RRRRRRRRRRRAAAAAAAAAAAAAAAAAARRRRRRRRRRRRRR
Debbie : Hey, Fingolfin a fait une bétise, il doit en payer les conséquences. Et oui, je continue n'aies pas peur.
Uruviele : Oui, j'aime bien les décrire en plus humains, moins froids qu'on pourrait l'imaginer. Et quant à la suite, la voilà.
Electra97 : Je suis contente que ce chapitre t'ai plu, et j'espère que le prochain te plaise autant bien qu'il soit plus sombre que les précédents.
Gedauphin : Merci, je suis vraiment contente que cette histoire ce plaise et comme je l'ai dit à Debbie, il devait être puni pour sa désobéissance, mais ça va se calmer bien vite tu vas voire en lisant ce nouveau chapitre.
Sinwen Periedhel : Alors sache que Linwen n'existe pas, elle est tout droit sortit de on imagination fertile, car Tolkien ne dit pas si Ereinion est fiancé ou même marié mais on sait, qu'il n'a pas de descendant. Pour l'instant, je ne me concentre que sur leur petite vie en Lorien, je verrais plus tard peut – être.
Maintenant que les RAAAAAARRRRRRRRRRRRRRRRR sont terminées, je vous souhaite bonne lecture .
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Par Eru, mais où ai - je attéri ?
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Les souverains de la Lothlòrien, d'Imladris, Cìrdan et Linwë attendirent plus de 20 mn avant que la famille ne descende. Amélie tenait son fils qui pleurait encore en demandant pardon à ses parents. Ils comprirent que le petit garçon avait dû s'être fait secoué les puces par ses parents. Le visage d'Amélie était fermé, mais Galadriel lisait au fond de ses yeux une immense douleur. L'enfant pleurait en serrant le cou de sa mère toujours en colère :
-Nannnnnnaaaaaaaaa...iiiiihhhhhhhhh... Je voulais m'amuser... iiiiiiiihhhhhhh... C'est touuuuuuuuut !
-Tu t'amuse sur la terre ferme et pas sur une branche en haut d'un arbre. Trancha Amélie devant son époux qui ne l'avait jamais vu dans un état pareil. Il sentait qu'il y avait quelque chose d'autre derrière cette colère, quelque chose de plus profond, de plus douloureux, de plus ancien.
-Mais pourquoi ? Gémit – il d'une toute petite voix.
Amélie reposa son fils sur le sol et explosa :
-PARCE QUE C'EST COMME CELA QUE MA PETITE SOEUR S'EST TUEE. Je ne veux pas qu'il t'arrive la même chose, tu comprends ? Termina – t – elle plus calmement.
-Oui nana, c'est promis je ne recommencerai plus. Jura le petit garçon en séchant ses larmes avec la manche de sa tunique. Nana ? Demanda – t – il doucement à sa mère qui continuait à trembler.
Il était très inquiet, car sa mère était toujours aussi pâle et ses yeux menaçaient de libérer des flots de larmes. Elle luttait visiblement contre les pleurs.
-Oui, mon ange ? Répondit – elle en lui faisant un sourire hésitant.
-Comment elle s'appelait ta petite soeur ?
-Elle s'appelait Fleur. C'était ma soeur jumelle. Avoua d'une toute petite voix Amélie en s'effondrant sur un banc une sourde douleur se lisant dans ses yeux.
-Ta soeur jumelle, tu ne m'en as jamais parlé ? Demanda Ereinion en s'asseyant près d'elle et en la prenant dans ses bras.
Galadriel, Elrond, Celeborn et Cirdan s'assirent près d'elle et écoutèrent la révélation de la jeune femme. Linwen fulminante était déjà partie afin de retenir ses cris de rage. Fingolfin s'assit en se tortillant sur les genoux de Cirdan qui souriait doucement et écoutait ce que lui disait sa mère.
