Auteuse : Triple K : La première fois
Base : Gundam
Genre : AU, Yaoï, Lime, OOC aussi je crois... J'avais d'abord pensé à un one-shot mais quand j'ai vu la taille je me suis dit que c'était pas la peine
Couple : Si je vous le dis ça ne sera pas amusant
Disclaimer : TT... Je crois que ça dis tout... (sauf la petite voix du début et de la fin elle est à moi !)
Note : Bon voilà un second chapitre J'espère qu'il vous plaira autant que le premier, enfin... si vous avez aimé le premier bien sûr
LA PREMIERE FOIS 2 : La rencontre
Quatre et Trowa s'éloignèrent laissant le temps à Duo de sortir par la porte de la cuisine pour se retrouver dans l'arrière-cour. À présent cela allait être plus difficile car il y avait des gardes un peu partout. Par chance ils avaient tous bu et semblaient êtres morts de fatigue. Il en profita alors pour se glisser derrière une pile de foins assez large pour qu'il puisse traverser la moitié de la cour. Malheureusement, présumant de sa chance un garde l'entendit et cria :
Halte ! Qui va là ?
Miaou…Imita-t-il.
Encore cette satanée bestiole ! Allez ouste ! Du vent !
Duo ferma les yeux et remercia le ciel de l'avoir aidé. Heureusement, la sellerie n'était plus très loin et les gardes semblaient aussi bêtes que leurs pieds. Il pria le ciel et se lança à grande enjambée à l'intérieur.
Fantastique Il y était parvenue ! L'odeur des chevaux et du foin le rassurèrent. Il se dirigea alors vers sa jument et la sella en silence. Le cheval heureux de voir son maître frappa le sol de ses sabots.
Du calme Leïcha. Sinon tu vas nous faire prendre !
Le cheval ayant compris l'ordre se calma immédiatement.
C'est bien ! Tu es vraiment fantastique.
Après avoir sorti Leïcha de son box, ils se dirigèrent touts les deux vers le passage secret que le cavalier avait emprunté. Celui-ci menait à l'arrière du château où personne sauf les servants s'y aventuraient.
« Le voleur doit certainement être un servant. » Pensa-t-il.
Une chose était sûre, ce mystérieux voleur lui avait donné un merveilleux moyen de sortir en cachette du château. Duo monta sur sa jument car celle-ci commençait à s'impatienter. Le sentiment de peur qui lui nouait l'estomac fit bientôt place à une étrange sensation de bien être intense. Enfin libre ! Duo donna un coup de destrier à sa monture qui se lança au galop dans la mi-obscurité. Il ne faisait pas froid et le vent caressait le visage du jeune adolescent qui ce soir redevenait le petit paysan qu'il était.
Libre, heureux et insouciant. Mais l'image du cavalier lui revint en mémoire et il se rappela de ce pourquoi il était sorti. Après quelques instants de course il descendît de sa monture et posa sa main sur le sol boueux. La terre était fraîche et la sensation de saleté qu'elle procurait à Duo lui rappelait bien des souvenirs.
C'est alors qu'il remarqua des marques de sabots dans la boue. Sans doute celles du cavalier. Il remonta sur Leïcha et lui ordonna de suivre les traces. Quelques minutes plus tard les empreintes le conduisirent vers un petit étang où il s'arrêta avant de longer la berge. Duo descendit du cheval et suivit en silence les marques de sabots et celles du cavalier. C'est alors que quelques mètres plus loin il aperçut une silhouette. Elle était assise au bord de l'étang et laissait le cheval du roi s'abreuver. Étrange, puisque si c'était un voleur comme il se l'était imaginé, il ne prendrait pas le temps de s'arrêter. Prudemment Duo s'avança, mais la silhouette remarqua sa présence et se leva.
Qui va là ?
Euh…Je…je…
Répondez !
Duo ne savait que faire. Devait-il lui avouer son identité ou lui mentir ? Mais ses songes prirent apparemment trop de temps puisque le mystérieux cavalier était à présent devant lui.
