RARRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRr
Demoness Lange Comme tu vas le voire dans cette suite, le language va être appris assez vite, mais pour les manières, alors là, c'est une autre paire de manche. En tout cas, je suis contente que ma famille Gilgalad te plaise et qu'elle te plaira jusqu'à la fin de cette fic.
Electra 97 Je ne savais pas que c'était ton anniversaire, alors bonne anniversaire avec un peu de retard, mais je suis vraiment heureuse que ce cadeau involontaire t'ai plu et que cette suite te plaise autant.
IsirielMerci, merci. Tu vas me faire rougir. Je te remercie d'apprécier autant ma fic et j'espère que cette suite te plaira autant que le chapitre précédent.
Angaharad Et bien, je ne te fait pas attendre plus longtemps, et je t'envoie cette suite tant attendue.
Gedauphin Je sais, j'ai fait souffrir ce pauvre enfant, et se ne sera pas le seul à souffrir, mais là il faudra attendre un autre chapitre.
·
·
·
·
·
·
·
·
·
Par Eru chapitre 20
·
·
·
·
·
·
·
Le lendemain, Amélie se réveilla aux aurores enfin presque, 1 heure de l'après – midi aspergée par son cher et tendre qui se marrait comme un malade. Amélie furieuse lui courut après en le menaçant des pires horreurs. Les elfes regardaient cette soi – disant reine habillée comme une humaine. La curiosité fit place au dédain. Elle n'était pas digne du roi des Noldor. Ereinion surprenant ce regard attrapa Amélie et la ramena dans leur maison. Là, il l'habilla convenablement et lui dit :
« Voilà, on dirait une vrai reine elfique. Je vais demander à Galadriel de t'apprendre l'elfique ».
« Pourquoi pas toi mon amour ? »
« Parce que je ne penserais qu'à t'embrasser et non à t'apprendre l'elfique. » Lui répondt – il avec un regard amoureux qui fit sourire la jeune femme.
« Pourtant ce sera quand même un cours de langue ». Ria – t – elle en lui faisant un clin d'oeil.
« Ce cours de langue – ci sera le soir. » Répliqua – t – il avec un demi – sourire amusé.
« D'accord, amour. » Dit – elle acceptant la proposition de son époux.
Si elle pensait que son adaptation dans le monde elfique serait facile, elle se trompait lourdement. Elle fit une tête de 30 mètres quand elle vit les chaussures à talons hauts que lui donnait Ereinion. Elle fit la grimace puis mit ces instruments de tortures... heu... je veux dire ces accessoires de mode qui allaient merveilleusement bien avec sa robe et commença à la douloureuse tâche de marcher avec. Les premiers pas qu'elle fit, furent très laborieux, elle devait se retenir au bras d'Ereinion en tentant de ne pas choir sur le sol. Son royal époux tentait lui de ne pas éclater de rire afin de ne pas être la victime du mauvais caractère de son Amélie. Il fallait pas le croire, mais ce petit bout de femme avait ce que le commun des mortels appelle un caractère de merde et comme les épisodes précédents l'avaient montré, il ne fallait pas lui chercher des noises.
Tous les elfes qui la voyaient, trouvaient qu'elle avait meilleure allure dans ses vêtements même si elle était affalée sur son époux. Soudain, son bâton de vieillesse lui demanda de l'attendre quelques secondes le temps de parler à Galadriel et tous comprirent la raison de son attachement adhésif au bras de son époux. Elle tremblait sur ses jambes. Soudain elle perdit l'équilibre et se retrouva sur les fesses. Les elfes eurent encore plus de dédain envers elle pensant qu'elle avait bu, une honte. Amélie commença à maudir ces chaussures, elle les retira et pensa un instant les jeter dans le lac mais son royal époux arriva, et le sourcil levé de son elfe lui fit comprendre qu'elle n'avait pas intérêt à le faire. Il jeta un coup d'oeil vers les chaussures et avec un soupire elle les remit et recommença à trembloter sur ses jambes. Une elfe avec un sourire souffla à sa camarade :
-Regarde la, laide comme un pou et incapable de marcher. Et on appelle ça une reine.