-Elle était tout mon contraire, elle avait 8 ans quand c'est arrivé. Autant j'étais calme et peu aventureuse, autant Fleur était excitée et casse – cou. C'était moi qui la retenait pour qu'elle ne fasse pas de bétises. J'étais une rabat – joie comme elle disait si bien. Commença à raconter Amélie avec un petit sourire rêveur. Sourire qui disparu quand des larmes commencèrent à couler sur ses joues.
-Mais le 27 avril 1987 à 15 heures 25, je suis arrivée une minute trop tard. Une minute et j'aurais pu la sauver, une minute !
-Que c'est – il passé amour ? Demanda Ereinion en lui caressant tendrement le dos.
-Quand je suis arrivée, elle était déjà dans le chêne, le vieux chêne du voisin, chez mes grands – parents. Je lui ai dit de redescendre, mais elle a rigolé et m'a traitée de poule mouillée en sautillant sur la branche. Je me suis mise à côté de l'arbre et je lui ai redemandé de descendre, mais elle continuait à sauter. Soudain, la branche a cassé. Fleur s'est rattrapé à la branche du dessus, mais elle a cassé aussi et ma petite soeur est tombé du haut de l'arbre. Elle s'est empalée sur la barrière en bois. Je n'arrivais pas à penser à autre chose qu'au sang qu'il y avait sur mon pull. Il y en avait tellement. Tout ce sang. Les larmes coulaient maintenant librement sur ses joues.
Ereinion la serrait fort contre lui tandis que les elfes regardaient la jeune femme avec émotions. Galadriel était horrifiée par ce qu'elle disait. Celeborn lui demanda doucement :
-Elle est morte sur le coup ?
-Non ! Répondit Amélie d'une toute petite voix.
-Oh ! Par Eru ! S'exclama Galadriel en mettant sa main devant sa bouche afin d'empêcher une autre exclamation d'horreur. Une enfant, ce n'était qu'une enfant. Mais Amélie continua à parler sans faire attention à l'exclamation de l'elfe.
-Elle est morte au bout de 8 mois, 4 jours, 12 heures et 25 mn. 8 mois d'une agonie douloureuse. Le soir de sa mort, elle m'a demandé une chose, je m'en souviens encore malgré les années, elle m'a demandé de vivre pour elle. Et c'est ce que j'ai fais, je suis devenue moins timorée, plus casse – cou, plus agressive. Je me battais avec tous ceux que je croisais. Et cela jusqu'au moment où j'en ai vraiment parlé à quelqu'un. Mais le mal était fait et j'avais la réputation de violente, tous ceux qui me croisaient m'évitaient comme la peste. Et pourtant, mes parents ont toujours été derrière moi me soutenant, ainsi que mon frère et mon autre soeur.
-Nana ! Tu te battais ? Demanda Fingolfin qui avait cessé d'étrangler Cirdan pour le plus grand plaisir du vieil elfe qui appréciait beaucoup l'enfant qui ressemblait tant à son vieil ami, Fingolfin premier du nom.
-Bien sûr ! Répliqua Amélie avec un petit sourire, son fils avait réussi à lui rappeler d'autre chose. J'étais la terreur du primaire, même les grands n'osaient pas se mesurer à moi. Dit Amélie avec fierté.
-A ta place, je ne serais pas fier de moi ! La gronda Ereinion en la regardant sévèrement.
Amélie se mordit la lèvre inférieur en retenant un sourire. Ereinion fronça les sourcils en grogna :
-C'est ça, moque – toi !
-Hey ! Si je n'avais pas été comme cela, qui aurait eu des problèmes avec 5 femelles en chaleur ? Hein ?
-Heuuuu... Mouis, tu as raison.
-Mais j'ai raison, j'ai toujours raison.
-A peine modeste ! Lança Ereinion en secouant doucement la tête tandis que Galadriel et Celeborn souriaient devant Amélie qui riait avec son époux.
Ils étaient heureux de voir que Fingolfin et Ereinion étaient capable de remonter rapidement le moral de la jeune femme. Galadriel décida de reporter le cours de maintient, la jeune femme n'était pas encore prête pour rester seule sans son époux.
