Aucune trace d'Arès.
Il s'était complètement évanouit dans la nature, me laissant seule comme jamais. Je ne comprenais pas. Pourquoi avait-il fait ça ? Qu'est-ce qui l'y avait poussé ? Après tant de temps passé ensembles, à vivre d'une façon si dépendante l'un de l'autre, je ne m'expliquais pas le phénomène, vraiment pas. J'étais dévastée, vide comme une coquille, et je pleurais. Je renonçais à rester plus longtemps dans la neige et dans cette obscurité glaciale et je regagnais l'école d'un pas traînant et fatigué. Je n'arrivais même plus à penser, incapable de réaliser combien j'étais gelée et trempée. Je regagnais doucement mes appartements, m'arrêtant devant la porte de Lupin, hésitante. Finalement, je frappais deux coups légers, incapable d'en faire d'avantage et j'attendis. Pas de réponse.
Je réalisais en détournant mon regard vers la fenêtre que la nuit était assez claire et je compris son absence : c'était la pleine lune. Aucune chance qu'il ne m'ouvre. La lycanthropie de Rémus m'avait surprise lorsqu'il m'en avait fait part, mais cela n'avait strictement rien changé à cette complicité qui nous unissait. En quoi cela aurait-il pu me poser un problème de toute façon ? Rémus avait été honnête et sincère avec moi dès le début, et je ne l'en remerciais jamais assez.
Je restais donc là, dans le couloir, essayant vainement de concentrer mes pensées sur quelque chose de réel et de rationnel mais c'était peine perdue. J'étais trop préoccupée par Arès et je savais que mes yeux rougis par les larmes fraîchement versées n'auraient trompé personne sur mon état actuel.
Mes yeux se fixèrent alors sur la porte des quartiers de Severus et ce fut le seul point d'encrage auquel je fus capable de me raccrocher. Je n'avais aucune idée de ce que je faisais en frappant quelques coups sur sa porte, ni même de ce que j'allais bien pouvoir lui dire une fois qu'il m'aurait ouvert. La porte s'ouvrit brusquement sur le visage dur et agacé de Severus et il me dévisagea quelques secondes, visiblement surpris de me trouver trempée et grelottante devant sa porte et je fus bien incapable de dire quoi que ce soit à cet instant. Tout ce que je souhaitais, c'était une présence amicale, par peur de me retrouver seule, lâcheté oblige. Sa réaction ne se fit pas attendre davantage et son visage se durcit à la vitesse de l'éclair.
« Mais qu'est-ce que tu as encore fabriqué ! » jura t-il sans cesser de me dévisager.
« Je peux entrer ? » murmurais-je doucement, secouée subitement par un frisson très désagréable.
Il ouvrit la porte complètement et s'écarta pour me laisser entrer, ce que je fis comme s'il s'était agit de ma propre chambre. A bien y réfléchir, c'était la première fois que je mettais les pieds chez lui et cette réflexion me tira suffisamment de ma torpeur gelée pour poser mon regard sur la pièce. C'était assez austère, décoré aux couleurs de serpentard, et tout avait été rangé semblait-il au millimètre près. Ma chambre à côté faisait bien piètre allure... La porte se referma derrière moi et je me retournais pour trouver Severus, les bras croisés et attendant visiblement une explication.
« Maintenant vas-tu me répondre ? Qu'est-ce que tu as encore fabriqué pour te retrouver dans cet état ? » dit-il calmement, mais avec le ton typique qu'il employait pour blâmer ses élèves.
« C'est Arès... Il a disparu. »
« Ce n'est que ça ? Peut-être en avait-il marre de tes jacassements et de tes blagues douteuses. Rien d'extraordinaire à cela. » Il m'adressa un de ses sourires narquois et je sentis mon sang se mettre à bouillonner pour atteindre un état proche de la fusion volcanique.
« Je suis sérieuse, il a vraiment disparu. » répétais-je en essayant de calmer la colère grandissante que je sentais monter en moi.
« Moi aussi. Tu te fais trop de soucis pour cet animal. Si tu viens me trouver uniquement pour me parler de cette bestiole, navré de te le dire mais ça ne m'intéresse pas, j'ai mieux à faire. » Ses paroles m'atteignirent plus qu'il ne l'eut cru.