C'était un jeune homme grand, séduisant et ses yeux bleu du large rendu presque métallique par les rayons de la lune, illuminaient son visage fin.
Qui es-tu ?
Je m'appelle Duo.
Et bien Duo, à présent va-t-en !
Il n'en est pas question ! De quel droit osez-vous vous adresser à moi de la sorte ?
Ah ! Et qui es-tu pour me parler ainsi ?
Je suis…je suis quelqu'un qui peut vous faire emprisonner de suite si je le désire !
Très intéressant ! Ha ! Ha !
Pourquoi riez-vous ? Demanda-t-il intriguée.
Parce que moi aussi je peux le faire !
Comment ! S'exclama-t-il.
Comment allez-vous mon Seigneur ?
Quoi !
Soudain, tout devint clair dans l'esprit de Duo. Ce mystérieux cavalier n'était pas un servant ce n'était autre que…
Le roi, souffla-t-il encore sous le choc.
Et oui !
Le visage de Duo blêmit. Quel idiot ! C'était logique ! Pourquoi n'avait-il pas songé que cet étranger était le roi. Il avait pourtant pris son cheval.
Soudain le roi se pencha vers lui le saisissant par les épaules. Grand dieu ! Il s'apprêtait à lui donner un baiser. Duo, effrayé, le repoussa.
Mais que faites-vous ?
Le roi ne peut-il pas saluer comme il convient son jeune époux ?
Lâchez-moi !
Étrange coïncidence ne trouvez-vous pas ? Dit-il.
Pourquoi ? Balbutia-t-il.
Et bien, le fait que le hasard nous aient fait nous rencontrer de la sorte ! Il est vrai que je n'avais jamais encore vu le visage de mon époux. Et cela va sans dire que vous êtes très beau.
Sa voix était chaude et envoûtante.
Je vous rappelle que c'est vous qui ne vouliez pas me voir.
C'est vrai. Je n'avais nullement envie de rencontrer la personne qui m'avait ainsi emprisonné.
Quoi ! Comment osez-vous ! C'est uniquement de votre faute si je suis votre époux ! Vous ne vouliez pas attendre que mon père rembourse sa dette et vous avez fait dire à votre conseiller de me prendre et de faire de moi votre « compagnon ». Alors que je n'en avais ni l'envie, ni le souhait d'ailleurs.
Ha ! Ha ! Mon cher Wufei a bien raison quand il me dit que vous êtes aussi gracieux que la lune mais plus irascible que le soleil.
Et vous Heero vous n'êtes qu'un adolescent immature !
Oui peut-être, mais ce n'est pas moi qui est manœuvré pour vous conduire au mariage, que je sache. Un simple paysan accédant au trône voilà le rêve de bien des jeunes personnes de votre genre. Vous me mesurez en fait à votre aune.
À mon aune ? Balbutia-t-il atterré.
Il ferma les yeux ? Ainsi c'était là ce qu'il pensait. Pour lui il l'avait délibérément piégé.
Il respira profondément. Jamais il ne pourrait admettre qu'il le jugeât de cette façon. En faisant un effort sur lui-même il se força au calme. Le Roi le rendait presque hystérique, mais cela ne lui ressemblait pas de se mettre en colère pour si peu. Cependant, il ne pouvait pas rester en face de cet impudent. Il monta alors à toute allure sur son cheval et l'éperonna vigoureusement.
Mais Heero comme s'il avait compris ce qu'il s'était apprêté à faire réagit en même temps et le suivi. Il aurait pu ne pas le faire mais il y était poussé. D'ailleurs l'idée que cet intrigant s'enfuis en le laissant sans explication n'avait pas pour effet d'arranger les choses.
Duo épousait les mouvements de l'animal lancé au grand galop. Ses cheveux que Quatre avait soigneusement nattés se défirent, s'éparpillant sur son dos.
