Part 14

Cordélia se réveilla. Elle irait à l'école jusqu'à la moitié de la matinée puis elle irait à la banque. Son père n'avait pas encore vidé son compte épargne. Elle en aurait besoin si elle allait aller se cacher à L.A pendant les deux prochaines années. Peut-être qu'elle chercherait Gunn, ou peut-être pas. Elle ne savait pas, mais elle savait qu'elle devait quitter Sunnydale aussi tôt que possible.


Cordélia fixa le directeur de banque remuant. "Mr. Reynolds les Chase ont fait des affaires avec cette banque depuis des années. Comment pensez-vous que mon père va réagir si je lui dis à quel point vous êtes peu coopératif ?"

"Ms. Chase, le montant d'argent que vous demandez fermera votre compte épargne. J'ai aidé votre père à mettre ce compte en place, il est pour vos études."

Ouais, c'est ça. Cordélia refoula son ricanement. "J'ai l'autorité d'accéder à ce compte."

"Pour un montant limité. Seul votre père à l'autorité de fermer le compte."

"Et il la donne." Elle montra à l'employé de banque une note signée par son père.

"Hum," Le petit homme qui ressemblait à un écureuil poussa ses lunettes. "Je vais avoir besoin de sa carte de signature pour comparer ( je suis pas sure de ce que c'est et si c'est comme ça que ça se dit en français, dsl)."

Cordélia souleva un sourcil élégant, faisant l'homme rougir. "Ca n'est pas que je pense que... c'est une procédure de banque."

"Alors dépêchez-vous," dit-elle sur un ton de patronage.

Cordélia était pratiquement sure que le gribouillage sur la note passerait le contrôle, ses contrefaçons n'avaient jamais échoué auparavant. Elle lança un coup d'œil ennuyé autour de la banque. Elle commençait à avoir une migraine... non. Non. Elle se leva vivement de sa chaise, se dirigeant vers la porte avant qu'elle ne s'effondre sous les cris de douleurs, ignorant les appels du directeur de banque. Cordélia arriva à sa voiture avant de craquer, son corps ayant des secousses avec la douleur et les images qui traversaient son esprit.

Cordélia déglutit, souhaitant les lumières blanches hors de sa vue, ignorant le feu qui palpitait dans son cerveau. Elle démarra la voiture et conduisit trop lentement et trop prudemment jusqu'à sa maison.

Elle trébucha jusqu'à la salle de bain de sa mère, saisissant les pilules. Elle prit une poignée et s'effondra par terre.

Trente minutes plus tard elle arriva dans sa chambre, branchant son réveille et tombant sur le lit. Sa dernière pensée fut que les Puissances essayaient vraiment de la baiser.


Cordélia se réveilla avec le bruit d'une sonnerie, elle éteignit son réveil, mais la sonnerie continuait de faire du bruit à travers la pièce. Elle cligna des yeux et saisi le téléphone près de son lit.

"Cordy,"

"Alex ?"

"Ouais, j'ai essayé de t'appeler tout l'après-midi. Tu vas bien ?"

Cordélia secoua la tête pour se mettre les idées en place, reconnaissante qu'elle puisse la bouger. La douleur était presque non-existente. "Je vais mieux."

"Assez pour sortir ?"

"Ce soir ?" Elle regarda l'heure. Elle avait deux heures.

"Ouais, pour célébrer."

"Célébrer ?"

"Hum."

Cordélia pouvait voir la tête d'Alex balancer de haut en bas.

"Des mots, Alex, ils sont plus utiles que des grognements et des expressions stupides au téléphone."

"Oh, ouais, Buffy a vu Angélus la nuit dernière. Il est hors du coup."

Cordélia gela sur le lit, sa bouche soudainement sèche. "Elle..." Cordélia ne pu compléter la phrase.

"Ouais, a botté les fesses, super truc. Il s'est enfui, boitant et en sang."

Cordélia prit une profonde respiration. "Mais vivant ?"

"Malheureusement ouais, mais il cessera le travail pendant un moment, donc c'est le moment de célébrer."

