NB: Plagiat hyper fréquent, que ce soit chez Mo ou qqn dautre, et je ne vais pas forcément suivre l'histoire de Rowling, uatant vous prévenr tout de suite. Merci à tous les reviewers.
6 heures du mat. Jdors plus. Les autres pioncent comme des bienheureux. OKOK comme des larves serait plus approprié. Bande de loches. Je me lève. Je sors dans le hall, toute habillée, avec les cheveux mal coiffés et des cernes gulliveriques d'un bleu bien pétant. J'entre dans la cour et tape machinalement sur une des briques avec ma baguette magique.
« Comment tu arrives à te souvenir de quelle brique c'est ?
Je me retourne.
« Va te recoucher, Fred ! C'est pas une heure à laisser sortir les petits enfants !
« Qu'est-ce que tu fabriques dehors à cette heure-là ?
« Rien. Je me suis pas rendormie, c'est tout. Et toi ?
« Un instinct. Je me suis réveillé sans raison, j'ai jeté un coup d'œil sur ton lit et je n'ai rien vu. Avec toi, tout est possible, alors…
« Tu crois vraiment que je me serais éclaté à me suicider ?
« Non, pas forcément. Mais dis-moi pourquoi tu es dehors.
« Je te l'ai déjà dit.
« Dis-moi vraiment.
« Putain Fred ! Ca t'arrive de me croire ?
« Oui, heureusement.
« On dirait pas !
« Bon, écoute. Je vois bien que je t'emmerde alors je vais te laisser ! Moi je suis fatigué. Essaie de revenir pour le petit déj sinon je me suicide !
« Si ça se trouve je reviendrais pas. J'ai pas faim.
« Pour une bouli, c'est bizarre !
Je rentre brusquement par le trou du mur en laissant l'autre rouquin dans la cour.
Je marche. Ca me rappelle une chanson de Goldman qui fait :
Je marche seul
Dans les rues qui se donnent
Et la nuit me pardonne, je marche seul
En oubliant les heures,
Je marche seul
Sans témoin, sans personne
Que mes pas qui résonnent, je marche seul…
Une chanson que j'aime beaucoup. Je me mets à la chanter.
Et j'm'en fous, j'm'en fous de tout
De ces chaînes qui pendent à nos cous
J'm'enfuis, j'oublie
Je m'offre une parenthèse, un sursis…
Tatataaaaaaa…
Je marche seul
Quand ma vie déraisonne
Quand l'envie m'abandonne
Je marche seul
Pour me noyer d'ailleur
Je marche seul...
C'est vrai ce qu'il a dit Fred, comment je fias pour me souvenir de quelle brique c'est ? Sans doute parce que j'ai une assez bonne mémoire. Je me souviens très bien de mes petites années… plus particulièrement de mes trois ans…
« Noémie ! Mais qu'est-ce que tu fous là ?
Helen est sur le point de me dévorer vive.
« Quoi encore !
« On t'a tous attendue pour manger et tu ne viens pas !
« Je vois pas ce qu'il y a de dramatique.
« Fred m'a dit que tu étais debout à six heures toute habillée et dans la rue.
« Non, pas dans la rue. Dans le chemin de Traverse.
« Il m'a dit qu'il t'avait demandé d'être là pour le petit déj !
« Et je lui ai répondu que je n'avais pas faim.
« Arrête un peu, tout le monde a cru que tu avais fugué ou un truc comme ça.
« Fred l'a cru. Raconte pas de conneries.
A ce moment là, les Tarés-Chieurs au complet rappliquent mit Jérémy.
C'est Fred qui court le plus vite (nooon pas luiiiiiiii…)
« Noémie ! Je vais me suicider !
« Putain mais vous allez me foutre la paix oui ?
Blanc.
« Excuse-nous Noémie. (Helen)
Reblanc.
« C'est pas tout ça (je dis) mais qu'est-ce qu'on fait comme vacheries aujourd'hui ?
Atmosphère se détendant immédiatement.
