Je traversais la grande salle avec la douce impression d'être devenue un fantôme, quelque chose ayant perdu toute substance, toute trace de vie. La pensée d'être confrontée de nouveau à mon passé était insupportable en soit et c'était bien là une de mes seules craintes du quotidien. Je haïssais mon père, je le détestais profondément pour le mal qu'il m'avait fait et qu'il continuait à me faire. J'avais longtemps espéré que ces souvenirs douloureux s'évaporeraient avec le temps mais il n'en était rien. Chaque jour, chaque nuit la pensée de me savoir seule me revenait comme un coup de couteau, comme l'avada kedavra qui avait tué ma famille. Parfois je me surprenais même à penser qu'un jour j'aurais la joie de reconnaître le sentiment d'une vie de famille, et de tous les merveilleux instants que cela suggérait. J'espérais, encore et toujours, comme un naufragé attendant de voir les voiles blanches de son bateau de secours.
« Mary ? Ca va ? » Me demanda Lupin qui venait de me rejoindre dans ma marche.
Il avait l'air inquiet et ma tentative de rester aussi naturelle que possible venait visiblement de tomber à l'eau. Soit je n'étais pas aussi douée que Severus pour cacher mes pensées, soit c'était ce cher Lupin qui avait vraiment un sens incroyable de l'observation. C'était peut-être les deux en même temps.
« Oui, ce n'est rien… » A quoi bon essayer de lui cacher la vérité alors qu'il lisait en moi comme dans un livre ouvert ?
Nous prîmes place rapidement, sans étendre d'avantage la conversation sur un sujet qui avait suffit à me gâcher ma soirée d'Halloween. Lorsque tout le monde fut enfin présent, à savoir les professeurs et les élèves, Dumbledore entama un petit discours à sa façon, souhaitant globalement une bonne fête à tous les élèves et un bon moment de détente. Tout du moins c'est ce que je parvins à écouter car je n'avais pas vraiment la tête à faire la fête. La seule chose qui me fit sourire fut le repas animé que les elfes de maisons avaient concocté pour cette douce soirée d'Automne. La plupart des plats étaient à base de citrouille, et je fut prise de pitié à la pensée - complètement freudienne - qu'il y avait peut-être des personnes allergiques à la citrouille dans la pièce. Cela étant, je n'en perdais pas moins l'appétit tout en enfouissant cette petite pensée compatissante pour les allergiques à la citrouille dans un coin de mon cerveau. De toutes façons, lorsque l'on sort de prison et qu'on se retrouve devant un vrai repas pour la première fois en huit longues années, le réflexe premier n'est pas de savoir si c'est bon ou pas, mais de savoir si son estomac sera bien rempli. Parce que croyez-moi, entre une gamelle crasseuse remplie d'une espèce de purée de blé concassé et un festin comme ceux auxquels j'avais droit à Poudlard, le choix est vite fait. Voilà donc l'origine de ma joie lors des repas, pathétique n'est-ce pas ?
Quoi qu'il en soit, lorsque le repas toucha à sa fin et que les plats disparurent des tables, Dumbledore prit une nouvelle fois la parole et annonça ce que les élèves attendaient tous : le fameux bal d'Halloween. D'un coup de baguette, le vieux bonhomme fit disparaître les tables, dégageant ainsi la grande salle dans une impression d'espace infini, puis la musique commença. Ce changement eut le mérite de me distraire un peu et de me sortir de ma mauvaise humeur. La pensée de savoir que j'avais été exactement comme ces élèves qui dansaient aujourd'hui innocemment fut accueillie avec nostalgie par mon esprit. C'était pour le moins étrange, maintenant je me trouvais de l'autre côté, à la table des professeurs. Je restais quelques minutes à observer la salle se remplir peu à peu de couple dansant, amusée par l'indélicatesse des pas foulés qui venaient quelques fois piétiner les pieds des jeunes élèves. Un sourire refit lentement surface sur mon visage et je décidais de mettre temporairement de côté la nouvelle contrariante de Dumbledore et de profiter pleinement de ma première fête d'Halloween en dix ans à Poudlard. Lupin se tourna vers moi avec un sourire amusé et un regard presque vivant sous ses traits d'éternel assoupi.
