D'abord, désolée pour le retard, j'espère que vous me pardonnez, et sinon, tant pis, comme l'a dit Cloporte, c'est moi qui décide ! ;)
Cloporte : je ne suis pas sûre de très bien comprendre ta question, mais s'il s'agissait de savoir comment ils ont quitté Poudlard pour aller sur le Chemin de Traverse, j'ai estimé inutile de mentionner le voyage. Je pensais que ça ne valait pas la peine de décrire leur sortie du château. Mais je me rends compte que j'aurais dû. Alors en fait, ils ont utilisé un Portoloin pour se rendre à Londres. J'espère avoir répondu à ta question ! Merci pour ta review et ton soutient ! kiss
Aniae : ma Cloooooooo !Merci d'être là, j'ai trop adoré tes reviews, c'est vrai que moi aussi je préfère un chiffre bien rond !Lol !je mets une suite que tu as peut-être déjà lu sur la WB, mais je t'attends au tournant avec Yue ( n'oublie pas que je mords !)grosses léchouilles à toi !
Emma&Danae ;Virg05 :je vous adore, toujours fidéles au poste, merci du fond du cœur !biz
Ko Vania :merci infiniment, j'espère que le reste te plaira ! kiss
SUITE et bonne lecture !
Fred alla chercher de quoi soigner les blessures de Ron, l'usage de la magie étant superflu dans ce cas là selon Hermione. La jeune fille posa ses affaires et s'approcha de son ami, qui la considéra avec un air suspicieux.
"Tu comptes faire quoi là ?"
Hermione haussa un sourcil. Elle claqua la langue, exaspérée.
"A ton avis",fit-elle en brandissant un morceau d'ouate sous son nez.
Harry et Ginny observaient la scène d'un œil amusé, tandis que Fred et George allaient rejoindre Lee, non sans adresser un sourire malicieux à leurs amis.
"Faites comme chez vous…"
"C'est d'ailleurs le cas…"
"Mais pas de bêtises…"
"N'est-ce pas frérot !"
Ron les regarda partir.
"Qu'est-ce qu'ils veulent…Aïe ! Tu pourrais faire attention !"
Le jeune homme fit un bond en arrière, les mains sur son nez. Mais Hermione s'avança vers lui, menaçante. Ron se précipita derrière une table.
"Viens ici !"
"Non ! Tu es folle ! Je préfère de loin la magie que ces espèces de trucs moldus !"
Mais la pièce avait tout de même ses limites, et Ron se retrouva vite coincé entre le mur et Hermione.
"Vous pourriez m'aider un peu !"lança celle-ci par-dessus son épaule.
"Tu te débrouilles très bien !"répliqua Ginny tandis qu'Harry éclatait de rire.
"Harry, faux frère !"
Hermione lui attrapa le visage d'une main pour le tourner vers elle. Ron vira aussitôt à un rouge, alarmant pour qui ne le connaissait pas, un rouge typiquement Weasley. Leurs visages étaient si prêts l'un de l'autre que le jeune homme en tremblait, tandis qu'Hermione soignait consciencieusement le nez de son ami.
"Voilà…"acheva-t-elle, les joues roses. "Normalement, ça devrait aller ! Tu vois, tu n'es pas mort !"
Ron ne répondit pas et s'empressa de s'éloigner tandis que la jeune fille récupérait ses affaires.
"Merci…"finit par maugréer Ron une fois à bonne distance en tâtant son nez, comme pour vérifier s'il était toujours là.
Hermione haussa les épaules. Elle fronça les sourcils en fixant les ouvrages dans ses mains. Le livre…Il était encore dans ses affaires ! Elle avait oublié de le reposer lorsque le vendeur les avait chassés ! Elle se mordit les lèvres et réfléchit à toute vitesse. Elle devait le rendre, c'était évident…Mais…Quelque chose en elle lui disait de le garder. « De toute manière, personne ne va jamais dans cette section là de la librairie ! ».
"Pas vrai Hermione ?"