Ce qu'elle ne savait pas c'est qu'Ereinion avait parfaitement entendu ce qu'avait dit l'elfe. Il se tourna vers elle, marcha lentement avec une grâce acquise avec les siècles, s'arrêta devant elle, lui dit d'un ton glacial à geler les flammes de la montagne du destin :
-Je vous interdit d'insulter mon épouse. Elle vient d'un monde totalement différent où les elfes ne sont qu'une simple histoire pour faire dormir les enfants. Il y a plus de courage, de douceur et de force en elle que dans toute femme elfe de ce monde. Alors n'utilisez pas le fait qu'elle ne parle pas l'elfique pour l'insulter. Si j'apprends qu'un seul d'entre vous l'a insulté, je pourrais oublier que j'ai des elfes en face de moi. Est ce clair ?
-Ou... oui votre altesse. Bafouilla l'elfe en tremblant.
Amélie regardait Ereinion et comprit que l'autre elfe avait dû dire du mal d'elle et qu'Ereinion tentait de la défendre. Elle retira ses chaussures et s'enfuit vers leur maison, regrettant vraiment pour la première fois d'avoir suivit son mari. Ereinion lâcha un dernier regard polaire à l'elfe et suivit son épouse. Il la retrouva sanglotante en train de faire ses valises. Il s'affola et lui demanda :
« Qu'est ce que tu fais meleth n�n ? »
Il lui enleva les valises des mains et l'assit sur le lit. Il la prit dans ses bras et commença à la bercer afin de la calmer.
« Ils me détestent, ils me détestent tous. » Sanglota – t – elle désespérée.
« Chhuuuuttt, amour de ma vie. Ils ne te connaissent pas. Tu te rappelles comme c'était difficile pour moi au début ? »
« Oui »
« Et bien tu dois lutter pour leur rabattre le caquet, je veux revoir la tigresse qui a osé s'attaquer à tous ses voisins pour protéger notre maison et notre monde. »
« La tigresse est fatiguée et elle est complètement perdue ». Sanglota – t – elle.
« Alors repose – toi mon amour. Prends le temps qu'il te faut pour t'adapter mon soleil. »
« Merci de ta patience mon elfe chéri. »
« De rien mon humaine adorée. Dors, dors et repose – toi tu l'as bien mérité ». Lui dit – il en lui embrassant tendrement le front.
Amélie ne se fit pas prier et s'endormit comme une masse dans les bras de son mari. Ereinion la coucha tendrement. Quand il se retourna, il vit leur fils regarder sa mère un peu apeuré ne comprenant pas ce qui lui était arrivé. Ereinion le prit dans ses bras et tous les deux sortirent de la pièce afin de laisser la femme de leur vie se reposer. Ils décidèrent d'aller visiter la cité. Arrivés en bas de l'escalier, Ereinion reposa son fils et tous les deux partirent à la découverte de la grande ville elfique. De nombreuses elfes se retournaient à leur passage. Soudain, Fingolfin s'arrêta et demanda à son père dans un elfique parfait quoique teinté d'un léger accent :
-Ada ? Pourquoi nana elle a pleuré ?
Les elfes qui écoutèrent la question innocente de l'enfant, s'en voulurent terriblement surtout quand ils entendirent la réponse du père.
-Tu vois yondo n�n, ta mère vient de perdre tous ses repères. Elle se trouve dans un monde qui n'est pas le sien. Et elle ne comprend pas la langue de son nouveau peuple.
-Ada, tu as été comme nana au début ?
-Oui, yondo nin. Elle a été là quand je suis arrivé, elle m'a sauvé la vie, m'a hébergé et m'a aimé. Elle m'a fait l'honneur de devenir mon épouse et surtout, elle m'a fait le plus beau des présents.
-Quoi ?
-Pas quoi, mon ange, qui. Le plus beau des présents qu'elle m'ait offert, c'est toi. Tu es la plus belle chose qui me soit arrivé après ma rencontre avec ta mère.
Fingolfin se mit à rougir, puis serra son père dans ses petits bras. Les gardes qui les escortaient furent émus par la déclaration du roi des Noldor. Beaucoup de femme – elfes faisaient les yeux doux au bel elfe qui se promenait. Une d'entre elles s'approcha de lui et commença à lui faire des avances. Ereinion était sidéré, depuis quand les elfes faisaient de telles avances. Fingolfin s'accrocha au bras de son père et foudroya la femme d'un regard noir. Ereinion lui parla de son ton polaire :
-Je suis marié et fidèle à mon épouse. Et si cela n'avait pas été le cas, je n'épouserai personne qui ne soit pas digne de mon rang.