« Ca te dirait quelques pas ? »
« Euh… ce serait dommage vu mon habileté légendaire, que l'on termine tous les deux par terre au milieu d'une pièce remplie d'élèves. »
Lupin rigola doucement en me tendant la main. Je n'avais plus vraiment le choix.
« Je guiderais. »
Voyant mon air dubitatif, il se pencha légèrement.
« A moins que tu ne préfères réserver cette danse à un Serpentard ici présent à la table des professeurs… » dit-il en chuchotant.
Un sourire de victoire traversa son visage devant ma mine surprise et je grommelais un « même pas vrai » pas très convaincant en acceptant finalement la main tendue. Mon regard se dirigea immanquablement vers Rogue qui faisait mine de regarder ailleurs. On mettra ça sur le compte de l'intuition féminine mais je suis certaine qu'il n'était pas aussi indifférent que ce qu'il laissait paraître. Lupin m'entraîna sur la piste de danse et la danse commença. Il est probablement inutile que je précise que j'avais une trouille bleue de faire quelque chose de travers devant les élèves… et Rogue. Je fut rassurée de voir que Lupin était un très bon danseur, et que contrairement à moi, il savait parfaitement ce qu'il faisait.
Finalement, ce n'était pas aussi compliqué que ça, j'avais juste oublié le truc des pas. Vous savez, un deux trois, un deux trois… Tout était une question de rythme et c'était assez rigolo. Bon en fait je m'amusais vraiment beaucoup.
« Au fait, je dois être le dernier à te le dire mais tu es splendide ce soir. » Lupin me fit virevolter d'un coup, me prenant complètement au dépourvu et m'arrachant un rire accompagné d'une nouvelle rougeur aux joues. J'étais condamnée à mourir d'une hémorragie cérébrale un soir d'Halloween, si c'est pas malheureux ça…
« Merci. A vrai dire tu n'es pas le dernier. »
Un haussement de sourcils.
« Severus ne t'a pas complimenté ? J'irais lui en toucher un mot si tu veux ! » Il rigola devant mon air indigné.
« Flitwik n'a rien dit non plus que je sache, comme Sybille et Hagrid ! Si tu fais quoi que ce soit je… »
« Tu quoi ? » M'interrompit-il avec un air moqueur.
J'adorais Lupin, il était vraiment formidable, gentil, amusant, doté d'une bonté énorme, l'ami idéal mais parfois, oui parfois il m'arrivait d'être prise de pulsion d'étranglement envers sa personne. Car malgré toutes ces qualités, il avait un énorme défaut. Ou plutôt deux énormes défauts : outre le fait qu'il arrive à deviner et prévoir mon comportement, il était terriblement exaspérant. Sinon, c'était un homme charmant. Adorable. Mais vraiment exaspérant.
« En tous cas, ça fait vingt minutes qu'on danse et tu pourras constater par toi-même qu'on est toujours debout. »
L'art et la manière de changer de sujet aussi. Qualité ou défaut ?
« En effet… C'est plus simple que dans mes souvenirs. Mon dernier cavalier m'avait écrasé une dizaine de fois les pieds, je n'en ai pas de très bons souvenirs. »
« Qui t'a appris à danser comme ça ? Tu es assez douée… »
Un flash me revint subitement, une nouvelle pièce du puzzle se dévoilait à moi comme si j'avais feuilleté un album de photos souvenirs. Je me revoyais avec mon frère, Kyle à rigoler dans le salon tandis qu'il essayait vainement de m'apprendre à ne pas rigoler lorsque sa main se posait sur ma hanche. J'étais terriblement chatouilleuse, aussi le fou-rire était totalement incontrôlable et le pauvre Kyle soupirait d'exaspération que j'étais un véritable cas désespéré.
« Mary ? Ca va ? »
Lupin me tira de mes pensées, voyant mon regard vide et mes gestes d'automates.
« C'est mon frère, c'est lui qui m'avait appris. »
« Je suis désolé. » répliqua t-il doucement.
Je souriais légèrement, après tout, je lui devais une pièce de l'immense puzzle de mon passé.