"Et tu exprimes ce sentiment de joie avec Buffy ?" Le soulagement instantané de Cordélia se tourna en ennui.

"Bon, non, elle est plutôt secouée à propos de tout le truc. C'est pour ça que j'ai pensé qu'on devrait sortir, lui montrer notre soutient."

"C'est ça, va à ta soirée d'acclamation de la tueuse qui a finalement eut le cran de blesser son petit ami psychotique, compte pas sur moi, je suis toujours malade."

"Oh. Bon peut-être à plus tard alors."

"Ouais, peut-être." Cordélia raccrocha, s'effondrant sur son lit. Bonne nouvelle - Angélus n'était pas mort. Encore meilleure nouvelle - Elle n'aurait pas à s'inquiéter qu'il se montre quand elle sortirait. Mauvaise nouvelle - Elle devrait faire face au directeur de la banque qui ressemblait à un écureuil le lendemain.


Angélus grogna alors qu'il se redressa dans son lit. Maudite tueuse, elle l'avait pris par surprise quand il quittait la maison de Cordélia Chase. Son esprit avait été trop préoccupé à déchiffrer les événements précédents et les derniers mots de Cordélia. Il connaissait ses secrets ? Elle connaissait les siens ? Le détester lui, il pouvait comprendre mais l'autre truc. Puis il y avait eu les rêves qu'il avait eu pendant qu'il cicatrisait. Cheveux bruns - une femme avec de riches cheveux sombres. Il n'avait pas eu cette pensée depuis au moins un siècle. Une femme qu'il avait voulu mais qui était partie... celle qui avait choisi un autre vampire. Il avait goûté cette femme, le souvenir était... en train de le durcire. Angélus sentit son érection grandir alors qu'il essayait de plus se souvenir de la femme aux cheveux sombres, un feu dans ses yeux brillant, une langue téméraire surmontant la peur qui flottait dans le parfum intoxiquant de son sang, une étrangeté, une force et une beauté qu'il avait rarement vu auparavant ou depuis.

Angélus ouvrit vivement ses yeux. Ca ne pouvait pas être. Mais la Cordélia Chase qu'il avait vu dans le cimetière la nuit dernière remplissait beaucoup de conditions de cette femme.

Angélus baissa les yeux sur les blessures de pieux qui cicatrisaient et les contusions qui s'effaçaient. La tueuse idiote pensait qu'elles le garderaient hors du coup. Angélus balança ses pieds au sol. Il était temps d'obtenir du sang frais et peut-être de rendre une autre visite à Cordélia Chase. Il aurait ses réponses.


Cordélia marchait dans la ruelle, cette fois elle avait de vrai pieux et une arbalète. Elle abaissa son col. Hey, si les marques d'Angel était une force de dissuasion pour les vampires alors elle les utiliserait.

Cordélia laissa tirer une raflée de flèches vers les vampires blottis à l'extrémité de la ruelle. Elle pieuta celui que son carreau avait manqué. Elle se pencha vers le bas. "Rentre à la maison." Dit-elle gentiment à l'enfant effrayé. "Cours."

L'enfant cligna des yeux et se remit sur ses pieds avec difficulté et couru, seulement pour être rattrapé et tenu.

"Cordy, est-ce un autre présent ? Tu es trop bonne pour moi. Je ne t'ai rien donné. Ne t'inquiète pas, je trouverai quelqu'un. Salut, je t'ai manqué."

L'arbalète de Cordélia tomba, le choc envahissant son visage alors qu'elle fixait Angélus. Il semblait en parfaite santé. Il semblait... Ses yeux s'élargirent, le choc se tournant en réelle crainte terrifiée. "Non."

"Si." Il regarda l'enfant qui luttait dans ses mains. "Je n'ai pas faim. Mais puisque c'était un cadeau." Il plongea ses crocs, vidant le garçon en quelques secondes. Il jeta le corps de côté comme une ordure, léchant ses lèvres. "Pas mal, et merci, mais ça n'est pas ce pourquoi je suis vraiment venu." Il s'approcha rapidement de la femme immobile, bloquant le chemin de Cordélia jusqu'à la rue. "Sais-tu combien de temps ça m'a pris pour te trouver à cet endroit. Cinq minutes entières. C'est combien tu signifies pour moi. Viens ici, amour."