-Et oui, c'est de famille, nous sommes grands, beaux, forts, intelligents et modestes. Surtout modestes et on s'en vante. Lança Amélie avec un grand sourire.
Ereinion explosa de rire entraînant les souverains de la Lothlòrien et Cirdan qui commençait à apprécier la jeune femme sentiment réciproque qui voyait en Cirdan un grand - père. Il était heureux que son petit protégé l'ait épousé. Fingolfin voyant que les adultes avaient réussi à calmer sa mère lui demanda :
-Nana ? Je peux jouer avec Haldir ?
-D'accord, mais tu restes avec lui. Je ne veux pas que tu joues dans les arbres, tu m'as compris.
-Oui, nana !
L'enfant sauta dans les bras de sa mère, l'embrassa et courut jouer avec Haldir. Soudain, il s'arrêta en pilant, fit demi – tour et sauta dans les bras de son père. Il l'embrassa sur tout le visage puis alla enfin jouer avec Haldir qui l'attendait patiemment un sourire sur son visage sévère. Les 7 adultes enfin 6 regardaient en souriant l'enfant qui avaient attrapé la main d'Haldir et trottinait à côté de lui en posant des tas de questions. La seule qui ne souriait pas était Linwen qui était revenue entre temps et qui était vraiment en colère. Comment cette inférieur avait pu épouser son fiancé ? D'accord dès qu'elle avait appris la mort d'Ereinion, elle avait épousé son amant. Mais quand même, son orgueil venait d'en prendre un sacré coup. Son amant et mari n'était qu'un elfe alors qu'elle aurait pû épouser un roi. La vie est injuste quand même. Et cette Amélie et son bâtard n'avaient rien à faire ici.
Mais elle ne pouvait rien faire contre elle, car maintenant qu'Amélie parlait l'elfique, elle s'était faite des amies dans la population de la Lothlòrien. Elle était même très appréciée car elle était gentille, avait de l'humour et surtout parce qu'elle faisait son possible pour s'intégrer dans ce monde tout nouveau pour elle. Même si elle faisait de temps à autre des bévues. Et la plus grosse eut lieu deux semaines plus tard. Après s'être promenés dans la cité, Ereinion amena une Amélie toute excitée dans leur maison pour se changer. Ereinion sentit que les catastrophes allaient pleuvoir, car Amélie devenait terriblement maladroite quand elle était dans cet état et ça ne loupa pas.
Cela commença dans la salle de bain, Amélie toute contente attrapa une bouteille de shampooing, mais cette dernière lui échappa des mains. Commença alors un jonglage qui dura 20 mn sous les rires d'Ereinion qui n'intervenait pas, ne voulant pas recevoir un coup dans la figure comme la dernière fois où il avait reçu une poêle en plein visage. La séance se termina par la chute de la bouteille qui explosa devant les pieds de Linwen l'arrosant d'un liquide gluant et glissant. L'elfe poussa un cri de rage sous les moqueries des autres elfes qui ne l'appréciaient guère. Ereinion pouffant de rire lui fit prendre son bain qui les fit gémir de plaisir pendant 45 mn arrosant la salle de bain et tous ceux qui passaient sous leur arbre. Après un ultime cri de jouissance, ils sortirent de l'eau, se séchèrent mutuellement et s'habillèrent. Ereinion et Fingolfin riaient de voir la femme de leur vie trépigner de joie et d'impatience.
Quand ils descendirent, Amélie avait tendance à sautiller heureuse comme tout avec un sourire contagieux aux lèvres. Galadriel eut un sourire ravi en voyant la joie qui scintillait dans les yeux de la jeune femme. Sourire qui s'élargit quand Amélie jongla avec son pain en essayant désespérement le rattraper. Mais elle échoua lamentablement et il tomba dans la soupière créant un mini raz de marée de soupe trempant tous ceux qui étaient autour d'elle. Fingolfin éclata de rire suivit par tout le monde sauf Amélie qui baissait la tête en se tordant les mains désolée de sa boulette.
