Chapitre 27
-Amélie calme – toi!
-Me calmer ! Mais ça fait 2 ans que j'attends de pouvoir sortir de la maison. S'exclama Amélie en trépignant d'impatience tandis qu'Ereinion l'habillait d'une magnifique robe blanche.
Fingolfin du haut de ses 6 ans éclatait régulièrement de rire en voyant sa mère aussi excité.
-Tiens, mets tes chaussures. meleth nìn.
-Heeeeuuuu... NON !
Elle s'échappa des bras de son cher et tendre dévalant de toute sa vitesse les escaliers poursuivit par Ereinion qui lui ordonnait de revenir, mais elle ne l'écoutait pas et continua sa fuite trop impatiente de fouler l'herbe verte et la mousse moelleuse. Les elfes virent une flèche passer devant eux suivit par un roi elfique hilare. Quand elle sentit l'herbe sous ses pieds, Amélie stoppa et resta immobile se délectant des sensations qu'elle n'avait pas ressenti depuis 2 longues années. Ereinion s'approcha d'elle et l'enlaça tendrement.
-Es – tu heureuse meleth nìn ?
-Oh oui, cela fait tellement longtemps que je voulais sentir l'herbre sous mes pas. Cela fait tellement plaisir.
-Alors je suis heureux pour toi amour. Mais pourrais – tu mettre tes chaussures, s'il te plait ?
-Hhhhhmmmmm ! Non !
-Mais pourquoi ?
-Parce que je veux marcher sur l'herbe et pieds nus. Et surtout, je ne veux pas tomber.
-Mais non, tu ne vas pas tomber.
-Chéri, je ne sais pas marcher avec des talons hauts.
-Tu apprendras.
-Je ne veux pas, parce que c'est mauvais pour le dos. Alors, c'est non.
-Mais chérie... ?
-J'ai dit non !
-Mais...
-Non, c'est non. J'ai toujours refusé de mettre des talons hauts et ce n'est pas aujourd'hui que je le ferai.
Ereinion qui connaissait bien sa petite femme abandonna la lutte, il savait qu'elle s'obstinerait et refuserait de les mettre. Soudain Amélie lui dit :
-J'ai changé d'avis, donne – les moi, s'il te plait.
Ereinion lui tendit la paire de chaussures avec un regard soupçonneux, se méfiant du changement d'avis de sa femme. Amélie prit les chaussures, fit demi – tour et se mit à courir vers le lac. Ereinion courut derrière elle et s'arrêta quand elle stoppa. La jeune femme se tourna lentement vers lui, fit un sourire vicieux à son elfe et lui dit :
-Voilà ce que j'en fait de tes chaussures.
Elle les jeta de toutes ses forces qui étaient tellement faibles que les chaussures attérirent pour la grande honte d'Amélie aux pieds de cette dernière.
-Tu voulais faire quoi là?
-Je voulais prouver que les chaussures pouvaient voler et qu'elles étaient amphibies. Et que leur élément de prédilection, était l'eau du lac.
Ereinion explosa de rire et serra tendrement sa femme contre lui.
-D'accord, j'ai compris le message. Tu pourras marcher sans chaussure à talons.
-OUAISSS !
La jeune reine sauta dans tous les sens heureuse d'avoir libéré ses pieds. Les autres riaient de voir la jeune reine aussi heureuse. Ils avaient tremblé quand elle avait failli partir pour les cavernes de Mandos, ils avaient tous prié afin qu'elle survive. Et enfin elle était devant eux, faible, mais là. La joie résonnait dans la cité elfique, montant jusqu'à la salle du trône. Les 2 souverains de la Lothlòrien furent vraiment heureux de revoir Amélie hors de sa chambre. Cependant, leur joie fut de courte durée car Amélie vacilla légèrement mais Ereinion la rattrapa rapidement et dit d'un ton inquiet :
-Bon, je vais te ramener, tu es encore trop faible.
-Ah non ! S'il te plait ! Gémit – elle en lui lançant un regard de chien battu.
-Non ! Tu dois aller te reposer.
Amélie eut une moue obstinée qui fit fondre en un instant l'autorité de son elfe. Galadriel pouffa de rire en voyant l'air un peu niais de son cousin.