« On pourrait jouer à Hansel et Gretel semant des Bombabouses !
« Ah non merci, c'est chiant à la longue !
« On n'a qu'à faire un feu d'artifice !
« Ettt avec quouaaa ?
« Ben des pétards un peu spéciaux !
« Pas mal, mais il faudrait attendre la nuit.
« Dites vous autres, vous aurez pas un peu oublié qu'on a une liste de fournitures ? (moi)
« Quelle rabat-joie !
« T'es folle ?
« Tu délires !
« OK ! OK ! Jme tais !
« Hé attendez ! (Fred) Moi je pense qu'elle n'a pas totalement tort… Sinon on va oublier ou alors quand on y pensera il n'y aura plus rien !
« D'accord, mais tu serais pas en train de nous dire qu'on ne fera pas de conneries aujourd'hui ?
« Non, vous l'avez dit vous-même, on pourra faire un feu d'artifice.
« Accordé ! hurle Helen, triomphante.
Retournons donc à l'auberge. Et resortons illicos, armés de listes de fournitures interminables.
On se dirige vers Fleury & Bott .
« Bonjour, jeunes gens ! Nous lance le libraire. Bienvenue ! Je suppose que vous avez besoin de livres pour Poudlard ?
« Oui… (bel ensemble)
« Quelle année ?
« 3ème (je dis). Nous avons besoin du Manuel du cours moyen de métamorphose, du Livre des Sorts et Enchantements, niveau 3, et pour finir d'un livre de Cassandra Vablatsky, Lever le voile du futur.
« Très bien. Autre chose ?
Fred, George et Helen s'entre-regardent.
« Non merci.
« Oui. (moi.)
« Je vous écoute.
« Vous avez un livre concernant les balais ?
« Quel niveau ?
« Heu…
« Vous jouez au Quidditch ?
« Non…
« Bon, ben, je suis désolé, je n'ai rien pour votre niveau.
« Je possède un balai.
« Lequel ?
« Heu……. un Nimbus 2000.
« Ah bon, il est déjà sorti ?
« Nonnonon, mais mon père travaille dans les balais et il m'en a fourni un.
« Honnêtement, me souffle Helen, pourquoi tu veux acheter ça ?
« Pour moi.
« Ah ouais ? T'as un balai ? Mais je le souviens de tes premiers cours de vol, c'était pas du joli !
« Je faisais exprès ! Je fais semblant de ne pas être une connaisseuse parce que sinon on me prendra dans l'équipe de Quidditch, et j'ai pas envie !
« Ah bon…
« Le problème c'est qu'à force de faire croire que j'étais définitivement terrestre, je finis par le devenir, alors j m'achète ce bouquin pour me rattraper.
« Ah, et, c'est quoi ton balai ?
« C'EST un Nimbus 2000.
« Mais, il est sorti, oui ou merde ?
« Non ! En fait c'est l'oncle de la caissière rousse qui travaille dans les balais.
« Et tu en fais quoi ?
« Bon les poteaux, faut qu'on fasse réviser les baguettes.
« Merci de la réponse.
« Mais de rein !
On se dirige vers Ollivander. J'entre dans la boutique en première et les autres me suivent. Soudain, le vieillard apparaît en nous fixant de ses horribles yeux gris.
« Pour une révision, je suppose ?
« Ben oui.
« D'accord. Venez, jeune fille.
Helen s'approche.
« Ah oui je me souviens. Rosier, très flexible, 30 cm avec poils de licornes, excellente pour la métamorphose. Vous aviez cassé un vase de cristal en l'essayant.
Il prend la baguette, l'agite un instant, vérifie l'équilibre, avant de faire apparaître un petit rossignol.
« Bieeeeeen, très bon état. Votre baguette est réceptive et ne s'est pas défendu contre moi. Vous devez, je pense, vous aussi, vous opposer difficilement aux autres. Passons au jeune homme, voulez vous ?
George tend sa baguette à Ollivander.