La jeune fille sursauta et rangea hâtivement le livre dans son sac.
"Quoi ?"
"Tu ne m'écoutes jamais !"s'emporta Ron.
Hermione le fixa d'une manière si étrange qu'il sentit un frisson lui parcourir l'échine. Il y avait une telle…lassitude dans son regard que s'en était effrayant.
"Bon…Nous devrions y aller…"dit finalement la jeune fille en reportant son regard sur Harry.
"Oui" , renchérit Ginny avec un regard assassin pour son frère, "où sinon, maman ne va pas tarder à lancer un avis de recherche !"
CHAP11
Londres, 1895, 01h25.
Trois coups secs qui la firent sursauter, la sortant de sa torpeur. Tante Pélagie entra, tenant, enveloppé dans un vieux torchon, le dernier ingrédient. Mélinda la vit approcher la gorge nouée, et lorsqu'elle posa brusquement l'objet sur la table, elle ne put s'empêcher de tressaillir. Sans un mot, sans un regard, sa tante sortit, claquant et verrouillant la porte derrière elle. Aucune échappatoire possible. Mélinda se leva et s'approcha lentement de l'objet. Un torchon ordinaire, de ceux que la cuisinière utilisait quotidiennement. Quelques tâches, un endroit légèrement brûlé,…Elle approcha une main tremblante et découvrit ce qui s'averra être une bouteille. La vue de son contenu lui souleva le cœur. Un liquide rouge et épais, un liquide encore tiède. Elle sentit les larmes lui piquer les yeux mais les ravala, avec difficulté toutefois. Du sang humain…Le dernier ingrédient, le principal…La vision d'un corps éventré, les yeux écarquillés sur une mort brutale et douloureuse, s'imposa à elle. Elle ferma les yeux et tenta d'en chasser ces images. Peut-être n'y avait-il pas eu besoin de tuer quelqu'un ? Peut-être…Ne pas y penser, se concentrer…Pour Hannah. La cérémonie commença.
Lotrie-saint-chaspoule, 06h30.
"Hermione ! Allez, debout !"
La jeune fille entendait une voix lointaine l'appeler, une voix qui se rapprochait, une voix qui lui cria dans l'oreille.
"Hermione !"
Hermione se redressa si soudainement qu'elle heurta de plein fouet la tête de Ginny, penchée sur elle. La jeune fille tituba et se laissa tomber sur son lit.
"Dé…Désolée...Pardon…"balbutia Hermione en se précipitant vers son amie qui se frottait le front avec une grimace douloureuse.
"Pas grave…Tu faisais encore…Un cauchemar ?"demanda Ginny, en jouant nerveusement avec une mèche de cheveux.
Elle la regardait cependant dans les yeux, et Hermione lui en fut reconnaissante. Rien que pour cela, elle sentait qu'elle pouvait lui en parler en toute confiance. Elle s'assit à côté de son amie et hocha la tête. Elle lui raconta la brève scène qui s'était déroulée devant ses yeux, la gorge nouée, le cœur palpitant tandis qu'elle revivait son rêve. Elle ressentait tant d'impuissance, de peur et de tristesse. Des sentiments qui, en partie, ne lui appartenaient pas. C'était émotionnellement épuisant…Emotionnellement, mais également physiquement. Comme si toute la fatigue de Mélinda se déversait en elle la nuit. Quand elle eut achevé son récit, Ginny resta un moment silencieuse, puis la considéra avec un air interrogateur.
"Tu en penses quoi ?"
"Je pense qu'elle a très bien pu être condamnée pour avoir voulu ramener une morte à la vie…"
Hermione sentit son amie frissonner. Ramener une morte à la vie était une pratique formellement condamnée par tous les sorciers, même les mages noirs n'osaient défier la mort. Du moins jusqu'à lord Voldemort.
"Qui…A qui appartient le sang ?"demanda Ginny dans un souffle.
"Je ne sais pas….Je ne sais pas, mais je…"
Elle fut interrompu par Ron et Harry qui surgir sans frapper dans la chambre de Ginny.