-Ereinion, ton épouse a besoin de soleil, alors nous allons préparer un repas sur la colline de Cerin Amroth. Ainsi Amélie ne se fatiguera pas et prendra le soleil. Conseilla Galadriel avec un doux sourire.
-Allez, dis oui, mamour ! Supplia Amélie avec un regard de chien battu.
Ereinion devint rouge comme une écrevice tandis que Celeborn s'étouffait de rire. Le souverain des Noldor ressembla bientôt à une tomate trop mûr quand la main de sa femme s'égara sur ses muscles fessiers. Elle palpait consciencieusement les fesses musclées d'Ereinion qui rougissait de plus en plus, pas une partie de son visage était épargnée. Quant à ses oreilles, elles étaient écarlates. Amélie après l'avoir bien tripoté, passa amoureusement ses mains sous la tunique de son elfe et effleura tendrement ses pectoraux et ses abdominaux bien musclés. Elle voulait le faire craquer et en sentant son elfe trembler de tous ses membres, elle savait qu'il allait craquer dans pas longtemps.
-D'accord, mais arrête cette torture !
-Torture ! Alors délicieuse, non ?
-Oui, espèce de sadique ! Gronda – t – il.
-Merci du compliment, meleth nìn.
Il la prit dans ses bras et l'amena vers la colline. Cependant, elle continuait à le caresser, cela faisait 1 an qu'ils n'avaient pas pû faire l'amour ensemble et ça leur manquait terriblement. Mais Ereinion ne voulait pas prendre le risque de voir Amélie attendre un autre enfant et risquer de perdre la vie. Amélie, elle, s'en moquait royalement ne désirant que posséder son elfe rien qu'à elle. Ereinion n'en pouvait plus, son désir pour elle devenait de plus en plus évident et Amélie pouvait le sentir dur comme du bois sur ses fesses. Soudain il marmonna une quelconque excuse et l'emporta vers leur maison, Amélie rayonnante.
Ereinion plus que pressé emmena sa belle dans leur petit nid d'amour. Il la déposa avec une immense tendresse sur leur couche conjugale. Amélie le regardait avec un amour aussi fort même plus qu'auparavant. Ereinion, lui, se noyait dans les magnifiques yeux de sa femme adorée. Il pouvait rester des heures à la regarder jouer avec leurs enfants, dessiner leurs petits amours ou même tenter désespérément de faire la cuisine ce qui se terminait à la poubelle la plus part du temps.
Avec des gestes mesurés, il caressa la chevelure sonbre de son épouse et remodela avec tendresse le visage de sa bien-aimée. Amélie tremblait de désir sous les gestes doux de SON elfe. Sa respiration s'accéléra à mesure que les mains d'Ereinion descendait de son visage et se promenait librement sur le corps souple de la jeune femme encore protégé par ses vêtements. Les muscles d'Amélie se contractaient au doux passage des mains fortes et pourtant délicates de l'elfe de sa vie. Bientôt, les lèvres d'Ereinion remplacèrent ses mains sur son cou et son visage. Amélie passait amoureusement ses mains sur le dos fort et la nuque de son amoureux.
Ereinion descendit l'une de ses mains sur le flanc de sa femme et lui passa tendrement la main dessus, sur son ventre puis remonta sur sa poitrine et pétrissa avec délicatesse l'un de ses seins dont la pointe se durcit sous le plaisir.
Amélie ne put retenir un gémissement qui s'échappa de ses lèvres gonflées par les baisées tendres et pourtant fougueux de son époux. Ereinion lui fit un sourire amoureux, puis toujours avec des gestes tendres, il retira un à un les vêtements de sa belle qui commençait à se tordre sur le lit. Avec patience, il retira lentement les boutons de la tuniques de son aimée et embrassa ses épaules ainsi dénudées, puis tout aussi calmement, il dénuda sa poitrine, son ventre, ses hanches, puis les vêtements volèrent à travers la pièce. Ereinion eut la joie de revoir son épouse nue, alanguie sur le lit conjugal, le regard brillant de désir.