« Très bien. Si c'est tout ce que tu trouve à me dire, je suppose que je n'ai plus qu'à te souhaiter une bonne nuit à prendre un pied monstre à mettre des zéros sur tes copies vu que c'est la seule joie que tu sembles capable d'éprouver ! »
D'un geste furieux, je claquais la porte derrière moi, prête à m'engouffrer dans ma chambre pour pouvoir y pleurer toute la rage et la frustration de la situation lorsque la voix de Severus m'interpella.
« Attend. »
Je me retournais, complètement sur les nerfs j'attendis patiemment d'entendre ce qu'il avait à me dire. Je ne m'étais jamais vraiment énervée contre lui, et c'était incroyablement bizarre de savoir que je pouvais le faire. C'était légitime ceci dit, il était parfaitement exécrable quand il le voulait.
« Si c'est pour me lancer un autre de tes sarcasmes à la figure, je te préviens, ce n'est pas la peine. »
J'avais parlé d'un ton si brusque qu'il me surprit, moi la première.
« Non... Je... hum » il se racla la gorge, visiblement aussi à l'aise qu'un troll dans une boutique de porcelaine, puis il poursuivit, « Excuse-moi, je n'aurais pas du dire ça... Je n'ai pas eu une très bonne journée. »
« Ca ne justifie pas tout. Je ne viens pas t'arroser de "gentillesses" à chaque fois que je passe une mauvaise journée, moi. »
« J'ai dit que j'étais désolé... »
« C'est facile de croire qu'on peut toujours te pardonner tes sautes d'humeurs sous prétexte que c'est une habitude chez toi. »
« Qu'est-ce qu'il te faut de plus ? J'ai dit que j'étais désolé. »
« Je ne sais même pas si j'ai envie d'accepter tes... tes... Atchoum ! » L'art et la manière de conclure une phrase se résumait en un seul nom : le mien.
Rogue haussa un sourcil d'étonnement, mêlé d'amusement. La situation qui au départ tournait au vinaigre commençait vaguement à devenir agréable finalement. Sans qu'aucun autre mot ne fut prononcé, il sortit sa baguette, la pointant vers moi.
« Irradentum totalus. »
Avant même de réaliser de quel sort il pouvait bien s'agir, j'étais au sec, toute trace d'humidité de mes vêtements ayant disparu du tout au tout.
« Je... merci. » fut tout ce que j'arrivais à dire.
« Tu as du attraper froid. »
« Génial. Vraiment génial... »
J'en avais vraiment par-dessus la tête et c'était peu de le dire. D'un geste machinal, je frottais mes yeux en soupirant longuement. Impossible d'avoir des pensées claires, tout se rapportait à ce vide créé par l'absence d'Arès. Je craquais.
« J'en peux plus... » murmurais-je plus pour moi-même que pour lui.
« Viens, je dois avoir de quoi éviter à Pomfresh de te supporter encore une fois. »
Severus m'intima de le suivre et je n'étais plus trop consciente de ce que je faisais, ni même de ce qu'il se passait. L'instant d'après, je me retrouvais assise dans un large fauteuil de sa chambre tandis qu'il cherchait une fiole dans une grande armoire. J'ignorais qu'il avait un mini laboratoire chez lui... Détail que je trouvais complètement typique du personnage. Il revint vers moi, me tendant un gobelet dont s'échappait une légère fumée. Ca sentait vraiment bon.
« C'est quoi ? » demandais-je d'un regard suspicieux.
« Bois. »
Je soupirais, trop fatiguée pour engager une bataille verbale sur le contenu du gobelet et j'avalais d'un trait. C'était vraiment différent des potions de Pomfresh, à n'en pas douter.
« Merci » je reposais le gobelet sur la petite table à côté, et me renfonçant dans le fauteuil comme pour en tirer du réconfort.
« Avec toi à Poudlard, la vie de professeur de potion n'est pas de tout repos. » dit-il avec un petit sourire en coin.
C'était ce genre de sourire qui me faisait complètement flancher en sa présence et je crains que mon état de fatigue n'aie fait ressurgir le côté trouillard de ma personnalité. Je cherchais la porte des yeux.
« Désolée du dérangement, je ne vais pas t'embêter plus longtemps... » Zut, elle était où déjà la porte ?