Fingolfin crut bon rajouter :
Et paf dans les dents. Mon ada n'aime que ma nana. Et ma nana est la plus jolie et la plus gentille nana du monde !
Ereinion eut un sourire devant la plaidoirie adorable de son fils. Il le prit dans ses bras, tourna le dos à l'elfe et repartit se promener. Il l'embrassa tendrement et lui dit :
-Ta mère ne pouvait pas trouver meilleur défenseur que toi.
Ils éclatèrent de rire et repartirent se promener.
Pendant ce temps, Amélie se réveilla et soupira bruyamment quand elle se rappela qu'elle n'était pas chez elle, mais chez Ereinion. Elle prit une grande respiration et se leva. Elle alla prendre une bonne douche et se changea mais elle ne prit pas de chaussures à talons hauts. Elle chercha longtemps mais en vain. Elle décida alors de modifier ses chaussures. Elle prit la paire qui allait avec la robe et arracha les talons les transformant en simples escarpins. Elle se regarda dans le miroir et fut ravi par ce qu'elle voyait. Elle décida de se tresser entièrement la chevelure, chose qu'elle n'avait pas fait depuis très longtemps. Il lui fallu 3 heures pour réussir à le faire. Elle se maquilla légèrement les lèvres et les yeux approfondissant son regard, puis descendit dans la cage aux fauves dixit elle – même en prenant une grande respiration pour se donner du courage.
Cependant, quand elle arriva en bas de l'escalier, elle commença à paniquer surtout que les elfes la regardaient bizarrement. Elle murmura ccomplètement perdue :
"Ereinion !"
Elle prit une autre grande respiration, s'approcha d'une elfe et lui demanda le plus gentiment possible malgré sa frayeur :
« Bonjour, auriez – vous vu mon époux et mon fils, s'il vous plaît ? »
L'elfe la regarda avec mépris et répondit quelque chose qu'elle ne comprit pas. Mais elle crut comprendre le sens quand l'elfe regarda vers la gauche. Mais Amélie ne comprenait pas pourquoi les autres elfes avaient l'air d'être outrés. Elle fit un beau sourire en remerciement et partit vers la gauche pour retrouver son doudou et son fils. Elle laissa là les autres elfes qui étaient en train de sévèrement enguirlander l'elfe qui lui avait parlé. Elle se promena pendant 20 mn quand elle vit la carrure de son elfe accompagné de leur fils. Elle cria :
« EREINION »
L'elfe, enfin, son elfe se retourna, déposa son fils et la réceptionna dans ses bras musclés. Elle l'embrassa passionnément pour le plus grand plaisir de son époux qui lui demanda :
« Tu ne veux plus te reposer ? »
« Non, j'ai assez dormi. Je veux rester avec vous deux. J'ai eu suffisamment d'émotions fortes pour le siècle à venir. Et en plus je ne peux pas discuter avec les autres, je ne comprends pas ce qu'ils disent. » Répondit Amélie en fronçant adorablement des sourcils.
« Ce n'est pas grave ma douce, nous t'aiderons à parler notre langue, comme tu m'as aidé pour la tienne. »
« Oui, mais je n'ai pas tes compétences pour apprendre les langues étrangères. Il m'a fallu plus de 10 ans pour apprendre l'anglais. Alors je n'imagine même pas le temps qu'il me faudra pour apprendre l'elfique. » répondit – elle en soupirant.
« Tu as tout ton temps pour cela ma toute douce. » répondit Ereinion qui fronça quand même un peu les sourcils.
« Merci Meleth n�n. » Soupira – t – elle de nouveau.
« Allez nana, ça va pas être si difficile. » Lui dit Fingolfin pour lui remonter le moral.
« Oui, vous avez sans doute raison tous les deux. Et puis j'ai appris un nouveau mot. Il veux dire gauche » Dit – elle avec fierté.
« Ah oui ? C'est lequel ? » Demanda Ereinion en souriant devant la joie de sa femme.
