Je n'avais que de vagues souvenirs des fêtes d'Halloween que j'avais pu passer à Poudlard. Je savais que l'on y taillait des citrouilles pour leur donner un air menaçant et qu'on se gavait de confiseries jusqu'à ce qu'indigestion s'en suive. Lupin m'avait également parlé d'un bal et je me souvint y avoir été lors de ma quatrième année avec Anthony Stevanos un garçon de ma maison, relativement sympathique et agréable. C'était assez amusant de voir les élèves faire leurs demandes d'invitation dans les couloirs, rougissant et bégayant face à la difficulté et cela me rendait assez nostalgique de cette période où j'étais encore loin de me douter de ce que l'avenir m'avait réservé.

Je continuais donc ma marche dans les couloirs, tout en réfléchissant à la dernière conversation que j'avais eu avec Severus, et qui avait été une véritable catastrophe. C'était comme si chaque échange verbal que nous avions était voué à finir en rixes et insultes blessantes et je commençais à me demander si j'aurais un jour la chance de pouvoir communiquer avec lui normalement et en toute civilité. J'ouvris la porte de ma chambre, perdue dans mes pensées et je m'assis à mon bureau pour y préparer mon prochain cours lorsque mon regard se posa sur le porte manteau. La cape de Rogue y était toujours attachée, celle là même qu'il m'avait prêté lors de notre dernière dispute. Je n'arrivais pas à me résoudre à la lui rendre, car les dernières paroles qu'il m'avait dites m'avaient fait perdre tout espoir et je me sentais terriblement bête et stupide. Il n'avait pas tort sur ce point, c'était un fait.

Arès posa sa tête sur ma cuisse et émit un gémissement comme s'il savait parfaitement à quoi je pensais.

« Tu crois que je devrais aller lui rendre sa cape ? »

Arès dodelina de la tête.

« Je pourrais tout aussi bien la déposer devant son bureau, ou même demander à Lupin de la lui rapporter… Qu'en penses tu ? »

C'est quand même très expressif un loup parfois… Il me mordilla gentiment la main avec des yeux rieurs. C'était très amusant tout ça, mais je ne savais toujours pas quoi faire quand même et mon cours sur les équipodes n'avançait pas vraiment.

J'entendais encore la voix de Rogue en échos dans mon esprit et ce fut comme un déclic, je me levais brusquement, attrapant la cape au passage puis je sortis en trombe de ma chambre, bien décidée à avoir une conversation avec son propriétaire qui ne dégénère pas en dispute. La cape était une merveilleuse excuse et la seule dont je disposais pour qu'il m'accorde deux minutes et même plus si affinité. Je croisais quelques élèves sur mon chemin, certains me dévisageant un peu surpris de mon pas pressant et déterminé en direction des cachots. Arès me suivait en trottinant joyeusement, comme s'il se réjouissait à l'avance de pouvoir enfoncer ses canines dans la peau de son ennemi fatal, Severus Rogue.

J'arrivais enfin devant la porte des cachots et je m'accordais une minute à reprendre mon souffle et calmer les battements rapides de mon cœur. Bien, maintenant que j'étais devant il fallait que j'entre et donc que je frappe à la porte sinon je risquais encore de me faire traiter de petite curieuse. Ok, frapper… combien de coups au fait ? Un ? Deux ? Peut-être que trois suffisaient. Oui mais à en juger le caractère de Rogue, un coup suffirait amplement. Je débattais le pour et le contre sur le un ou deux coups lorsqu'une voix me tira de ma réflexion stagnante.

« Je peux savoir ce que vous fichez devant la porte de mon bureau depuis plus de deux minutes miss Quant ? »

Deux minutes ? Déjà ? Je me retournais brusquement, sentant mon teint virer dangereusement au rose puis au rouge. Comment il faisait ça bon sang ?!

« Ah bonjour… je voulais euh… »

Ok, maintenant je commençais à bégayer comme ces ados des couloirs qui ne savaient pas comment inviter une fille à être leur cavalière. Rogue me dévisagea l'espace de quelques seconde puis roula des yeux avant de se diriger vers la porte de son bureau pour l'ouvrir. Il se retourna, la porte toujours ouverte et me lança un regard agacé.

