Auteuse : Triple K : La première fois
Base : Gundam
Genre : AU, Yaoï, Lime, OOC aussi je crois... J'avais d'abord pensé à un one-shot mais quand j'ai vu la taille je me suis dit que c'était pas la peine
Couple : Toujours le même w
Disclaimer : TT... Je crois que ça dis tout... (sauf la petite voix du début et de la fin elle est à moi !)
LA PREMIERE FOIS 4 : Déclarations
C'était une magnifique journée. Tout le monde se pressait dans le jardin royal. Heero en compagnie de son conseiller et de quelques autres convives avait du mal à se concentrer. Il cherchait Duo du regard et s'inquiétait de ne pas le voir.
Puis c'est là qu'il le vit. Superbe dans un costume de velours améthyste, il s'avançait à travers la foule et riait. Il ne semblait pas s'intéresser à son époux et Heero en fut attristé même s'il comprenait sa réaction.
La fête se déroula sans le moindre incident et tout le monde fut heureux de souhaiter un joyeux anniversaire au Roi.
Alors que tous les invités dont les villageois s'amusaient du spectacle organisé en l'honneur de Sa Majesté, Heero descendit de l'estrade et alla chercher Duo. Il était en grande discussion avec Quatre, Trowa et Wufei.
Excusez-moi mais j'aimerais parler à mon époux.
Duo tourna vers lui un regard étonné mais ne dit rien. Les trois autres sourirent au roi puis s'excusèrent et s'en allèrent.
Duo suivez-moi s'il vous plaît. J'ai une surprise pour vous.
Qu'y a-t-il, votre altesse ? Le spectacle ne vous plaît pas ?
Si, mais j'ai une chose bien plus importante à faire.
Laquelle ?
Une chose toute simple. Prouvez que j'aime mon époux et mon Seigneur.
Duo écarquilla les yeux de stupeur et se laissa entraîner par Heero. Avait-il bien entendu ce qu'il venait de dire ? Il l'aimait. Il sentit son cœur bondir dans sa poitrine.
Heero l'entraîna dans sa chambre. Duo hésita à y entrer mais Heero posa sur lui un regard plein d'affection et de confiance.
Lorsqu'il ouvrit la porte, Duo s'évanouit presque tellement il était heureux.
Surprise, fit Heero.
À cet instant il su que Heero était l'homme qu'il aimerait jusqu'à la fin de sa vie. La famille entière de Duo se tenait devant lui et lui souriait.
Alors mon fils, fit son père, qu'attends-tu pour venir nous embrasser.
Papa, cria Duo en se jetant dans les bras de sa famille.
Il pleurait de joie. Il voulut se retourner et remercier Heero mais il était déjà parti.
Mon chéri, il faut que nous parlions. Dit sa mère.
Puis à l'adresse des autres elle leur demanda de sortir. Ils la boudèrent mais Duo leur promis de les retrouver plus tard. Une fois la petite famille partie sa mère l'enlaça tendrement.
Mon chéri si tu savais comme tu nous as manqué.
Vous aussi maman, vous m'avez manqué.
Ton père a pu payer toutes ses dettes et le roi nous à proposer de te laisser ta liberté, alors nous…
Ces mots firent jaillirent des étincelles de tristesse dans le ventre du jeune homme. Quelque temps auparavant il aurait accepté sans hésiter mais les sentiments tout neufs qu'il éprouvait pour Heero, l'en empêchaient. Il leva sur sa mère un regard attristé et confus. Comment lui annoncer qu'il ne voulait pas repartir vivre avec eux à cause de son amour pour Heero ?
Maman, je…
Nous avons refusé.
Quoi ?
Hum ! Son Altesse nous a parlé de vos relations. Il nous a tout raconté du début à la fin. Et nous savons qu'il t'aime sincèrement et que toi aussi tu l'aimes. De plus il nous a demandé ta main en bonne et due forme et ton père a accepté. Maintenant il faut que tu trouves dans ton cœur la force de lui pardonner ses erreurs car mon oisillon, je t'assure qu'il tient à toi et qu'il se repent de ses fautes. Il souffre de t'avoir fait du mal. Et pour se faire pardonner, il te laissera à ta guise venir nous rendre visite. Mais le plus étrange c'est qu'il a demandé à ton père de lui apprendre à traire une vache !