Ereinion se déshabilla rapidement se coucha contre elle savourant avec délice la douceur de sa peau veloutée. Amélie caressait amoureusement la cuisse ferme et puissante de son elfe et remonta sa main sur les fesses au combien musclés de son amour tandis que de son autre main, elle lui caressait la nuque en lui mordillant l'une de ses oreilles pointues. Ereinion poussa un gémissement rauque, puis lui embrassa le cou, les épaules et la poitrine. Il lui suça un sein, lui mordilla la pointe jusqu'à ce qu'Amélie pousse un petit cri de pure plaisir. Ereinion pouffa de rire et se releva fier de lui. Mais la jeune femme prit un air vexé et avec un sourire, attrapa la virilité brûlante de son elfe et commença à y imprimer des des va et viens tendres qui rendaient Ereinion complètement fou de désir. Amélie pouffa elle aussi de rire et d'un geste vif, le fit basculer sur le dos. Elle commença à lui embrasser les lèvres, puis traça un chemin de baisers jusqu'au bas ventre. Ereinion gémit une nouvelle fois, puis poussa un cri de plaisir quand sa femme embrassa son sexe tendu. Après quelques coups de langues, elle engloutit la verge d'Ereinion entre ses lèvres brûlantes. L'elfe attrapa les cheveux d'Amélie et accompagna les mouvements de lèvres de sa compagne avec des coups de reins. Dans un cri, il se déversa dans la bouche de son aimée.
Amélie se redressa et embrassa passionnément son amoureux qui reprenait lentement son souffle. Ereinion eut un soupire de bien-être et eut l'air de s'assoupir sous le regard outré d'Amélie. Elle commença à chatouiller les flancs exemptés de la moindre once de graisse de son elfe, quand brusquement, il retourna la situation et se coucha sur elle. Avec un petit rire de gorge, elle encercla de ses jambes les hanches de son mari et poussa un petit cri de plaisir quand elle sentit Ereinion s'enfoncer profondément en elle et y resta quelques secondes faisant trembler Amélie. Il se pencha sur sa femme et l'embrassa langoureusement puis commença à bouger en elle. Amélie s'accrochait aux épaules de son amour en poussant des petits cris de plaisir. Elle ondulait des hanches pour ressentir plus profondément les mouvements d'Ereinion.
La chambre des 2 amoureux étaient remplis des cris de plaisirs des 2 partenaires. Une légère brise caressa doucement les 2 corps humides de sueur. Les va et viens d'Ereinion allèrent de plus en plus vite, de plus en plus fort faisant crier Amélie de plaisir. Soudain Ereinion et Amélie se tendirent et hurlèrent à l'unisson leur jouissance. Ereinion s'effondra sur sa femme et reprit difficilement son souffle. Amélie serrait fortement son homme... enfin son elfe contre elle. Ereinion était épuisé et caressait tendrement le corps de sa femme.
Après 20 mn de repos, il se retira d'elle et se coucha près d'elle. La jeune femme se retourna et posa sa tête sur le torse d'Ereinion. Elle reprenait lentement son souffle et commençait à somnoler quand on frappa à la porte.
-Vos majestés, Dame Galadriel et le Seigneur Celeborn vous attendent !
-Mouairf ! Grogna Amélie.
Elle cacha son visage contre le torse de son époux tandis que celui-ci pouffait de rire.
-Allez amour, on nous attend
-J'veux pas y aller !
-Allez ma douce, une bonne douche et on va les rejoindre.
-D'accord !
Tous les deux se relevèrent, puis prirent une bonne douche chaude qui les relaxa tous les deux. Ils se rhabillèrent tranquillement. Puis Ereinion prit Amélie dans ses bras et descendit rejoindre Celeborn et Galadriel.
Quand ils arrivèrent, Amélie se trouvait toujours dans les bras de son elfe, mais elle avait l'air un peu plus fatigué et pourtant plus rayonnante de même qu'Ereinion qui était plus serein, plus détendu et plus souriant que jamais. Ils arrivèrent tous les 2 en haut de la colline, puis Ereinion s'assit près de Celeborn et de Galadriel. Amélie observait le paysage avec éblouissement. C'était tout simplement merveilleux. Elle posa doucement sa tête sur les cuisses d'Ereinion et murmura tandis qu'il lui caressait tendrement les cheveux :
-C'est tout simplement féérique.
Galadriel rougit émue que la jeune reine aime autant ce pays. Amélie demanda :
-Vous êtes sûr que cela ne vous gêne pas que nous restions chez vous ?
-Pas le moins du monde. C'est plutôt un plaisir de vous recevoir en notre royaume.
-Merci.
