Suite du chapitre précédent...

Disclaimer : Aucun personnage, aucun lieu, aucun item ne m'appartient , mis à part la magnifique Prunelle.

La Belle et les bêtes

Chapitre 5 : Maman

L'horreur était de plus en plus visible sur le visage de Prunelle à mesure que la femme aux cheveux noirs s'avancait encore plus vers elle.

- Bonjour, ma fille, dit-elle d'un ton désinvolte.

- Mère ! Que faites vous là ? répondit Prunelle en tremblant d'effroi.

- Mais je suis venu te voir, Prunelle. J'étais inquiète pour toi. D'autant que le maitre n'est pas tout à fait satisfait de toi ! Tu te sers des pouvoirs de que je t'ai donnés à la naissance pour t'amuser plus que pour aider le maitre.

- Mais...Mais...J'ai déja apporté pas mal de renseignements. J'ai réussi à lire totalement Dumbledore quand il a eu son orgasme. ( et il m'en a fait voir de toutes les couleurs, poensa t'elle aussitot). Et les jumeaux Weasley ! les deux d'un coup ! Ils connaissent beaucoup de choses sur Poudlard et ses passages secrets.

- Mais pourquoi t'être attaqué à Malfoy ? Son pere n'était pas très content quand il a appris que tu avais lu les pensées de son fils à travers son sexe.

- Je voulais m'amuser un peu, et puis dans le Poudlard Express, je n'aurais pas pu m'occuper de quelqu'un d'autre que lui. Et puis au moins on sait qu'il n'a pas les mêmes idées que nous sur la bande à Potter. J'ai remarqué de la jalousie dans son esprit quand les images de Harry arrivaient. Il à l'air de l'envier, pas de le haïr.

- Harry ? tu l'appelles par son prénom ? Et tu ne l'as pas encore...attrappé ?

- Il est encore trop bouleversé. Il n'acceptera jamais si je m'y prend trop tôt. Je vais déja m'occuper de sa bande. J'allais me faire ces deux là quand vous êtes arrivée.

- Tu n'en avais pas tout à fait l'air. Pour moi, tu te « faisais » toi même.

- Mère, je vous l'ai dit, je veux aussi m'amuser.

- Prends moins de risque, ou la colère du maitre pourrait se déchainer contre toi.

Un frisson de terreur secoua Bellatrix Lestrange et sa fille issue de son premier mariage. Chacun tremblait à l'entente du nom « Voldemort » mais mentionner sa colère était encore pire. Elles baissèrent chacune les yeux, puis relevèrent la tête pour plonger leurs yeux dans ceux de l'autre.

- Tu est tout le portrait de ton père. Il était aussi toujours en quète d'amusement. Prend ta tache plus au sérieux !

- Oui, mère.

- Honore ton nom, même si tu est une sang mèlée !

- Oui mère.

- Maintenant va t'occuper de ces deux là. Ils t'attendent, ajouta Bellatrix avec un sourire. Ils vont en voir de toutes les couleurs ce soir, je crois...Porte toi bien.

- Merci, mère ! Au revoir !

- Va te cacher derrière un arbre pendant que je remet le temps en place.

Prunelle se sépara de sa mère et se cacha derrière un grand sapin. Quelques épines la chatouillaient agréablement.

Quand le temps reprit son cours normal, Ginny poussa un hurlement de stupeur (je rappelle que pour elle, quelqu'un vient de gémir tout près de la ou elle se tape Neville) et tomba du lit sur le sol herbeux. Neville, quant a lui, se jeta sur ses vetements pour se rhabiller. Il dit :

- Qui est là ? Montrez vous ! Hey !

- C'est moi ! baisse ta baguette...Et ferme ta braguette ! Houla, bel engin !

Elle avait eu le temps de voir la quasi-totalité du sexe encore gorgé de sang de Neville. D'après elle (et elle à une certaine experience), il faisait environ 25 cm ( Oô ) en erction, 17 ou 18 au repos.

A deux mètres, Ginny se rhabillait encore. Qunad elle eu fermé son soutien-gorge et plaqué son chemisier sur sa poitrine pour cacher ce qui n'était pas encore caché, elle demanda :

- Co...comment ? commment nous à tu trouvés ?

- Je vous suis depuis la salle commune. C'est la cape de Harry ?

- Non . Celle de mon père, répondit le garçon.

- Heu, écoute, Prunelle...On aimerait bien que tu ne parles pas de ça a qui que se soit. Personne ne sait pour nous deux...

- Mais si tu veux parler de mon « bel engin », ajouta Neville, ne te gène pas.

Il reçut un coup dans les côtes de Ginny. Pendant ce temps, Prunelle avançait peu à peu vers eux, sans qu'ils s'en rendent compte.

