Le pacte de la colombe blanche...
Auteuse : KKK : Le pacte de la colombe blanche...
Base : Harry Potter
Genre : Yaoï, légèrement OOC, lime ou lemon (je ne sais pas encore)
Couple : Mon couple favori... on ne sort pas des sentiers battus
Disclaimer : Heureusement pour eux qu'ils ne m'appartiennent pas, enfin vu qu'ils sont passé par chez moi, je les emprunte juste le temps d'une fic... Kavan est à moi par contre
Note : Hum... Ça m'arrive souvent de faire ça : j'ai relu un roman que j'ai écrit (et toujours pas fini d'ailleurs) et comme pour Gundam, j'ai pensé à mes deux chiris ... En fait mes propres persos ressemblent beaucoup dès le dépars à Harry et Drago, bien que le contexte soit totalement mais totalement différent.
Le pacte de la colombe blanche 5
Harry se leva péniblement. Après sa nuit d'hier, la seule chose qu'il souhaitait était de rester confiné dans son lit et d'y dormir des siècles durant.
IL avait été si proche de céder à ses inhibitions... Si proche de perdre le contrôle... Si proche d'avouer à Drago ce qu'il ressentait... Bon, bon ! D'accord, il en avait très loin, mais ce n'est pas comme s'il ne l'avait pas voulu...
Enfin, peut-être que si... ou peut-être que non finalement... (dans la famille j'suis-chiant-quand-je-m'y-met je voudrais...)
Tout cela le perturbait beaucoup. Comment avouer à Drago ses sentiments ?
Parce que si Harry était certain de ce qu'il éprouvait, il n'était pas du tout certains des sentiments de Drago à son égard...
Pourtant il l'avait bien embrassé non ? Et c'était encore lui qui avait réduit la distance entre eux hier soir... Lui avouant à demi mot que c'était lui qui désirait ce rapprochement. Mais désirait-il Harry ? Oui... à n'en pas douter. L'aimait-il ? C'était sûrement un jeu. Un jeu malsain pour se moquer encore une fois de lui.
N'oublions tout de même pas, que c'était de Drago Malfoy dont on parlait ! Le tombeur de Poudlard ! Harry avait eu l'occasion de se renseigner un peu sur le blondinet, et sa réputation de bourreau des cœurs rendait les choses assez difficiles.
Drago était une véritable corne d'abondance de cœurs brisés... ((1))
Mais, ce qui avait laissé Harry sur le cul, c'était d'apprendre que Drago, loin d'être extrême, avait déjà couché avec des garçons. Deux seulement, mais c'était plutôt encourageant non ? Ça voulait dire que Drago n'était pas homophobe comme il avait semblé à Harry après leur premier baiser.
Drago avait tout de même une salle réputation... enfin, beaucoup de ses ex-conquêtes lui en voulaient, mais la majorité savait exactement à quoi s'attendre avec lui et certains récidivaient...
Harry sentit son cœur se pincer et son estomac se nouer. Que ce passerait-il une fois qu'il aurait avoué à Drago ses sentiments ? Allait-il se moquer de lui ? Le piéger ? Oui, Harry savait exactement ce qui allait ce passer.
Drago allait le prendre, le retourner et le baiser... avant de le jeter et de noter son nom sur la longue liste de ses conquêtes... et même si le cœur d'Harry en serait meurtri, il en avait envie. Il le voudrait et se laisserait aller dans les bras experts de Drago. Il le laisserait bafouer son honneur et violer son innocence... Il le laisserait faire tout ce qu'il voulait de son corps, pour une raison toute simple : il l'aimait ce putain de Serpentard vicieux et orgueilleux... Oui, il l'aimait à s'en damner.
Et c'est sur cette note simple et douloureuse qu'Harry se décida à sortir de son lit.
La journée promettait d'être longue... et mouvementée...
C'était le troisième cours de la journée, et Drago ne c'était toujours pas montré.
Harry s'en inquiéta. Etait-il malade ou tout simplement énervé par ce qu'il avait fait hier soir ?
Il fallait qu'il s'en assure, surtout qu'il avait envie de faire sa déclaration à Drago. Bien que plus tôt dans la journée, Kavan Asmoldiss lui eût suggéré de lui faire la cour, ce qui avait eu pour effet de vexer le professeur tellement Harry riait.
Il se voyait mal courtiser Drago comme à l'ancienne époque avec des fleurs, des cadeaux et tout le tralala...
Pas que ça lui déplaisait de taquiner le Serpentard de cette manière, mais il avait eu tellement de mal à trouver le courage de lui avouer ses sentiments, que draguer le blondinet était malheureusement au-dessus de ses forces.
Et puis, notre cher Gryffondor était impatient. Oui, impatient de sentir les mains savantes de Malfoy sur son corps. Donc, rien que pour une fois il allait laisser le désir prendre le pas sur les sentiments et le cinéma à l'eau de rose...