Il entendait le bruit des sabots de son cheval et de celui de Heero, et les sentaient s'accorder avec les battements désordonnés de son cœur. Pourquoi le suivait-il ? Peu importait puisque déjà il avait une longueur d'avance sur lui, et qu'il ne pourrait jamais le rattraper. Il prit un tournant et sentit quelque chose d'anormal.
Là où un pont aurait du se trouver, il n'y avait plus rien. Il comprit qu'il n'avait que quelques instants pour se décider. De toute façon quoi qu'il fit, il était en danger. Son cheval allait si vite qu'il n'aurait pu l'arrêter aussi brusquement mais il avait tellement ralenti qu'il ne pourrait sauter la berge. Il n'avait pas d'autre choix que de faire confiance à sa monture. Faisant appel à toute son habileté de cavalier, il tira sur les rênes, s'affermit sur ses étriers et ferma les yeux. Il fallait que sa jument comprît que leur deux vies dépendaient de sa réaction. Et la jument réussi l'impossible.
Comme si elle avait exactement pénétrer les pensées de son maître, elle s'arrêta de justesse, dans un équilibre fragile, au bord même du ravin. Alors, avec une exclamation de joie Heero le dépassa et sauta l'obstacle. Et Duo ne fut pas peu surpris de le voir sauter de nouveau pour venir le rejoindre, joyeusement désinvolte.
Le cheval de Heero s'ébouriffa, piaffa et son maître accompagna ses mouvements de nervosité d'un nouvel éclat de rire. Duo senti la colère lui embraser la poitrine comme du métal en fusion. Mais il ne pouvait s'empêcher de se sentir troublé par ce grand rire sauvage qui le poussait à vouloir, lui aussi, traverser le ravin pour ne plus avoir à le supporter. Mais s'il trouvait du plaisir à se surpasser, il ne pouvait mettre délibérément en péril la vie de Leïcha, sa jument. Comment Heero osait-il, lui, prendre de tels risques avec son étalon ?
Heero s'approcha de lui, lentement au pas de sa monture. Sur son beau visage s'épanouissait un sourire triomphant qui augmenta la colère de Duo. Il s'arrêta, mit pied-à-terre et s'avança rapidement. Avant que Duo n'ait pu l'en empêcher il l'avait saisi à la taille et le faisait descendre de sa selle.
J'ai gagné, lui lança-t-il au visage.
Espèce d'imbécile heureux! Répondit-il en lui frappant la poitrine du poing.
Mais qu'est-ce qui vous prend, êtes-vous ulcéré d'avoir perdu la course, demanda-t-il avec une surprise sincère.
Per…perdu la course ? Mais de quoi parlez-vous ? Vous avez délibérément risqué la vie de votre étalon et vous me demandez si je suis mécontent d'avoir perdu une course ? Je ne vous ai jamais demandé de me suivre ! D'ailleurs je suis persuadé que si vous avez sauté c'était pour me forcer à le faire. Pourquoi ? Pour vous débarrasser de moi ?
Heero lui lâcha la taille et recula comme s'il avait reçu un coup.
Sa surprise ne semblait pas être feinte.
Je ne savait pas que ce pont était détruit et je n'ai jamais voulu vous forcer à sauter. D'ailleurs n'était-ce pas vous qui êtes parti le premier sans savoir où vous alliez ? De plus comment osez vous m'accuser d'une telle forfaiture ? Ce n'est pas moi qui agît malhonnêtement, c'est vous ! Vous qui ne vous intéressez qu'au trône et m'avez emprisonné par le mariage.
Duo n'en pouvait plus. Il le fixa avec détermination.
Je ne me suis pas conduit malhonnêtement ! Bêtement oui mais pas malhonnêtement ! Mon ancienne vie me convenait parfaitement. D'ailleurs la vie de château ne m'intéresse pas. Comment pouvez-vous penser que je me suis délibérément enchaîné à un homme qui me fait clairement comprendre qu'il ne veut pas de moi ?