"Tu..." Cordélia déglutit, fixant toujours le corps du jeune garçon. "Oh seigneur, non." Elle releva les yeux. "Je m'inquiétais du mauvais Angélus, ces bâtards, ils t'ont envoyé ici."

"Si tu parles de ce phénomène avec âme qui a perdu son 'âme'- te fais pas de mouron, je vais le tuer, et pour les 'bâtard', je les tuerais aussi. Pourquoi ne cours-tu pas dans mes bras ?"

"Parce que je te méprise, duh." Cordélia recula, son esprit prenant finalement en main ce qui se passait.

"Voilà cet esprit que je désire." Angélus fut contre Cordélia en un instant, tirant son cou d'un coup sec. "Je vais tellement te punir pour avoir laissé cette abomination âmée polluer ma marque, te toucher," Angélus attira le visage de Cordélia au sien.

"Jamais."

Angélus rit, frottant ses mains sur son corps, puis s'arrêtant, la reculant un peu pour son inspection. "J'aime les cheveux, mais tu as besoin d'être engraissée. Je ne me rappelais pas que tu étais si anguleuse."

Cordélia poussa et frappa ses mains. "Dégage de moi."

"Cordy, je vais être partout autour de toi et tu crieras pour ça."

"Je te l'ai déjà dit une fois, ne me sous-estime pas." Elle balança son pieu pointu dans son estomac.

"C'est ça cours, Cordy chérie, mais tu ne peux pas te cacher. Tu ne peux pas me tuer, mais je peux te tuer et je le ferai, te ferai mienne pour toujours."

Cordélia ne stoppa pas sa course alors qu'elle entendait le rire et la voix moqueuse d'Angélus se rapprocher.

Cordélia fit une halte qui crissa.

"Attends." Le vampire habillé de cuire sorti, la soulevant, et sautant en l'air, ses pieds les installant fermement sur le toit au-dessus.

Cordélia déglutit, l'action trop rapide ne lui donnant pas le temps de réfléchir, fixant le vampire familier qui saisissait étroitement sa main, se penchant pour regarder par-dessus le rebord. "Allez. Il nous sentira bien assez tôt."

Une fois de plus, Cordélia fut soulevée et portée de toit et toit, atterrissant finalement sur le sol. Le vampire traversa la ruelle en courant, défonçant une porte enchaînée. Il tira Cordélia à travers le vestibule abandonné jusqu'à une autre porte. Il la tint tout près alors qu'il allait dans ses poches pour prendre une clé.

Il la déposa à terre une fois qu'ils furent à l'intérieur, fermant la porte à clé derrière lui.

Cordélia cligna des yeux vers le vampire. "Tu m'as sauv... Angel ?"

Le vampire la fixa pendant un moment et puis fit un doux sourire. "Tu t'attendais à quelqu'un d'autre ?"

"Bien, purée, je sais pas, deux Angélus qui se baladent en ville. Pas juste un, deux," Elle leva les doigts explicitement. "Je déteste Wolfram & Hart." Elle lança un regard noir. "Comment m'as-tu trouvée ? Où sommes-nous ? Oh, pourquoi je me tracasse, tu es là." Elle courut dans ses bras.

Ca allait mieux que ce qu'Angélus avait espéré. D'accord il avait été plus qu'un petit peu surpris de se voir lui-même accoster Cordélia dans la ruelle. Même encore plus surpris de voir l'échange entre lui et Cordélia. De façon évidente, ils se connaissaient bien. Et puisque cet Angélus semblait le vouloir mort, il pensa qu'il avait intérêt à en découvrir plus sur ce qui se passait. Donc, Angélus à la rescousse. Et maintenant, il semblait que Cordélia Chase ne connaissait pas seulement bien Angélus, mais également la version avec une âme si la façon dont elle murmurait le nom Angel encore et encore et dont elle s'accrochait partout à lui, lui donnait quelques indications.

"Angel," Elle fit la moue, attirant ses lèvres sur les siennes.