« Heuuu... que je me rappelle de la prononciation, c'étaiiiit... ah oui... Irch wen bidule le reste était trop long. Vous avez des mots très long pour gauche »
Ereinion tremblait de rage et Fingolfin s'écarta de lui. Amélie le regarda sans comprendre et Ereinion lui demanda très crispé :
« Mamour, qui t'a dit cela ? »
« Elle était blonde avec de longs cheveux et des yeux bleus » Répondit Amélie en essayant de se rappeler la tête de l'elfe.
« C'est assez vague comme description, beaucoup d'elfes sont blondes avec des yeux bleus. C'est pas grave, je vais la remercier pour toi. Tu peux garder Fingolfin ? Je reviens de suite. » Dit – il d'un ton légèrement grondant.
Il partit comme s'il avait le feu aux fesses laissant sa femme très étonnée entre les mains de son fils tout aussi étonné de la brusque colère de son père. Il demanda :
« Nana, et si on allait voir ada ? »
« Non, j'aimerai plutôt que tu me fasses découvrir la ville. Êtes – vous prêt à être mon guide cher monsieur ? » Demanda – t – elle en lui faisant la révérence.
« Mais ce sera avec plaisir belle mâdame » Répondit son fils sur un ton pompeux en faisant aussi la révérence.
Tous les deux partirent dans un énorme fou – rire et ne virent pas Galadriel et Celeborn les regarder une lueur de tristesse dans le regard.
-Je crains le moment où le Lindon va répondre. Dit Galadriel avec sagesse.
-Oui, ma dame. Elrond aussi risque de mal réagir, il a vu Ereinion se faire tuer et le voilà qui réapparaît en pleine forme marié avec un enfant. Répondit Celeborn du même ton.
-La pauvre doit – être complètement perdue, je souhaiterai vivement m'entretenir avec elle, mais elle serait dans l'incapacité de me comprendre. Dit Galadriel avec tristesse.
-Mais son époux et leur fils veillent sur elle et gare à celui ou celle qui l'insultera. Répondit Celeborn un léger sourire en imaginant la rage du roi des Noldor.
-Oui, et je crois que ce moment vient d'arriver. Commença à pouffer Galadriel.
Ereinion arriva comme le diable de l'enfer devant le groupe où se trouvait l'elfe qui avait insulté sa femme et demanda froidement :
-Qui a insulté mon épouse ?
Tous les regards se tournèrent vers l'elfe qui l'avait dragué. Il eut un regard des plus méprisant et lui remonta sévèrement, très sévèrement et très bruyamment les bretelles faisant pleurer la - dite elfe humilée devant tous les autres qui s'étaient arrêtés et écoutaient la rage du roi des Noldor se porter sur elle. En peu de temps, toute la population de Caras Caradhon fut mise au courant de l'altercation. Quand il eut terminé, il repartit à la recherche de sa famille. Il la retrouva en train de bichonner les chevaux qui adoraient ça et hennissaient doucement de plaisir les yeux à demi - fermés. Ereinion leur demanda avec un sourire tendre aux lèvres :
« Et si on faisait une petite promenade ? »
« Oh oui, c'est une bonne idée. » S'exclamèrent Amélie et Fingolfin tous joyeux.
Tous montèrent lestement sur le dos des équidés, sauf Fingolfin qui dut avoir l'aide de son père pour grimper sur le dos de feu follet car il était encore trop petit pour pouvoir monter seul le jeune étalon. Ils firent une promenade au bord du lac qui se termina par la baignade impromptue d'Ereinion. En effet, Amélie et Fingolfin prirent Fëanor en sandwish et le propulsèrent dans l'élément liquide devant toute la population qui poussèrent des cris de stupéfaction. Les deux cavaliers descendirent de cheval et se moquèrent d'Ereinion. Il leur lança un regard noir et leur courut après durant 10 mn avant de réussir à attraper Fingolfin et à le jeter dans l'eau. Après, il courut après Amélie. Elle courait en essayant désespérément d'échapper à son cher et tendre, quand elle percuta violemment les souverains de la Lothlòrien. Tous les 3 se retrouvèrent sur les fesses. Elle s'excusa rapidement, mais avant de pouvoir s'enfuire à nouveau, Ereinion l'attrapa et la jeta toute gigotante et toute hurlante dans l'eau du lac. Celeborn et Galadriel éclatèrent bruyamment de rire quand elle ressortit de l'eau. Elle sauta sur son époux et resta bienheureusement dans ses bras le trempant efficacement. Elle fit un geste vers leur fils et Ereinion se retrouva avec toute sa petite famille dans ses bras. Galadriel s'approcha d'Ereinion et lui dit :
-Mon cousin, il faudrait vraiment lui apprendre l'elfique.
