L'hiver froid et rigoureux était finalement bien au rendez-vous cette année. Il avait apporté avec lui cette fine couche de gelée matinale que je trouvais tout à fait enchanteresque, tout comme cette petite brume qui recouvrait les plaines environnantes, laissant planer cette atmosphère magique qui était tout à fait propre à Poudlard. J'avais décidé de me lever assez tôt ce matin, et je filais prendre mon déjeuner rapidement avec la ferme intention d'aller passer un peu de temps avec Horace avant son départ. Bien qu'heureuse qu'il soit enfin libre de nouveau, je me sentais triste de le voir partir, ce que toute personne normalement constituée aurait trouvé complètement idiot. Je pris donc mon petit déjeuner seule dans la grande salle ce qui me parut assez étrange mais pas désagréable. Je donnais un croissant complet à Arès qui le dévora rapidement en remuant la queue puis je remerciais mentalement les elfes de maison pour ce super petit déjeuner.

Lorsque j'eus fini, je m'apprêtais à descendre en quatrième vitesse voir Horace mais habillée comme je l'étais je me surpris à penser - non sans un sourire totalement stupide - à la remarque sarcastique dont Severus me gratifierait s'il le savait. Je soupirais de nouveau à l'idée de devoir remonter au sommet des donjons pour aller y chercher un vêtement plus approprié. Pourquoi Poudlard comptait autant de marches et d'escaliers ? Ca tenait presque du sadisme.

C'est ainsi qu'arrivant au sommet, je n'étais pas certaine de pouvoir faire un autre pas, complètement essoufflée. Cependant cela ne stoppa pas ma ferme résolution et je rentrais dans ma chambre, attrappais une épaisse cape et sortais en fermant doucement la porte pour ne pas éveiller tout l'étage avec mes va et viens incessants. Ce que je loupais admirablement. Triple zut.

Trois portes plus loin, ce qui correspondait aux quartiers de Severus - je ne le savais que trop bien - la porte s'ouvrit aussi rapidement qu'elle se ferma et ce, sans aucun bruit. Un tour de passe passe qu'il fallait que j'apprenne au plus vite, ça avait l'air bien pratique. Je crois qu'il n'avait cependant pas remarqué ma présence vu qu'il se tourna un peu brusquement vers moi. Je ne vois pas en quoi la situation pouvait être amusante mais pourtant je me surpris à sourire légèrement. C'était peut-être le fait que pour une fois, j'inversais les rôles par un coup de chance incroyable et j'arrivais à le surprendre comme il le faisait si souvent avec moi. Trop souvent peut-être... mais je ne m'en plaignais pas je dois dire. Le hasard - s'il y en avait un - faisait drôlement bien les choses.

« Tu es bien matinal. » dis-je en campant sur ma position.

« Je suis toujours matinal, ce qui, on le sait tous ici, n'est pas ton cas. Qu'est-ce que tu fabriques à une heure pareille ? » dit-il avec méfiance.

« J'allais prendre un peu l'air, pour voir le dragon de Charly. Ils le libèrent ce matin. »

Je savais que l'idée n'allait pas lui plaire, et mes doutes furent confirmés lorsqu'il fronça les sourcils.

« Cet animal a failli te tuer et tu persistes à vouloir le voir ? » Dit-il avec un mélange d'incrédulité et de colère dans la voix.

Je comprenais parfaitement son raisonnement et je l'aurais probablement suivit dans d'autres circonstances. Hors ce n'était pas le cas, et les circonstances étaient pour le moins absurdes. Ceci dit, je pouvais faire d'une pierre deux coups. Cette idée qui me vint tombait à point nommé, c'était parfait.

« Je te l'ai déjà dit, ce n'était pas de sa faute et tu le sais très bien. Si tu ne me crois pas, tu n'as qu'à venir voir par toi même. J'y vais, et ce n'est certainement pas toi qui m'en empêchera. »

Et toc, dans les dents. Je sus à l'instant où les paroles sortaient de ma bouche que j'avais réussis mon coup en beauté. Severus me regarda avec agacement.