« Non, merci. J'avais oublié tout ça… C'est agréable de savoir à qui je dois le fait de ne pas être tombée ce soir. »
« Je l'en remercie sincèrement d'ailleurs. » Lupin sourit doucement et nous dansâmes en discutant et rigolant de choses et d'autres. C'était vraiment fantastique de pouvoir mettre de côté tous mes soucis, même l'espace d'une soirée. Cependant, un étrange sentiment d'insatisfaction élu domicile au fond de mon estomac, s'amusant à asticoter mon esprit comme on titillerait le museau d'un dragon avec une plume d'hippogriffe. J'avais une vague idée de ce qui causait cette désagréable sensation et je la suspectais fortement de se trouver de l'autre côté de la pièce, à gauche de la table des professeurs. Je n'osais pas vraiment regarder pour autant, allez savoir pourquoi mais mon esprit me dictait de ne pas regarder dans cette direction.
« Tu devrais l'inviter à danser. »
Je regardais Lupin comme s'il était réellement devenu dingue.
« Pardon ? »
« Severus. Il nous observe depuis un certain temps. »
« Tu crois ? »
Encore une bourde monumentale. Décidément, j'étais la reine.
« Oui oui. Et puis ça lui ferait du bien de sortir un peu de son petit cocon. »
Je soupirais longuement, baissant les yeux et sentant une nouvelles fois le rouge me monter au visage.
« J'oserais jamais. Il va m'envoyer sur les roses avec un de ses sarcasmes, on va encore se disputer et ce serait dommage de gâcher une si belle soirée pour ça. Si ça se trouve, il va m'envoyer un sort de répulsion pour que je ne m'approche pas de lui. »
Lupin rigola.
« Tu as vraiment une imagination incroyable. Arrête de te chercher des excuses, je te paris qu'il va accepter. »
« Il ne voudra jamais danser avec une de ses anciennes élèves. » C'était véridique, et puis Rogue ne dansait jamais de toute façon.
« Moi je te dis que si. »
« Non, il ne le fera pas. »
« Si. »
« Non. »
« Si. »
« Non. »
« On parie ? »
« OK ! »
Sans réaliser l'ampleur de la catastrophe ni même que je m'étais fait incroyablement menée en bateau par Lupin, je revenais avec un air de défis à la table des professeurs, qui s'évapora au fur et à mesure que je me rapprochais de mon but. Lupin suivait ma marche entre les élèves et bien qu'étant incapable de voir son visage, j'aurais pu jurer qu'il arborait le regard pétillant de Dumbledore.
A ce jour, je peux encore me souvenir d'avoir prié plus fort que je ne l'avais fait de toute ma vie. Je priais qu'une énorme dispute éclate dans la grande salle, ou qu'une vilaine tornade atterrisse soudainement, m'emmenant loin de ce pays d'Oz dans lequel je me trouvais soudain. Même un tremblement de terre aurait fait l'affaire, pour peu que je me sois trouvée près de la crevasse et que j'aie pu me jeter dans le vide. La vision très nette de tomber dans la lave bouillonnante me traversa l'esprit, clôturant cette fantaisie particulière mais brève. Lorsque mes pas me menèrent à quelques mètres du ténébreux professeur de potions, mon esprit oscilla dangereusement entre piquer un sprint fulgurant et partir en courant, et sauter au cou de Rogue. Parler, il fallait que je lui parle. Donc ouvrir la bouche et sortir des sons. Facile. C'est absolument incroyable comme votre corps peut ignorer une instruction ferme de votre esprit. Bien sûr, à ce moment, mon esprit lui envoyait des ordres contradictoires, mais tout de même, il était plus entêté qu'une mule, désorienté ou non.
Lupin vint se rasseoir calmement non sans jeter des regards concupiscents dans ma direction. Le pari, j'avais un pari à gagner. C'était une bonne raison non ? Ok, c'était complètement stupide mais c'était la seule motivation dans ma démarche que je trouvais, mon esprit s'étant subitement envolé, avec toutes les pensées rationnelles que je pouvais avoir. Rogue détourna son regard au bout d'un moment, se sentant probablement observé. S'il n'avait pas été un homme j'aurai dit qu'il avait une intuition féminine assez développée. Il haussa un sourcil narquois, en me dévisageant avec une méfiance à peine camouflée.