Il ne se souvenait que trop bien de sa mésaventure avec Cho. Il avait attendu patiemment, mais ça n'avait pas fonctionné. Harry n'était pas certain que ce soit exactement à cause des préliminaires amoureux plus que désastreux, que sa relation avec Cho avait échoué. Il y avait beaucoup d'autres facteurs qui c'étaient agrippés à leur couple à peine naissant, dont l'un se prénommait Cédric. D'ailleurs, ça n'avait pas marché avec plusieurs autres filles sur ce point-là.
Et puis, Drago était différent en tout.
Drago excitait Harry : rien de plus simple. Et la tension sexuelle qui régnait entre eux était palpable et douloureuse, voire astronomique.
Harry sentait son sang yoyoter entre son cerveau et une partie plus ambitionnée de son anatomie. Il avait vraiment du mal à se retenir quand son blondinet était dans les parages, du moins depuis un certain moment maintenant.
Le cour de Rogue n'en finissait plus et Harry tellement impatient à l'idée d'aller retrouver son amour, cru qu'il allait mourir d'ennuis. Il voulut soupirer lacement et quitter tout de suite ce cours, mais le nombre presque abyssal de points que sa maison avait perdu ses derniers temps tempéra son ardeur.
Dépensant des trésors de volonté, il se concentra tant bien que mal, sur ce que leur professeur leur expliquait. Et miracle, à la fin du cours, non seulement Harry s'était retenu de se pendre, mais il n'avait fait perdre aucun point à Gryffondor.
Encouragé par cette chance soudaine, Harry se dit que les astres (bien que Trelawney l'aurait vivement contredit) était avec lui et pas contre lui.
C'est donc avec entrain, qu'il se leva, rangea hâtivement ses affaires pour aller rejoindre son blondin où qu'il soit.
Mais, comme par hasard, ce fut le moment que choisit Ron pour l'interpeller.
« Quoi, répondit Harry avec une certaine impatience filtrant sa voix. »
« Euh... Je peux te parler, demanda presque timidement son ami. »
Harry fronça les sourcils en levant les yeux au ciel. Il n'avait pas envie d'entendre les sempiternelles jérémiades de Ron à propos de tout et de rien. C'était certes son meilleur ami, mais comme tout le monde, Harry avait un seuil de tolérance assez modéré quand il s'agissait d'écouter quelqu'un se plaindre toute la journée.
Il reporta son regard sur Ron, et s'aperçut que ce dernier avait une mine à en faire pâlir de jalousie un mort.
Cette fois il fronça les sourcils pas parce qu'il était ennuyé mais parce qu'il s'inquiétait.
Une pointe de culpabilité serra son cœur, et Harry se rappela que ces derniers jours, il n'avait accordé aucune attention à ses amis et Ron en particulier qui (Harry venait de s'en souvenir) n'était pas aussi bienheureux et enjouée que d'ordinaire.
Il voulut demander des explications à Hermione, mais cette dernière était déjà partie, ce qui le surpris.
Puis, il se souvint, qu'elle également se comportait tout aussi curieusement que Ron. Harry se traita mentalement d'idiot pour ne pas l'avoir remarqué plus tôt.
Certes, Harry avait le droit d'être égoïste, mais Ron et Hermione avaient toujours fait abstraction de ce qui leur arrivait pour uniquement se concentrer sur ses problèmes à lui, sans jamais s'en plaindre. Ils le soutenaient quelle que soit la situation ou le danger, et notre jeune sorcier, regretta amèrement son attitude.
Ses envies frustrantes et son corps, sexuellement sous tension, attendraient un peu aujourd'hui. IL avait manifestement plus important à faire.
Ron n'ayant toujours pas obtenu de réponse, leva les yeux vers son meilleur ami et sourit légèrement en voyant que ce dernier l'observait avec compassion.
« Alors, tu... tu veux bien qu'on parle un peu ? »
« Qu'est-ce qui se passe, demanda Harry inquiet. »
« Viens, allons ailleurs, déclara le rouquin. »
Harry conduisit Ron dans sa chambre où ils s'enfermèrent à double tour. Rien ne devait les déranger, bien qu'Harry préférât que ce soit Drago qui l'accompagne.
Il déposa ses affaires et rejoignit son lit, sur lequel Ron avait déjà pris place. Il observa un moment son ami, qui semblait soudain plongé dans la contemplation de ses mains crispées sur son pantalon.
Il était blanc comme neige ce qui ne rendait absolument pas grâce au visage tacheté du rouquin.
« Alors qu'est-ce qui se passe demanda Harry faisant sursauter son ami. »
« Je... je ne... pas c'est assez dur à dire... c'est que tu vois... je ne sais vraiment pas... pourquoi... comment... ni... je... »
Harry haussa un sourcil interrogateur. Le baragouinage de Ron était parfaitement incompréhensible et plus il essayait de parler, plus il s'embobinait dans sa toile de mots sans aucun sens.