"Vous venez déjeuner ?"
"Merci de frapper !"protesta celle-ci.
Harry et Ron se regardèrent. Ginny était pâle et tremblante, et Hermione, livide, avait les yeux cernés.
"Que se passe-t-il ?"demanda Ron, en les dévisageant avec suspicion.
Hermione se leva sans répondre.
"Il se passe que vous entrez sans frapper dans une chambre !"
Ginny, poings sur les hanches, semblait furieuse, mais Hermione savait qu'en réalité, elle tentait de changer de sujet.
"Qu'est-ce qu'il y a ?"insista Harry.
"Vous étiez en train de parler…"fit Ron en regardant Hermione, l'air inquiet.
"Et alors ? Nous parlons, qu'est-ce qu'il y a d'étrange à ça ? Mais imaginez seulement si vous étiez entrés au mauvais moment ? Si moi, ou même Hermione, étions en sous-vêtements, ou pire ?"
La phrase eut l'effet escompté. Ron, d'un beau rouge pivoine, recula sans oser regarder Hermione. Harry n'en menait pas large.
"Bon…On…On était juste venu vous dire de descendre déjeuner…"balbutia-t-il en tirant un Ron paralysé par le bras.
Tous deux disparurent sans demander leur reste alors que Ginny se tournait vers Hermione, l'air triomphant.
Dans la cuisine, Tonks et Lupin étaient attablés devant des assiettes débordant d'œufs et de bacon. Tonks mangeait du bout des lèvres, jetant des regards terrifiés à Mrs Weasley qui s'affairait en arguant que le petit-déjeuner était le repas le plus important de la journée. Harry et Ron prirent place autour de la table, bientôt rejoints par Hermione et Ginny.
"Vous voilà enfin ! Vos affaires sont prêtes j'espère ! Fol'œil ne devrait pas tarder, il va vous escorter à l'école ! Non, je ne viens pas avec vous, mais Tonks et Remus vous accompagnent également…"
Tout en disant cela, elle avait posé quatre assiettes fumantes devant les adolescents, et sur un coup de baguette, leurs bols se remplirent de lait.
"Mais où sont Fred et George ! Je monte les voir !"
Ron, le nez plongé dans son bacon, mangeait sans lever les yeux. Harry, lui, bavardait avec Remus tandis que Tonks et les filles s'esclaffaient sur quelques joueurs de Quidditch particulièrement « appétissants » selon l'expression de la jeune Auror. Au nom de Krum, Ron fit un bond sur sa chaise, projetant du bacon de l'autre côté de la pièce. Il darda un regard furibond sur Hermione qui rougit et ne prononça plus un mot jusqu'à l'heure du départ.
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"Passez une bonne année scolaire !"lança Tonks en étreignant Ginny et Hermione.
Maugrey serra la main à Harry, son œil magique balayant le quai dans tous les sens possibles. Il grommela quelque chose qui ressemblait vaguement à un « bonne chance » avant de se tourner vers Ron.
"Surveilles bien Harry ! C'est une tête brûlée, comme son père !"
Ron ne put qu'hocher la tête pendant que Maugrey lui broyait les phalanges. Les adolescents finirent par monter dans le train. Les élèves allaient et venaient dans les wagons, s'interpellant, riant, bavardant. S'il n'y avait eu les Aurors qui patrouillaient, on n'aurait jamais pu croire que la menace d'une guerre imminente planait sur eux. La joie des retrouvailles avait pris le dessus sur la peur et l'incertitude quant à l'année qui s'ouvrait devant eux. Fred et George furent accueillis comme de véritables héros, sifflements et applaudissements à l'appui, et ils allèrent rejoindre des élèves de septième année. Hermione ouvrait la marche dans le wagon, suivie de près par ses amis, se frayant un passage dans la foule d'élèves penchés aux fenêtres pour saluer leurs parents. Elle finit par trouver un compartiment vide où ils s'installèrent avec des soupirs de satisfaction. Harry n'aurait pu décrire la joie qu'il ressentait. Revoir la locomotive du Poudlard Express, ses wagons rutilants, revoir les autres élèves, tout cela avait provoqué chez lui une allégresse indéfinissable. A cet instant, même la pensée que Dumbledore ne leur avait pas encore parlé des évènements de l'été n'aurait pu chasser ce sentiment de plénitude. Ils furent bientôt rejoints par Neville et Luna. Cette dernière, après les avoir saluer, alla s'asseoir face à Ron, un exemplaire du Chicaneur en main. Cependant, elle ne cessait de regarder Ron, qui lui, ne s'apercevait de rien, jusqu'à ce qu'elle se penche vers lui, le nez à peine à quelque millimètres de son visage.
