Bonjour si vous lisez ceci le jour et bonsoir si vous le lisez le soir. Un texte un peu plus long cette fois ci pour rattraper mon retard. Enjoy...

Disclaimer : Prunelle est le seul personnage qui m'appartienne dans cette fic. Tout le reste est à J.K. Rowling

La Belle et les Bêtes

Chapitre 4 : Profitons des derniers jours chauds avant l'automne.

Prunelle se trouvait dans la salle commune de Griffondor, en train de faire ses devoirs pour le lendemain.

Cela faisait un mois maintenant que le choixpeaux avait hurlé « GRYFFONDOR » après lui avoir demandé de venir le voir dans le bureau du directeur si elle s'ennuyait.

Mais elle n'avait pas encore eu le temps de s'ennuyer à Poudlard. Entre tous les garçons qui lui faisaient des avances – certainement à cause de certains compliments de la part de Draco- et qu'elle repoussait. Ce qu'elle voulait, ce n'était pas simplement s'envoyer en l'air avec quelqu'un de pas mal, elle voulait le faire avec les membres du groupe Potter.

Elle sortit de sa rêverie, remarquant que des marques de pas apparaissaient sur le tapis rouge et or de la salle. Il y avait deux traces distinctes. Elle les suivit du regard, posant pêle-mêle ses affaires de cours sur la table la plus proche.

Les traces de pas s'arrêtèrent devant l'entrée ronde de la salle commune. A ce moment, la porte s'ouvrit sur une jeune fille de 5eme année aux cheveux bruns, qui était une amie de Ginny Weasley. Elle laissa ostensiblement(du moins pour Prunelle) un passage pour que les faiseurs de traces sur le tapis puissent passer. Prunelle s'élanca en avant, apostrophant la jeune fille : - Tiens moi la porte s'il te plait.

Elle voulait suivre ce couple de voyageurs qui se baladaient dans le collège après le diner sous une cape d'invisibilité.

Soudain, un petit gloussement et une meche de cheveux roux s'échappèrent de l'emprise de la cape . Elle savait au moins l'identité d'une des personnes . Ginny Weasley, la sainte nitouche , se baladait après le diner sous une cape d'invisibilité, avec un garcon.

Prunelle avait du mal à les suivre sans se faire reperer et dut prendre plusieures fois un raccourci et se cacher ensuite pour ne pas etre vue du couple.

Mais qui pouvait bie être sous cette cape et faire glousser Ginny ainsi. Elle savait que c'etait la cape de Harry Potter mais ce dernier était encore trop abattu par la mort de son parrain pour tripoter une Weasley sous une cape. Elle avait ouie dire que Ginny sortait avec Dean Thomas mais ils s'etaient un jour diputés. Qui pouvait-ce être ? Pas son frère, c'etait certain.

Elle eu tot fait de le savoir. Ils avaient déja passé le hall d'entrée et gambadaient maintenant dans le parc de Poudlard.

Prunelle s'arreta un moment, sortit sa baguette magique et donna un coup sur sa propre tête. Ce fut comme si un liquide froid coulait le long de son corps. Regardant sa main, elle vit que le sortilège de désillusion faisait effet. Elle recommenca à suivre le coupe Ginny? Arrivés la ou le lac et la forêt se touchaient, les deux amoureux(c'est, je pense, maintenant évident qu'ils ne sont pas la pour faire leurs devoirs) s'arretèrent.

Prunelle les entendit parler a mesure qu'elle se rapprochait :

- Ginny... Tu ...Tu est sure que on ne va pas nous voir , entendit elle dire par le garçon qu'elle n'avait pas encore identifié.

- Mais oui, ne t'inquiète pas. On va se préparer un bon petit coin bien chaud dans la forêt ou on pourra faire ce qu'on veut sans être vus. Je te le jure. Viens. Profitons des derniers jours chauds avant l'automne.

- Dans la for...for...forêt ?

- Oui ? pourquoi ? aurais-tu peur ?

- Non ! bien sur qu'on va aller dans la foêt. Je passe devant.

- C'est dommage que tu n'aie pas peur...Ca m'éxitait !

- ...

- Tu est sur que tu n'as pas peur ?

- (gloups)...Je suis terrifié...S'il te plait, passe ne première. Oh ce que j'aime quand tu est excitée !

La cape bruissa alors qu'ils se remettaient en marche. Ils passèrent le premier arbre et leur cape resta accrochée. Elle glissa de leurs épaules et Prunelle put voir à la lumière de la lune le visage rond et joyeux de Neville Longdubat. Elle fut surprise. Elle n'aurait jamais crue qu'une fille comme Ginny, séduisante, gentille, précoce – Ses seins étaient particulièrement dévelloppés pour son age – eu pu s'interresser à Neville Longdubat. Peut-être n'était-ce que pour le sexe. Elle avait entendu dire par Seamus que sa verge était d'une taille assez impressionnante.