Maman, si tu savais comme je l'aime. Et je…
Cour le rejoindre mon enfant. Je crois que tu as toi aussi une surprise à lui offrir.
Merci maman.
Duo se leva et embrassa sa mère avant de courir dans la chambre de Heero.
Pendant ce temps le Roi fatigué espérait que Duo prendrait la bonne décision. Dieu, qu'il l'aimait ! Il entra dans sa chambre et fut surpris de trouver une baignoire posée près du feu. L'eau dont elle était remplie fumait encore. Il tourna la tête et vit une table soigneusement décorée avec du vin et un repas bien chaud dessus.
Trop épuisé pour chercher l'instigateur de cette agréable attention il entreprit de se déshabiller et bientôt il fut dans l'eau chaude jusqu'au cou. De plus un bon bain avant de retourner rejoindre les convives ne lui ferais pas de mal.
Soudain la porte s'ouvrit derrière lui.
Wufei, pensant que c'était son conseiller, il y a un problème?
Aucun répondit la voix de Duo juste dans son dos.
Il se retourna brusquement. Il l'apaisa en posant une main sur son épaule.
Non Votre Altesse ne vous levez pas. Laissez-moi m'occuper de vous.
Heero senti la peur et le désir l'envahir. Si Duo était là c'était qu'il avait accepté sa proposition. Mais attention peut-être étais ce aussi pour lui faire ses adieux.
Penchez-vous en avant que je puisse vous laver.
Heero s'exécuta.
Grand dieu ! Que ce jeune homme était beau !
Il versa de l'eau sur la tête de Heero et lava la lourde masse de ses cheveux, qu'il massa avec un plaisir emporté.
Jamais, il ne l'avait touché aussi intimement. Même quand ils s'étaient embrassés.
Le jeune homme vigoureux et viril qui se tenait là était son époux. Il en avait presque du mal à le croire.
Duo se grisa du plaisir de le sentir ainsi nu et consentant sous ses doigts. Jamais il ne l'avait autant désiré. Il s'enduisit les mains de savon et les passa sur la peau de son dos. Heero s'immobilisa comme s'il attendait quelque chose qu'il n'osait réclamer. Lentement, avec une sensualité extrême, Duo continua de balader ses doigts sur ses épaules avant de descendre vers son torse. Il l'entendit gémir et cela attisa encore plus son désir. Duo n'en pouvait plus, guidé par son instinct il posa ses lèvres sur la nuque de Heero. Il la trouva si tendre et si brûlante qu'il ferma les yeux. Heero frissonna sous ce baiser et ne put s'empêcher de prononcer son nom dans un soupir. En sentant la bouche de Duo courir sur son cou Heero su qu'il était perdu. Son corps tremblait d'appétit contenu. Il se retourna pour lui faire face et quand il voulut lui prendre un baiser il l'arrêta.
Non.
Pourquoi, demanda-t-il la voix rendue rauque par le désir.
Parce qu'il y a encore le dîner. Je veux que cette soirée soit inoubliable mon Roi.
Il soupira frustré mais décida de laisser aller les choses selon les désirs de son époux. Lui aussi, malgré son impatience visible, il souhaitait au plus profond de lui-même que tout soit parfait.
Prenant la serviette de bains que lui tendait son époux il sortit de la baignoire et se dirigea vers son lit. Gêné, il se retourna et vit que Duo ne le regardait pas. Il en fut presque attristé mais su que ce n'était que du respect. Il s'habilla en vitesse puis rejoignit la table. Il s'assit et fut surpris que Duo n'en fasse pas autant.
Mais il lui dit qu'il n'avait pas faim et qu'il voulait simplement le servir. Duo se pencha pour lui servir un morceau de viande et ses cheveux glissèrent et tombant sur l'épaule de Heero. La peau de son époux exhalait un merveilleux parfum de rose et il eut envie de caresser ses cheveux, de les empoigner et de les enrouler sur sa main pour l'attirer à lui. Il dépensa des trésors de volonté pour se retenir. Mais un moment plus tard Duo se penchant de nouveau, il sentit son souffle chaud près de son oreille. Heero n'en pouvait plus.