« Très bien. »

J'aurais pu danser des claquettes sur le coup, et si je ne le fis pas, c'est uniquement pas soucis de ne pas réveiller tout l'étage. Et un peu par honte aussi, mais bon...

Sans un mot de plus, Severus attrappa une cape et c'est ainsi que j'allais ce matin là voir le dragon qui avait failli m'ôter la vie, le tout en compagnie de mon sauveur qui détestait probablement le dragon qui lui, ne le connaissait pas et avait toute les chances de le détester à son tour, vu le caractère odieux qu'il pouvait avoir quand il s'y mettait. C'était complètement tiré par les cheveux cette histoire, vraiment.

Ce qui était tout à fait formidable avec Severus, c'était le silence total qui régnait par moment avec lui. J'aimais sa voix tout autant mais je trouvais parfois ses silences très agréables à observer et surtout à interprêter, ce qui donnait, vu mon imagination rocambolesque des hypothèses pour le moins amusantes. Cela étant, j'étais bien trop préoccupée ce matin là pour me plonger dans ce genre d'analyse puérile et je me demandais si Ardwyn allait tenir sa promesse et me laisser en paix. Lorsque je me posais la question, j'avais l'impression d'y avoir la réponse à chaque fois. Oui, elle allait vraiment partir. Et ce n'était pas sans un soupçon de regret que j'allais perdre ce don fabuleux qui me permettait d'approcher les plus terrifiantes crétures de toute la création.

Au fur et à mesure que nos pas approchaient de notre but, je pouvais presque dire ce qui allait se passer. Je me sentais légère et bientôt, lorsque nous arrivions à l'emplacement où se trouvait le dragon, je ne fut absolument plus capable de me contrôler. Comme à la première fois, elle venait de reprendre le contrôle de mon corps. Inutile que j'essaye d'expliquer comment je le savais ni pourquoi j'y croyais, mais je lui faisait totalement confiance.

« Mary ? » demanda Severus en voyant mon attitude pour le moins étrange.

Ardwyn - dans mon corps - se tourna vers lui, un sourire chaleureux et secoua doucement la tête en signe de négation. Je pense, à en voir le regard médusé qu'il lui lança qu'il avait compris ce qu'il se passait. Sans un mot de plus, elle se dirigea vers horace, et, arrivée à sa hauteur, le dragon souffla doucement en s'abaissant à sa hauteur. Elle posa doucement la main sur le haut de sa tête, et murmura des mots qui n'avaient pour moi aucune signification. Cela me semblait être un dialecte ancien, oublié depuis des lustres. Je ne sais pas combien de temps dura tout ce cirque mais j'en restais subjuguée. Horace réagissait à ses paroles et je pouvais jurer qu'ils communiquaient comme si deux humains avaient conversé tout aussi banalement. Puis, finalement, elle enlaça le dragon et l'embrassa sur le haut de la tête. Je sentais mon esprit reprendre le contrôle de mon corps, non sans un certain soulagement, et je compris ce qu'il se passait dès l'instant ou la vision blanche revint à mes yeux. Elle quittais mon corps, définitivement, prenant pleine possession de celui d'Horace qui acceptait de devenir son hôte. Ce fut la dernière fois que je la vis, et ce sourire si doux sur son visage eut le même effet que des mots pour moi. Je la remerciais sincèrement moi aussi.

Aussi loin que je me souvienne, je suis restée là quelques longues minutes à caresser le dragon, ayant retrouvé la pleine possession de mon corps. Je décidais de rompre le charme, et je souris une dernière fois au grand géant des airs en reculant de quelques pas.

« Fais un bon voyage et prend soins de toi. » murmurais-je tandis que les employés du minstères arrivaient.

