Tandis que les jours passaient, mes souvenirs de notre première rencontre commençaient à s'émousser doucement et je mettais la plupart des sentiments bizarres que j'éprouvais sur le compte de défaillances mentales post-traumatiques combinées à quelques herbes spéciales qui devaient se trouver dans le thé magique de Dumbledore. D'étranges histoires de vies antérieures et de vieilles âmes prenaient progressivement place dans un coin éloigné et sombre de mon esprit, pour être extirpées et examinées seulement dans la douce quiétude d'une nuit entre les murs de ma chambre.
Charly était encore là et était venu m'annoncer son départ pour demain au soir. J'étais triste de le voir partir si rapidement car sa compagnie me faisait vraiment du bien et j'aimais chaque instant passé en sa présence, ainsi que celle de Rémus. Je me sentais pour la première fois depuis longtemps chez moi, dans un lieu où je retrouvais ce qui m'avait tant manqué pendant de si longues années et que je croyais impossible à combler. Et puis il y avait Severus, toujours lui. Bien que moins visible ces temps-ci, je le suspectais fortement de se terrer dans ses cachots pour éviter de croiser Charly et de soumettre ses nerfs à rude épreuve. J'en étais vraiment désolée.
Après une brève altercation avec un élève de Serpentard, qui n'était autre que ce cher Blindt, je terminais mes cours non sans une pointe d'agacement. Oui, j'étais de nature très conciliante, pacifique et calme mais lorsqu'on arrivait à m'énerver je devenais très désagréable. Heureusement, ce genre de chose n'arrivait pas souvent. Ce soir là après le repas et une longue discussion avec Charly et Rémus, je ne parvins cependant pas à trouver le sommeil, ce qui me poussa à aller me promener un peu avec Arès. Mes pas me conduisirent au dehors et j'étais assez contente d'avoir pensé pour une fois à bien me couvrir. J'aimais bien me promener comme ça le soir. Tout est tellement calme et différent qu'on a l'impression d'être dans une autre dimension, un autre monde. J'adorais ça.
Mes pas me conduisirent vers la cabane d'Hagrid, que je passais finalement pour me diriger vers la forêt interdite. Je voulais revoir le dragon de Charly encore une fois, seule à seul. Je ne saurais dire à cet instant quelle force m'y poussait mais il fallait que je le voit une dernière fois avant le départ de Charly. Je sentais mes entrailles se nouer à l'approche du dragon, mais ce n'était pas une sensation désagréable. En fait je pouvais décrire ça comme de la hâte, une impatience de me retrouver en face de ce géant des airs.
Lorsque j'arrivais dans la petite clairière, le dragon était calmement assit dans ma direction et me regardait calmement, comme s'il avait prédit ma petite visite ce soir là. J'entendais son souffle rauque mais apaisant parmi les bruits étouffés de la forêt et de ses habitants et je m'accordais quelques minutes de contemplation pour cet animal, qui sur le coup me fascinait complètement. Malgré son apparence repoussante et redoutable, je le trouvais particulièrement beau. Je savais pertinemment le danger potentiel qu'il était mais je n'arrivais pas à croire qu'il puisse me faire quoi que ce soit. Je me rapprochais un peu plus de lui, tendant la main pour qu'il puisse la flairer et reconnaître mon odeur et mes bonnes intentions. Finalement, la plupart des animaux magiques avaient leur rituel de présentation ou de reconnaissance et les dragons n'étaient pas une exception à la règle.
« Bonsoir Horace. » dis-je en guise de salutation.
Le dragon baissa la tête à hauteur de mon visage et cligna des yeux. J'avais l'impression de comprendre ce qu'il essayait de me dire. Pourtant je n'étais pas en état de délire ce soir là, je n'avais rien bu et je réservais ce côté déluré à la présence de Severus. Je restais là, à caresser le dragon, à lui parler quelques fois ou à sourire devant ses mimiques et je ne saurais dire combien de temps s'écoula de cet instant magique. Je savais qu'il n'était pas donné à tout le monde de communiquer aussi facilement avec des créatures réputées comme dangereuses et agressives mais concernant les dragons, je savais très bien à quoi je devais ce phénomène. Mes yeux suffisaient à le prouver, je n'étais pas vraiment normale. J'étais des leurs.