Le connaissait très bien, Angélus cacha son sourire, se penchant pour prélever le goût de Cordélia Chase.

Le choc frappa son système alors que le baiser s'approfondissait et que sa douce poitrine ample se pressait contre son torse. Son parfum flotta autour, palpitant dans son cerveau alors que ses doigts effleuraient les petits cheveux de son cou. Angélus connaissait Cordélia Chase. Il la connaissait bien.

Cordélia lécha ses lèvres, souriant. "Je devais respirer."

"Ouais." Angélus résista à la pulsion de la saisir par les cheveux et attaquer sa bouche une nouvelle fois, arracher ses vêtements pour voir les douces buttes qui avaient été pressées contre luie. La goûter toute entière. "T'a-t-il blessé," Angélus atteignit le col de Cordélia, pratiquement positif de ce qu'il allait trouver, mais il voulait en être sûr.

"Non." Cordélia s'immobilisa alors que le vampire bougeait ses lèvres sur les blessures cicatrisées. Il voulu rire alors qu'il senti son propre parfum incorporé de façon permanente dans les petites blessures. Fallait pas se demander pourquoi la fille avait rit si hystériquement quand il avait exigé savoir quel vampire la protégeait. C'était vraiment drôle, bizarre, mais drôle.

L'idiot avec l'âme avait été si éprit de la tueuse qu'il avait manqué ce qui était juste sous son nez. Bon, Angélus ne pouvait pas trop prendre l'âme en défaut. Il avait presque laissé passer la fille qu'il avait voulu depuis 100 ans.

Angélus leva les yeux des blessures, regardant dans ceux de Cordélia. A un certain point cependant, l'âme avait dû remarquer. Le parfum n'était pas de quand il avait marqué la femme la première fois chez Gertie's. C'était continu et récent.

Bien, si ça ne la dérangeait pas. Le démon d'Angélus émergea, retournant vers les marques.

"Whoaw, monsieur 'grr', on a pas le temps pour plus de suçon. Comment on rentre à la maison ? Je veux récupérer mon corps." Elle le repoussa.

Angélus avait grande envie de son corps et de son sang. Il grogna.

"Purée, Angel, garde ton pantalon en place. Wesley est avec toi ?" Cordélia se déplaça plus loin, se penchant contre une vieille table, passant son doigt sur la poussière. "Super endroit, à qui c'est ? Une personne morte j'imagine."

Angélus répondit à la question à laquelle il pouvait répondre. "Mon ancien appartement."

"Ouais, mauvais souvenirs, hein, tu ne pouvais pas rester à l'endroit où ton âme a eut un moment de contentement parfait. Effrayé que tu attrapes les idioties de Buffy et de l'âme."

"Quelque chose comme ça."

Cordélia acquiesça, mettant ses mains en poche. "Plutôt courageux de m'amener ici. Tu sais comment je deviens quand tu jettes la blonde petite Madame-tue-le dans mon visage, vous imaginant toi et elle faire le mambo horizontal." Elle souleva un sourcil.

Angélus hésita. "Nous devions aller quelque part."

"C'est vrai. Angélus du passé ne connaîtrait pas cet endroit, juste celui du présent. Et Buffy est supposée lui avoir pété la figure ce soir donc il est probablement foutu en sécurité avec Dru la folle."

Angélus resta silencieux.

"Qu'est-ce qui ne va pas Angel, Sunnydale t'a pris la langue - est-ce que tu retournes au type stoïque et boudeur ?"

"Je suppose, de mauvais souvenirs ici," Angélus hasarda une supposition.

Cordélia acquiesça. "Ouais, liaisons amoureuses ratées, du maléfisme fait," Cordélia sauta bas de la table, se dirigeant vers le vampire. "Ne boude pas, tu es là donc ça veut dire qu'on peut rentrer à la maison. Puis tout s'arrangera." Cordélia tendit la main pour caresser le visage d'Angel et avec l'autre elle plongea son pieu dans son estomac aussi fort qu'elle pouvait.

Angélus grogna, essayant de la prendre avec lui dans sa chute.