Je tournais finalement les talons, revenant auprès de Severus qui attendait quelques pas plus loin que je finisse de faire joujou avec Horace. De toute façon, pour moi ce n'était plus Horace mais Ardwyn. Severus avait l'air inquiet, et lorsque je sentis ses yeux se poser sur moi et plus particulièrement me fixer du regard, je m'évertuais à comprendre ce qui me valait son silence, là où normalement je me serais pris un sarcasme en pleine figure.

« Et bien ? Qu'est-ce qu'il y a ? » demandais-je, guettant une réaction ou un mot.

« Tes yeux... » réussit-il à dire en cherchant ses mots.

« Quoi mes yeux ? J'en ai un troisième qui vient de me pousser au milieu du front ? »

« Non, ils sont verts. »

A relire ces quelques mots que nous avions échangé, je ne peux m'empêcher de penser que c'est la conversation la plus idiote que j'ai jamais eu avec qui que ce soit. Bref, passé cet échange que je qualifierais comme un morceau d'anthologie de ma vie, je dois admettre que j'étais de loin la plus surprise de nous deux. Non seulement parce que je m'étais habituée à mes jolis yeux bleus lagon, mais aussi parce que je n'avais pas revu mes yeux verts depuis plus de deux ans et qu'il allait encore falloir que je m'habitue à les revoir chaque fois qu'un miroir croiserait mon chemin. Et croyez-moi, c'est une drôle de sensation.

Un bruit de lourdes chaînes tombant sur le sol attira mon attention, me détournant provisoirement de Severus et je vis le dragon retrouver sa liberté et faire quelques pas tandis que les employés du ministères s'écartaient prudemment de lui. Sans plus attendre, il se mit à battre des ailes, provoquant un tourbillon de vent puissant. Puis son corps massif s'éleva doucement au dessus du sol, et atteint finalement une hauteur tout à fait correcte. Je regardais émerveillée, partir celle qui m'avait accompagné silencieusement durant ces deux années de ma vie et lorsque je la vis disparaître au loin, je me sentis soudainement très vide et lasse. C'était un changement, une transition qui semblait plus difficile à faire que ce à quoi je m'attendais.

« Viens. » me dit doucement Severus.

Je hochais doucement de la tête, un peu fatiguée de tout ça, et lorsque nous arrivions au château ce matin là, je décidais d'aller retourner me coucher en envoyant une lettre à Dumbledore pour le prévenir que je n'étais pas en état d'assurer les cours aujourd'hui. Je voulais juste réfléchir à tout ça en paix, ne pas subir les questions du vieux directeur ou de Lupin, ou encore celles de mes élèves sur ce changement subit chez moi. J'avais l'impression d'être une coquille vide lorsque je m'endormis, et tout ces rêves étranges de vie antérieure que j'avais pu faire pendant toutes ces années ne furent pas au rendez-vous pour la première fois en deux ans. J'étais triste.

Lorsque je me réveillais enfin, je crus tout d'abord à un rêve bizarre mais lorsque je vis que ma vision n'était plus aussi précise qu'avant, je compris que ce rêve n'en était pas vraiment un. C'était un rêve et un cauchemar, et il m'était absolument impossible de dicerner les deux car je n'avais aucune idée rationnelle sur ma façon de penser à cet instant. Je regardais la petite pendule de ma chambre. Quinze heure de l'après-midi. J'avais vraiment dormis aussi longtemps ? Arès se posta à mes côtés, puis posa sa patte sur mon genoux en dodelinant de la tête.

« Désolée Arès... Tu dois avoir faim. » dis-je doucement en passant ma main dans sa gros crinière qui avait doublé de volume à l'arrivé de l'hiver. Il n'en était que plus impressionnant et magnifique.

A ces mots, il se releva et me montra la porte en trottinant gaiement, puis revint vers moi et de nouveau vers la porte. Il fallait que je sois vraiment idiote pour ne pas comprendre le message.