Horace était véritablement un dragon hors pair, Charly avait bien raison sur ce point. D'une douceur incomparable et d'une gentillesse que personne, pas même Charly ou moi n'étions en position d'expliquer. Pourtant ce soir là, il me blessa malgré lui. J'entendis un vague craquement dans les feuillages alentours lorsqu'un sort surgit de nulle part frappa le dragon avec une intensité telle que je doute avoir pu y survivre s'il m'avait été destiné. Je n'avais jamais vu d'Endoloris jusqu'à maintenant mais cette vision du dragon se tordant de douleur me sidéra complètement. Dans un geste de défense et de désespoir, le dragon se retourna brusquement, un hurlement déchirant sortant de sa gorge tandis que sa grande queue armée de pointes acérée fouettait l'air avec véhémence. J'eus à peine le temps de voir venir le coup. Aucune échappatoire possible, la violence du choc me fit littéralement voler et je heurtais le sol comme un vulgaire sac de sable. J'étais complètement sonnée par ce qu'il venait de se produire et bien incapable de réaliser les faits, je sentis mon esprit se volatiliser lentement hors de mon corps. Des tâches noires tournoyaient avec séduction devant mes yeux, m'appelant pour les rejoindre dans leur danse macabre. La douleur me parvint comme une chose très lointaine et sans importance. La mort n'était pas si terrible après tout.
La seule chose que j'entendis avant de perdre complètement pied avec la réalité fut le hurlement d'Arès qui se tenait à mes côtés. Puis tout devint subitement noir.
Je n'avais aucune idée d'où je pouvais bien être. Tout ce que j'étais capable de voir, était le blanc immaculé qui m'entourait et m'aveuglait complètement. Mais je me sentais bien, c'était comme nager dans du coton, avec la ferme impression de pouvoir voler à chaque pas que je faisais. D'ailleurs je ne savais pas pourquoi je marchais, ni même si j'avais un but précis à cet instant là. C'était pour le moins étrange... Etait-ce donc ça le paradis ?
« Ca n'a rien du paradis... » dit une voix douce et reposante.
Je tournais la tête, dans l'espoir de voir mon interlocuteur mais je me heurtais toujours à cet immense vide blanc. Je n'avais pourtant pas rêvé.
« Qui est-ce ? Où êtes-vous ? » demandais-je prudemment.
Soudain, une masse brumeuse apparut devant moi, et se matérialisa lentement en une silhouette qui - si ma vue n'était pas devenue complètement hors service - ressemblait à une femme. Elle était belle, bien que je ne puisse pas voir complètement les traits de son visage, tout me semblait si flou.
« Je m'appelle Ardwyn. Je suis ravie de te rencontrer enfin Mary. » me répondit-elle au bout de quelques secondes d'observation. Elle n'avait pas l'air bien méchante, son visage n'affichait pas vraiment d'air menaçant, ni même de mauvaises intentions.
« Tu es... »
« Celle à qui tu dois ces yeux oui. » m'interrompit-elle en souriant doucement.
« Et celle qui n'a rien fait pour protéger ma famille. » continuais-je sans me soucier du fait que mes paroles puissent être blessantes pour elle.
« Je ne pouvais rien faire. J'en suis désolée. Je voulais vraiment t'aider, j'ai essayé mais je n'ai pas pu intervenir plus tôt. »
Je soupirais. C'est vrai qu'elle ne pouvait pas vraiment faire quoi que ce soit pour moi... D'autre part, ces deux affaires étaient complètement inconnues l'une à l'autre mais elle m'avait pourtant aidé, et même sauvée.