« Ah oui bien sûr, cette baguette, votre jumeau a exactement la même. Chêne, 32 cm et ventricules de cœur de dragon, peu flexible mais parfaite pour les apprentissages ou pour inventer de nouveaux sorts, ce dont, je suppose, vous n'avez pas dû vous priver. Bon marché mais de bonne qualité. Voyons voir !
Il la secoue dans tous les sens et réalise les mêmes exercices qu'avec la baguette d'Helen. Au moment de faire appraître le rossignol, il esquisse un petit sourire, et l'oiseau surgit. Il est d'un jaune éclatant avec de gros pois roses.
« Les baguettes ressemblent beaucoup à leur propriétaire. Vous êtes taquin…
Puis, il prend la baguette de Fred. Les résultats sont les mêmes, sauf que l'oiseau est rose avec de gros pois jaunes.
« Très bien . Je suppose que vous vous amusez souvent à faire des blagues avec elle.
Jeune fille, voulez vous ?
Je lui tend ma baguette.
« Ah oui. Elle vous a coûté très cher, mais c'est la seule qui vous a choisi. 37cm, assez flexible mais pas trop, très puissante et polyvalente, acajou poli et plume de Sombral… cela ne m'étonne pas, vous êtes assez originale et habituellement, on n'utilise ici que de la licorne, du dragon et du phénix. Cette baguette est la seule à avoir fait exception à la règle… Je suppose qu'elle va m'opposer une certaine résistance, car vous êtes du genre assez fermé et impatient. Voyons voir… L'équlibre est parfait, dans tous les cas. Elle est étonnament légère et maniable. Maintenant…
Il éxécute un moulinet dans les airs.
Rien ne se passe.
Perplexe, il regarde le bois rouge avec bizarrerie, avant de recommencer, sans succès.
« Tout de même, je ne m'attendais pas à ça. Dans l'état actuel, cette baguette est aussi active qu'une branche morte. Bon, pouvez-vous me faire apparaître un oiseau ?
Je reprends ma baguette, trace un cercle dans l'atmosphère, et un rossignol surgit.
« Je ne vois pas le problème.
« Evidemment, cette baguette est vôtre.
Il rééssaie, et dans un claquement sonore, un grand corbeau aux reflets bleus s'envole et se pose sur une étagère.
« Bieeeeeeen. On ne peut pas dire qu'elle se soit donnée facilement… toujours est-il qu'elle reste une baguette vraiment imprévisible mais elle doit vous convenir parfaitement.
On sort de la boutique.
« Tiens, dit Helen, faudrait que je passe chez Guipure, toutes mes robes sont trop petites.
« Bonne idée. Eeh, regardez !
Au bout de la rue, qui est-ce que je vois ? Hagrid.
« Haaaaaaaaaaagriiiiiiiiiiiid !
« Noémie ! Ca va ?
« Oui, et toi ?
« Bien, bien. Je suis en mission pour Poudlard !
« Ah bon ! Pour … ?
« Oui. Il essaie une robe chez Guipure.
Helen me regarde de traviole.
« De qui vous parlez, là ?
« Oh, personne… heu Helen, tu es sûre que tu veux aller chez Guipure maintenant ?
« Pas forcément maintenant, je sais pas, pourquoi ?
« Heu, on peut pas aller chez Florian Fortarôme ? On pourra commander des crèmes glacées .
« Je vous accompagne, alors, dit Hagrid. Je dois en acheter deux.
Une demi-heure plus tard, devant Guipure. Je respire, il n'est plus là.
Fred et George reagrdent les gants en peau de dragon. Forcément, ils ont cramé les leurs qui n'étaient pas adapté à leur potion clandestine de désintègre-miettes… Moi, je m'achète une super belle cape d'hiver noir de jais avec des boucles en argent en forme de feuilles. L'ancienne est déchirée.
« Noémie, ça va pas te coûter cher, ça ?
« Tinket Fred. Moi je suis pas comme toi, je ne compte pas mon argent tellement j'en ai. Faudra d'ailleurs que je passe à la banque.