« Calme toi tu veux ? » dis-je en me levant en direction de ma salle de bain pour coiffer un peu mes cheveux en bataille et me passer un peu d'eau sur le visage.

La vision de mes yeux verts dans le miroir me laissa de marbre. Je pensais que j'allais avoir un choc, en me demandant si c'étaient bien mon propre reflet que j'allais y voir. Rien de tout ça non. J'étais redevenue moi, et ce changement aussi infime et important soit-il ne me choqua pas pour le moins du monde. Arès jappa à mon attention, décrochant mon regard du miroir, et je consentis à le suivre finalement après avoir attaché mes cheveux avec une de ces formules que j'avais apprise dans une revue lors de mon arrivée à l'école par le Poudlard Express.

Lorsque l'estomac d'Arès fut totalement plein, et après avoir gratifié les elfes des cuisines de compliments et de remerciements - ce qui provoqua une effusion de joie assez bruyante aux milieu des casseroles - pour leur petit coup de main, j'entrepris d'aller parler à Dumbledore pour lui expliquer ce qu'il en était, mais aussi pour m'excuser de ne pas avoir pu donner mes cours de la journée. Je n'avais aucune idée de l'excuse à fournir à mes collègues ni même à mes élèves, pour peu qu'ils osent me poser franchement la question. Aussi, j'espérais obtenir du bon vieux directeur une idée pour expliquer la situation de façon rationnelle. Le problème à tout ça, pensais-je en gravissant les marches qui menaient à son bureau, était que Dumbledore et les idées rationnelles ne faisait parfois pas bon ménage.

Mes pensées stoppèrent net lorsque la porte s'ouvrit avant même que je ne frappe et je restais là, le poing en l'air sans la moindre idée de ce que j'allais en faire. Le baisser était peut-être la meilleure des solutions en fin de compte. Dumbledore se contenta de sourire, m'invitant à prendre place en face de lui, puis je lui racontais une nouvelle fois mes aventures. Notre conversation dura plus d'une heure, et il me posa une foule de questions dont un bon nombre auquelles je n'avais pas de réponses. Nous convenions au terme de cet entretien que les élèves n'avaient pas à connaître la source de ce changement, s'ils venaient à le remarquer et à se montrer indiscrets. Concernant les professeurs de l'école, et notament les plus importants comme Minerva, Lupin, Flitwik et Chourave, j'acceptais de leur expliquer dans la seule condition qu'ils me posent eux même la question. Severus lui, était déjà au courant.

Ce soir là, j'eus également une longue discussion avec Rémus ce qui me remit comme par miracle dans une humeur stable et relativement bonne. Je lui avais tout expliqué en détail depuis l'accident, et, chose que je n'avais encore jamais osé auparavant, je lui avait parlé de Severus. Il était bien le seul à comprendre un temps soit peu la situation et je remerciais chaque jour le ciel d'avoir mis un ami aussi précieux sur mon chemin. Gentil, compréhensif, calme, attentionné, soucieux, il avait toutes les qualités pour qu'on l'apprécia et je ne lui trouvais pas beaucoup de défauts. Il avait réussi à me faire sortir de mon terrier, et à me trainer un peu au dehors, finissant notre conversation calmement dans la salle des professeurs maintenant  vide compte tenu de l'heure tardive, le tout autour d'un bon chocolat chaud. Ce soir là, je me sentais presque heureuse et je réalisais pleinement tout ce que j'avais pu louper durant mes huit longues années à Azkaban.

