillesse. Après une autre semaine d'acclimatation, les chevaux couraient comme des cabris avec comme étalon dominant Fëanor qui n'acceptait aucune désobéissance à son pouvoir absolu.

Le temps passait et avec lui, le ventre d'Amélie s'arrondissait. Elle était déjà enceinte de 5 mois et était en train de réinstaller son décodeur satellite quand elle sentit un mouvement dans son ventre. Elle s'assit précipitamment et se mit à hurler :

-EREINIONNNN !!!!

Son elfe arriva en courant paniquer qu'il n'arrive quelque chose à sa femme même s'ils n'étaient pas marié et à son futur enfant. Totalement affolé, il lui demanda dans un état de fébrilité émouvante :

-Qu'est ce qui ce passe mon amour ? Tu as mal ? C'est le bébé, tu vas accoucher, c'est cela ?

-Non, non! Viens asseoies – toi.Dit – elle avec un sourire.

Un peu étonné, il s'assit près d'elle sur le sofa. Puis elle prit sa main et la mit sur son ventre. Il ne comprenait pas pourquoi elle lui demandait cela. Soudain, il sentit un mouvement et Amélie poussa une exclamation étouffée de douleur tandis que le futur bébé lui colla un coup de pied. Ereinion était ravi, même plus, il était ému. Pour la première fois, il était en contact avec ce qu'il avait permis de créer. Il serra Amélie dans ses bras et l'embrassa fougueusement. La jeune femme ne résista pas et même l'aida à retirer ses vêtements. Elle passa amoureusement ses mains sur le dos de son elfe et dans son caleçon. Ereinion gémit de plaisir en sentant cette main fraîche caresser son corps brûlant et sa chaire palpitante de désir. Il lui enleva tendrement ses vêtements un à un la faisant gémir et se tordre de plaisir. Bientôt, ils furent tous les deux totalement nus et passèrent à des jeux plus physique. Ereinion caressait tout son corps ravi de toucher ce ventre chaud qui renfermait un trésor qui avait plus de valeur pour lui que toutes les couronnes des Elfes. Il fut ramené sur terre quand Amélie le supplia de la prendre sur le champ. Au lieu de se mettre sur elle et de la blessée, il la mit sur lui et la pénétra profondément. Il lui fit l'amour avec tendresse, mais sans violence qui fit hurler Amélie de plaisir. Il tentait de retenir sa passion mais bientôt, elle explosa en lui et la jeune femme le sentit se répendre en elle. Tous les deux en sueur et haletant s'effondrèrent sur le sol. Amélie pour s'amuser mordilla tendrement l'oreille pointue de son elfe qui gémit de plaisir et la reprit sur le champ. Après, Amélie resta allongé sur son elfe qui lui murmura à l'oreille :

-Mon amour, j'y pense depuis que nous sommes revenus de chez tes parents. J'y ai bien réfléchi et je voudrais te demander :

-Oui, amour ? Demanda Amélie intrigué par cette confession.

Ereinion la souleva sans effort, l'assit sur le sofa, se mit un genou à terre et lui fit sa demande :

-Amélie Béatrice Cunégonde Barnier, ( Amélie fronça les sourcils, elle détestait ses autres prénoms ) Vous.... Voulez – vous m'épouser?

-Je... Oui, oui je le veux! Je le veux plus que tout au monde.

Amélie se jeta au cou de son fiancé et l'embrassa sur tout le visage. Mais Ereinion n'avait pas terminé. Il la rassit sur le sofa, puis fouillant dans la poche de son pantalon qui traînait par terre, il sortit une bague d'un grand prix. Il la mis au doigt d'Amélie en lui disant :

-Cette bague est un héritage me venant de mon grand père. Elle a été forgée par Aulë du temps des 2 arbres. Par cette bague, nous lierons nos âmes. Es – tu sûr de le vouloir ?

-Oui, je pourrais mourir pour toi. Je t'aime plus que ma vie. Dit – elle en l'embrassant sur les lèvres.

-Alors, personne ne pourra nous séparer. Nous nous aimerons éternellement et même la mort ne pourra nous séparer.

La jeune femme l'embrassa de nouveau tendrement et passionnément, heureuse de sa demande. Il lui demanda :

-Quand veux – tu te marier ?

-Après la naissance de notre enfant, disons en avril.

-Je préfèrerai en mars.

-Avril.

-Mars.

-Avril.

-Mars.

-Bon je ne veux pas me disputer avec toi, alors tranchons, au printemps. Dit – elle en le regardant avec amour.

-D'accord. Dit – il en souriant.

Ils se rhabillèrent et reprirent leur activité d'avant leur gros câlins. Ereinion reprit son pansage de cheval pour pouvoir le monter et se promener librement dans le domaine regrettant qu'Amélie ne puisse pas le suivre. Mais le médecin avait été clair pas d'équitation, ni de sport violent. Donc ils avaient dû prendre rendez – vous chez la nutritionniste qui leur avait donné un régime adéquat pour une future maman et un futur papa qui paniquait au moindre gémissement de la jeune femme qui commençait à en avoir marre de sa grossesse. Elle se sentait lourde et dénué de toute beauté. Et même si Ereinion lui disait le contraire et lui montrait qu'il l'aimait encore plus, elle avait toujours des doutes. Le pauvre elfe faisait son possible pour la rassurer, et quand il allait craquer, il faisait une longue balade à cheval ce qui lui calmait les nerfs. Il savait bien que la jeune femme était plus fragile que jamais et que la moindre contrariété la faisait fondre en larmes.

Le temps passa et elle se retrouva bientôt au huitième mois de grossesse. Elle avait de plus en plus de difficulté à marcher et devait se dandiner pour aller d'un endroit à un autre et encore sous la direction d'Ereinion. Il était aux petits soins avec elle, il ne la lâchait pas d'une semelle et aux moindres mouvements de la jeune femme, il arrivait en courant et s'empressait de lui demander si elle allait bien. Si au début, elle appréciait ces petites marques d'affection, maintenant qu'elle était proche, très proche de l'accouchement, elle commençait à être franchement très énervée. Et plus d'une fois, elle envoya le pauvre elfe sur les roses mais 2 mn plus tard, elle lui tombait dans les bras en pleurant comme une pauvre malheureuse. Ereinion ne prenait pas mal ses sauts d'humeurs, car sa mère faisait la même chose quand elle attendait sa petite soeur. Maintenant, ils dormaient ensemble dans la chambre d'Amélie, car c'est là qu'il y avait le lit le plus large. Ereinion y avait apporté certaines de ses affaires, le coffre, la lampe et une table de chevet qu'il adorait. Ils étaient vraiment heureux et attendaient avec impatience l'accouchement pour voir toutes leurs joies se concrétiser.

Un matin qu'Amélie grognait, une fois de plus, contre son gros ventre, elle eut la joie de voir arriver ses parents qui étaient venus en taxi, car aucun des deux n'avaient le permis. Le taxi venant de Paris, car les parents d'Amélie ne supportaient pas le train, pour eux c'était un moyen de transport dangereux et trop bruyant. Donc le taxi qui venait de Paris se retrouva avec un énorme pourboire, 6 saucissons, 15 saucisses sèches, 3 packs de jus de pommes et 4 DVD que les 2 amoureux avaient en double. Il repartit ravi et leur dit que s'ils voulaient reprendre le taxi, il serait ravi de refaire une course avec eux. Les retrouvailles furent assez bruyantes et les parents d'Amélie furent plus qu'heureux en voyant l'ampleur prise par leur fille. Quant à Ereinion, il fut chaudement félicité pour son futur rôle de père.

A suivre