« Je n'ai pas beaucoup de temps pour te parler Mary. Je voulais juste te demander quelque chose. Si tu acceptes, je partirais. »
« Tout dépend de ce que tu vas me demander. »
« Le dragon qui t'a blessé, Horace... fais en sorte qu'il ne lui arrive rien. Lorsqu'il sera en sécurité, j'aimerais que tu ailles le voir encore une dernière fois, là seulement je pourrais partir. Le sort qui l'a frappé était trop violent pour qu'il ne réagisse pas de cette façon, ce n'est pas de sa faute. »
« Je le savais. » je lui souris doucement.
« Dois-je en conclure que tu acceptes ? »
« Je ne suis pas professeur de soin aux créatures magiques pour rien. Je m'en occuperais, c'est promis. »
« Tu ne peux pas rester ici plus longtemps, il t'attend. »
Elle me rendit le sourire et la silhouette s'évapora doucement.
« Hein ? qui ? Attend ! »
« Merci Mary. »
Mes bras brassaient de l'air et je me retrouvais de nouveau seule, perdue dans cette immensité blanche qui avait vraiment tout pour être désespérante. Sauf qu'après son départ, tout devint gris, puis comme si quelqu'un avait éteint la lumière, je fus plongée de nouveau dans l'obscurité.
Lorsque j'ouvris les yeux, j'étais toujours à même le sol et la différence du monde blanc dans lequel je me sentais si bien et si légère, avec ce monde là était tout simplement frappante. J'avais mal, c'était comme si on m'avait posé un fer rouge sur le ventre, et j'avais froid. Mon corps était une boule ardente de douleur atroce et lancinante, frémissant d'une vie propre qui reflétait les battements de mon cœur. Je sentis qu'on me secouait l'épaule, qu'on m'appelait par mon prénom et la voix me parut étrangement familière. Severus. J'ouvris un peu plus les yeux, et ma vision bien qu'embuée confirma mon intuition.
« Severus ? »
Essayant de bouger, je gémis de douleur lorsque mes muscles envoyèrent des signaux d'avertissement dans toutes mes terminaisons nerveuses.
« Ne bouge pas et évite de parler. » Sa voix était stressée et formelle. Il était inquiet, je le voyais bien, même avec les yeux dans le vague. Malgré tout, sa voix était la plus belle mélodie que j'étais capable de distinguer.
« J'ai mal. »
« Pas étonnant... Bon sang mais qu'est-ce qu'il s'est passé ? » dit-il en rageant, plus envers lui qu'à mon attention.
Je me contentais d'obéir, tandis qu'il fabriquait un bandage de fortune en comprimant la plaie avec la main. Je vis brièvement sa main se lever alors qu'il attrapa son écharpe, la posa sur la plaie, et je compris pourquoi il était aussi nerveux. Elle était couverte de sang. Je crois que j'étais trop sonnée pour partir dans un nouveau délire. Ou alors j'y étais déjà. Mes yeux se fermaient malgré moi et ce fut un véritable combat pour rester éveillée. C'est incroyable comme le sommeil vous tend les bras quand on ne le cherche pas, c'était comme les miracles, jamais là au bon moment.
« Reste éveillée Mary. »
« Facile à dire... C'est dur. »
Mes yeux se fermèrent malgré mes ordres à les tenir ouvert et une secousse sur l'épaule me réveilla à peine. J'avais l'impression que c'était peine perdue, le sommeil me tirait à lui avec une force impossible à contrer.
« Non Mary ! Mary ! Reste avec moi ! » La voix de Severus retentissait dans mon esprit et j'étais désolée de ne pas pouvoir suivre ses directives pour une fois.
« Je ne demande... pas mieux... » soufflais-je doucement tout en basculant inévitablement dans l'inconscience.