C'est ainsi que les jours s'enchainèrent de nouveau comme si rien ne s'était passé. Je n'avais eu aucunes nouvelles de Sean Kelly et je ne m'en portait que mieux, Charly m'avait écrit une longue missive pour me dire qu'Horace était revenu dans ses montagnes mais qu'il ne voulait plus approcher les humains depuis l'accident. Je pense que j'étais la seule avec Dumbledore et peut-être même Severus à comprendre ce changement d'attitude soudain chez le dragon et je gardais tout ça pour moi. Lorsque je m'étais réveillée ce matin, je n'avais pu que constater que la neige avait complètement recouvert Poudlard de son immense manteau blanc. J'étais restée tellement longtemps à ma fenêtre pour contempler cette vision que j'en étais finalement arrivée en retard pour le petit déjeuner. Rien ne semblait pouvoir entâcher ma bonne humeur.

Lorsque la fin des cours sonna, et que j'eu terminé mon rangement et la vérification des enclos de mes animaux, je décidais sous l'empressement d'Arès de faire quelques pas dans la neige. J'adorais vraiment ce bruit de la neige craquant à chacun de mes pas, je trouvais ça assez agréable malgré les basses températures. Je me souvins des batailles de boules de neige ensorcelées que je faisais lorsque j'étais encore élève et la vision d'Arès gambadant tranquillement d'un air ravi me parut vraiment trop tentante. Sans qu'il n'ait le temps de réaliser quoi que ce soit, il se prit une magnifique boule de neige en pleine tête et se tourna vers moi avec un regard inquisiteur qui me fit rigoler tandis que je me baissais vers lui pour le débarasser de la neige que je lui avait injustement jeté à la figure.

« Désolée mon vieux, c'était vraiment trop tentant. » dis-je en le caressant entre les deux oreilles.

Quand on me dit que les animaux sont incapables de ressentir de la rancune ou même de comprendre le sens de l'humour, je ne pourrais que protester devant des affirmations aussi fausses. Arès en tous cas, comprenait très bien pour un simple animal, et c'est ce qui me valut une chute mémorable lorsqu'il me sauta dessus pour me faire sciemment basculer par terre. Je devais avoir l'air très maligne à première vue mais je n'y prêtais absolument aucune importance tant je rigolais en essayant de me dégager d'Arès. Au bout de quelques minutes d'un combat acharné entremêlé de rires et de japements, je constatais que j'étais de loin la perdante vu l'état de mes habits. Je me relevais en essayant d'enlever la neige comme je le pouvais tandis qu'Arès se détournait de moi pour aller gambader plus loin.

« Ca m'apprendra tiens... » grommelais-je en constatant les dégâts, bien que cette petite interaction m'ai mise dans une humeur assez joviale.

Le soleil commençait à décliner lentement à l'horizon, marquant la fin de cette petite balade. Arès sembla ne pas s'en soucier le moins du monde, et pour cause, il fixait intensémment la forêt interdite.

« Arès ! On rentre, viens ! »

Il tourna la tête vers moi, me fixant quelques secondes avant de détourner son regard vers les arbres.

« Allez Arès ! »

Il ne releva même pas mon injonction et s'avança vers la forêt doucement.

« Arès ! » criais-je à son attention.

Il se retourna une dernière fois, hésitant et je l'entendis gémir doucement. Puis brusquement, il s'enfuit au galop en direction de la forêt interdite, disparaissant dans les obscurs branchages tandis que je réalisais à peine la scène. Je crus tout d'abord qu'il avait vu un petit gibier à attraper et qu'il ne tarderait pas à revenir, mais la situation s'éternisa un peu trop à mon goût. La nuit était tombée. Pas de trace d'Arès. La panique m'envahit subitement et je me souviens avoir crié son nom pendant un long moment. Chaque bruit me faisait espérer son retour, m'attendant à le voir surgir avec fierté, un lapin dans la gueule ou quoi que ce soit. J'aurais tout donné à cet instant pour le voir revenir vers moi.

Mais Arès ne revint pas.

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Avis aux fans d'Arès : ne me tuez pas, pitié ! T__T J'avoue que cette idée n'était pas prévue au départ mais elle s'est finalement imposée à moi au fil des chapitres. Désolée... (J'veux mon Arès !!!! Ouiiiiiinnnn !!!)