« Tu ne me dérangeais pas, je terminais de préparer un cours. »
« Désolée pour ce que j'ai dit tout à l'heure, je ne voulais pas... »
Il fit un geste de la main, comme si c'était déjà oublié. J'aurais été tentée de dire que me perdre dans son regard devenait une habitude à chaque fois qu'on se croisait, mais là s'était tout de même différent. Je ne savais plus du tout ce que je devais faire. Partir ou rester. Clore la discussion ici et maintenant, ou essayer d'engager le dialogue pour une fois que j'en avais l'occasion. Je décidais de laisser faire ma conscience, les conséquences n'avaient plus vraiment d'importances de toute façon. J'étais de nouveau vouée à rester seule.
Je sentais les larmes revenir malgré mon intention de les garder bien cachées mais toutes mes tentatives semblaient vouées à l'échec ce soir là.
« Désolée... Je... »
Impossible de continuer, j'étais physiquement et moralement épuisée. Severus resta quelques longues seconde planté devant moi et je m'en voulais de l'embêter avec ça. Je savais pertinemment que cette situation le gênait.
« Repose-toi un peu. »
Sa voix était calme et complètement envoûtante, si bien que je fus totalement incapable de répliquer quoi que ce soit.
Il se détourna de moi pour aller fermer son armoire et se rassit finalement derrière son bureau pour terminer ce qu'il avait commencé avant ma visite incongrue. Plus aucun mot ne fut échangé, et je le regardais écrire, appréciant le bruit que faisait sa plume sur le papier, l'odeur des herbes et des épices des lieux et par-dessus tout, sa présence. Je ne remarquais même plus que mes paupières se fermaient à des intervalles de plus en plus longues. Ma présence semblait ne pas le déranger et c'était peut être une manière de se faire pardonner pour ce qu'il m'avait dit quelques minutes auparavant. Finalement, je m'endormis et étrangement, aucun mauvais rêve ne vint troubler mon sommeil.
Je fut tirée de mon sommeil lorsqu'un rayon de soleil pointa doucement dans la pièce, m'entourant de sa douce lumière. J'ouvris doucement les yeux, repoussant d'un geste machinal ma couverture lorsque je me rendis subitement compte que je n'étais pas dans ma chambre, mais dans un large fauteuil assez confortable. Cette situation me rappelait vaguement quelque chose... Allons bon, qu'est-ce que j'avais fait la nuit dernière ? Arès avait disparu, j'avais marché longtemps, crié à m'en casser la voix définitivement, puis j'étais rentrée en espérant voir Lupin qui n'était pas là et mes derniers souvenirs s'arrêtaient aux appartements de Severus. Bon sang, je m'étais endormie chez lui !
« Enfin réveillée ? » dit une voix calme à l'autre bout de la pièce.
Severus était tranquillement assit derrière son bureau, me fixant avec attention et un sourire microscopique qu'il tentait de contrôler devant mon embarras soudain. Zut zut zut et super zut.
« J'ai dormi combien de temps ? » demandais-je en me passant une main dans mes cheveux par réflexe pour masquer mon embarras. Je faisais ce que je pouvais.
« Assez longtemps pour savoir que ton prochain cours est dans une heure. » répliqua t-il d'une voix égale.
« Bon sang, tu aurais du me réveiller... Je ne voulais pas te déranger. »
« Cesse donc de t'agiter ainsi et va plutôt avaler quelque chose. »
« Pas faim. » grommelais-je en me levant.
« Ne sois pas stupide, tu n'as rien avalé depuis hier, sans compter que tu as loupé le repas. »
« Je m'en moque. Tout ce dont j'ai besoin pour le moment c'est d'une bonne douche brûlante. »
Je me dirigeais vers la sortie, ne tenant absolument pas compte du ton de reproche que Severus avait employé. Je n'avais absolument pas faim, mon moral était en lambeaux et je ne voulais pas gratifier le monde de ma présence et de mon humeur dépitée dès le petit déjeuner. J'avais l'impression que rien ne m'était épargné et qu'en retour je n'épargnais décidément rien à Severus. Ce sont justement ces pensées qui me poussèrent à m'arrêter avant de sortir.
« Désolée... J'ai la fâcheuse tendance de me reposer un peu trop sur toi quand ça ne va pas. Merci pour la potion. »
« Ca devient une habitude en effet... mais ma porte te reste ouverte. »
Cette simple phrase me fit un bien fou et je lui en étais réellement reconnaissante. La conversation prit fin lorsque j'eus franchit la porte et que je retournais dans ma chambre, qui me parut affreusement vide et lugubre sans la présence d'Arès. Je m'assis sur mon lit, plongeant la tête dans mes mains. Je ne voulais plus penser. Ne plus pleurer. Tout ce que j'obtins fut l'effet contraire.