Je ne sais pas si Severus avait entendu ce que je venais de dire, mais je priais de toutes mes forces pour que ce soit le cas. Je voulais pouvoir le lui dire encore une fois et même aussi longtemps qu'il le fallait. C'est probablement ce qui me sauva cette nuit là. Sans lui je ne pense pas que j'aurai eu le désir de vivre plus longtemps.
Lorsque je me réveillais, je pu entendre des voix agitées autour de moi. Je n'ouvris pas tout de suite les yeux, c'était comme si mes paupières avait été harnachées de plomb, les rendant impossible à soulever. La douleur était toujours là, bien que moins présente, et la chaleur du lieu m'indiqua clairement que je n'étais plus dans la forêt interdite. C'était somme toute assez rassurant.
« J'ai dis dehors ! Comment voulez-vous que je la soigne si je vous entend ruminer sans arrêt dans mon dos ? C'est une infirmerie, on a besoin de silence ! »
Je reconnu très clairement la voix de madame Pomfresh, l'infirmière de l'école. Ainsi donc, j'étais à l'infirmerie. Ok, très bien mais à qui parlait-elle ?
« Severus, venez. Pompom nous avertira lorsqu'elle se réveillera. » Je reconnu la voix calme de Dumbledore.
Rogue ne dit rien et j'entendis quelques secondes plus tard la porte se fermer derrière eux. Je sentis qu'on essayait de me faire avaler une potion ce qui me fit faire un effort incroyable pour ouvrir les yeux.
« Ah vous êtes réveillée ! Buvez ça, vous irez mieux. » s'exclama Pomfresh en souriant doucement.
Pourquoi les potions de guérison étaient-elles toujours aussi infectes ? J'avais horreur de ce goût amer.
« Vous êtes salement amochée. Qu'est-ce que vous avez bien pu fabriquer pour en arriver là ? »
Je terminais la potion avec une grimace de dégoût et je bougeais pour me relever un peu quand la main ferme de Pomfresh sur mon épaule m'en empêcha.
« Ne bougez pas, vous n'êtes pas en état. »
Je soupirais d'agacement.
« J'étais avec le dragon de Charly... Un sort l'a frappé et il n'a pas fait attention et j'ai fait un vol plané... Le reste je n'en suis plus très sûre. » J'avais du rêver la suite oui, sous l'emprise d'un délire relativement puissant.
Elle écarquilla les yeux comme si j'avais été digne de Sainte Mangouste sur le champ.
« Un dragon ? Je ne vous savais pas si téméraire. »
« Moi non plus... Hum... Est-ce que vous pouvez appeler monsieur Dumbledore et Rogue, il faut que je leur parle. »
« Vous devriez vous reposer d'abord, la potion ne va pas tarder à agir. »
« C'est important, s'il vous plaît. »
Pomfresh roula des yeux en levant les mains au ciel dans un geste plus désespéré qu'autre chose, puis elle sortit de l'infirmerie en marmonnant vaguement des plaintes agacées envers ses patients peu coopératifs. Il ne fallut pas plus de dix secondes après son départ pour que je vois Severus et Dumbledore entrer dans la pièce. Dumbledore sourit doucement, tandis que Severus, plus en retrait m'observait avec cet air qu'il prenait souvent en ma présence lorsque je disais ou faisais une boulette. J'allais probablement me faire sermonner en beauté et essuyer une nouvelle dispute avec lui. A cette pensée, je me disais que je pouvais peut-être tenter de l'éviter, mais je ne savais pas vraiment comment.
« Comment te sens-tu Mary ? » dit finalement Dumbledore en s'asseyant sur le bord de mon lit, tout en me scrutant derrière ses lunettes en demi-lune.
« J'ai l'impression qu'une armée de Troll vient de me piétiner... Sinon ça va, merci. »
Je me tournais vers Rogue en me référant aux paroles de Lupin lors d'une de nos dernières discussions.
« Comment m'avez-vous trouvé ? »
Rogue détourna les yeux vers Arès qui était assis à côté de mon lit et me dévisageait avec inquiétude.