Quand les dégâts furent réparés, les serveurs apportèrent des petits feuilletés fourrés aux légumes. Amélie papotait tranquillement avec son voisin de droite et planta sa fourchette dans le feuilleté, mais elle rata le feuilleté l'effleurant seulement. Cependant le mouvement brusque suffit à envoyer voler le feuilleté qui atterrit dans l'assiette de son voisin d'en face qui éclata de rire. Rire qui augmenta quand Amélie chercha partout son petit four. Mais quand il voulut lui rendre, Amélie répondit :
-Non, c'est le votre. J'ai dû le manger sans le voir. Cela m'est déjà arrivée vous savez. Je parle, je parle, je parle et j'oublies complètement ce que je fais d'autre.
L'elfe qui n'était autre que Cìrdan lui dit :
-C'est le votre, il ne voulait pas rester dans votre assiette.
-Oh merci ! La dernière fois que cela m'est arrivé, j'ai assommé le serveur.
-Oui, c'était pour nos 4 ans de mariage. Tu m'avais invité dans un restaurant très chic. Tu as envoyé ton crabe à la figure du chef cuisinier. Se rappela Ereinion en pouffant de rire.
-Ce n'était pas un crabe, mais un homard et il était encore vivant. Rectifia Amélie en le menaçant de son doigt ce qui fit exploser de rire Ereinion.
-Je m'en souviendrais toute ma vie. Tu as hurlé au meurtre tellement fort que la police est arrivée et le restaurant a été fermé 3 jours plus tard. Raconta Ereinion d'un ton rêveur tandis que les autres pouffaient de rire.
-Oui, et toi tu as hurlé que les mortels étaient des monstres sans morale qui torturaient les pauvres bêtes sans défenses. Tout le monde explosa de rire même Ereinion qui tentait de reprendre son souffle.
Fingolfin éclata de rire en entendant les souvenirs de ses parents. Il s'en rappelait comme si c'était hier, ses parents qui revenait avec un homard agressif et rosâtre. Mais Amélie n'en avait pas terminé :
-Et puis, tu as entraîné tous les clients à prendre les homards et ils l'ont tous fait.
-Oui, nana. Et puis quand vous êtes revenus à la maison, nous sommes allés tous les 3 à Marseille et on a libéré notre homard. Continua Fingolfin avec un grand sourire.
-Oui, Marmar le homard, le pauvre, on l'a mis à l'eau, mais une mouette est arrivée et l'a mangé. Termina Amélie avec un petit air triste.
Tous les elfes avaient du mal à respirer tellement ils riaient. Ereinion, Amélie et Fingolfin respiraient la joie de vivre et le bonheur, des sentiments que les elfes ne ressentaient plus depuis longtemps. Ils ressemblaient tous les 3 aux premiers elfes, surtout Amélie et Fingolfin qui regardaient ce nouveau monde les yeux écarquillés par la curiosité. Dans le silence qui revint peu à peu, un miaulement étouffé se fit entendre. Amélie regarda son fils avec un sourire et lui dit :
-Allez, arrête de le coincer.
-Qui ? Demanda innocemment l'enfant mal à l'aise.
-Coronfast ! Sors – le de ton pull. Il doit mourir de chaud cette pauvre bête.
Très étonnés, tout le monde regardaient l'enfant très mal à l'aise qui retira un chat noir de sous son pull. Ereinion fronça les sourcils et dit sévèrement :
-Fingolfin ! Qu'est – ce que je t'ai dit à propos de Coronfast ?
L'enfant soupira et répondit :
-Qu'il devait rester dans le salon parce qu'il risquait de se perdre. Mais il sera tout seul ada.
-Peut – être qu'il sera tout seul, mais s'il se faisait manger par un gros chien parce qu'il s'était perdu. Hein ? Lança Amélie.
Fingolfin devint tout blanc et serra fort le chat en disant :
-Je... je... je... vais le ramener à la maison.
L'enfant fonça vers leur maison sans entendre Amélie qui criait :
-Ce n'est qu'une... hypothèse.
Puis, de très mauvaise foi, elle tapa légèrement la main d'Ereinion en lui disant :
-C'est de ta faute s'il prend tout au premier degré.