"Que t'est-il arrivé ? Tu as une blessure au nez…"
Ron, stupéfait, s'éloigna d'elle. Même sa propre mère n'avait rien vu. Luna recula et lança.
"Cet été, papa et moi avons cherché des Tyupitis."
Hermione haussa un sourcil, Ginny étouffa un rire en toussant, Neville, plongé dans ses pensées ne les écoutait pas. Harry, lui, ne dit rien.
"Des quoi ?"demanda Ron.
Luna le refixa un moment en jouant avec son collier en bouchons de bièreaubeurre.
"Des Tyupitis," répéta-t-elle comme s'il s'agissait de la chose la plus évidente au monde.
Ron regarda Hermione, perdu. La jeune fille claqua la langue.
"Les Tyupitis seraient soi-disant…"
"Ils existent", l'interrompit Luna sans lâcher Ron du regard.
"Soi-disant des hybrides mi-éléphants mi-serpents qui attirent leurs proies avec une odeur particulière", poursuivit Hermione.
"Nous n'en avons pas trouvés…"fit Luna en feuilletant son magasine pour s'arrêter à la page des runes.
"Comme c'est étonnant…"dit Hermione en levant les yeux au ciel.
Harry trouvait que son amie exagérait. Certes, Luna était assez farfelue, mais elle ne racontait pas toujours des histoires. Il y avait eu les Sombrals…puis les murmures derrière le voile de l'oubli. Son cœur se serra à cette pensée, et il préféra reporter son attention sur ce que Neville racontait à Ginny.
"Ma grand-mère s'est portée volontaire pour faire partie de l'équipe de surveillance du Poudlard Express, mais ils étaient déjà complets ! Beaucoup de parents se sont portés volontaires, mais le ministre n'a pris que des Aurors. Tu savais qu'il y aurait des Aurors à Poudlard ?"
"Tout le monde sait que ces incapables viennent se pavaner à Poudlard Londubat !"
Malefoy se tenait dans l'embrasure de la porte, que Ginny avait oublié de fermer. Entouré de ses gorilles, il les regarda avec un air narquois. Harry vit avec satisfaction que sa lèvre était encore gonflée, alors que Ron ne présentait aucune blessure au premier coup d'œil.
"Dégages Malefoy…A moins que tu ne veuilles que je finisse le travail…"lança Ron.
Hermione posa une main sur le bras de son ami, qui tremblait déjà de fureur contenue. Jamais Ron n'avait paru aussi sûr de lui.
"Weasley, je te jure que tu vas me le payer…"siffla Malefoy.
Ron ricana.
"Ah ouais ? J'aimerais bien voir ça !"
Le visage du Serpentard se déforma en un rictus qui ne présageait rien de bon. Il regarda alternativement Hermione et Ginny. Et sans un mot, il tourna les talons.
"Ron, tu ne devrais pas le provoquer comme ça…"dit Hermione, inquiète.
Son père à Azkaban, Drago était prêt à tout pour se venger d'Harry et de ses amis. La dernière chose à faire était de le provoquer. Ron haussa les épaules avec colère.
"C'est ça, défends-le ! Cet espèce de…de…"
"Ron, je crois que je suis la dernière personne qui irait le défendre…"répondit calmement la jeune fille.