« Je n'ai pas toute la journée à vous tenir la porte miss, alors soit vous entrez et vous me dîtes ce que vous aviez à me dire, soit je referme cette maudite porte ! »

Ca commençait mal, vraiment très mal et je dois dire que sur le coup, je n'y étais certainement pas pour rien. Aussi, j'entrais rapidement avec Arès qui grogna en passant devant Severus et je réalisais soudainement que j'aurais probablement mieux fait de le laisser dans ma chambre pour éviter d'éveiller toute animosité entre les deux ennemis. Rogue referma la porte et s'avança vers moi de son air hautain et calme, les bras croisés sur sa poitrine puis il se planta devant moi, attendant visiblement que je lui donne les raisons de ma visite. Je lui tendit sa cape d'un geste brusque et il la regarda un peu surpris avant de me regarder de nouveau. Je vous avais déjà dit combien il avait des yeux extraordinaires ? Oui ? Bref, j'étais une fois de plus en pleine contemplation.

« Désolée, je voulais vous la rendre plus tôt mais je… Merci de me l'avoir prêté. »

Ce n'était pas la meilleure façon de conclure ma phrase mais au moins j'étais tout ce qu'il y avait de plus sincère et de désolée. Rogue me regardait toujours et je pus voir l'espace d'une mili seconde un changement dans ses yeux. Ce n'était pas le regard agacé ou menaçant auquel j'avais habituellement droit, non. C'était comme s'il acceptait de faire une trêve, se rendant à l'évidence que la vie pour nous deux serait probablement bien meilleure à Poudlard si on ne se lançait pas continuellement des regards foudroyant tout en s'envoyant des piques.

Un sourire incontrôlable se fraya un chemin sur mon visage et je craignais qu'il ne l'interprète encore mal, me soupçonnant de me payer sa tête ou je ne sais quoi.

« Vous serez de la partie pour la fête de ce soir ? » Je me hasardais sur un terrain assez délicat, mais c'était la seule chose intelligente et cohérente qui me vint à l'esprit à cet instant.

Rogue bougea et posa sa cape sur une table d'un air las.

« Comme chaque année, les directeurs de maison doivent être présents pour cette fête. »

« C'est moi où j'ai l'impression que vous n'en avez pas envie ? »

« J'ai mieux à faire que de voir des ados en pleine crise s'esclaffer et faire étalage de leurs hormones dès que l'occasion se présente. »

Je gloussais légèrement et fut prise de pitié pour lui sans vraiment savoir pourquoi. C'est sûr que s'il voyait toutes les fêtes de cet œil là, il devait vraiment mourir d'ennui à avaler tous les toasts de la soirée. C'est ce que moi j'aurais fait en tous cas. Le souvenir des paroles brusques de Severus au chemin de traverse me traversèrent brusquement l'esprit, comme une lame de fond qui venait s'abattre sur les cloisons de ma conscience.

« Je voulais m'excuser aussi… Pour tout ce que j'ai pu dire ou faire depuis… hum, depuis longtemps. Je sais que je n'aurais pas du partir comme ça sans laisser de nouvelles, je suis désolée… vraiment. »

Rogue me tournait toujours le dos, faisant mine de mettre un peu d'ordre dans la pièce et fit un vague geste de la main que je traduisais comme si ce n'était qu'une broutille sans importance. Le faible espace autour de nous, et l'énergie avec lequel nous l'avions rempli, devint soudain trop intense. J'ai bien peur d'avoir laissé la poltronne resurgir en moi, et voyant que je n'obtiendrais rien de plus de cette conversation, je me décidais à tourner les talons et sortir de la pièce afin de soulager Severus de ma présence embarrassante. Je murmurais un vague au revoir sans me retourner, un peu déçue quand même d'avoir complètement loupé ce que je voulais faire, ce qui ne me surprenait pas plus que ça. Je commençais sérieusement à me dire que j'étais aussi douée que lui pour engager la conversation. Je refermais la porte derrière moi, espérant vainement qu'il ne la rouvre, même pour me dire une méchanceté, au moins il m'aurait prêté attention. Tandis que je sortais du cachot humide, sans me retourner, j'éprouvai un net sentiment de perte. Mais le double fait de savoir qu'il m'avait pardonné pour mon faux-pas et accueillie dans un endroit où si peu de personnes avaient jamais été invitées me réchauffa comme l'aurait fait une couverture par un froid matin d'hiver. J'emportai cette sensation avec moi et savourai ces moments perdus.