- Pourquoi les gens auraient besoin de savoir pour ça? cria Ginny. TU est avec MOI, maintenant, à moins que tu en veuilles plus.

- Je peux vous en donner plus si ça vous chante, rencherit Prunelle. J'ai pas mal d'adresse à ce jeux là...

Ils se rendirent alors compte qu'elle n'était plus qu'à une trentaine de centimètres d'eux. Ginny sursauta à ces paroles.

- Qu'est ce que tu veux dire ? demanda t'elle, presque totalement sous le charme .

- Je veux dire que je veux bien garder le silence sur vous deux si vous m'acceptez maintenant.

- Je...ben...euh...baffouilla Neville.

- d'accord, dit Ginny

- Vous ne le regretterez pas...

Neville avait ouvert de grands yeux ronds quand Ginny avait accepté la proposition. Il semblait animé d'une énergie surnaturelle alors qu'il les emmenait avec lui sur le lit, apparemment pressé de vivre sa première fois avec 2 bombes atomiques comme elles.

Il embrassa d'abord Prunelle, ce qui parut mécontenter Ginny, qui lui fit remarquer en frottant son entrejambe sur sa cuisse. Prunelle, indifferente à Ginny, commeçait à retirer son pantalon au jeune homme. Il paraissait très gené qu'on le touche comme ça.

Néanmoins, son braquemart était dressé comme la tour de pise, penchant un peu sur le coté. (touche d'humour que certains, et surtout certaines, ne comprendront pas) Prunelle le prit en bouche, d'abord brievement, en le lechant imperceptiblement, puis de plus en plus longtemps, en faisant des va-et-vient avec ses mains sur le sexe exceptionnelement long de Neville. Il semblait y prendre un plaisir immense, éclatant parfois en de grands « OOOHHH ! » et en « AAAAhhh » retentissants et rauques.

Ginny, quant à elle, restait un peu en retrait, voulant participer mais ne pouvant aller plus loin que quelques caresses et quelques embrassades avec Neville avant qu'il n'eclate en gémissements sonores. Et elle n'osait tout simplement pas carresser ou même toucher Prunelle. Elle trouvait ça bizarre, maintenant qu'elles étaient sur le même lit avec le même garçon. C'est alors qu'au moment ou il obtenait son premier orgasme avec une fille, ce garçon laissa échapper un long et rauque cri d'amour :

- Ginny ! Ooohhh ! Je t'aime !

- QUOI ? cria Ginny, se jetant sur Neville.

- QUOI ? hurla Prunelle, se reculant vivement.

Neville était encore sous le choc (comme je l'ai dit, c'es la premiere fois qu'il est avec une fille...et elles sont deux...). Après une minute, il remonta son caleçon sur son sexe maintenant ramolli. Il avait un sourire béat sur les lèvres.

- Oh Ginny ! c'était tellement...tellement...

- Pas moi !

- QUOI ?

- C'était Prunelle !

- Je n'arrive pas à le croire. 20 minutes à triturer ton...ta...ton truc ! Et tu cries SON NOM ! C'est incroyable...

- Oh ! mais...je...je pensais que c'était toi, Gin...

- C'est pas grave tu sais...je t'aime.

- Moi aussi.

- Euh...est-ce que je peux toujours me joindre à vous... ?

- Oh ! euh...bien sur ! on te l'as promis. Mais laisse moi juste un peu plus de travail.

Alors qu'ils retournaient sur le lit pour d'interminables caresses, des baisers langoureux, cette fois, ce fut Prunelle qui etait mise à l'écart. Voyant Neville embrasser et caresser Ginny de façon experte maintenant, elle eu une idée. Elle fit apparaitre un pot rempli de chantilly et un bol de fraises.

- Regardez ce que j'ai trouvé,exulta-t-elle alors qu'elle s'approchait à nouveau du lit.

Neville arreta de lecher minutieusement les seins et le ventre de Ginny ( Mmmmh le petit veinard...). Au moment même ou il se redressait, une main couverte de crème s'abattit sur la poitrine de la rouquine. La seconde d'après, Prunelle lui tendait un bol de fraises. Chacun d'eux en prit une. Ginny, surprise, jetait des regards d'incrédulité sur ses mamelons couverts de chantilly et sur les deux visages aux sourires affamés. Quand la première fraise toucha le milieu de son buste et commença à faire le tour de ses seins, elle y prit un réel plaisir. Mais elle ne réalisa vraiment la sensualité de la scène que quand Neville porta à sa bouche le bout d'une fraise couverte de crème. Il sembla l'apprécier particulièrement.