Un silence lui répondit. Ron, les yeux brillants, se massa la nuque.
"Ouais…Excuses-moi…"
"Ronald Weasley qui s'excuse ! J'aurais tout vu !"
"Petit frère, tu es surprenant comme garçon !"
Les jumeaux vinrent s'asseoir.
Hermione fronça les sourcils.
"Je croyais qu'on n'avait pas le droit de se promener dans les couloirs du train ?"
Fred et George eurent un sourire.
"Nous avons fait usage de nos sourires charmeurs…"
"Et les Aurors ont fondu…"
Fred passa un bras autour des épaules de la jeune fille et s'approcha avec un air charmeur.
"D'ailleurs…On t'a déjà dit que tu avais de beaux yeux ?"
Hermione rougit en le repoussant avec un sourire. Son regard croisa celui de Ron, qui fusillait son frère du regard. Son sourire s'élargit. Elle se réprimanda intérieurement. « Mais qu'est-ce qui te prends ? Ce n'est pas le moment de te transformer en Lavande ou en Parvati !». Laissant Fred et George taquiner leur jeune frère à propos de sa jalousie maladive, elle repensa à ce rêve, à ce sang encore frais. C'était sans doute ce qui avait valu à Mélinda de se retrouver damnée…Une question assaillit son esprit, comme à chaque fois depuis qu'elle faisait ces rêves. Pourquoi elle ? Certes, elle savait que Voldemort avait envoyé les âmes maudites contre les enfants de Moldu, mais pourquoi Mélinda l'avait-elle choisie elle ? C'était étrange comme sensation. Le jour, elle était Hermione, la nuit, elle vivait les souffrances de Mélinda. Deux vies en parallèle, à des époques différentes. C'était épuisant, elle n'avait pas de répit. Elle se sentait s'affaiblir à chaque rêve, comme si Mélinda aspirait chaque nuit un peu de sa vie, et pourtant, elle voulait l'aider, elle le devait. Mais elle comprenait parfaitement l'incompréhension et l'appréhension de ses amis. Elle en était touchée même, tout en refusant qu'ils se mettent à la couvrir et à la surprotéger. Elle avait besoin d'être traitée comme d'habitude, de se disputer avec Harry et Ron, surtout avec Ron d'ailleurs, d'être cette miss je sais tout qui l'exaspérait et l'impressionnait tant, d'être Hermione Granger tout simplement. La jeune fille avait sorti un livre et laissait distraitement ses yeux courir sur les pages. C'était le meilleur moyen qu'elle avait trouvé à son arrivée à Poudlard pour rester tranquille. Alors que tout le monde croyait qu'elle lisait, elle pouvait réfléchir à son aise. Certes, elle aimait lire, mais elle avait parfois besoin de pause pour réfléchir. Seul Ron osait la déranger dans ses moments là, pour la sortir de ses livres comme il disait. Elle détestait le sentir derrière elle à l'épier, à lire par-dessus son épaule. Mais en même temps, elle adorait. Elle adorait pouvoir détester ça, elle se sentait exister. C'était d'ailleurs incroyable l'effet que ce garçon avait sur elle. Il faisait ressortir chez elle des aspects de sa personnalité qu'elle ne soupçonnait pas. Elle adorait sa présence même si elle s'en défendait. Pouvoir lui crier dessus était si exaltant. Et pouvoir être tout prêt de son adorable visage, le voir rougir derrière ses tâches de rousseur…Elle se gifla mentalement. Ce n'était pas le moment.
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oui, je sais, tout le monde attend qu'ils se jettent l'un sur l'autre, moi la première, mais j'essaie de rester réaliste, je ne prétends pas faire comme notre maître à tous, JKR, mais j'essaie de coller le plus à l'univers HP, et connaissant Ron et Hermione, je ne pense pas qu'ils vont se jeter l'un sur l'autre...Dommage, hein? mais ce sont les personnages qui décident, pas moi! J'espère que ça vous a quand même plu! Biz à tous!