Toujours est il qu'ils étaient ensembles, dans une clairière, entrain de s'embrasser impétueusement contre un arbre. La jeune rouquine commençait à déboutonner la chemise de son amant en carressant son torse et ses cotes, embrassant de temps en temps la peau qu'elle mettait à jour. A son tour, Neville ouvrit la chemise moulante de son amie.Elle ne portait pas de soutien-gorge, ce qui l'arrangeait car il n'avait pas énormement d'entrainement en cette matière. Mais la bosse énorme de son pantalon montrait qu'il avait quelque part en lui un don pour ça.

Au moment ou il vit les mamelons de Ginny, durcis par les caresses, il se jeta dessus pour les sucer avidement. Puis il la prit par les hanches et au moment de la poser sur le lit, il se rendit compte qu'il n'y avait pas de lit.

- Heeuu...tu parlais d'un bon petit coin bien chaud. Je crois qu'il faudrait s'y mettre.

- D'accord.

Ils sortirent leurs baguettes. Ginny lanca un sort de telle sorte qu'une bulle magique anti-pluie recouvrit la clairière. Pendant ce temps, Neville avait mis le feu au tas de bois mort qu'il avait constitué. Puis il fit apparaitre un lit d'aspect miteux. Quand la rouquine le vit, elle fit une moue qui rendait son visage encore plus irrèsistible.

- Laisse moi m'occuper du lit, Neville, dit elle gentillement. Arrange toi plutot pour qu'on ne nous repère pas. Et qu'on soit « protègés »...

Neville avait saisi l'allusion au sort de contraception. Il jeta un sort de silence sur la bulle, réduit le feu à un tas de braises à peine visibles mais qui dégageait beaucoup de chaleur (Magie ! Magie ! et vos idées on du génie !) et enfin s'ensorcella lui même ainsi que Ginny pour qu'ils n'encourent pas de risques de maladie (La plus risquée etant celle qui dure 9 mois).

Le lit de Ginny était beaucoup plus beau et beaucoup plus grand. C'etait plutot un grand matelas de 3 m sur 3 m recouvert de draps et d'édredons rouges et blancs posé sur un support en bois.

Les deux jeunes gens, après un regard, se jetèrent sur le lit et l'un sur l'autre. Apparemment, Ginny avait déja fait plus que s'embrasser et se tenir la main avec un garçon mais elle était certainement toujours vierge. Neville, quand à lui, en était à ses premièrs pas dans le domaine sexuel. Il agissait gauchement, sans trop savoir quoi faire, bien que Ginny lui montrait la plupart du temps ou placer ses mains, son instinct faisant le reste.

Neville était assis sur le lit, les jambes tendues et Ginny était elle même assise sur ces jambes. Elle avait les mains sur celles de Neville, elles même posées sur les seins ronds et à la peaux douce de la jeune rousse. Ginny avait les yeux fermés et même si elle se mordait les lèvres, de petits gémissements de plaisir s'échapaient parfois de sa bouche, ce qui prouvait bien que Neville avait quelques talents cachés. Puis, sans crier gare, elle arracha de ses seins une des mains du jeune homme pour la placer sous la jupette en tulle qu'elle portait pour l'occasion, juste à l'endroit ou son string était complètement trempé.

D'abord pris au dépourvu, Neville s'arreta de bouger, puis comme Ginny commençait à approcher ses mains de la bosse de son pantalon, il recommença à la carresser avec le double d'ardeur, embrassant maintenant le sein découvert, mordillant fermement son extrémité. Apparemment, il ne voulait pas qu'elle touche à ce qui se trouvait sous son caleçon. Toujours est t-il que Ginny exultait de plaisir sous ces carresses

Prunelle, assise sur une chaise qu'elle avait fait apparaitre, savourais le spectacle, toujours couverte par le sortilège de désillusion. Voyant ce que Neville faisait à sa petite amie, elle avait elle même commencé à se masturber. Prenant de plus en plus de plaisir en regardant le spectacle erotique des deux tourtereaux, elle poussa un gémissement haut et fort qui résonna dans la clairière.

Heureusement, à ce moment précis, le temps s'arreta autour de Prunelle. Les deux jeunes gens à moitié nus avaient la tête à moitié tournée vers elle, une branche de chêne hors de la bulle anti pluie était encore pliée sous l'eaction du vent et surtout, un individu tout de noir vetu était apparu devant Prunelle. Il, ou plutot elle, à en juger par les deux bosses qu'on distinguait sous sa cape au niveau de la poitrine portait une longue cape et une robe de sorcier noire serrée à la taille et aux hanches, ainsi qu'au buste ( ) et avait une cagoule enfoncée sur la tête. Elle retira le bout de tissus de son visage pour découvrir son visage.

La terreur se lisait sur le visage de Prunelle...

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