La journée s'était enchaînée d'elle-même, sans que je m'en rende réellement compte. Je n'étais pas dupe sur les regards intrigués et les chuchotements de mes élèves, cependant je décidais de n'y accorder aucune importance. Ils avaient tout d'abord du s'habituer à mon nouveau regard, ce qui avait du leur paraître assez curieux, et maintenant ils se demandaient probablement où j'avais bien pu laisser mon si fidèle compagnon d'infortune. Lorsque la fin du dernier cours de la journée sonna, je décidais de rester un peu avec les animaux, vérifiant qu'ils ne manquaient de rien au moins trois fois, puis essayant de préparer mentalement mon prochain cours. Je n'aspirais plus qu'à la tranquillité et au calme. Le reste était sans importance et il fallait absolument que j'occupe suffisamment mon esprit pour lui éviter de tomber dans la déprime la plus profonde.
« Mary ? »
Prochain cours : les tanukas et leurs propriétés magiques sur le subconscient. Ces créatures avaient la particularité de pouvoir influencer légèrement le mental des personnes qui se trouvaient à proximité et cela constituait leur principal atout en matière de défense face au danger.
« Mary ! »
Je me retournais, faisant face à Rémus. Depuis quand était-il là au juste ?
« Ah, bonjour Rémus. J'étais en train de préparer mon prochain cours et... »
« Tu es sure que ça va ? Tu n'as pas l'air dans ton assiette et je ne t'ai pas vu au repas hier, ni même au petit déjeuner ce matin et au déjeuner tout à l'heure. »
Sa voix trahissait une inquiétude que son visage ne masquait même pas. Je détournais mon regard de nouveau vers les tanukas.
« Arès est parti. » dis-je dans un soupir tout en m'appuyant sur la barrière.
« Quand ça ? »
« Hier soir. Il est parti en direction de la forêt et il n'en est pas revenu. J'ai eu beau l'appeler... Je ne comprends pas pourquoi Rémus. »
Il s'approcha et se posta juste à mes côtés, le regard compatissant.
« Tu sais, les loups ne sont pas comme des chiens, ils sont sauvages. Même en étant élevé depuis son plus jeune âge avec toi, il n'en a pas perdu pour autant ses instincts. »
« Je sais très bien tout ça Rémus. Mais j'ai l'impression d'avoir fait quelque chose de mal, comme s'il m'en voulait de l'avoir gardé à mes côtés aussi longtemps. »
Rémus se contenta de sourire, ce qui me vexa légèrement. Il n'y avait pas franchement de quoi rigoler.
« Honnêtement, je ne pense pas qu'il t'en veuille pour ça. Il t'idolâtrait beaucoup trop pour t'en vouloir. »
Peut-être avait-il raison...
« Je me sens juste un peu seule maintenant... Enfin, je suppose que ça me passera. »
« Si ce n'est que ça, je te promets de faire mon possible pour t'éviter de t'en rendre compte d'avantage. »
Cette fois-ci, je souris sincèrement tandis que je pouvais déceler une lueur dans son regard qui était le copié collé de l'étincelle made in Dumbledore. Mauvais présage.
« Dois-je craindre le pire ? »
« A toi de juger ce qui est bon ou mauvais pour toi. » répondit-il en me tendant son bras, tel le chevalier servant des contes de fée. Il me rappelait Charly quand il faisait ça, et je me sentais beaucoup plus vivante.
« Marché conclu. » répondis-je en attrapant son bras.
La vie n'avait pas que de mauvais côtés finalement. Cette solitude que je m'étais inventée n'en avait peut-être jamais été une. J'avais des amis précieux autour de moi, il fallait seulement que j'arrive à les accepter tels quels, et ce n'était pas si difficile. Non vraiment... Pas une seule fois je n'avais été seule en deux ans en fait. J'étais simplement trop stupide pour le voir.
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Bon... pas d'explication pour le départ d'Arès. Pas encore. Je suis navrée de vous faire subir ça très chers fans du "Rhooo ?" de monsieur Arès, mais il faut quand même savoir que ce que j'ai fait me peine autant que vous vu que j'adore Arès T__T J'espère que ce chapitre vous plaira, j'ai eu quelques difficultés à l'écrire et certains passage ont bien du être révisés une bonne dizaine de fois avant que j'arrive à quelque chose qui me convienne... plus ou moins. Notez quand même la régularité de mes publications *fière fière* Et encore un énorme merci à tous mes reviewers que j'adore et mes lecteurs anonymes ^__^ bisous tout le monde !