Amélie ferma les yeux et s'endormit comme une masse. Elle souriait largement en sentant avec un bonheur immense et évident Ereinion lui baiser tendrement le front. Elle se réveilla quelques 12 heures plus tard affamée et en plein forme à temps pour voir le soleil se lever. Ereinion qui la regardait s'éveiller, assis sur un fauteuil une expression d'intense soulagement sur les traits de son visage. Il lui dit tendrement :
-J'ai vraiment eu peur mon aimé.
-Que c'est – il passé ?
-Tu as dormi toute la journée et toute la nuit.
-Et bien, ça m'a fait du bien, je n'ai jamais été aussi en forme.
-Alors je suis heureux.
Elle se prépara pour aller se doucher, totalement seule sous le regard fier de son époux qui partit dans la cuisine pour préparer un bon petit déjeuner pour sa chère et tendre épouse. Amélie rentra dans la salle de bain et quand elle croisa son reflet aux oreilles pointues, elle se rappela cette terrible journée où elle avait perdu sa fille, elle se précipita sous la douche et ouvrit l'eau. En un instant, toute la douleur et le désespoir que contenait son coeur s'échappa et Amélie s'effondra sur le sol pleura sa petite fille qui lui avait donné l'immortalité, qu'elle ne verrait jamais. Elle commençait enfin son travail de deuil, elle pleura pendant plus de 3 heures sous la douche, ses larmes se mêlant à l'eau tiède qui tombait sur son visage et étouffait une partie de ses sanglots sans savoir qu'Ereinion se trouvait de l'autre côté de la porte les larmes coulant librement sur ses joues. Il tentait de ne pas faire trop de bruit pour ne pas réveiller ses enfants qui dormaient paisiblement dans leurs chambres. Il ne devait pas aider sa femme, il devait la laisser pleurer afin que toute la douleur disparaisse de son coeur pour qu'elle puisse vivre enfin totalement heureuse. Au bout de 5 heures de sanglots déchirants, Amélie sortit enfin de la salle de bain, encore humide et les yeux rougis et gonflés par les larmes. Mais elle était soulagée, car une grande partie de sa détresse avait disparu.
Cependant quand elle croisa le regard de son époux, les larmes repartirent à l'assaut de ses yeux et tous les deux pleurèrent la mort de leur fille. Pour la deuxième fois, Ereinion montra la profondeur de son chagrin à Amélie. Ils pleurèrent longtemps chassant définitivement la tristesse de leur coeur. Alors qu'ils étaient toujours dans les bras l'un de l'autre tentant de trouver mutuellement du réconfort, Fingolfin entra dans la pièce et s'exclama :
-BEURK ! Vous pourriez faire ça autre part, il y a des enfants dans cette maison qui pourraient vous surprendre !
Tous les deux se tournèrent vers leur fils et explosèrent de rire. Amélie attrapa son fils et le serra contre elle, heureuse de son existance, de sa présence près d'eux :
-Mon amour de fils. Je t'aime tellement. Je ne sais pas ce que je pourrais faire sans toi.
-Nana, tu me fais peur. Qu'est ce qui c'est passé ?
-J'ai enfin accepté la mort de ta soeur. Et ça fait mal.
-Alors c'est une fille que tu attendais, nana ?
-Oui, mon ange. Nous voulions te faire la surprise.
-Ben j'ai eu une bonne surprise, puisque tu es là et que tu seras toujours avec nous. Et ça c'est la meilleur surprise qu'on aurait pû avoir ada et moi. Et...
Avant de pouvoir terminer sa phrase, Ereinion l'attrapa brusquement et le serra contre lui, lui embrassant tout le visage. Fingolfin était tout étonné, mais il ne s'en offuscait pas, trop heureux de revoir ses parents aussi joyeux.
Cela faisait tellement longtemps. Quand ils sortirent tous les 3, les triplées ronflant comme des sonneurs, Galadriel vit dans le regard d'Amélie une flamme qui dansait libre et joyeuse. Galadriel venait de rencontrer la tigresse qui pouvait s'acharner pendant 6 heures contre une femme qui osait regarder son elfe ce qui arriva assez vite quand Alya une elfe de Mirkwood mit la main sur le postérieur musclé d'Ereinion. Le rugissement de rage fut entendu jusqu'à Mirkwood en passant par les plaines du Rohan. Galadriel et Celeborn furent premiers les témoins du drame. Pliés, ils virent Ereinion retenir Amélie par la taille tandis que la jeune femme tentait d'arracher les yeux de la peloteuse terrifiée. Fingolfin se tordait de rire par terre de même que Cirdan qui venait d'arriver du Lindon, tandis qu'Elrond était effaré par la violence physique et verbale de la jeune reine.