Le jus de fraise se mêlait maintenant à la chantilly alors que Prunelle et Neville continuaient leurs caresses fruitières. Le mélange onctueux commençait à couler sur le ventre plat de Ginny. Se rendant compte de cela, Prunelle se plaça au-dessus et se mit à lécher les coulées de jus qui continuaient d'affluer. De fait, Neville en était à sa huitième fraise à la crème et il en remettait un couche sur la poitrine de sa partenaire.

Prunelle, quant à elle, descendait doucement et sans que Ginny ne s'en rende compte le long de son ventre. Elle lechait une coulée de jus et de chantilly jusqu'à ses seins puis recommençait avec une autre coulée, mais toujours d'un point plus bas ; Elle arriva donc après 2 ou trois minutes à la toison de poils noirs tintés de roux qui recouvrait le sexe de la jeune fille.

Elle passa d'adord sa langue dessus pour faire savoir qu'elle était arrivée à bonne destination, puis, de son doigt tendu, elle fit plusieures fois le tour de l'intimité de la rouquine, histoire de la faire languir encore un peu. Elle avait beau être en mission, elle aimait le sexe et tous les jeux que cela comprenait. Le bonheur de procurer toujours une dose limitée de plaisir à une personne pour qu'elle en veuille toujours plus...Le plaisir jouissif de caresser un corps pour eveiller à fond ses sens. C'est cela qu'elle faisait endurer à Ginny Weasley.

Ce jeux là dura encore 1 minute entière durant laquelle les cercles autour de son clitoris se faisaient plus petits, puis s'aggrandissaient, puis rétrécissaient à nouveaux, et ainsi de suite. A cela s'ajoutait le ballet des fraises sur sa poitrine –Neville en était à la troisième couche de crème chantilly- et les coulées de jus de fraise froid qui se réchauffait peu à peu au contact de sa peau.

Puis, sans crier gare, Prunelle étala une giclée de chantilly sur le sexe déjà humide de Ginny. Elle se tourna vers le garçon pour saisir une fraise mais se rendit compte qu'il n'y en avait plus. Tout comme Neville un peu plus haut, elle plongea sa tête dans l'étendue de chantilly et commença à l'enlever consciencieusement du sexe de la jeune fille, passant bien entendue sa langue sur le petit bout de chair gorgé de plaisir.

Après quelques minutes, toute la chantille avait été enlevée et Ginny se convulsait de plaisir sur le lit, deux langues en pleine action sur son corps. L'orgasme vint comme un éclair de plaisir intense du fond de son bas ventre pour remonter en un cri vers sa bouche.

L'énorme phallus de Neville remplaça ensuite Prunelle leur prodigant à chacun quelques caresses et quelques baisers doux, avant de se placer elle même au dessus du visage de Ginny pour enfin obtenir son plaisir. Les trois orgasmes arrivèrent en différé, Ginny en premiere, suivie de Neville, puis Prunelle. Puis ils se rhabillèrent lentement, Ginny et Neville s'embrassant passionnement entre deux vetements. Ils levèrent tous les enchantements qu'ils avaient performés et s'en allèrent sous la cape d'invisibilité.

La grosse dame n'ouvrit mçeme pas les yeux pour voir qui arrivait à cette heure çi, gromelant seulement quelque chose à propos des balades nocturnes trop fréquentes des élèves. Quand ils entrèrent dans la salle commune, ils virent une silhouette assise à un fauteuil, la tète penchée, un gros volume dans les mains. Hermione Granger s'était endormie en révisant pour leur prochain contrôle d'histoire de la magie. Se rendant compte de cela, les trois compères se remirent à respirer. Ils retirèrent la cape de leurs épaules.

- Bon ben, bonne nuit, dit Ginny, l'air encore géné de ce qui s'était passé dans la forêt.

- Bonne nuit, Gin, répondit Neville, un grand sourire sur ses lèvres encore marquées par les baisers de la rouquine.

- Bonne nuit, vous deux, répondit rêveusement Prunelle son regard posé sur les cheveux en bataille d'Hermione.

Pendant que les amoureux montaient se coucher, Prunelle resta en arrière. Elle fit apparaitre une couverture et en recouvrit le corps frèle d'Hermione.

- Bonne nuit, murmura-t-elle alors qu'elle déposait un baiser sur sa joue à la peau douce.

Elle résista à l'envie de l'embrasser à pleine bouche et monta se coucher. Ce ne fut qu'arrivée en haut des marches qu'elle se rendit compte de ce qu'elle venait de faire. Elle secoua la tête pour chasser ses pensées absurdes, passa sa chemise de nuit, se coucha et s'endormit aussitôt. Elle reva toute la nuit de la jeune fille aux cheveux auburn, mais au matin, elle ne s'en souvenait plus.

Fin du chapitre. Qu'en pensez vous ? Review...