Il continua une main posée sur le torse.
Me trouvez-vous laid au point qu'aucun autre jeune homme ne me désir ou ne veuille m'épouser ?
Heero l'observa un instant puis baissa les yeux. Lentement, il secoua la tête, semblant fixer sur le sol quelque chose qui n'y était pas.
Bien sûr que non.
Il releva la tête.
Mais même en étant aussi beau que vous, il n'en ait pas moins qu'un jeune homme de votre âge souhaite plus qu'une simple vie de paysan.
Jamais je ne me suis plaint de ma vie de paysan. Vous connaissez aussi bien que moi les lois qui régissent votre royaume et vous savez que je n'avais pas d'autre choix que de vous épouser si je voulais sauver la vie de mon père. Même un roi ne peut contrevenir aux lois.
Et c'est là que le bât blesse. Pourquoi alors votre père n'a-t-il pas payé ses impôts ? Et voilà où nous en sommes pris au piège.
Le mot piège sonna douloureusement aux oreilles de Duo. Il s'en voulu d'être aussi sensible alors que Heero n'avait jamais dissimulé ses pensées. Mais il ne voulait pas se laisser faire.
Si vous vous intéressiez un temps soit peu aux affaires du royaume vous sauriez que la saison de l'été dernier était bien mauvaise pour les petites gens. Mais rien d'autre ne vous intéresse sauf peut-être les jambes de votre maîtresse !
Il s'arrêta net, comme s'il en avait trop dit.
Mais Heero avait compris où il voulait en venir. Il se sentait rougir. Grand dieu ! Pour dissimuler son embarra, il releva la tête.
Mon Roi, je ne cherchais pas à vous offenser. Je voulais juste que vous sachiez que je connaissais l'existence de votre maîtresse… enfin, de lady Rélena et je ne veux pas que vous vous mépreniez sur mon comportement.
Vous êtes jaloux ?
Non, mais puisque vous êtes mon époux, je me dois donc d'être honnête envers vous. Vous avez certes un visage charmant et j'aurais pu…hum…être comment dire ? Intéressé. Il est vrai que votre relation avec lady Rélena m'inspirait quelques sentiments de jalousie. Mais ce n'est guère à cause de vos ébats, simplement je me sentais frustré de n'avoir jamais vu le visage de mon époux.
Comme Heero ouvrait la bouche il leva la main pour l'arrêter.
Mais je dois avouer que votre attitude à mon égard a grandement changé le point de vue que j'avais sur la question. Vous êtes mal élevé, impérieux et arrogant. Si j'ai pu vous trouver quelques intérêts, il va sans dire que j'ai depuis perdu toutes mes illusions. Et soyez en rassuré vous ne m'inspirez plus rien. À votre guise donc d'agir comme vous le souhaitez.
Heero savait qu'il aurait du être soulagé de ce qu'il venait d'entendre, mais ce ne fut pas le cas. Il se sentit envahi d'une irritation qu'il expliquait d'autant moins que Duo et lui étaient désormais deux étrangers.
Subitement lui revint en mémoire le baiser qu'il voulut échanger avec lui. Ce n'était bien sûr, pas l'amour qui l'avait poussé à le prendre ainsi dans ses bras, plutôt un accès de tendresse.
Il tendit la main vers lui désireux d'effacer de sa mémoire ces événements troublants en lui montrant que seul son corps l'intéressait tout comme celui de n'importe quel autre corps aux charmes aussi prononcés.
Duo avait compris ce qui se passait dans sa tête et il voulu reculer mais sa jument lui faisait obstacle. Il tenta alors de lui résister quand il sentit sa main lui serrer fortement le poignet et l'attirer à lui.
Heero le prit dans ses bras et le fait de sentir Duo bouger en essayant de se défaire de son étreinte attisa encore plus son désir de lui prendre ce baiser.