Harry voulu poser une main rassurante sur l'épaule de Ron, mais ce dernier baissa précipitamment la tête et plongea son visage dans ses mains tremblantes.
« Oh ! Harry, gémit-il. Je ne sais plus quoi faire pour qu'elle me pardonne... »
« Quoi ? Comment ça « elle » ? Je ne comprends rien Ron, explique-moi... »
Ron inspira profondément et entrepris de tout raconter à son ami, les yeux rivés sur le tapis de sol.
Dix minutes s'écoulèrent pendant qu'Harry captivé par le récit du rouquin, passait par différentes teintes de rouge.
Rouge émotion, rouge colère, rouge amusé, rouge embarrassé, rouge, rouge, rouge... jusqu'au rouge complètement abasourdis. Et il y avait de quoi !
Puis quand Ron se tu enfin, Harry ne pu qu'articuler un petit et suraigu :
« Quoi ! »
« C'est comme je te dis Harry... je... je ne sais vraiment pas comment, ni pourquoi... enfin si mais... »
« Tu as embrassé... P...P...P »
« Dis-le Harry s'emporta Ron. »
« P...P...P... »
« PARKINSON ! acheva le rouquin rouge de tout. OUI ! JE L'AI FAIT ! JE L'AI FAIT ET HERMIONE NOUS A VU ! ((2)) »
« Mais... mais... mais... »
« Mais quoi ! »
Harry ne pu plus rien articuler. C'est comme si ses lèvres refusaient de bouger alors que son cerveau surchauffait presque.
Au bout d'une minute qui parût une éternité à Ron, Harry se leva lentement, puis lui fit face avant de faire la seule chose qu'il n'aurait pas imaginée.
Harry s'effondra de rire sous les yeux éberlué de son pauvre ami.
Il en était à se tordre de rire en se tenant les côtes et en pouvant difficilement retenir ses larmes, quand Ron lui administra une baffe monumentale, ce qui eut pour effet d'arrêter la vague déferlante.
Harry une main, sur la joue et l'estomac encore contracté, s'assit et fixa son ami, tentant calmement de reprendre son souffle.
« Merci, dit-il. Sinon, je... crois bien... que je serais... mort de rire... »
« J'ai vu, répliqua Ron vexé que son ami n'est pas compati à sa douleur. »
« C'est la petite amie de Malfoy tu le sais ça, demanda Harry un peu douloureusement. »
Savoir que son Drago sortait avec cette espèce de... de bull dog enragé, lui donnait des haut-le-cœur.
« As-tu vraiment besoin d'enfoncer le couteau dans la plaie, lança Ron un peu sèchement. C'est déjà assez difficile d'avoir embrassé cette truie sans que tu me mettes en tête que ses lèvres ont bécoté celles de cet abrutit de Malfoy ! »
Harry tressaillit. Il sentit une légère vague de jalousie remonter le long de son corps et se demanda, un peu stupidement, combien de lèvres exactement avaient encore le goût de Drago imprégnées sur elles.
Se traitant d'imbécile, il se posa une autre question, beaucoup plus importante. Comment Ron réagirait-il, s'il apprenait que lui Harry, son meilleur ami et confident, avait justement savouré les lèvres maudites de Malfoy, et sans passer par l'intermédiaire de qui que ce soit ?
Il n'eut pas le temps d'y réfléchir plus longtemps car Ron le sortis de ses songes.
« À quoi penses-tu ? »
« Je me disais que tu as vraiment été ridicule, menti le jeune sorcier. Comment as-tu pu croire que Mione avait une aventure avec FLINT ! Non, mais Ron, c'est FLINT quoi ! Jamais Mione n'aurait l'idée saugrenue de s'approcher de lui ! »
« Je sais ! Mais, quand Flint à sous-entendu que Mione et lui... et bien, mon sang n'a fait qu'un tour et... et... »
« Tu t'es emporté comme d'habitude, soupira Harry en rejoignant son ami sur le lit. »
« Je l'avoue. Mais je peux t'assurer que ce n'était pas pour me venger que j'ai...enfin tu sais, mais, j'ai agit sous le coup de la colère, repris Ron en frissonnant. »
« Cependant, je ne me souviens pas que Mione et toi sortez ensemble... »
« Ça aussi je le sais ! C'est pour ça que ma stupide crise de jalousie était totalement sans fondement ! »
« Hum... Ce sont les paroles de Mione, je parie, taquina Harry. »
« Oui... admis Ron dans un soupir désespéré. Et maintenant elle refuse absolument de m'adresser la parole... je ne sais plus quoi faire. J'ai bien essayé de lui expliquer par la suite, mais elle n'a rien voulu entendre... »
« Tu connais les femmes, fit Harry en souriant. Le mieux que tu puisses faire c'est de patienter et de prendre sur toi. Et puis, ça te permettra de mettre de l'ordre dans tes sentiments, et d'enfin courtiser Mione comme il se devra... tu ne crois pas ? «
« Tu... tu crois, demanda Ron la voix pleine d'espoir. »
« Oui, je crois. En attendant je vais parler à Mione... essayer de tempérer un peu sa colère... Mais je te préviens que pour le reste du boulot, c'est toi qui devras t'y coller ! Et n'espère pas que je lui remette de doux mots d'amour et autres trucs mielleux dans ce genre ! »
« Moui... Je vais faire de mon mieux... Merci Harry... n'empêche que franchement, avoir embrasser Parkinson restera dans les annales de Poudlard, ajouta Ron avec un léger sourire résigné. Heureusement pour moi, qu'elle n'a pas eu l'idée de me frapper sinon tu serais entrain de pleurer sur ma tombe... »
« Ce qui est fait est fait... et puis il y a pire, susurra-t-il pour lui même. »
Être physiquement attiré par Malfoy par exemple ou encore carrément en tomber amoureux...