-Et pourquoi ? Demanda Ereinion qui sentait qu'elle voulait sortir une stupidité.
-Parce que c'est toi qui l'a élevé !
-Je lui ai appris tout ce que je savais ! Dit – il avec fierté.
Amélie avec un sourire sadique lança en français :
-« Ah oui ! Comme ton retour d'entre les morts quand tu croyais dur comme fer que j'étais un suppôt de satan. Et que tu hurlais de terreur face à la TV ».
-Bbbbbbbbbeeeeeeeeeeuuuuuuuuuuhhhhhhhhhh ! Lança Ereinion en lui tirant la langue.
Amélie répliqua avec un air sage :
-Majesté, vous n'avez pas le droit de tirer la langue.
-Oh! Toi, je vais t'apprendre la brasse coulée. Rétorqua – t – il tandis que Galadriel éclatait de rire.
Amélie lui fit un sourire à la ultrabrite et recommença à manger. Soudain elle se tourna vers son époux et lui demanda :
-« Mon doudou, que va – t – on pouvoir offrir pour leur anniversaire de mariage ? »
-« Je n'en sais rien ma douce. » Répliqua Ereinion en fronçant les sourcils.
-« Pourquoi pas un chien ? C'est mignon les chiens. »
-« Et tu connais une adresse où on peut acheter un chien ? » Demanda Ereinion légèrement moqueur mais aussi toujours ému par la gentillesse de sa femme. Enfin quand les gens le méritaient bien sûr.
-« Heu... non. »
-De quoi parlez – vous ? Demanda Celeborn étonné du dialogue des deux amoureux dans la langue de la jeune femme.
-De plein de chose pas très elfique hihihi ! Ria Amélie.
-Amélie ! Lança Ereinion d'un ton menaçant.
-D'accord, je ne dis plus rien. Et Amélie se tut.
-3... 2... 1... Compta Ereinion.
-Mais tu sais quoi ? S'exclama Amélie.
-J'en étais sûr. Quand tu es stressée, tu es incapable de rester 3 secondes sans parler. Ria Ereinion.
-Je suis désolée. Dit Amélie avec une moue qui fit fondre Ereinion.
-Ce n'est pas grave, je t'aime tel que tu es.
-Merci mon doudou.
Il y eut un silence de mort, puis un déferlement de rire. Amélie ne comprenait pas cette hilarité collective. Elle fit le silence en leur demandant:
-Ben pourquoi vous riez ? Chez moi, enfin, dans ma famille, c'est comme cela qu'on appelle notre âme – soeur.
Ereinion fut très ému de ce qu'avait dit SON Amélie. Il l'étreignit et l'embrassa passionnément pour la plus grande joie de la jeune femme qui y répondait de tout son coeur. Les autres les voyant sur leur petit nuage très loin du commun des immortels décidèrent de les laisser à leurs activités. Les deux amoureux furent séparés par un toussotement. Quand ils descendirent de leur nuage, ils virent leur fils avec un grand sourire leur dire :
-Ada, nana ! Le repas est terminé depuis 45 mn. Vous avez passé votre temps à vous embrasser et Elrond a dit que vous étiez trop mignon. Mais que votre mariage n'est pas valide, car il n'a pas été célébré devant les elfes. Donc vous allez être remarié dans une semaine.
-Pourquoi une semaine ? Demanda Amélie tandis qu'Ereinion blêmissait en comprenant pourquoi.
-Heu... parce qu'il faut que pendant une semaine tu te prépare ainsi qu'ada au mariage. Tu ne devras voir aucun homme et ada aucune femme pendant une semaine. Récita l'enfant avec beaucoup d'application.
-KWOA ! Hurla Amélie.
Elrond avec les souverains de la Lothlòrien pouffa de rire et leur dit :
-Leur fils vient de les mettre au courant.
-Oui, mon ami. Mais je ne crois pas que cela soit une bonne idée, elle n'est pas encore prête pour cela. Dit Galadriel avec sagesse approuvé par Celeborn.
A suivre