Lorsque les lèvres de son époux prirent les siennes Duo poussa un soupir, qu'il regretta immédiatement, puisque cela le poussa à se presser encore plus étroitement contre lui. Il essaya encore une fois de se débattre puis se laissa aller.
Il poussa de nouveau un soupir et Heero réagit avec fièvre, le cœur battant habité par un violent désir, il approfondit son baiser.
Il abandonna ensuite les lèvres de Duo pour parcourir de baisers son cou blanc. Ne pouvant se retenir, il haletait s'agrippant plus énergiquement à lui.
Et la passion que le Roi sentait en l'autre accroissait la sienne. Heero se surprit à exiger tout ce que Duo interdisait.
Mais, soudain comme s'il avait reçu un coup brutal il se contracta et s'interrompit. Duo ne comprit pas ce qu'il lui arrivait et le considéra. Le Roi voulut reprendre de nouveau le baiser mais avec un effort dont il ne se serait pas cru capable il retira ses mains du dos du jeune homme.
Qu'était-il en train de faire ? Ce n'était pas ce qu'il voulait.
Il voulait seulement lui montrer qu'il ne comptait pas pour lui, qu'il était comme tous les autres un corps à prendre. Et voilà que l'idée de lui donner du plaisir s'était imposé à son esprit, au point de lui faire oublier qui Duo était réellement, un intrigant.
Les choses n'avaient pas tourné comme il le désirait, embarrassé et en colère contre lui-même il s'écarta de lui en poussant un grand éclat de rire.
Duo écarquilla les yeux de stupeur. Heero se moquait de lui. Il lui avait volé un baiser qu'il avait malgré lui aimé.
Un sentiment de frustration intense naquis dans son ventre et il se sentait honteux et stupide à la fois. Comment avait-il pu ne serais ce qu'un instant croire qu'il put être sincère ? Comment avait-il put croire que ce baiser signifiait quelque chose ? Pris d'un soudain accès de colère, il leva la main et le gifla royalement. Heero cessa aussitôt de rire.
Qu'est-ce qui vous prend ?
Vous…vous osez me demander ce qui me prend ? Vous vous moquez de moi, vous m'avez embrassé de force et…
Et alors ? J'en ai le droit ! Je suis votre époux !
Peut-être ! Mais, vous n'êtes pas l'époux que je désirais et encore moins celui que j'espérais avoir ! Vous n'êtes qu'un imbécile !
Heero resta bouche bée, quand il le vit remonter à cheval et partir au galop. Cette fois, il s'en voulu réellement de sa réaction. Les mots que Duo venait de prononcer semblaient être sincères. Et cette pensée lui fit terriblement mal au cœur.
Il voulut s'excuser mais ne le suivi pas. Il le regardait s'éloigner sur sa jument le cœur rempli de désarroi, mais songea-t-il, pas autant que le sien.
A SUIVRE...
KKK : Bah le second chapitre trop contente
Duo : Pourquoi je vouvoie mon Hee-Chan, c'est trop zarb --«
KKK : Combien de fois devrais-je le répéter ! C'est AU et OOC ! Et pi c'est dans le ton de l'histoire alors fichez-moi la paixxxxxxxx !
Heero, qui frissonne : Bah... T'es de mauvaise humeur ou quoi ?
KKK : Ca va faire deux jours que je suis debout sans dormir alors oui je suis un peu fatiguée...
Duo : Et vachement shootée au café dis donc O.o
Quatre : Pourquoi tu ne vas pas te reposer un peu
KKK : J'ai po sommeille...
Heero : Faudrait que tu ailles dormir un peu...Ca améliorerait ton humeur --
KKK : Je sais, je sais...Mah ! De toute façon, même si j'essayais j'arriverais po --
Duo : Dis ?
KKK ; Hum ?
Duo : Pourquoi j'ai une jument ?
KKK : OUAHHHHHH j'pète les plombs !
Bah tite tout tite note laissez moi au moins une review please... bon ou mauvais j'attend vos coms merci...