« Harry, as quoi penses-tu encore, demanda Ron. »
« Hein ? euh... rien, je me demandais juste comment Pansy avait réagi, si elle ne t'a pas frappé elle dû faire autre chose ? »
« Hum... elle s'est évanouie... tu n'as pas entendu le grand boum hier soir ? »
« Ça ne veut pas pour autant dire que tu n'y couperas pas, lança Harry en riant. Tu la veux de quelle couleur ta pierre tombale ? »
« Très drôle, grogna Ron. »
Harry se mit à rire et Ron ne tarda pas à le suivre. Ron sachant que rire de cette manière avec Harry m'était leur vie en danger, voulu parler pour cesser leur hilarité mais un cri strident s'en chargea.
Un cri qui venait de la chambre de Malfoy. Un cri, qu'Harry et Ron auraient pu reconnaître entre milles, pour l'avoir entendu à maintes reprises. Un cri typiquement Granger...
Ron et lui se levèrent précipitamment avant de se diriger d'un même pas vers la porte latérale à son lit, celle qui donnait directement sur la chambre de Malfoy.
« Mais qu'es-ce qu'Hermione fiche dans la chambre de Malfoy, se demandèrent-il sans pour autant avoir les mêmes raisons. »
À suivre...
KKK : Ouh ! L'était long ce chapitre hein ?
Harry : Moui ...
Drago : Sans aucun doute ...
KKK : ê.e... Qu'est-ce qui vous arrivent ? Pourquoi souriez-vous comme des attardés ?
Harry : Oh ! Pour rien...
KKK : C'est louche... Qu'est-ce qui se passe ? --.--
Drago : Disons juste que Dieu existe...
KKK : Hein ? Ô.o...
Soudain la porte de la chambre s'ouvre à la volée sus deux visages déformés par la colère
Ron : K... TU VAS ME LE PAYER ! COMMENT AS-TU PU ME FAIRE CA !
KKK : Glups... O.O
Hermione : TU VAS MOURIR K...
KKK : Bon... ben, je suppose que si je m'excuse de fond du cœur... euh...
Ron : Tu lui tiens les bras Mione, pendant que je lui arrache les yeux...
Hermione : Ca marche mon chou...
Pansy : J'peux me joindre à vous ?
Ron et Hermione : No probs... À L'ATTAAAAAAAAQUEEEEEEEEE !
KKK : Pardoooooooonnnnnnnn je le ferais pluuuuussssssss... HYAAAAAAAA au SEC...
K qui prend ses jambes à son cou, poursuivi par trois fou dangereux avide de sang frais
Drago : Haaaa douce mélodie à mes oreilles...
Harry : Après tout ce qu'elle nous a fait...
Drago : Moui... Que c'est bon .
Harry : O.o... Je viens de penser à un truc...
Drago : Quoi donc ?
Harry : Si jamais ils la tuent, elle ne pourra pas finir la fic et tu sais ce que ça veut dire...
Drago : Ô.o... TU as raisons !
Harry et Drago : STOOOOP ! Non, non, non... pas la tête...
Scène d'une violence absolue, mais je m'en suis sortie, grâce à mes deux sauveurs bien que ce soit uniquement par intérêt qu'ils l'aient fait ----
((1)) : Juju : Une corne de quoi ? Où t'es partie pécher cette phrase...
KKK : Hum... je ne m'en souviens plus, mais il fallait que je la place et puis ça rend tout à fait justice à la beauté tentatrice de Drago non ?
((2)) : Juju : O.o... Mais tu as des bleus partout !
KKK : M'en parle pas... ----... (c'est bon vous ne vous êtes pas étouffés )