J'aimais bien les fêtes à Poudlard, il s'en dégageait toujours une ambiance particulièrement agréable, de joie et de bonheur. Pour l'occasion j'avais décidé de revêtir ma plus belle robe, d'un bleu nuit profond et assez sobre, et j'avais attaché mes cheveux en deux temps trois mouvements grâce à une formule magique que j'avais trouvé dans un livre de la bibliothèque. Etre une sorcière donnait quand même de sacrés avantages. Je souris en me regardant dans le grand miroir de ma chambre.

« Impeccable. » me renvoya-t-il.

« Merci, et toi Arès, qu'en penses-tu ? »

Le loup était assis à mes côtés et observait mon reflet avec curiosité puis aboya bruyamment pour se faire comprendre. Je traduisis cette manifestation par quelque chose de positif et j'en conclue que j'étais prête. Arès se dirigea le premier vers la porte avec un air fier, visiblement je n'étais pas la seule à me réjouir de la soirée. Lorsque j'ouvris la porte, je vis le professeur Chourave en pleine conversation avec Bibine, dont le sujet semblait être le prochain match de quidditch entre les Poufsouffles et les Serdaigles. Leur conversation stoppa net lorsqu'elles s'aperçurent de ma présence et j'eus la vague impression d'être observée de haut en bas et examinée sous tous les angles, comme si elles avaient voulu s'assurer que ce n'était pas une autre personne qui se tenait devant elles. Je souris timidement et m'avançais calmement avec Arès dans leur direction.

« Bonsoir. » dis-je timidement.

Ca faisait bizarre de se retrouver du côté des professeurs parfois, vous pouvez me croire.

« Bonsoir Mary. Et bien… en voilà une qui n'aura aucun mal à se dégoter un cavalier pour le bal ! » S'exclama Chourave avec un sourire amusé tandis que je sentais mes joues s'enflammer.

Bibine décida d'en rajouter une couche, et pas la moindre.

« Oui, je lance les paris sur Lupin… » Elle parut réfléchir puis rajouta « … et pourquoi pas Severus aussi tiens ! Soyons folles ! »

Mon dieu, mon dieu, mon dieu, la sortie et vite ! Je ne savais pas que les ragots courraient même du côté des professeurs et je reçus une de mes premières leçons sur le corps enseignant de Poudlard : Bibine et Chourave étaient deux pipelettes avides de rumeurs aussi farfelues les unes que les autres, la méfiance s'imposait et même l'état d'urgence vu la couleur que mon visage devait afficher. L'alerte rouge était réellement le mot approprié vu la situation. Je m'accordais quelques minutes à discuter poliment avec elles puis dans une manœuvre presque désespérée mais cependant bien menée, je quittais la conversation pour me diriger vers la grande salle. Je soupirais de soulagement.

« Sauvée ! » murmurais doucement pour moi même.

Je descendis les longs escaliers, évitant avec habileté leur farces qui visaient plus à égarer les élèves qu'autres chose. Mon attention fut attirée par la voix de Dumbledore qui discutait tranquillement avec la vieille McGonagall au détour d'un couloir. Je ne pu freiner un sourire lorsque mes yeux se posèrent sur sa robe bleutée ornée de citrouilles animées. J'adorais vraiment ce directeur, il était complètement à part, comme dans son petit monde où joie et bonheurs sont les seuls lignes de conduite. Lorsqu'il me vit il sourit avec cette lueur pétillante dans le regard, me glorifiant d'un petit signe de la main pour que je m'approche ce que je fis.