Soudain Amélie se calma et commença à décrire avec beaucoup de détails et de précisions la manière dont elle allait lui arracher les entrailles, tous ses membres et ses yeux. Alya s'enfuit en hurlant de terreur criant qu'Amélie était la réincarnation de Morgoth. Les souverains de la Lothlòrien éclatèrent de rire devant l'effroi de l'elfe qui n'était pas reconnue comme quelqu'un de très intelligent, mais plutôt comme une tête de piaf vide.
Elrond s'énerva et dit à Amélie :
-Comment pouvez – vous dire des horreurs pareilles ?
-C'est très simple, avec ma bouche !
-Majesté !
-ET ALORS ! VOUS AIMERIEZ QU'UN ELFE AILLE PELOTER VOTRE FEMME DEVANT VOUS ?
Une terrible douleur se vit dans les yeux du semi – elfe qui répondit doucement :
-Non, je n'apprécierais pas.
-Mon époux me protége contre les dangers extérieurs et moi je le protège contre les furies shootées aux oestrogènes !
Ereinion explosa de rire tandis que les autres regardaient Amélie avec un oeil de bovin, ne comprenant pas ce qu'était des oestrogènes. En voyant leur mines perplexes, Amélie s'exclama :
-Bon, pour ceux qui n'auraient pas compris, je protège mon pauvre et inoffensif mari (il y eut de nombreux sourcils levé, parce qu'Ereinion Gil Galad n'était pas considéré comme quelqu'un d'inoffensif, loin de là) contre les pires créatures qui puissent exister sur la Terre du Milieu. Plus dangereureuse qu'un dragon, plus excitée qu'un orc en rut (certains elfes pouffèrent de rire tandis que d'autres tremblaient en imaginant ce que pouvait être ce terrible monstre), plus mauvaise qu'un Seigneur des Ténèbres souffrant d'une rage de dents, les femmes célibataires en quête de mari.
-O.O'
Il y eut un déferlement de rire bruyant qui stoppèrent quand Ereinion lur raconta ce qui lui était arrivé sur une plage de Nice :
-Amélie, Fingolfin et moi – même étions au bord de la mer, sur une plage de sable fin. J'étais en train d'apprendre à mon fils à nager et ma reine était en train de dormir au soleil quand un femme rousse s'est jeté sur moi. Elle m'a fait lâcher mon ange et il a failli se noyer. Je l'ai repoussé pour attraper mon fils, mais elle s'est accroché à moi en hurlant qu'elle ne savait pas nager. J'ai vraiment eu peur pour la vie de mon adorable fils. Heureusement Amélie s'est réveillée et voyant la scène, elle s'est précipité pour m'aider. Elle était furieuse. Elle a attrapé l'autre femme par les cheveux et l'a propulsé dans l'eau me libérant. On a sortit notre Fingolfin qui pleurait terrifié, on l'a séché et on l'a consolé jusqu'à ce qu'il se calme. Mon pauvre petit ange avait faillit se noyer. Quand Amélie a été sûr que notre fils ne risquait rien, elle voulut faire payer ça à la rousse. Elle était tellement en colère que j'ai été obligé de la mettre en travers de mon épaule et de rentrer dans notre mison avant qu'elle ne fasse quelque chose qu'elle aurait regretté.
-Que s'est – il passé d'autre ? Demanda Elrond fasciné par le récit.
-La rousse est allé se plaindre aux forces de l'ordre.
-Et que c'est – il passé d'autre ? Demanda Cirdan outré par le toupet de l'humaine.
-Elle a fini en prison parce qu'Amélie a contre – attaqué en disant que l'autre femme avait tenté de tuer notre fils ce qui dans le monde d'Amélie est quelque chose de très grave.
Les elfes étaient effarés en écoutant leur roi. Quant à Galadriel, elle regardait Amélie très étonnée. Elle savait qu'elle était très protectrice, mais pas qu'elle était aussi aggressive. Quoique après tout ce qu'elle lui avait raconté, elle aurait dû s'en douter.
A suivre