« Il hurlait comme un damné, ce n'était pas bien difficile. » répondit-il ave une voix égale.
Dumbledore sourit avec malice à Severus qui l'ignora délibérément puis se tourna de nouveau vers moi.
« Qu'est-ce qui s'est passé Mary ? » me demanda t-il en reprenant son sérieux.
J'entrepris alors de tout lui raconter, y comprit ce que j'avais vu dans mon état d'inconscience. Lorsque j'eus terminé mon récit, je vis le visage de Severus se crisper légèrement, il était énervé, c'était évident. Je sentis la potion faire son effet et je luttais pour rester éveillée encore un peu. Dumbledore se releva d'un air fatigué et songeur. Les révélations sur le sort qui avait été jeté sur le dragon semblaient le préoccuper grandement. Il s'accorda cependant à me sourire une dernière fois avant de sortir.
« Je vous laisse, il faut que j'aille vérifier certaines choses... En attendant, je préfèrerais que tout ceci ne s'ébruite pas. Je mettrais le professeur Lupin et monsieur Weasley au courant mais tout ceci doit rester entre nous tant que cette histoire n'aura pas été tirée au clair. Pour l'instant, repose toi un peu Mary. »
Je hochais difficilement la tête. J'avais l'impression que le moindre effort allait me plonger pour de bon dans un nouveau coma. La porte de referma de nouveau et je restais quelques secondes à la fixer avant de détourner mon regard vers Severus.
« Severus ? » j'avais du mal à parler.
« Pourquoi tu as fait ça ? Tu aurais pu mourir. » Dit-il en me clouant sur place du regard.
Je ne savais pas vraiment quoi dire. Et je ne savais pas comment prendre le fait qu'il me tutoyait subitement. Est-ce que je devait continuer à le vouvoyer ou pas ? Remarque, c'était lui qui avait commencé, je supposais donc que je pouvais en faire de même le concernant.
« Désolée de t'avoir encore dérangé... »
« Stupide gamine. »
Je me tenais là, des centaines de sentiments contraires se bousculant en moi à l'écho de ces mots dits doucement, sans colère. La douleur se répandait hors de mon corps, me laissant hésitante et incertaine.
« Severus ? »
« Quoi ? »
« Je... je suis fatiguée... »
« Très bien, je te laisse. » il commença à se diriger vers la porte.
J'avais envie qu'on m'achève sur le coup. Plus stupide que moi, c'était impossible. Tête à claque et dégonflée jusqu'au bout.
« Non. »
Ses pas stoppèrent net et il se retourna vers moi, revenant à mes côtés, le visage illisible.
« Reste. »
La potion faisait maintenant pleinement son effet et je fermais les yeux, incapable de les garder ouverts plus longtemps. Je n'entendis plus rien, tout était devenu subitement calme autour de moi. Severus était toujours là, je le savais. Je le savais parce que la chaleur de sa main se posant sur la mienne était bien réelle, parce que la douceur avec laquelle il la tenait me réchauffa le coeur comme une fournaise incroyablement puissante, parce que je la serrais et qu'il me le rendait sans rien dire. Et puis de toute façon, il n'y avait plus rien à dire.
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Pfiouuuu… Hum… Je sais pas pourquoi mais je sens que mes chers reviewers vont encore râler *lol* Désolée mais c'était pas pour cette fois non plus :p J'ai écrit ce chapitre en écoutant en boucle la chanson « World on fire » de Sarah McLachlan, j'adore cette chanteuse ^^ Si vous en avez l'occasion, essayez, elle vaut vraiment le coup. Je tenais également à m'excuser pour la gêne occasionnée dans le chapitre 14. Effectivement j'ai commis une bourde sans précédent en confondant Bill et Charly Weasley (y en a tellement des Weasley… O_o) En guise d'excuse, vous aurez donc le chapitre 16 en semaine et le chapitre 17 le week end prochain ^^ D'ici là, encore mille excuses de vous avoir embrouillé sur ce point et j'espère que ça ne vous gênera pas trop pour la lecture de ce chapitre (j'ai modifié le 14 en conséquence bien entendu).