A part ça, il est 1h51 du matin, demain je m'absente pour la journée pour faire pas moins de 500 km, et je n'ai pas le temps d'appliquer la correction orthographique d'usage sur ce chapitre. Désolée donc si vous relevez des fautes, croyez moi, j'en suis la première désolée (quand je vous disais que j'étais maniaque...)

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Reviews

VirginRogue : *arrive en courant, son chapitre sous le bras* Voilà voilà ! Ravie de savoir que ma fic te fasse renouer un peu avec les fics, ça me va droit au coeur. J'espère cependant que la super prof de français que tu fais ne trouvera pas trop de fautes dans ce chapitre ^^;

TiteSevie : (encore une qui pète un plomb, cette fic devient dangereuse...) En fait, j'étais la première à vouloir baffer Sean et je suis contente que cette scène t'ai fait réagir ainsi ^^ Pour ce qui est du coup que Rogue à flanqué à Sean... Hum, disons que tu brûles ;p

Amy Evans : Merci, encore et toujours d'être dans les trois premières à me reviewer ^^

Cyngathi : Faudra que j'essaye les animaux virtuels un de ces quatres... Y a des loups ? :p lol Bref, merci pour le petit mot, ravie que ça te plaise toujours autant. Chaque review que je reçois est une véritable récompense pour la pauvre fanficeuse que je suis. Merci merci !

Gensi : Oui, elle va le faire ce fichu premier pas. Je suis la première à m'énerver sur elle à chaque occasion manquée, faut pas croire lol Pas ma faute si je contrôle pas mes personnages :( Ils sont vilains avec moi... (et la marmotte....)

Gaeriel Jedusor : Oui, je crois qu'on est vouées à rêver de trouver un Sevy... y en a pas deux comme lui T__T  Pis pour la scène ou Mary dit que Sean a plus de classe que Sev', ben je dois avouer que c'est un délire complet de ma part, j'ai pas résisté il fallait que je le mette ^_^ et toc.

Rogue422 : Toujours là ? :p merci d'être présente sur cette fic, vraiment.

Moony013 : Ben figure toi que je commence sérieusement à me demander si je vais pas écrire des bouquins... On a déjà ce projet de livre sur les profs pervers, ensuite faudrait y a l'étude sur l'attraction qu'on exerce sur les vieux et pourquoi pas un autre bouquin sur l'amour malgré les différence d'âge ? De là à concurrencer JKR... je doute de pouvoir y arriver ^_^ Mais je peux essayer. La question est : Est-ce qu'elle accepterait de me céder le personnage de Severus ? *__* Bisous ma lulu ^^

Wallen : J'avoue que Dumbledore me fait vraiment rigoler comme personnage : je l'adore presque autant que Sev' (mais pour d'autres raison bien sûr) Donc lui faire jouer le rôle du vieux qui vient mettre son nez partout ça me fait toujours rire. Il a vraiment la tête de l'emploi ^^ Allez, je vais pas te retenir plus longtemps, j'veux la suite de Mi-ange, mi-démon *__* bisous

Sevina Roguette : Erf... pour le fan club d'Arès j'ai rien contre mais hum... bref. Non, on ne reverra plus Sean, à moins que je ne change subitement d'avis (ce dont je doute). J'avais envie que Severus se fâche pour de bon, ce qui nous vaut ce passage du chevalier servant. Faut dire... ça lui va super bien ce rôle quand même ^^ Et concernant ce cher Dumby, qui sait s'il n'a pas déjà parlé à Sevy ? Je ne peux pas le dire, comme je l'ai dit précédemment, je préfère laisser votre imagination vagabonder un peu. Ca vous laisse en quelque sorte une certaine liberté vis-à-vis de la fic.

Jet d'Ail : J'adore ton pseudo lol Merci pour le gentil petit mot ^^