« Vous désirez miss ? »
Aller droit au but, ne pas tourner autour du pot, aller droit au but, ne pas tourner autour du pot… Ma technique d'auto persuasion semblait fonctionner et je reprenais un peu de mon assurance en croisant son regard.
« Je me demandais si vous vouliez danser. »
Son sourire suffisant s'effaça d'emblée, comme si un monstre gluant et visqueux se tenait devant lui.
« Je ne danse pas miss Quant. » répliqua t-il de sa voix grave la plus doucereuse.
« Promis, je ne vous piétinerais pas les pieds ! »
Son sourire moqueur réapparut.
« Ca j'en doute. La réponse est toujours non. »
Lorsque je croisai ses yeux, mon sourire s'élargit. Je ne pus m'en empêcher. Et si vous aviez la chance de plonger dans ces diamants noirs, vous ne pourriez pas vous en empêcher non plus. Je décidai de porter le coup de grâce lorsqu'il apparut qu'il n'allait pas flancher.
« S'il vous plaît Severus… » murmurais-je dans un dernier espoir.
Son regard changea doucement, il hésitait et jugeait la situation.
« Vous ne me laisserez donc jamais tranquille ? » Finit-il par dire dans un soupir agacé et un raclement de chaise.
Je ne répondit pas, un sourire contenant un véritable fou-rire que j'essayais de refreiner tant bien que mal. J'avais perdu le pari mais j'étais aux anges.
Je ne me souviens pas avoir traversé une moitié de la grande salle avec Rogue, mais en revanche je me souviens parfaitement de sa main se posant sur ma hanche et provoquant un court circuit monumental dans mon pauvre cerveau déjà bien abîmé en cette étonnante soirée d'automne. Rogue était un excellent danseur, et je me demandais d'ailleurs comment il avait pu apprendre à danser s'il ne dansait jamais. Encore un mystère à élucider autour de cet homme aussi insondable et peu éloquent qu'une porte de prison. J'étais bien consciente que les trois quarts des regards s'étaient posé sur nous, tant les élèves que les professeurs qui devaient probablement se retenir de crier au miracle en dansant la java. Rogue dansait. Avec moi. Très bien, se calmer, ne pas paniquer, ne pas bafouiller, respirer un grand coup mais surtout, se calmer. Après tout ce n'était que Rogue, mon ancien professeur de potions, rien de miraculeux à cela. Alors pourquoi mon cœur battait-il à tout rompre dans ma poitrine ? Pourquoi ma tête était-elle sur le point d'exploser et mes intestins se tordaient-ils comme un rouleau de fil de fer barbelé ?
Pendant quelques minutes qui me parurent être une éternité, aucun mot ne sortit de ma gorge. J'étais vraiment trop absorbée à remettre un peu d'ordre dans mes idées. Finalement, je décidais néanmoins de rompre ce silence gênant, donnant un grand coup de pied à ce fichu stress pour le faire partir.
« Je peux vous poser une question ? »
Rogue qui avait préféré éviter mon regard depuis le début concéda enfin à m'accorder un peu d'attention. Normal me direz-vous, j'étais presque collée à lui et on dansait quand même au milieu de la grande salle avec pas moins de six cent regards braqués sur nous.
« Si je vous dis non vous allez la poser quand même miss. » Répliqua t-il.
Je rigolais doucement.
« C'est vrai, excusez-moi. »
« Ce n'est rien, je commence à avoir l'habitude avec vous. » Un léger sourire se pointa sur ses lèvres. Pas un méchant sourire plein de sarcasmes non. Rogue qui souriait ça tenait de l'ordre du miracle, ce qui expliquait probablement les fourmillements que je sentais au creux de mon estomac. Un nouveau silence se fit et ma question s'échappa soudainement avec nos pas de danse. J'étais bien, comme dans un rêve. Seule la main de Severus me rappelait que j'étais parfaitement éveillée et j'essayais de ne pas piquer un fard en y pensant. Lorsque je suis plongée dans ce genre de délire, j'ai tendance à faire ou dire des choses que je ne me permettrais pas en temps normal. Vous savez, comme lorsque l'on boit trop d'hydromel et qu'on ne sait plus trop ce qu'il se passe. On se réveille le lendemain en ayant tout oublié sauf les choses les plus gênantes. Sauf que là j'étais à demi consciente de ce que je disais, et un peu de sincérité n'avait jamais tué personne. La preuve, Rogue était toujours vivant (et j'étais dans ses bras).