Elle sauta hors de son atteinte, se penchant vers le bas. "Tu embrasses mieux avec une âme, tu as bien la partie 'je veux te violer et te piller', mais tu n'y mets juste pas assez de sentiment. Une fille peut dire les trucs comme ça." Elle poussa le vampire vers le bas, retirant le pieu, le plaçant sur son torse. "Non. Je te tuerai si j'y suis obligée." Elle atteignit la veste en cuir d'Angélus, prenant la clé.

Cordélia considéra le vampire blessé alors qu'elle se levait. "C'est plutôt profond, mais je t'ai vu te battre et gagner avec pire, alors..." Elle donna un autre coup, cette fois laissant le pieu incorporé à côté de la plaie béante de son estomac.

"Angélus, je ne sais pas si tu m'écouteras," elle s'agenouilla près du vampire grognant en sang, "Mais c'est ton meilleur intérêt de ne pas te mêler de ça. Ca n'est pas de ton concerne."

"Je te tuerai," promit Angélus le visage rempli de douleur.

Cordélia soupira. "Et moi qui pensais que tu avais envie de moi." Elle déverrouilla la porte et sorti.

"Oh, c'est le cas et je t'aurai," Angélus tira le pieu d'un coup sec. Bon sang il allait devoir obtenir plus de sang et souvenir de ne pas sous-estimer Cordélia Chase dans le futur. Elle l'avait prévenu.


Cordélia regarda autour d'elle essayant de trouver un indice à dans quelle partie de la ville elle était puis elle couru.


Cordélia claqua la porte, tombant par terre. Son esprit faisait rage avec le conflit de qui elle devrait damner en premier, les avocats de Wolfram & Hart ou les Puissances qui l'avaient envoyée sur le chemin des deux Angélus.

Elle ne pouvait pas quitter Sunnydale maintenant. Angélus du passé la suivrait et tuerait probablement Angélus de 1998 en même temps.

Qu'allait-elle faire ? Elle serait obligée d'aller chez Giles. Elle ne pouvait plus garder ça pour elle plus longtemps. Si Angélus du passé rencontrait Buffy il n'y aurait pas de moquerie, pas d'hésitation, il tuerait simplement la tueuse ou elle le tuerait simplement quand elle réaliserait qu'Angélus n'en avait rien à faire d'elle. Mais comment Cordy allait-elle convaincre les Scoobies qu'aucun des Angélus ne pouvait être tué.

Cordélia se leva, se dirigeant vers le divan. Elle jeta les stupides films sur le sol. Cordélia se dirigea pour les piétiner, mais stoppa. Elle en avait pris quatre - tous les 'Retour vers le Futur' et un à propos duquel elle n'avait jamais entendu parler, en fait, la seule raison pour laquelle elle l'avait pris était parce que pour un vieux type, Dennis Quaid était sexy.

Pourquoi pas ? Qu'allait-elle faire d'autre à part pleurer ? Elle mit le film dans le vidéo, et lu le résumé. Un père et son fils réussissent à travers le temps à résoudre une série de massacres. Massacres en série, voyage dans le temps, diable, c'était peut-être le film qui pourrait l'aider.

Cordélia roula les yeux, avançant, pas d'ondes boréales ou de vieille radio à travers laquelle elle pourrait parler à Angel. Bien que ça aurait été bien, hallo, hallo, Angel, à l'aide. Elle fit une pause sur la vidéo, son intérêt piqué alors que le père dans les années '60' mettait sa cigarette allumée sur le bureau en bois, et une brûlure exacte se montra sur le bureau précédemment non-marqué que le fils utilisait dans les années '90'.

Elle avança les parties de mystères et de famille, arrêta alors que le père cachait le porte-feuille du tueur sur le plancher pour que le fils le trouve presque immédiatement 30 ans plus tard.

Cordélia éteignit le film. Peut-être qu'elle pourrait aller à L.A, s'infiltrer dans l'Hypérion abandonné et laisser une note à Angel pour qu'il la trouve ou ne pas laisser une note... en envoyer une. Elle avait sélectionné les mauvais films.

Cordélia traversa le Rolodex de son père, pendant qu'elle cherchait du papier et un bic.