« Bonsoir monsieur, Minerva. » Dis-je avec un sourire aimable toujours présent lorsqu'une citrouille de la robe de Dumbledore fit une grimace à l'attention de Minerva qui ne la releva pas.

« Bonsoir Mary, tu es ravissante. N'est-ce pas Minerva ? » Lui demanda t-il en se tournant vers elle.

La vieille sorcière se contenta d'un sourire aimable et d'un hochement de tête.

« Merci. » A ce rythme, j'étais partie pour rougir toute la soirée… Ca promettait.

« Je vous laisse, j'ai les consignes de dernière minute à rappeler à mes élèves avant que les confiseries Weasley ne provoque une pagaille ce soir dans les dortoirs. »

McGonagall s'esquiva rapidement et disparut au bout du couloir, me laissant seule avec Dumbledore. Celui-ci me dévisageait avec attention, et je me sentis relativement mal à l'aise. Vous savez, il y a des fois où on se sent d'humeur à affronter les pires démons et d'autres où un simple vieillard vous empêche de soutenir son regard. C'était justement un de ces moments là.

« Tu as l'air de t'être bien adaptée au poste Mary. Tout se passe bien ? »

« C'est un peu étrange… mais oui, tout se passe pour le mieux. »

« Bien bien… »

Le regard pétillant s'estompa quelque peu et je devinais quelque chose de pas très folichon qui allait subitement faire tâche en plein milieu de ma si bonne soirée.

« Il y a autre chose que vous voulez me dire… »

Il hocha doucement de la tête.

« Un auror du ministère va passer dans la semaine Mary. Il vient s'assurer du bon fonctionnement de l'école et de la disparition totale de toute sorte de soumission à Voldemort. »

Sa voix était incroyablement fatiguée et je la perçus comme une excuse.

« Euh… je ne suis pas certaine de comprendre. C'est sensé être une bonne chose non ? »

« Il s'agit de Sean Kelly, son nom te dit-il quelque chose ? »

Illustre inconnu au bataillon. Ou voulait-il en venir ?

« Non, ça devrait ? »

« Son fils a été tué lors de la guerre contre Voldemort et ses mangemorts. Ton père était de la troupe qui a attaqué sa famille… »

« Oh non… »

La nouvelle si elle n'avait pas pu me surprendre plus que ça me parvint comme un violent coup en pleine figure et je compris l'inquiétude de Dumbledore.

« Il garde une haine profonde envers les mangemorts et cela se comprend… Ils lui ont enlevé son seul fils. Il est fort probable qu'il tienne des propos déplacés en ta présence, aussi ne lui en tient pas trop rigueur même si ce n'est pas facile. »

Mon cerveau fonctionnait à toute allure pour trouver un plan qui me permette de m'absenter et de fuir la présence de l'auror mais sur le coup, rien ne me vint en tête. Je comprenais son ressentiment face aux mangemorts et je cultivais cette même haine farouche envers ceux qui m'avaient enlevé ma famille. C'était une situation vraiment pathétique en somme. Nous étions tous les deux victimes de la folie destructrice du Seigneur des ténèbres et j'allais subir les conséquences d'avoir hérité du sang de mon père. J'écoutais à peine les paroles de Dumbledore qui tentait de me rassurer sur le sujet mais au bout d'un certain temps de rêverie cauchemardesque, je le saluais brièvement et quittais les lieux sans me soucier des regards que l'on pouvait me porter.

J'avais l'impression que toutes mes forces me quittaient peu à peu et je m'arrêtais quelques secondes, m'appuyant contre un mur pour remettre mes idées au clair. Si mon cerveau avait pu avoir un compteur de vitesse, il aurait probablement affiché le plus beau de tous les records. Et si d'ailleurs il n'avait pas été complètement court-circuité par la nouvelle, j'aurais probablement remarqué la silhouette sombre à quelques pas de là, me scrutant avec parcimonie.