Hélène me montre un tas de robes de sorcier qu'elle vient d'acheter, hypermoulantes à la taille, aux bras, aux fesses, avec un décolleté plongeant, bref tout elle.
« Waaaaah dis donc ils ont réussi à ne pas en faire des droites et simples ! Je vais m'en acheter trois.
Je commence donc à essayer les robes. Le reste des Tarés-Chieurs mit Jérémy me conseillent.
« Pas celle-là, elle est trop décolletée.
« Celle ci te serre trop.
« Celle la est mal coupée et trop longue.
« Trop moulante ! On voit tout ton gras. (en passant, j'apprécie énormément cette remarque signée Helen.)
Finalement, j'en déniche une qui ne met en valeur que les parties de mon corps les moins moches, montant sur le cou, fendue sur le côté et plus ample au niveau des poignets, moulant également la poitrine (vous inquiétez pas, c'est que de la graisse), bref jolie. Puis, Helen et moi décidons de nous acheter chacune une robe de bal. Helen en choisit une hypermoulante, hyperdécolletée, hyperhautfendue, bref carrément obscène, assortie à ses yeux, c'est-à-dire vert émeraude, pourvue de voiles, rubans et autres zigouigouis tous verts. Moi, je décide d'en prendre une simple, sobre et de bon goût, au haut bustier sans bretelles, rasant le sol, bleu ciel. « Comme ça, c'est de la même couleur que tes yeux ! » remarque de Fred complètement à côté puisque mes yeux sont moches et que la robe est sublime. Bref, c'est affamé (malgré les crèmes glacées) et croulant sous les sacs que le gang des Tarés-Chieurs se met en route pour le resto.
Programme de l'après-midi : prêt de fric par moi-même à Fred et George pour qu'ils se rachètent un chaudron et des fioles après leur massacre à la désintègre-miettes, potion de leur invention, ai-je besoin de le préciser ?
Puis, petit tour chez Gringotts par mon coffre, après une balade en wagonnets, s'enfonçant de plus en plus loin dans les profondeurs du sol et longeant même un lac souterrain bordé de stalactites et de stalagmites.
Ensuite, on part s'approvisionner en pétards chez Grims&Barbouffe, et, alors que la nuit tombe, attablés devant des pizzas, sur une unique table au milieu d'une grande clairière reculée, Fred et George ouvrent leurs sacs, et nous découvrons leur dernière nouveauté : feu d'artifice farçeur !
« Nous ne comptons pas les mettre en service avant notre septième année à Poudlard. Ceci sera un test…Je pense que pour notre départ, on va faire une petite fête avec ça…
La soirée est fa-bu-leuse.
Les pétard farçeurs, à côté des feux d'artifices F&G, c'est de la pure merde de chaussette congelée. Et bien que le coin soit assez reculé, un feu en forme de Peeves s'est échappé de la clairière, et on a entendu quelques cris venant du centre ville… tu m'étonnes. Vive nous !
Au lit, le ventre qui éclate. J'adore les journées comme ça. Fred qui dort encore à côté de moi. Quel lèche-pompes, quand même…
RAR
aresse: merci pour le ptit truc, ô "aresse la grande sage qui a raionse à tout" (je cite). Je ne l'ai pas encore utilisé parce que, finalement, les guillemets, je trouve ça pratique et en plus, c'est joli. Là Noémie, Helen, Fred et George vont entrer en 3ème anée, ce qui veut dire qu'Harry va entrer à Poudlard voilà :) En tout cas je te remercie de ne pas trop détester ma fic, ça fait toujours chaud au coeur... parce que moi je trouve ça un brin désordonné... enfin bon, merci quoi!
Paulo Malefoy: Merciiiii moi j'aime bien quand on aime bien ce que j'aime bien... enfin voilà quoi, merci :) (mon Dieu je manque terriblement d'inspiration ajourd'hui... la cervelle de Po partirait elle en bouillie?) De façon générale, je dis merci à tout le monde, zutdezut de c'qu'boudiniou!