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Reviews :
TiteSevie : Tu as une théorie intéressante... mais c'est pas ça lol Désolée de t'infliger cette torture avec la disparition d'Arès :( Ca me plaît pas trop non plus à vrai dire... mais fallait que je le fasse. Désolée T__T
Mietek : T'offrir un Arès ? Euh... ben si on peut le cloner pourquoi pas, en tous cas je me garde l'original :D Merci pour le petit mot, c'est très gentil ^^
Cyngathi : Non parce qu'un Arès virtuel ça serait sympa lol Enfin j'aimerais bien... Et un Severus ? tu crois que ça existe ? *__* Demande à ta copine aussi tiens... ça m'intéresse ;p
Antigone666 : Tu verras bien pour Arès. Je ne peux rien te garantir pour le moment car je n'ai encore rien décidé... Mais pour la comparaison entre Arès et Mary à propos des yeux c'est pas bête du tout, bien que ce soit pour des raisons assez différentes tout de même ^^ Sinon c'est vrai que les chapitres 18 et 19 me servent de transition... en quelque sorte. Bien vu ;)
Amy Evans : Ah tiens, t'es pas dans les 3 premières ;) Il y aura une explication, mais pour son retour je ne peux rien vous dire pour le moment, désolée. Merci pour la review ^^
Wallen : mdr t'es bien la seule à le prendre aussi positivement ^^ Je fais déprimer tout le monde avec le départ d'Arès mais toi tu piges de suite le truc lol. Bref, merci pour cet agréable petit mot ^^
Gensi : L'art de catastropher les choses c'est toi lol. La panique incarnée je dirais même ^^ Tout ça pour Arès (il te salue d'un gros coup de langue bien baveuse d'ailleurs). Enfin, tu verras bien avec ce chapitre... ou le chapitre suivant je sais plus trop où j'en suis là *se perd dans ses chapitres* Bref... hem, merci ^^ et désolée *cours se cacher*
Sevina Roguette : T'as l'incroyable don de me rassurer tu sais ? Presque 80% des reviews que j'ai eu sur le chapitre 18 se lamentaient de la disparition d'Arès lol. Tu verra bien de toute façon, rien de très grave en perspective... Et merci de ta compréhension (j'suis une pauvre auteur incomprise T__T lol) Pour ce qui est de la prétendue conversation que Severus AURAIT pu avoir avec Dumbledore, je commence à me demander si je ne vais pas écrire parallèlement à Carib Islander la version vue par Severus... ça pourrait s'avérer intéressant. Enfin on verra, encore faut-il que j'en ai le temps et surtout le courage.
Kinou : C'est une des plus gentille review que j'ai eu ^^ Savoir qu'une non-fan de Severus apprécie cette fic est pour moi une grande récompense, merci !
Lome : Euh... O_o oui... voilà la suite... et euh, merci ^^;
Moony013 : Pour le 'tit louloup je te promet que je t'expliquerais ou te donnerais le chapitre en bêta lecture bientôt ^^ Je suis pas certaine de ce que j'ai écrit pour l'instant... (oui, le côté anxieux qui refait surface -_-) Mais non, il ne fait pas mumuse avec Lupin dans la forêt lol :D Quoique c'est une idée bien sympathique à mes yeux ^_^ Pour la scène du bisous, je suis en train de la modifier, encore et encore parce que je suis probablement aussi adroite que cette pauvre Mary par moment :/ Mais j'espère bien que les lecteurs vont tous se jeter dessus comme des strangulots XD he he... Sinon pour les sarcasmes, c'est vrai que Sevy est resté très discret mais je vais ratrapper le coup tu vas voir, ça va dégommer dans les chaumières *sourire de dingue*
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Voilà pour les reviews... Quelqu'un a de la bière siouplé ? Non ? Pffff.... bon bah zut. Juste une dernière chose : Où sont passés mes reviewers du début ? Bloodcountess ? Alexielle ? Alake ? Gaeriel-Jedusor ? T__T personne y m'aime ouiiiiinnn....
*mode culpabilité des lecteurs enclenché*