« Un problème Miss Quant ? »

La voix était calme et suave mais laissait percevoir une note très légère d'inquiétude, dénuée de son sarcasme habituel. Une folle envie de me jeter dans ses bras me parcourut le corps mais la petite voix de la raison me ramena rapidement à l'ordre.

« Non… Tout va très bien Severus. »

Pas un regard, pas un mot de plus et j'entrais dans la grande salle, affichant une mine joyeuse qui reflétait l'inverse de tout ce que je pouvais ressentir à cet instant. Je savais qu'il n'était pas dupe, mais je ne pouvais pas une fois de plus le mêler à mes histoires sordides.

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Bon me revoila à m'excuser. Explications : j'ai Office 2000 qui m'a méchamment planté entre les pattes et impossible de rectifier la fic pendant quelques jours. J'ai donc du aller pêcher un équivalent de word sur le net en catastrophe après avoir tenté 3 réinstallations infructueuses de cette saleté d'Office 2000 (Bill Gates, je t'exècre !). Voilà, et ce chapitre me plaît pas trop, j'espère que le suivant sera mieux.

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Reviews :

Cyngathi : Ravie que le chapitre 9 t'ai autant plu, j'espère que le 10 aura le même effet (même si j'en suis pas convaincue T_T)

Loumiolla : Voilà, merci ^^

Alexiel : Ben oui, il a une voix douce mais les paroles ne suivent pas toujours lol Rhalala… ce Sevy… avec sa voix et ses beaux yeux noirs… *part dans son délire*

Alake : Ben c'est ce que je ferais aussi crois moi. D'alleurs c'est ce qu'il pourrait se produire si cette sous-douée de Mary se bouge pas un peu.

Kinou : Merci d'avoir pris le temps d'écrire un petit mot. Je suis flattée d'avoir réussit à brancher une non-fan de Severus sur ma fic *toute émue* Pis merci pour tout ces compliments *vire au teint pivoine*

Gensi : C'est à se demander s'ils finiront un jour ensemble ces deux là -_- Impossible de les laisser 2 min ensembles sans qu'ils ne se chamaillent. J'ai l'impression que l'histoire échappe complètement à mon contrôle parfois, c'est dingue O_o

TiteSevie : Sevy gentil et teigneux ? Teigneux je veux bien mais gentil… bon ok je dois inconsciemment lui donner cet air gentil et mimi dont on me parle depuis quelques chapitres maintenant o_-

Lihou : Merci ^^ Faudra cependant être patient pour les chapitres, c'est pas si simple à écrire par moment, d'où les délais que je ne tiens pas très bien ^^;

Amy Evans : C'est parti pour durer… comme les piles Duracell lol.

Gaeriel-Jedusor :  Garde-chiourme… ben je sais plus où je l'ai entendu mais c'est une expression qui reste assez connue pourtant, pis j'aime bien lol ^^ Pis merci, je fais tout pour éviter de rendre cette fic trop niaiseuse et c'est rassurant de t'entendre dire que j'y arrive plus ou moins ^^

Moony013 : Ouais mais bon, les vieux lubriques qui ont plus de 25 ans c'est pas le top quand même… Je préfère un vieux grognon, froid et distant, avec de beaux yeux noirs et prof de potion si possible. Sinon le reste j'en veux pas :p Pis pour ton prof d'histoire, la prochaine fois essaye d'entrer dans les premiers dans la classe pour ne pas te retrouver avec la dernière place dispo : devant le prof. Rien que d'y penser, si ça m'était arrivé avec mon prof d'histoire… argh *gros frisson d'horreur* Bref, bisous puce et merci ^_^ (peuchère, ici c'est les histoires de profs pervers… mes lecteurs vont finir par se poser des questions Lulu lol Bof pas grave :p)

COOL : Merci pour le petit mot, je suis contente que l'histoire provoque une telle euphorie chez toi ^^ lol

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PS : J'ai mis 3 h à répondre aux reviews, entre les conversations sur msn et les sites sur lesquels je barbotais… Ben bravo, et merci pour toutes ces reviews, c'est vraiment très gentil à vous ^_^  (mais ce fut long O_o)

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