« Je regrette d'être partie vous savez… Ca m'a manqué de ne plus vous voir. » Je soupçonnais une extinction de voix se pointer doucement vu le ton de ma phrase.
Rogue baissa les yeux vers moi de nouveau, un air indéchiffrable sur le visage et ne dit rien. Je crois que sur le coup j'avais réussi à le surprendre pour de bon. Intérieurement, j'effectuai un mouvement de pompe d'un poing triomphant.
Ma tête se fit soudainement lourde et je sentis la pression de sa main me tirer d'avantage vers lui. Si la situation pouvait paraître gênante, j'en gardais pour la première fois les pieds sur terre. Je pouvais presque entendre son cœur battre tant nous étions proches à cet instant.
« Merci d'avoir été là Severus… » murmurais-je en appuyant doucement ma tête contre son épaule.
Je ne voyais pas son regard, il ne voyait pas le mien, et quelque part je regrette cet instant où il me sembla que le terrifiant maître des potions, le redoutable Severus Rogue avait baissé sa garde pour me laisser l'approcher. Quelques minutes s'écoulèrent encore, et je réalisais avec peine que j'entendais à peine la musique tant j'étais sur mon petit nuage. La main de Severus disparut comme un papillon s'envolerait, il s'écarta doucement en me fixant comme il ne l'avait encore jamais fait. La magie de l'instant était terminée. Il tourna les talons rapidement et sortit de la salle dans un bruissement de cape noire majestueuse, me laissant derrière lui avec une boule de plomb dans l'estomac… ou dans le cœur. Je ne savais plus trop en fait.
**************
Reviews
Gensi : Ben je voulais qu'il la rattrape aussi mais je me suis dit que ça collait pas trop avec son caractère. Il est du genre à observer dans ce genre de situation, l'action et lui c'est autre chose lol ^^
TiteSevie : Disons que Sev' va en s'améliorant côté comportement, mais concernant l'autre débile... nan je ne dirais rien _ même sous la torture ! Bon, en tous cas c'est loin d'être le bonheur pour Mary dans les prochains chapitres ^^
Amy Evans : Euh... houla, Sean faire des avances à Mary ? O_o; gloups Non pas vraiment lol Mais tu verras qu'il y aura peut-être un nouvel intervenant prochainement qui va passablement agacer Severus ^^ (ça y est j'en ai trop dit _)
Alexiel : Hum... t'as du avoir la réponse à ta question avec ce chapitre ;)
Lihou : J'hésitais à vous mettre ce chapitre en ligne tout de suite à vrai dire... Je me suis dit que ça pourrait être marrant d'être pile au rdv avec Halloween mais d'un autre côté... je me serais fait tuée pour vous livrer le chapitre aussi tard ^^
Moony013 : M'en parle pas, le coup des yeux qui nous fixent... argh ! Ce qui est vraiment bien avec Sevy c'est qu'il ne risque pas de nous sauter dessus comme ton prof de chimie, ou ton prof d'histoire... ou mon prof d'histoire, mon prof de droit constit, mon prof de gestion... etc etc... Au moins c'est à nous de lui sauter dessus pour changer ^__^ Bisous ma Lulu.
Antigone666 : C'est pas original mais je l'ai fait quand même lol Disons que c'était une belle occasion pour tenter un rapprochement ;) Pour l'auror... ça... *prend son air mystérieux*
Rogue422 : J'espère que le chapitre 10 t'as plu ^^
Wallen : Tu crois pas si bien dire ^____^ Merci pour le p'tit mot.
Gaeriel-Jedusor : Bwarf j'aime pas Aragorn :p Mais pour les yeux de Sevy... argh c'est quand même dingue de tripper comme ça sur des yeux...