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ReviewsAmy Evans : lol, oui je pense que Sev' ne se rend pas totalement compte qu'il est vraiment jaloux. Ou peut être que si… j'en sais rien en fait. Je le contrôle pas vraiment comme personnage ^^;
Cyngathi : Merci pour m'avoir signalé l'erreur des prénoms Weasley, j'ai une dette de vie envers toi *prend son air solennel* Et oui, Sevy est jaloux (c'était ZE surprise du chapitre 14 ça hein ? lol)
Gensi : Pour le manuel, adresse toi chez Fleury & Bott, ref : 4352104L titre : Manuel du petit Sevy de A à Z, auteur : C.E, éditeur : FAFS (les Fanficeuses Anonymes et Fans de Severus) J'espère qu'il n'y aura pas de rupture de stock )
TiteSevie : Dois-je craindre pour ma vie maintenant que tu viens de voir qu'il ne s'est pas passé grand chose dans ce chapitre non plus ? *craint pour sa vie*
VirginRogue : *écarquille les yeux* la Grande VirginRogue, celle qui a écrit les plus belles fics sur Sevy m'écrit un petit mot ? O_o Waow ! Je m'attendais pas à ça sérieusement, et tu ne peux pas imaginer comme ça me fait plaisir que cette fic te plaise. Merci de t'y être intéressée *toute flattée* J'espère que la suite te plaira tout autant :)
Moony013 : J'adore tes scénarios fumeux lol Je suis en train de réfléchir, voir si je peux mêler Lupin un peu plus à l'histoire et faire en sorte à ce qu'il serve à quelque chose… Entremetteur est pas un boulot facile quand même… Surtout quand il s'agit de Sev : / Quant à la glissade sur les marches… j'ai déjà plus ou moins expérimenté ça même si elle ne lui est pas tombé dans les bras, donc va falloir te creuser encore un peu :D Tiens d'ailleurs faudra qu'on discute des prochains chapitres, j'aimerais bien tes idées fumeuses (bien que j'ai droit à un échantillon tous les soirs, cf : les boxers lol) pour boucler l'histoire proprement ^^ Bisous bisous et merci beaucoup.
Mya : Merci ^_^ Ravie que cette fic te plaise. Autre chose, si tu me tues, ça va poser problème car vous n'aurez jamais la suite ni la fin de cette histoire… Ce serait dommage hein ? :D *sourire sadique*
Loumiolla : Et moi je te souhaite un joyeux anniversaire en ce 15 novembre ^_^ Si ce chapitre est là aussi tôt (logiquement je l'aurais posté un peu plus tard), c'est parce que je pensais justement que ça ferait office de cadeau. (je sais, c'est pas un cadeau super top mais bon…:/ ) Merci pour le p'tit mot.
Antigone666 : Encore une qui craque pour mon Sevy jaloux lol incroyable ^^ Je vais être franche concernant le dragon : je n'ai aucune explication rationnelle à son comportement et j'ai la flemme d'en trouver une. Donc à moins que ça ne vous semble réellement vital, je ne développerais pas davantage le sujet =)
Cachou : Voilà la suite et merci ! ^^ oui je sais… je traiiiiiiiiiiine mais c'est pathologique, pas ma faute =(
Gaeriel-Jedusor : Beuuuh :( Une histoire Hedwige/Crocdur ? Je préfère même pas imaginer lol t'es dingue ^_^ Pour Charly, c'était simplement un clin d'œil à un ami qui se reconnaîtra probablement lol. Sinon je ne crois pas un seul instant qu'il soit de ce bord et que JKR apprécie ce genre de préférences pour ses personnages )
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