Sa main puissante se referma sur celle de Duo et la porta à sa bouche. Il lécha ses doigts et les embrassa. Duo ne résista pas longtemps avant de fiévreusement se pencher pour lui murmurer :
Oh ! Mon chéri, j'ai faim de vos caresses.
Avec un soupir rauque Heero se leva précipitamment faisant choir la chaise sur le sol. Puis il prit la bouche de Duo et approfondit sans attendre son baiser.
La respiration plus rapide, Duo pencha la tête en arrière tandis que le Roi parcourait son cou de baiser incandescent. Quand les lèvres de Heero parvinrent jusqu'à l'échancrure de sa chemise, il se raidit et enfouis les doigts dans ces cheveux bruns, accentuant davantage la pression de sa bouche sur sa peau. »
Je pense que vous n'avez pas besoin de connaître la fin, car je suppose que votre esprit affûté imagine très bien la suite de l'histoire.
Pour ce qui est de la fin, comme tout conte de fées qui se respecte, «Ils s'aimèrent et vécurent heureux jusqu'à la fin de leurs jours ! »
Mais vous devez certainement vous demander ce que je viens faire là ? Il est vrai que c'est une assez bonne question, qui n'a qu'une réponse : « L'amour tout simplement ou peut-être l'adoption de ma mère » ! Mah, ça c'est une autre histoire encore
J'espère que cette courte nouvelle a aiguisé votre curiosité et que vous vous dépêcherez de rejoindre vos grands-parents, source de votre passé ! Il est évident que chacun n'a pas eut la même histoire et il est possible que ce soit exactement le contraire de ce que vous espériez. Cependant, sachez que connaître le passé, même s'il n'est pas glorieux pour les battants, ou féerique pour les romantiques, est toujours lucratif. Au moins, vous êtes certains de ne pas mourir ignare. Sans viser personne ou vous offenser bien sûr. Hélas, je sais que la majorité d'entre vous ne le ferez pas, soit parce qu'ils ont une longueur d'avance sur moi, soit parce qu'ils n'en ont pas envie. Après tout, chacun fait ce qu'il veut et mène sa vie comme il le souhaite. D'ailleurs ce n'est pas à moi, de vous dicter votre conduite. Et bien ! Sur ce, je vous laisse en espérant que vous avez eu du plaisir à lire cette histoire.
FIN
KKK : ET VOILI-VOILOU G fini
Duo : Mah !
Heero : Mah !
KKK : -- Quoi ? Kes ki ya encore ?
Duo : Pourquoi t'as po fini ça en LEMON ?
Heero : C'était bien parti en plus
KKK : C'est juste pour dégoûter tout le monde
Duo : Bah C'est réussi --
KKK : Vi je sais trop contente de l'effet
Quatre et Trowa : Dis donc on apparaît po beaucoup nous éè
KKK : Je sais, mais j'y pouvais rien ! De toute façon dans la prochaine vous serrez en vedette
Quatre et Trowa : Vré ?
KKK : Vré et pi je vous adore tellement
Bah voilà Je sais les délires de fin craignent un peu beaucoup, mais il faut comprendre ! J'ai quand même passé deux jours sans dormir dessus et je suis crevée mais satisfaite
Heero : Je croyais que t'avais une histoire de base ?
KKK : Bah oui et alors ?
Heero : Deux jours pour du recopiage, c'est peu exagéré non ? --
KKK : Bon, ça va ! J'avoue ! J'ai pas dormi pendant deus jours, paske je surfais aussi sur le net ! et paske mes cops n'arrêtaient po de se connecter sur MSN, mé j'ai travaillé dessus quand même
Heero : Oué ! C'était trop bizarre mé c'était pas mal pour une débutante
KKK : Je rêve où c'est un compliment O.o
Heero : Tu rêves...
KKK : ...