-Oui, Galadriel. Malheureusement, elle n'a pas la même compétence que nous pour apprendre une nouvelle langue. Elle m'a dit qu'il lui avait fallu plus de 10 ans pour apprendre l'anglais. Alors je n'imagine même pas le temps pour apprendre l'elfique.
-C'est pour cela que l'on va faire le vieil enchantement du Falathren. Répondit Celeborn avec un sourire aux lèvres.
-D'accord, ensemble nous pourrions sans aucun problème. Répondit Ereinion avec un sourire ravi.
-Allons – y alors.
Ereinion déposa Amélie qui déposa Fingolfin qui alla jouer dans la cité. Puis lui, Galadriel et Celeborn entourèrent la jeune femme étonnée et commencèrent à psalmodier une étrange chanson. Ils utilisaient leurs pouvoirs pour faire d'Amélie une véritable elfe, avec toutes les caractéristiques inhérentes à cette race. Elle les regardait très étonnée terminer leur ronde. Puis Galadriel la salua et lui dit doucement :
-Bienvenue à Caras Caradhon. Majesté.
-0.0 J'arrive à vous comprendre ! OOOOOUUUUUUAAAAAAAAIIIIIIIIISSSSSSSSSS ! C'est trop génial. S'exclama Amélie heureuse comme tout de pouvoir comprendre un elfe d'ici.
-Hum... Meleth nin ?
-Oui mon doudou ?
Les 2 autres elfes pouffèrent de rire devant le surnom affectueux d'Ereinion. Il se mit à rougir et rougit encore plus quand Amélie se colla à lui et lui sussura à l'oreille :
-On serait beaucoup mieux tous les deux seuls dans notre chambre.
-Tu crois meleth nin ?
-Oh oui! J'en suis sûr.
Les souverains de la Lothlòrien décidèrent de quitter les lieux et eurent un sourire tendre quand ils entendirent un grognement animal et un bruyant éclat de rire qui venait de la jeune femme. Quelques secondes plus tard, ils virent Ereinion arriver avec sa femme jeté négligeament en travers de son épaule. Elle gigotait dans tous les sens, soudain elle s'arrêta de bouger et Ereinion sursauta violemment quand il sentit la langue d'Amélie lui titiller l'oreille avec tendresse. Il acceléra et arriva dans leur chambre. Leur vêtements se retrouvèrent ben vite sur le sol et eux sur leur lit. Mais face à l'ouverture de leur maison, ils furent complètement bloqués.
-Je ne peux pas! Soupira Amélie.
-Moi non plus, j'ai l'impression que tout le monde peut nous entendre et ça me bloque. Dit Ereinion avec un air triste.
Amélie d'un coup de rein le bascula sur le dos, puis s'assit sur ces cuisses et s'amusa à passer son doigt sur son torse. Elle adorait voir les muscles de son elfe tressaillir au doux passage digital. Ereinion soupira doucement adorant sentir cette douce torture. Elle redessinait ses pectoraux et ses abdominaux, mais même ainsi, son cher et tendre ne se réveillait pas et elle non plus. Un peu lassé, elle se recoucha, son oreille collée contre le torse d'Ereinion. Elle adorait entendre les battements forts et réguliers du coeur de son elfe. Elle grogna quand il se releva un peu pour les recouvrir d'une couverture chaude. Elle se pelotonna plus contre lui et tous les deux s'endormirent n'entendant même pas leur fils rentrer dans leur chambre complètement excité par sa balade. Mais quand il vit ses parents dormir, il alla dans sa chambre sur la pointe des pieds, se déshabilla, prit sa douche et alla se coucher très content de sa journée.
A suivre
